Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Me fiant à une très bonne critique populaire et d'une idée de départ intrigante, j'ai jeté mon dévolu sur cette série en commandant d'un seul coup tous les tomes. Quelle déception ! Le développement des personnages (surtout le principal) et scénaristique est plat. J'ai tout revendu dans la foulée et me suis par la suite montré plus méfiant de la vox populi. Lisez le premier tome si vous voulez mais n'y allez pas à l'aveugle et si Y ne vous plaît pas, portez plainte contre X !
Y le dernier homme est tout à fait mon genre de lecture. J'ai littéralement adoré. Le début est une véritable apothéose du genre. La tension est à son comble avec ce minutage qui nous montre des actions différentes avant l'heure Y. J'ai ressenti à ce moment précis comme une espèce de jubilation en me disant que l'auteur avait osé l'impensable.
Après, il est vrai que la tension va retomber. En même temps, les situations vont se complexifier. Comment va s'organiser la vie des femmes et surtout celle de la survie du dernier homme de la planète ? C'est passionnant à souhait.
Bon, on pourra tiquer sur quelques aspects du scénario pour le moins improbable comme par exemple les réactions du clan des amazones. Je laisse toutes ces exigences aux rabat-joies qui trouveront toujours à redire peut-être avec raison. Il est pourtant indéniable que c'est de la bombe avec une idée de départ vraiment géniale ! En tout cas, le plaisir lecture est au maximum avec un auteur ayant l'art de maîtriser le séquençage.
J'ai l'impression que cette histoire révolutionne le comics. C'est la première fois depuis longtemps que je suis emballé à ce point par un comics. Seul l'avenir dira si cette série aura une influence sur d'autres qui emboîteront le pas de ce nouveau filon.
Sur l'aspect graphique, je suis également très satisfait. La qualité est au rendez-vous. J'aime beaucoup le dessin et je n'ai rien à redire sur la colorisation. Magnifique tout simplement !
Bref, c'est une véritable réussite. A quand une bd sur la disparition de toutes les femmes de la planète sauf une ? Je plaisante : on serait bien malheureux sans elles !
Yorik, dernier homme sur Terre, continue sa route avec son singe Esperluette, l'agent 355 et la généticienne Allison. Ils rencontrent l'agent 711 puis les filles de l'Arizona. L'intensité baisse d'un ton dans ce volume mis à part les dernières pages. La série reste toutefois de grande qualité.
Un fléau a tué tous les hommes sur Terre sauf un, Yorik, le dernier homme. Mais dans la station spatiale internationale, il reste trois astronautes dont deux mâles. De quoi attirer de nombreuses convoitises. Cette série de Brian K. Vaughan est vraiment très intéressante même si cet épisode est plus convenu.
Dans ce tome 4 des mésaventures de Yorick Brown, dernier homme sur terre, Brian K. Vaughan et Pia Guerra mettent ce dernier face à son plus terrible ennemi : lui-même. Laissé aux bons soins experts d’une collègue de 355, Yorick va devoir finalement choisir entre vivre et mourir. Entre traumatismes et traitement de choc, ces 3 épisodes diffusent une étrange sensation de malaise dans une atmosphère relativement malsaine qui détonne avec les récits précédents, peu enclins à jouer de cette surenchère. Au-delà de ce sentiment, Brian K. Vaughan a au moins le mérite de secouer son lecteur en anticipant une éventuelle routine et quitte les interrogations sociologiques pour les investigations psychanalytiques. C’est donc sur les chemins du psychisme du dernier homme sur terre que le « road-comics » fait une pause et explore les événements passés depuis le fléau, éclairant d’un jour nouveau les motivations de Yorick.
Goran Parlov prend ensuite le relais de Pia Guerra aux dessins pour un récit plus classique. La longue route de Yorick et ses acolytes est bloquée par des barrages aux mains de milices sudistes paranoïaques. L’affrontement qui s’en suit met en avant la naïveté du Dr Mann dans un monde peuplé de femmes dont elle connait les gênes sur le bout des doigts sans comprendre le fonctionnement d’une société en plein chaos et en perte de repères. Confrontée à l’héritage des hommes, le Dr Mann va devoir descendre de son piédestal, faire l’apprentissage brutal de la vie et murir dans la douleur. En arrière-plan de l’histoire de ces veuves miliciennes, Brian K. Vaughan sème de nouvelles graines de violence qui fleuriront dans les prochaines étapes du voyage de Yorick, alourdissant encore son fardeau et posant au lecteur une question lancinante : qu’y a-t-il à sauver de cette humanité ?
Un petit pas pour l'homme... un grand pas pour l'Humanité? Pas si sûr! La menace des amazones écartée, Yorick se retrouve face à l'armée israélienne qui a toujours considéré comme un progrès social le fait d'être précurseur dans l'art de transformer les femmes en soldats, et qui veut s'assurer la maitrise d'une arme stratégique de premier plan : le dernier homme sur Terre! Miné par la déprime et peu flatté d'être désormais l'homme le plus fort du monde, Yorick, lui, a adopté pour devise "à peu de pouvoirs, peu de responsabilités"! Sur Terre, c'est donc dans une ambiance de fin du monde que se poursuit malgré tout son périple, mais c'est peut être sous terre et dans l'espace que sera ravivé l'espoir.
Complots, trahisons, peur, haine, fanatisme et racisme sont le terreau dans lequel une terre peuplée de femmes veut faire fleurir une nouvelle humanité. Brian K. Vaughan donne de l’égalité homme-femme une illustration que chacun choisira de trouver pessimiste ou lucide. L’auteur fait évoluer la psychologie de ses personnages au fur et à mesure qu’avance son intrigue, fait disparaitre des protagonistes et en introduit de nouveaux, faisant du dernier espoir de l’Humanité un chemin de croix. Au milieu de toute cette pesanteur, Vaughan, toujours très bien servi par le trait réaliste de Pia Guerra, parsème son récit de scènes d’actions et de touches d’humour qui aèrent son propos, allègent la démonstration sociologique et rendent l’ensemble palpitant ! Entre les combats sur le toit des trains, les fusillades, les crashs d’engins spatiaux et les assauts sur des laboratoires secrets, le lecteur de comics averti trouvera un vrai plaisir à reconnaitre les références de Yorick, le dernier Geek sur Terre.
Pia Guerra, Yorick, le Dr Mann et 355 s’octroient une petite pause de 2 épisodes et Vaughan un intérimaire de prestige en la personne de Paul Chadwick, créateur de « Concrete », série publiée chez Dark Horse et dont 2 volumes sont parus en France chez Semic il y a quelques années. Le style de Chadwick prend la suite de Pia Guerra de façon presque imperceptible. Vaughan concentre son histoire en 2 parties sur une compagnie itinérante de théâtre. Après des siècles durant lesquels les femmes étaient interdites sur scène et leurs rôles joués par les hommes, celles-ci se trouvent maintenant forcées de jouer les rôles masculins. Dans un monde sans télévision, des femmes moralistes mais privées de leur Soap préféré vont finalement se retrouver spectatrices choquées d’une pièce avant-gardiste sur… «Le dernier homme sur terre » ! Cette pause dans le récit principal s’offre en guest-stars Esperluette, le capucin de Yorick, et une ninja dont la présence annonce des bouleversements d’envergure dans la suite de l’histoire. Malgré ce ralentissement, un nouvel élan se prépare donc dans la dynamique feuilletonesque de « Y, le dernier homme » et on se précipite sans attendre sur le volume 4 !
L’improbable quatuor de Brian K. Vaughan composé d’un magicien amateur, d’une agent secret, d’une généticienne et d’un capucin capricieux continue son périple à travers les Etats-Unis, direction la Californie et le laboratoire du Dr Mann, dans une ultime tentative de sauver l’humanité privée de mâles.
En utilisant les moyens du bord dans un pays en proie au chaos, dans lequel les postes les plus importants étaient tenus par des hommes, Yorick et ses compagnons, toujours poursuivis par « les filles des Amazones », se heurtent aux pilleurs et échouent dans une petite ville paradisiaque gérée de main de maitresse par des femmes d’une autonomie exemplaire.
Yorick sera-t-il le serpent biblique qui entrainera la destruction du paradis ? Sur quelles fondations ce dernier s’est-il édifié ? L’espoir tombera t-il du ciel ? Brian K. Vaughan continue de tisser la toile du destin de l’humanité en tapissant son récit d'interrogations sociologiques, interrogeant les relations hommes/femmes aussi bien que le système carcéral ou les méthodes d'endoctrinement par les sectes, parfois de façon un peu caricaturale il est vrai.
On sent d'ailleurs dans sa volonté de conclure certaines intrigues simplistes pour en développer d'autres plus complexes son désir de faire évoluer son propos. Cette étape du périple de Yorick est aussi l'occasion de mieux connaitre les failles de chacun des protagonistes, leurs maladresses et leurs lâchetés, bref : leur humanité. En parfaite harmonie avec Pia Guerra, il nous propose de beau portraits de femmes loin des stéréotype véhiculés couramment par les comics lambda.
"Y, the last man" est donc aussi une invitation à mieux connaitre notre société, doublée d'un récit palpitant dans lequel tous les rebondissements sont permis et dont il est difficile de descendre en cour de route! En route, donc, vers les 8 volumes qui suivent!
Jean Ferrat déclare avec Aragon que « la Femme est l’avenir de l’Homme » et Renaud rétorque que « la femme est l’avenir des cons et l’homme n’est l’avenir de rien ».
Brian K. Vaughan renvoie dos à dos les penseurs du féminisme et du cynisme tout au long du récit des aventures de Yorick Brown, le dernier homme sur Terre, jeune apprenti magicien affublé d’un capucin mâle acariâtre.
En quelques secondes, tous les mâles de la planète, humains ou animaux, ont succombé à une mystérieuse hémorragie. Seul Yorick et son singe ont, semble-t-il, été épargnés. Dans un monde en plein chaos, ils errent à travers les États-Unis, Yorick tachant de cacher son identité derrière un masque à gaz en attendant de pouvoir rejoindre l’Australie où se trouve sa fiancée.
Ce premier volume retrace la disparition des hommes, le chaos qui s’en suit, et les luttes plus ou moins larvées qui opposent les différents personnages gravitant autour de Yorick, devenu un enjeu prioritaire de pouvoir entre celles qui souhaitent sa mort et celles qui comptent sur lui pour repeupler la planète. Croisant une énigmatique agent secret et une présomptueuse généticienne, Yorick est le témoin maladroit de la naissance difficile d’une société exclusivement féminine qui n’a pas renoncé aux travers que l’on qualifiait en d’autres temps de typiquement masculins.
Le dernier porteur du chromosome Y doit découvrir la cause de l’extinction et le moyen d’y remédier tout en restant en vie dans un monde dévasté et dont les dégâts sont à la mesure de la faible place laissée aux femmes par les hommes.
Brian K Vaughan embarque donc le lecteur dans une histoire qui mêle l’intime à la sociologie, l’humour au drame et l’action à la réflexion, histoire servie avec sobriété et talent par Pia Guerra. Loin des canons du comics super-héroique ou grim'n'gritty, elle illustre ce drame de l'Humanité dans un style pudique et limpide, sans effets "tape à l'oeil", ancrant un peu plus dans le quotidien des individus le crépuscule d'une race ne tenant plus qu'à un fil ténu nommé Yorick.
Pas convaincant cette série. la faute à un scénario trop centré sur le dernier homme et non sur les conséquences de cette disparition sur la vie quotidienne et la psychologie des différents protagonistes.
Les dessins sont toujours perfectibles.
Un petit plus en fin de tome avec cette référence au roman de Mary Shelley.
Décevant.
5/10.
Un scénario meilleur qu'au tome 1 avec une description d'une communauté exclusivement féminine faites de reprises de justices et autres prisonnières. Une vision sans air moralisateur du nouveau visage de la société.
Mais pourquoi avoir intégré dans le scénario les services secrets israéliens?
Pourquoi ne pas décrire avec plus de détail la vie quotidienne de nos femmes?
Pourquoi ne pas plus pousser la psychologie bien plate de nos personnages?
J'ai peur qu'à partir d'un scénario originale l'histoire ne glisse dans une banalité.
Malgré tout l'idée reste bonne et prometteuse.
7/10.
Le scénario se fonde sur une idée simple :tous les hommes disparaissent sans raison en dehors de notre jeune héros (il ne doit pas avoir plus de 25 ans) et de son singe mâle. Il sera accompagné dans cette histoire par un agent des services secrets et une scientifique spécialisée dans le clonage. le rêve secret de Yorick est de retrouver sa fiancée partie en australie.
Ce tome d'introduction laisse planer des doutes quant aux carences futures du scénario.
Les dessins sont par contre moyens.
Espérons que les scénaristes se bougent pour donner vie à leur histoire.
Wait and see.
6/10.
Une grande partie de l'album se déroule en Australie à Sydney. Yorick et sa troupe poursuivent leur périple qui va bientôt les emmener au Japon puis en Chine.
En attendant, tout là bas, ce fameux "down under" des anglo-saxons tourne vraiment à l'envers puisque une journaliste va photographier le dernier homme dans le plus simple appareil.
Et le monde de se demander s'il s'agit d'un montage photo ou d'une vérité révelée. Mais pour celles qui sont sur la piste de Yorick, c'est un encouragement à poursuivre...
Bel album dans la lignée des précédents.
Un album un peu plus faible que les précédents. On le considérera comme une transition nécessaire puisqu'il s'agit d'une traversée de l'Océan Pacifique avec un groupe de pirates et un équipage féminin de sous-marinièrs australiens. Une occasion pour nous d'apprendre que la marine australienne a ouvert ce métier aux femmes, ce qui est l'oin d'être le cas partout.
Qu'on se rassure les prochains épisodes nous apporteront leur haute puissance d'adrénaline ...
La Californie ne marquera finalement pas la fin de la saga (il s'agira en fait de Paris, oui, oui, notre capitale !).
Jamais sans doute cette aventure n'avait été aussi âpre et aussi désespérante. Jamais aussi Yorick n'avaita autant eu envie de retrouver Beth malgré une belle histoire d'amour entre parenthèses.
Notre petit groupe progresse sur son chemin. Le voici au Colorado plus très loin de la salvatrice Californie? Sauf qu'une plaisante jeune femme va retarder notre convoi en "confisquant" Yorick pour son usage personnel.
Mais l'aventure va de rebondissement en rebondissement le dernier étant le retour de la soeur de Yorick sur cette scène sanglante.
Cette saga majeure de 60 épisodes est désormais terminée aux Etats-Unis et a ramassé là-bas quantités de louanges et lauriers. Il est d'ailleurs question d'une version ciné qui évidemment ne pourra refléter toute la richesse de ce roman graphique. C'est pourquoi il est indispensable de lire cette magnifique saga, toutes affaires cessantes.
Cette bande dessinée est en quelque sorte un roman d'initiation. C'est la figure du roman picaresque classique sauf qu'aujourd'hui il est de bon ton de parler de road movie.
Enfin bref, toujours est-il que Yorick doit traverser les Etats-Unis de part en part pour aller retrouver un des labos du Dr Mann qui fonctionne encore. La jolie agent 355 protège précieusement ce seul mâle survivant tandis que les aventures s'enchaîne et que le Mossad israelien a vent de son existence et compte bien mettre la main dessus.
Le nouveau comic par excellence. Cette nouvelle vague qui déferle aux Etats-Unis et qui s'adresse à un lectorat plus adulte, en délaissant peu ou prou super héros et super vilains, emblèmes de la mythologie américaine, propose des scénarii et une vision plus cinématographique de la BD.
Cet Y là est non seulement représentatif de cette nouvelle vague mais c'est également une perle.
C'est la continuation moderne du roamn picaresque depuis Gil Blas de Santillane.
Qu'en est-il exactement ? Un jeune homme, Yorick (l'une des raisons du Y du titre) est le seul rescapé mâle (la deuxième raison du Y) d'une catastrophe qui a éliminé tous les mammifières mâles, animaux inclus, en quelques instants.
Lui et son singe Esperluette (le signe "&", "Ampersand" dans la VO) sont donc les seuls rescapés de cette abomination.
Pourquoi ? (cest la troisième raison du Y qui se prononce "why" en anglais).
franchement pas très emballé par ce premier tome... bon déjà les dessins
m'ont semblé assez moches (grands applats de couleurs fades ou au contraire
trop vives, corps "rectilignes" et statiques, visages avec des expressions qui
sonnent faux, et surtout d'énormes carrences pour toutes les scènes de
mouvement et d'action... bref ça manque vraiment de technique. Maaaaais ça
n'engage que moi).
Bon ensuite si l'idée de départ est très bonne (du jour au lendemain tous les
hommes meurent... n'en reste qu'un, au milieu d'un monde désormais dirigé
par les femmes), la manière dont elle a été traitée est par contre très en
deça. L'énorme champs d'idées scénaristiques que cela aurait put induire est
très mal exploité, on est surpris à quasiment aucun moment, dans l'ensemble
les situations paraissent très peu plausibles, on a des personnages sans
charisme... bref ça semble baclé.
Mais tout n'est pourtant pas à jeter, car si le scénariste a un peu du mal au
niveau des éléments de l'histoire, il a néanmoins un certain talent pour ce qui
est de raconter : les séquençages sont bien trouvés, les dialogues plutôt pas
mal, la multiplication des points de vue intéressant... et en + il a même réussit
à me donner envie de connaître la suite (un peu en tout cas).
Tout bonnement excellent. L'histoire avance assez lentement ce qui est normal dans ce genre d'histoire et à première vue les expliquation sur le pourquoi du comment de la mort des hommes semble fort éloigné. De plus pour le moment celà retranscrit bien la difficulter de recréer une société sans les hommes. Ces difficultés mettent en avant les inégalités encore persistantes entre les hommes et les femmes (très peu de femme pilote de lignes donc quasi impossibilité d'utiliser des avions, ersonnel pour faire fonctionner les centrales électrique et autres fonctions importante). Cependant on y voit aussi que les femmes ne sont pas si différentes que les hommes ce qui permet d'éviter à l'oeuvre de tomber dans le lieu commun du hommes = méchants et femmes = gentilles.
Bref une suite très appréciable.
Servi par un scénario original et passionnant ce comics est véritablement une réussite. L'intrigue comporte de nombreuse zones d'ombre et laisse d'immense possibilité de développement ce quyi est toujours intéressant et prométeur sur la durée.
Le dessin est magnifique c'est vraiment un style auquel j'accroche bien.