Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
4e monolithe de la BD SF, elle va devenir un classique et culte (Tous les amateurs de SF à qui je la montre la veulent). Un dessin à tomber avec une très grande (Pour pas dire démentielle) direction artistique au niveau du design des vaisseau et des décors. L'histoire également est prenante, une compagnie de soldat mercenaire s'introduit en profondeur dans des lignes ennemies particulièrement hostiles. On espère vraiment une suite.
Beeeeen, c’est quoi cette petite moyenne ? On a un film de SF de très bon niveau devant nous. Heu, une BD, pardon. Tous les ingrédients sont là!
Je persiste, je signe : décors et scènes époustouflantes, vaisseaux soignés, etc.
Scénario accrocheur et intriguant, un peu pompé sur la compagnie …. Noire (romans de Glenn Cook), mais ça passe bien en version dans l’espace.
Non, vraiment, si tout ce qui chagrine sont les visages, alors c’est pas grand chose.
J’espère des suites, c’est en tout cas ouvert à la fin.
L'idée assez intéressante de cette œuvre de science-fiction est de nous présenter la guerre comme quelque chose qui n'engagent plus que des robots, méchas ou drones commandés à distance pour régler des litiges entre humains de différentes planètes. Il n'y a plus aucune perte civile. La guerre est devenue comme un jeu ou un spectacle. Voilà pour le concept.
Au niveau graphique, j'ai eu l'impression que des photos de vrais visages ont été collé à l'image pour faire plus réaliste. C'est assez informatisé dans l'ensemble. Pour autant, cela donne plutôt un aspect assez intéressant dans un style que j'ai déjà rencontré pour ce type d'univers.
A noter la présence de dialogues assez puériles voir grossiers ce qui ne me convient guère. Je donne un exemple parmi tant d'autres : « C'est pas un croiseur de classe K qui va m'empêcher de te fourrer profond, Nandi ». La classe, quoi !
Il y avait sans doute de l'ambition au départ mais plus on s'enfonce dans les méandres des aventures de ces mercenaires de l'espace, plus l'intérêt diminue faute à une intrigue suffisamment efficace pour nous tenir en haleine. C'est long et certains passages sont assez ennuyeux au milieu de bastonnade.
Je préfère passer mon tour. C'est juste une déception de plus. On ne peut pas toujours tirer le gros lot, il faut l'accepter.
Celui là, j'ai bien failli ne pas l'acheter. Il faut dire que je n'avais pas envie d'un '' Nous Deux'' de l'espace.
Jean Michel Ponzio et ses romans photos sont épuisants et ses dernières productions étaient hallucinantes tant les expressions de visages complètement inadaptées aux situations étaient nombreuses. Je crois que SIMAK décroche la timbale sur ce point.
Mais bon, des batailles spatiales, des beaux vaisseaux, des beaux décors, c' était tentant.
Au final, ça passe plutôt pas mal, même si l'ensemble reste assez figé. Un moment d'épopée spatiale pas désagréable, avec un scénario pas neu- neu.
Bon, c’est vrai que la narration est un peu rapide/simplifiée. On aurait bien lu la même chose en 2 tomes…
Pourquoi cette critique ? Parce que le fond de l’histoire est vraiment d’enfer et le dessin aussi ! Enfin, des vaisseaux dans l’espace, des sauts dans des trous noirs, des mercenaires, des trahisons…
C’est juste CANON.
Pour les personnages, c’est du Ponzio… (moi, je m’y suis fait)
Bref, un très bon moment de lecture de SF comme j’aimerais en lire plus souvent.
Un album ambitieux mais gâché notamment par un traitement trop rapide de l'histoire et des personnages photoréalistes parfois franchement dégueulasses. Dommage car les décors et le design en général sont vraiment très bons, et la mise en scène très bien gérée. Un album très attendu mais qui prend malheureusement l'eau.
C’est peu de dire que cet album s’est fait attendre, depuis la diffusion il y a bientôt un an de la sublime couverture et des premiers visuels fort alléchants et promettant un acme du space-opera militaire. Après moultes reports voici donc arriver ce gros volume équivalent à trois tomes de BD et qui malgré l’absence de tomaison s’annonce bien comme une série au vu de la conclusion.
Commençons par ce qui fâche: le style de l’auteur, Jean-Michel Ponzio. Conscient de sa maîtrise numérique, le dessinateur ouvre sa série sur des planches qui font baver tout amateur de SF, avec un design et une mise en scène diablement efficaces et qui n’ont rien à envier aux plus grands films spatiaux. Accordons-lui également la qualité des textures sur un aspect qui montre souvent des définitions grossières, pixélisées ou floues. Malheureusement aussitôt les personnages humains apparus on tombe de sa chaise et dans un véritable roman-photo qui détricote rapidement toute la puissance des objets techniques. Je ne cache pas que ce problème est ancien et commun à à peu près tous les auteurs qui travaillent en photo-réalisme à partir de photos d’acteurs. D’immenses artistes en subissent les affres comme Alex Ross et récemment j’ai pu constater à la fois le talent artistique d’un Looky et l’immense différence entre son travail numérique (sur Hercule) et un autre plus traditionnel (Shaolin, dont le troisième tome vient de sortie et très bientôt chroniqué sur le blog). Mais outre le côté figé des expressions et mouvements, Ponzio ajoute des costumes kitschissimes qui semblent nous renvoyer à de vieux sérials SF des années cinquante ou aux premiers jeux-vidéos filmés des années quatre-vingt-dix. Cet aspect semble tragiquement recherché puisque le bonhomme sait parfaitement redessiner ses formes et la différence entre le plaisir des combats spatiaux et les séquences avec personnages s’avère assez rude.[...]
Lire la suite de la chronique sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/01/14/la-compagnie-rouge/