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Pour revenir dans la ville où l'on a doublé le parrain de la pègre, il faut être soit suicidaire, soit avoir un plan... Et Ethan Hedgeway tient à la vie!
S'en suit un polar noir et froid (d'où le titre!) sur fond de flics pourris à la recherche d'un sérial killer qui démembre ses victimes issues des bas-fonds, ça fait tâche en pleine période électorale.
Ca pourrait être intéressant mais j'ai trouvé l'ensemble long (beaucoup de narratif) avec quelques trous dans le scénario qui nous perd par moment.
Le tout est servi par un dessin dont je ne suis pas fan mais surtout parfois brouillon au point qu'on a du mal à reconnaitre qui est qui à certains moments.
La post-face sur l'histoire du cinéma noir (dont je salue le travail) m'a laissé indifférent, même si bien documentée. Mais ce n'était pas ce que j'étais venu chercher.
A réserver exclusivement aux fans du genre? En tous cas, c'est annoncé en triptyque d'histoires indépendantes. La suite sera sans moi.
On retrouve le scénariste assez prolifique Philippe Pelaez pour un polar se situant dans les milieux de la pègre américaine des années 30. On va baigner dans un polar noir mais finalement assez classique qui ne sortira pas vraiment des sentiers balisés.
Certes, il y a toute une ambiance graphique poisseuse qui colle bien avec la noirceur du scénario. On peut dire que le dessinateur Hugues Labiano a accompli sa mission.
C'est surtout au niveau du scénario que cela s'avère un peu décevant avec des passages qui manquent singulièrement de clarté et de dynamisme. Il y a surtout ce bavardage assez incessant dans la narration qui ralentit singulièrement le rythme et la fluidité de la lecture.
Pour le reste, la psychologie du personnage principal est assez bien établie. Il doit à la fois accomplir une mission d'infiltration pour rechercher un tueur en série mais il doit également se défendre contre les sbires d'un mafieux local qui veut lui régler son compte.
Un polar qui ne marquera pas l'histoire de la BD, c'est certain. Je l'ai trouvé un peu décevant car indigeste malgré quelques qualités notamment sur le plan graphique.
Pour les amateurs de polar bien sombre dans une ambiance américaine 1930. L'intrigue est tordue à souhait, même si à la fin on devine qui est le tueur en série. Le soin apporté à la description de tous les personnages donne du corps au récit. Le dessin est somptueux, la variation des plans, leurs mises en page sont très soignés. Enfin j'ai particulièrement apprécié la mise en couleurs de Jérôme Maffre majoritairement dans les bleus sombres.
Un 4/5 bien justifié.
Je n'ai guère été convaincu par cet album, pourtant que j'attendais avec impatience.
Au vu des auteurs, Pelaez qui a signé de très bon albums depuis quelques temps et Labiano, dessinateur emblématique de la série "Black OP" je m'attendais à un festival. J'ai même commandé la version n&b de l'album pour mieux en apprécier l'atmosphère de polar noir.
Mais j'avoue ne pas avoir accroché à l'intrigue, Je ne sais si cela est dû à la voix off des premières pages qui alourdit le récit ou encore à un scénario assez bancal, qui en voulant trop rendre hommage au film noir américain, finit par se perdre voire perdre le lecteur, en tout cas j'ai eu du mal à finir cet album. Par contre le dessin de Labiano, dans la version grand format noir et blanc, ne souffre d'aucun défaut, au contraire, l'édition n&b vient renforcer la noirceur du récit.
Bref, un avis assez réservé sur ce titre.
Dommage.
Ça déroule sans grand mystère ni grande surprise … certes l’atmosphère est là, en grande partie par le dessin et la couleur, un peu par la description de l’époque quand même, mais perso, je ne suis pas arrivé à accrocher.
Au final, j’ai trouvé ça assez léger alors que le thème était susceptible de donner quelque chose de plus profond.