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Le jour de l’enterrement de son père, le jeune Bernard Sambre rencontre Julie, une belle braconnière aux yeux rouges. Dès le premier regard, leurs cœurs s’enflamment, et les voilà pris d’une passion qui annonce les drames, appelle les pleurs.
Sur fond de révolution populaire, Yslaire, dans un premier temps sur un scénario de Balac puis en solo, compose une histoire d’amour impossible, contrarié tant par les hasards de l’existence que par une lutte des classes qui place les amants dans des camps opposés. Le texte, évidemment, se veut lyrique et chante les tourments des personnages dans un style parfois emprunté, mais qui évite le pathos dans sa retranscription endiablée des sentiments.
À mesure que le récit progresse, dévoilant au passage des planches d’une grande beauté, où les tons de rouge, omniprésents, rappellent le nœud de l’intrigue, le suspense se fait plus intense. Les protagonistes se multiplient, de même que les rebondissements, pour se terminer, avec ce quatrième tome, en apothéose.
Il me fallait lire Sambre, j'ai donc emprunté la première époque jusqu'au tome 4. J'ai lu très vite ces 4 livres et pourtant je n'ai pas éprouvé le moindre plaisir.
Certes les dessins sont somptueux. La mise en cases est remarquable. Mais je n'ai pas accroché avec l'histoire compliquée et pourtant prévisible d'un amour impossible entre une servante et un jeune riche un peu idéaliste. Tout se passe dans le Paris de 1848 en pleine révolution qui amène à la IIème République.
Ce n'est pas du Balzac, car il n'y a pas réellement de critique sociale approfondie. Ce n'est pas du Stendhal car même si les personnages sont ballotées par leur destin, ils n'ont pas d'ambitions ni d'idéal. Ce n'est pas du Hugo, le roman fleuve ne suffit pas à la comparaison, et aucune valeur humaine n'est réellement portée par les personnages.
Je vais néanmoins continuer à lire les autres tomes, sans les acheter mais en les empruntant à la bibliothèque.
Avis portant sur la série:
Sambre, c’est tout d’abord une tragique histoire d’amour pendant la Seconde Révolution Française. On nage en plein romantisme. Le fils d'une famille bourgeoise et rural du XIXème siècle va tomber amoureux d'une jeune vagabonde aux yeux rouges. La famille va tenter de s'opposer à cette union. Le destin également. La famille de Sambre va être très marquée par les événements historiques liés à la Révolution de 1948.
Le premier album date de 1986. Le dernier en date est de 2016, c’est le 7ème volume près de 30 ans après. Sambre a marqué la bd car dans les années 80, la bd n’avait essentiellement qu’une fonction divertissante. Le dessin en noir et blanc avec ce coloris de rouge et ce souci du réalisme donne une superbe impression de jamais vu dans la BD moderne. Une mise en couleur en adéquation avec une histoire d'amour impossible. On est très loin de la ligne claire si chère à de nombreux lecteurs avec ses tons joyeux. Sambre dénote totalement avec des tons sombres et un auteur qui joue avec les ombres et les lumières sans compter sur le rouge et le noir pour faire écho à l’œuvre de Stendhal.
Sambre s’inspire des romans fleuves du XIXème siècle. Le récit se déroule d’ailleurs sur plusieurs années. Il y aura plusieurs générations des membres de la même famille. Le thème sera celui de l’héritage et de la malédiction. Pour la première fois, nous avons également des personnages qui ont une psychologie propre assez approfondie. Sambre a marqué l’histoire de la bande dessinée tel que nous la connaissons.
L’œuvre est axée sur une histoire de famille avec des personnages qui recherchent leurs origines afin de percer le mystère. On va découvrir un romantisme noir et occulte avec toute la complexité du XIXème siècle. Il y a d’ailleurs une forte portée symbolique.
J’ai littéralement adoré cette superbe fresque romantique. Sambre est un véritable monument de la bd ! Des couvertures également magnifiques. Une série culte assurément ! Je suis véritablement rempli d’admiration tant pour le graphisme exceptionnel que pour l’atmosphère dégagée de cette triste histoire d’amour. Une vraie merveille qui se lit comme un roman de Zola.
Note Dessin : 5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.75/5
Ce 8ème tome rompt désormais catégoriquement avec les premiers tomes de la série.
Je suis sidéré quand je vois écrit que cette série est un chef d'oeuvre romantique! Elle était tout au plus noire et originale, elle est désormais vulgaire et banale. Extrait d'un dialogue de l'album quand un bourgeois est dans une chambre d'une maison close avec le personnage féminin principal: "quand je trouve que l'entrée est trop large, je peux passer par la porte de service". Du grand romantisme!
En revanche les dessins sont biens.
Je conseille de lire le 1er cycle composé des 4 premiers tomes...puis de s'arrêter.
Yslaire ! Rien qu'à entendre ce nom j'imagine ces magnifiques couvertures des Sambre avec cette couleur ocre ! Superbe Saga !
Même avis, dans les grandes lignes que docteur fil.
Le dessins (ainsi que la couverture) sont magnifiques, mais il est vrai que la scénario semble ralentir sur ce tome. Yslaire prend le temps d'affiner ses personnages et la fin de Sa grande histoire.
Je comprends qu'il doit être difficile de mettre un terme à cette extraordinaire aventure, l'auteur souhaite nous la faire déguster.
Peut-être qu'après 30 ans d'attente je me suis lassé. Ce tome parfaitement maitrisé au dessin, me semble faire trainer les choses au niveau du scénario. L'album de trop ?
Il fut un temps où l'auteur et l'éditeur annonçaient ce cycle en 8 tomes et non en 9 comme aujourd'hui...
Cet album reflète tout à fait le style "Yslaire" tant dans le dessin que dans l'ambiance générale lourde du scénario... L' alliance des couleurs monochromes est tout à fait originale et participe entièrement à cette atmosphère si particulière que l' auteur parvient à insuffler
Sambre Tome 4 ou comment passer d’une belle histoire si bien écrite à une suite en trois actes dont le dernier est des plus mauvais.
Dans ce quatrième opus, la tragédie prend fin et la destinée semble s’etre accomplie. Il faut avouer que l’auteur tourne tellement en rond dans les tomes 2 à 4 qu’il aurait pu n’en faire qu’un seul en faisant moins de digressions...
La magie du premier album n’est plus là et le Paris des barricades est à peine dépeint dans cet album.
Vraiment dommage.
Acte III : l’histoire s’enlise un peu dans le Paris révolutionnaire. Les 2 amants passionnés se retrouvent pour un instant mais leur destin n’est pas encore scellé.
Outre le beau dessin d’Yslaire, l’album nous présente de belles images comme Julie sur les barricades et une ambiance très travaillée mais, hélas, c’est tout ce qu'il propose. Malgré un bon niveaux global, je n’ai pas retrouvé la magie du premier épisode, c’est dommage.
Moins intense que le premier tome, la lecture cet album est fluide et se savoure tout autant. La suite de l’histoire des Sambre se présente en plusieurs actes et ce deuxième en est la première partie. Bernard est possédé par Julie et fait tout ce qu’il peut pour la retrouver. Ça laisser présager une issue des plus dramatiques.
Yslaire est toujours au dessin, ses personnages et le Paris de 1848 sont réussis surtout dans la tonalité qu’il donne à cette histoire et à l’album.
De la très bonne bande dessinée.
Un récit immersif et prenant. Une belle histoire et une destinée qui s’annonce. Des dialogues et une ambiance qui se savourent. Le dessin et les couleurs de Bernard Yslaire, si sombres et si élégants.
Un magnifique album que tout amateur de BD se doit de lire. Il n’est jamais trop tard !
Je le recommande. Pour ceux qui ont un apriori sur les histoires sentimentales, laissez vous tenter car le plus important ce sont les dessins et le jeu de couleurs. Cett BD se lit avec plaisir et donne envie de lire les autres de la série;
Bravo Monsieur Yslaire.
Magnifique et indispensable! Yslaire est un maître du dessin! La serie des Sambre est franchement passionnante tant pour le scenario romantico-intriguant et le dessin et les couleurs...
Excellente série, saga familialeS, à travers les différents cycles / périodes...
Les dessins sont très bons et les touches de rouges sont une véritable marque de fabrique...
La guerre des yeux est intemporel.
Le 7e chapitre de Sambre suit la 3e et dernière génération, d'un côté Judith qui vit dans la misère à Paris et de l'autre son jumeau Bernard-Marie qui vit hanté par des cauchemars à Roquevaire. Le dessin d'Yslaire est toujours excellent mais l'histoire n'avance guère.
De Paris à Roquevaire les destins parallèles de Bernard-Marie et Judith, jumeaux et orphelins.
L’un est élevé à l’abri de tout péril extérieur par sa tante, mais ses cauchemars sont tellement plus dangereux. L’autre erre d’orphelinat en famille d’accueil, ou court les rues des bas-fonds en compagnie de vauriens attachants. Chacun est en manque de l’autre sans le savoir et construit peu à peu son avenir incertain, tandis que près de Londres leur mère a donné le jour à un petit frère…
Toujours aussi sombre et romantique, Sambre (tome 7) nous ramène à l’histoire originelle à travers les fruits des amours maudites de Bernard et Julie. Même si l’on est habitué au style narratif d’Yslaire et à son dessin superbe, on craint de savoir qui de l’auteur ou du lecteur va sombrer le premier dans la déprime mélancolique…
Les années passent, la série demeure excellente. Mais il faut avoir le moral pour lire cette saga !
Graphiquement, c'est toujours aussi beau, aussi virtuose, et intemporel (on pourra relire cette BD dans 20 ans, cela n'aura pas pris une ride).
Et comme l'histoire est toujours aussi bien racontée, il n'y a pas de faille, pas de faute de gout, pas de tromperie sur la marchandise.
On approche doucement de la fin et la fin des personnages est annoncée (involontairement ?) dans l'arbre généalogique, puisque les dates de décès sont inscrites !
Bon, après, il faut vraiment avoir le moral, car Dieu que c'est dur d'être un Sambre...
Mais c'est le genre qui veut ça ; du romantisme noir et sang.
Mais Dieu que Yslaire est doué.
Yslaire oublie enfin les Sambre pour se concentrer sur Julie. Suite à un naufrage, elle est sauvée par un gardien de phare sur îlot isolé. Les deux personnages, aussi torturés l'un que l'autre, s’apprivoisent tout au long de l'album. Un peu d'humanité dans cette série bien sombre. Les dessins sont magnifiques.
Un nouveau cycle démarre. Bernard Sambre est mort sur les barricades. Julie a survécu mais croupit en prison. Son fils, Bernard-Marie, vit avec sa tante. Les dessins d'Yslaire sont superbes mais l'histoire n'avance guère.
Ce quatrième tome clos le premier cycle. Le destin et la révolution continuent de contrarier les amours de Bernard et de Julie. Les dessins sont superbes mais le scénario manque parfois de cohérence.
Troisième épisode de la série. Bernard et Julie se retrouvent au milieu de la révolution de 1848. Les dessins sont toujours magnifiques mais l'intrigue n'avance pas assez vite.
Les destins de Bernard Sambre et de Julie semblent liés. Ils partent tous les deux pour Paris et nous suivons parallèlement leurs souffrances depuis leur séparation. Les dessins sont magnifiques. Une série à ne pas rater !
La sage des Sambre débute par ce superbe album et la rencontre de Bernard Sambre et de Julie. Les dessins sombres sont magnifiques et collent à merveille à l'histoire. Romantisme, destin et trahison sont déjà au rendez-vous. A lire !
Si le 5ème tome était un signe de nouveau départ, ce 6ème opus nous confirme que la machine a bien démarré.
Julie est confrontée aux morts et aux vivants, aux vivants qui meurent, aux morts qui la hantent... En parallèle, son fils affrontent les mêmes démons : les morts, les disparus, les vivants, les proches, les supposés fantômes...
Les "méchants" sont presque silencieux dans ce bouquin. Mais les "gentils" le sont vraiment, même sous des aspects sombres.
Inutile de disserter sur le grand talent d'Yslaire pour rendre les ambiances, tant sur les paysages que sur les personnages. J'ai déjà parlé de son sens de la lumière et, dans ce contexte insulaire irlandais, c'est particulièrement perceptible.
Il faut reconnaître ici à l'auteur de ne pas négliger ses personnages, de ne pas éluder leurs mauvais côtés, de nous attacher à eux malgré ce qu'ils sont, ce qu'ils ont pu avoir fait ou pas...
Me voilà à nouveau happé par la série et j'attends la suite avec impatience !
Les personnages prennent un nouveau départ... Enfin... ceux qui restent !
L'énergie narrative n'est plus la même. On n'a plus le ressort romantique du départ, et pour cause, mais on suit plus précisément Julie et son histoire tragique qui n'en finit pas d'être tragique.
La "guerre des yeux" n'est pourtant pas finie et ce tome un peu languissant laisse entrevoir une nouvelle intrigue entre Julie et la famille de Bernard, par l'entremise d'un enfant qui pourrait bien chercher d'où il vient.
On s'installe donc dans un nouveau départ et espérons que, bien que sans Balac, Yslaire saura nous tenir accrochés à ce renouveau comme c'était le cas dans les 4 premiers tomes.
Ca pourrait ressembler au début de la fin de l'histoire. Un tournant.
Bernard et Julie sont entraînés malgré eux dans la révolution de 1848. Elle, toujours en fuite, poursuivie, pleine d'énergie. Lui, toujours au bord du désespoir, tiraillé entre ses références familiales et l'appel de son coeur.
Comme toute bonne histoire romantique, il faut que ça ne se passe pas bien. Et l'amour impossible reste le meilleur des ressorts.
Bien entendu, ça se finit comme on ne voudrait pas que ça se finisse mais comme il est nécessaire que ça se finisse pour que la suite se fasse attendre... et c'est bien le cas !
Toujours aussi prenante, l'histoire se déroule. Les protagonistes s'intègrent à présent dans la "grande histoire". Les auteurs nous racontent les tumultes révolutionnaires du XIXème siècle, bien moins "médiatiques" que la Révolution française.
Toujours romantique, des dessins toujours sublimes, avec des lumières parfaitement maîtrisées. Yslaire est un graphiste hors pair, malgré l'aspect "enfantin" de ses personnages qui rappellent sa jeunesse (Bidouille et Violette)
Moins prenant que le premier tome, il est néanmoins difficile de saucissonner l'histoire et chaque volume a son importance, même si l'action n'y est pas.
A lire, donc, si on a aimé le début et si on veut rester accroché jusqu'à la fin.
J'avais découvert Sambre à sa sortie, il y a fort longtemps, et j'en avais gardé un très bon souvenir. Au point que j'ai décidé d'acheter la série sans l'avoir relue.
Et je peux dire que je ne suis pas déçu. Les images sont splendides et, si l'intrigue reste aujourd'hui assez classique, sorte de Roméo et Juliette maintes fois décliné, je me suis bien fait prendre.
A la fin du premier album, on a envie de suivre et d'en savoir plus...
Je peux aussi dire que la réédition valorise bien mieux les dessins d'Yslaire que la première édition (couleurs plus éclatantes)
Je mets une note globale pour le premier cycle. Que dire ?... C'est du très grand, à tous les niveaux. Jamais de relâchement, pas un détails qui abime cette parfaite oeuvre. Tant au niveau du dessin, du scénario, des couleurs, de l'histoire elle-même, c'est juste excellent.
Seul petit bémol, c'est le temps qu'il faut attendre entre chaque parution des chapitres.
Mais si l'excellence ne peut émerger que dans la durée, et bien attendons !
La mort est parfois facétieuse… alors qu’elle se dérobe devant Julie, elle fauche sans ménagement les côtes irlandaises à l’occasion d’un naufrage ou d’une épidémie de mauvaise fièvre.
La mort, la douleur, le tourment ou la souffrance prennent, avec le dessin d’Yslaire, une dimension esthétique pour le moins fascinante. Aussi, au-delà d’un scénario dans la plus pure tradition romantique, cette saga porte en elle toute les qualités de ce que d’aucun qualifierait d’œuvre majeure.
Cet album est ce ceux qui captivent littéralement le lecteur. Aussi, ce dernier ne peut qu’être touché par la justesse et la fragilité d’un trait qui sait si bien mettre à nue l’âme tourmentée de ses personnages, rendre palpable les embruns d’une mer déchainée ou la mélancolie qui étreint Julie.
Sambre est de ces albums qu’il faut savoir attendre !
Sambre...
Presque 8 ans après la parution du cinquième tome, Yslaire nous emporte avec toujours autant, si pas plus, de fascination dans cet univers qui ne pourrait laisser indifférent.
Chacun de ses dessins, chaque case de chaque planche force l'admiration et inspire le respect. Les expressions des visages sont excellentes dans toutes leur nuances, aussi infimes soient-elles. Et les paysages, sombres et intenses à souhait.
Julie Saintange est pareille à elle-même, belle, torturée et intrigante.
J'attends déjà la suite de la série de ce dessinateur qui n'en est sûrement pas à son apogée et qui n'en finira pas de nous étonner.
Je n’ai pas été très emballé par cette histoire (les 5 volumes). Je pense qu’il faut aimer le genre Roméo et Juliette ; une histoire d’amour dramatique. La fin n’est pas si époustouflante que ça. Par contre les dessins sont impeccables et les couleurs originales. L’ambiance des années 1840 est vraiment bien maitrisée. Je conseille mais uniquement pour ceux qui aiment ce genre d'amour impossible.
Je suis un peu decu , on m'avait dis enormement de bien de cette BD . Elle est bien mais je ne trouve pas ici UN CHEF D'OEUVRE .Cette histoire d'amour entre une pauvre petite et un heritier n'est pas nouvelle parcontre le graphisme , c'est du haut niveau. A lire et surtout a regarder.
Cette série révèle une tension scénaristique de tous les instants. Le contexte est balzacien (Louis-Philippe, la Bourgeoisie provinciale et ses petits arrangements, les salons parisiens), la trame emprunte aux thèses en vogue au XIXeme siècle (l'influence de l'hérédité sur l'histoire (sociale) d'une famille), le thème est universel (l'amour impossible). Ce cocktail est formidablement soutenu par des dessins superbes.
On a juste envie d'être l'un des acteurs pour faire en sorte que cela se termine bien, tout comme lorsque l'on regarde un de ces films si prenants...
Comment se fait-il que cette série ne soit pas mieux placée dans les incontournables?
Un chef-d'oeuvre, qui laisse perplexe sur ce que l'on va bien pouvoir lire d'intéressant après cela...
Des années d'attente, des années à imaginer une suite au destin follement romanesque de Julie et Bernard, des années à prolonger la série (le roman graphique devrais-je dire) par l'iconographie à la fois sensuelle et puissante d'Yslaire. Puis, enfin, il arrive ce cinquième album. Et là, une pointe de déception. L'histoire d'abord est plus que simpliste, l'album ne fait qu'un état des lieux de la famille après cette longue absence, nous présentant le destin de Julie et nous faisant rencontrer son fils. Rien de plus... Pas de souffre muystérieux ou romantique, par d'histoire d'amour. Juste la haine que traduit le dessin à mon goût trop maniéré d'Yslaire. Les personnages ne semblent plus que les carricatures de ce qu'ils ont été et c'est sans doute voulu puisque Sarah qui n'a pas changé conserve le même visage. mais où est le charme envoûtant de Julie. La rage lui donne des traits anguleux qui, personnellement, ne me sied pas.
Yslaire fait preuve d'excellence ses tirages de TT sont les plus beaux impressionnants du monde de la BD.
Très riche graphiquement cet album clôture une série grandiose.
Eh oui un album comme ça c'est un chef d'oeuvre. Tout y est, le dessein le scénario et le contenant !!!
Que demander de plus à part un nouveau cycle...
Ce premier volume est un enchantement pour les yeux et l'intellect! Cette fresque familiale et historique nous emporte littéralement. La théorie de classification des êtres humains en fonction de la couleur de leurs yeux n'est pas sans avoir une sombre résonnance dans cette période post-guerres mondiales que nous vivons...
J'aurais aimé mettre une note parfaite comme tous l'on fait, ou presque mais je ne sais pas pourquoi, je ne me suis pas sentie plus interpellée que ça. Les planches sont magnifiques, la dualité rouge et noire, omniprésente mais je trouve que le scénario s'égare à quelques reprises pour l'intégrale.
Et a-t-on jamais vu autant d'eau dans les yeux d'un seul personnage? J'ai l'impression qu'on étire la sauce avec le dernier album. C'est cependant une belle collection qui se doit d'être lue mais qui ne demeurera définitivement pas dans mes favoris.
Hélas, je trouve que ce tome n'est vraiment pas bon du tout. On tourne en rond avec les personnages. Des faux rebondissements vraiment pas du tout interressant. Le scénario ne suit pas. L'histoire est peut être un peu courte.
Une chose est sure : Yslaire sait comment on doit tenir les crayons, les planches sont toutes plus magnifique les unes que les autres, les couleurs sont une pure merveille. Bon par contre à la base je suis pas fan du tout de ce genre d'histoire : romantique,dramatique dans une époque que j'aime pas trop mais là non seulement j'ai réussi à lire en plein mais en plus j'ai apprécié.
Pour l'instant c'est mon tome préféré. Yslaire soulève de plus en plus le voile sur son intrigue devenu mystérieuse et qui se complique sérieusement. La fin y est assez bouleversante surtout par la beauté des dessins et notamment de la dernière planche.
Je trouve que ce tome est un album de transition. A vrai dire, il ne se passe pas grand chose et pourtant, on le dévore. Il ya moins de rebondissements que dans le 1 et l'histoire se déplace à Paris et met en place des nouveaux personnages qui joueront un rôle plus actif dans le tome suivant. Bref, indispensable à lire, toujours aussi emprunt d'une poésie exacerbée et les dessins sont toujours aussi merveilleux.
A lire absolument. Le romantisme est vraiment poussé à son paroxysme (et un peu irréel faut bien le dire...). Les dessins et la mise en couleur sont merveilleux. Une belle entrée en matière que ce 1er tome. On rentre dans le vif du sujet par un enterrement et une rencontre forte entre le héros et une inconnue aux yeux rouges.
Tout simplement l'un des TT les plus marquants de la décennie.
A posséder absolument
Sambre...EXCEPTIONNEL!
Sambre est bien plus qu'un chef-d'oeuvre, il faudrait des notes supérieures à 10 pour pouvoir le noter convenablement!
Je ne fais que répéter ce qui a déjà été dit, mais cela me tient à coeur.
Un classique des classiques. Merveilleux. Un incontournable!
Quoi de mieux que de lire Sambre, à part Sambre!
Merci Yslaire. Merci Ballac.
Merci Sambre.
La fusion réussie de la poésie et de la BD. Dans l'océan actuel des BDs aux scénarios convenus et commerciaux, lire et relire Sambre.
N’étant pas un grand fan de romantisme et encore moins de l’époque (Paris et la révolution au 19ième siècle), de ses costumes et du type de narration, il m’est impossible de crier au chef-d’oeuvre pour cette série ! Je mentirais néanmoins en disant que le dessin tout de noir (mort) et de rouge (amour) n’est pas fantastique, accrocheur et en symbiose avec un excellent scénario et une ambiance tragique, envoûtante et romantique ! C’est ce dessin et les personnages bien développés qui m’ont fait accrocher à l’histoire, à l’ambiance et à la série !
Je me réjouis donc de ce cinquième tome moins romantique que les précédents. De plus, ce premier tome d’un second cycle annonce un exile vers Cayenne, loin de Paris et de sa révolution. Une thématique différente et un changement de décor tout en restant dans la lignée sombre de la série, ça promet !