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Cette nouvelle exploration de la psyché d’Edward Nygma alias le Sphinx nous plonge dans une Gotham en proie aux tourments, où Batman doit faire face à un Nygma plus imprévisible et meurtrier que jamais. Tom King, avec son écriture en deux temporalités, révèle les origines troublées de ce personnage emblématique, tandis que Mitch Gerads instaure une ambiance oppressante grâce à des choix graphiques audacieux. À lire absolument pour les fans du Chevalier Noir !
Ma critique complète :
https://www.alphabulle.fr/le-sphinx-et-sil-etait-lui-meme-une-enigme/
Une belle critique du milieu hollywoodien par le point de vue de gueule d'argile. Même si le destin des jeunes artistes en quête de célébrité arrivant à L.A est quelque-chose de plutôt connu, les auteurs nous donnent un point de vue intéressant et teinté de la névrose du vilain de l'histoire.
Aussi bien graphiquement que scénaristiquement, un tout bon tome de cette série à one shot.
Une prise en charge efficace de ce vilain emblématique aux accents écologiques. Autant graphiquement que scénaristiquement c'est du solide. Et on prend beaucoup de plaisir à regarder le chevalier noir combattre son "beau père".
Une belle réussite.
On ne pouvait pas y couper, il devait y avoir une parenthèse sur la mauvaise journée de la "vilaine" la plus sensuelle du batvers.
Les graphismes, si on ne prête pas trop attention aux couleurs, sont assez plaisants et dynamiques.
Le scénario est intéressant malgré un format qui ne permet pas de creuser plus les situations et les personnages. Au final, il n'y pas non plus de la nouvelle matière pour étoffer le lore de la féline cambrioleuse.
C'est une demi déception.
Le début du récit est très réussi et la mise en scène est remarquable.
On retrouve un Bane en fin de course et rangé de la vie de malfrat.
La psychologie complexe lié à l'enfance particulière de ce vilain trace la trame de ce récit. Son combat contre ses démons et ses poisons sont passionnants.
On ne parle pas beaucoup de Batman et c'est normal, ce n'est pas lui de le centre de l'histoire.
On appréciera des graphismes entrainants pour un traitement intéressant d'un des personnages les plus emblématiques de l'univers Batman.
Si Mr Freeze est un personnage atypique de l'univers de Batman et sa psychologie particulière et originale, les auteurs ont du mal à donner du relief dans cette "mauvaise journée". Quelques touches d'humour sont présentes ce qui est plutôt inhabituel pour les aventures du chevalier noir .
Sans être mauvais, l'histoire a du mal à prendre de l'ampleur et se termine sans trop de vagues.
Au niveau du dessin, un travail sérieux qui donne une certaine personnalité à ce tome plutôt moyen.
C'est au tour du pingouin d'être épinglé dans cette série.
Les graphismes sont de bonnes factures et l'histoire a le mérite de montrer la vie pas si simple des vilains.
Un scénario assez rectiligne où on découvre un petit plus Cobbelpot, la façon dont il s'est construit et la façon dont il se reconstruit.
Un tome réussi.
Nouveau chapitre de cette série "concept" où on illustre une journée pivot de l'existence des vilains emblématiques de l'univers de Batman.
J'ai trouvé ce tome beaucoup moins convainquant que le précédent. Autant au niveau graphique qu'au niveau de la narration le travail reste anecdotique et quelconque.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir du premier tome.
Comme chaque épisode est traité par des auteurs différents, espérons que les suivants ne manqueront pas d'inspiration.
Un one shot qui se concentre E. Nigma.
Les auteurs nous dévoilent une partie de l'histoire du Sphinx avant qu'il ne bascule dans sa folie mortifére.
Les graphismes sont élégants et convainquants et le scénario est plutôt intéressant.
On pourra néanmoins reprocher une fin suggérée qui laisse place à beaucoup d'interprétation. Et si la situation semblait inextricable, notre sombre héros règle tout en quelques cases.
Malgré tout ça, le plaisir de lecture est bien présent.
Après l’excellente ouverture de la série par le duo classique Gerads/King, voilà le retour de Matteo Scalera sur un one-shot consacré aux méchants de Batman après l’excellent Harley Quinn dans le cadre du MurphyVerse. Avant le Rhas al Ghul et les très alléchants Catwoman et Gueule d’argile, l’italien et son scénariste proposent ici une histoire finalement bien plus classique bien que centrée sur Mr. Freeze.
Disons-le tout net, c’est d’abord pour la partie graphique assez exceptionnelle que vous lirez cet album. Scalera est de plus en plus à l’aise avec l’univers de Batman et affine son style (entre Miller, Murphy et Sale) et fait beaucoup de bien à l’industrie comics en rappelant que certains artisans du dessin ont encore de belles choses à montrer. Aussi à l’aise dans les excellentes et nombreuses séquences d’action que dans les narratifs autour de Fries et Nora, Scalera est dans une alchimie totale avec l’immense coloriste Dave Stewart en proposant des encrages profonds qui siéent parfaitement à l’univers du chevalier noir, en alternance avec des aplats vifs qui rappellent le travail du même coloriste sur Catwoman à Rome de Sale et Loeb. L’ambiance est rétro et l’équipe s’engouffre dans le classicisme épique que l’on aime tant dans les albums de Batman.
Pour un format si court (qui fera encore râler les fans de comics en se rapprochant d’un tarif à la page de la BD franco-belge) et un concept fermé, je dois dire que j’ai été plutôt enjoué dans cette fausse origin-story où pour une fois Robin est à la manœuvre en tentant de démontrer à son mentor qu’en aidant les égarés on peut les ramener dans le droit chemin. Le duo s’efforce alors d’aider Freeze à ramener sa femme à la vie et d’éliminer par-là même le seul motif de ses actions criminelles. Il faut dire que Duggan et Scalera n’ont pas choisi le plis machiavélique des méchants pour leur version de One Bad Day.
Ainsi la lecture alterne entre la vie passée de Nora et Victor Fries, avec qui le scénario n’est pas tendre en le montrant comme un égocentrique jaloux, et les confrontations des héros avec leur adversaire alors que le froid de Noël s’abat sur Gotham, permettant de superbes décors enneigés. On ressort de cette lecture tout à fait conquis par une fort belle BD qui contient ce qu’on aime dans Batman sans les constructions cryptiques auxquelles se croient obligés de s’adonner les habituels scénaristes de la saga. Une histoire simple, un album simple et des planches où le plaisir communicatif de l’artiste suffit à nous enchanter.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/08/12/batman-one-bad-day-freeze/
L'idée d'éditer un "one shot" court sur chaque vilain du Gotham, de découvrir leurs origines afin de mieux cerner leur profil, le tout avec des dessins au goût du jour, est à mon sens une initiative louable . Avec une superbe cover pour chacun d'entre eux, est une possibilité d'aller chercher des antagonistes moins populaires mais tout aussi important pour les fans et collectionneurs que nous sommes, tout est réuni pour en faire une belle ligne d'édition .
Le moment de la lecture arrivée, je suis ravi de découvrir le dessin de Javier Fernandez qui s'inspire franchement de celui de Sean Murphy, un trait que j'affectionne tout particulièrement . Un dessin détaillé, dynamique et coloré tout en conservant l'aspect sombre d'un Batman grâce au travail sur les ombres et le noir.
Le scénario quant à lui est tout à fait banal, ce n'est pas un récit qui marquera l'Histoire de Batman, ni même celle de Double-Face . On apprend pas grand chose, ses origines tiennent sur une planche ... C'est dommage pour une édition qui justement se destine à cet objectif . Quitte à découvrir le personnage, autant lire "Un long Halloween", récit culte du chevalier noir de surcroît, avec lequel on découvre également les débuts de Batman en tant que grand détective .