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Je ne retrouve plus les œuvres du meilleur de Swolfs depuis longtemps, le dessin ici est plus brut, et le scénario déjà beaucoup vu. Une série qui s'essouffle, avec un pacificateur de plus en plus en retrait dans sa propre histoire.
3ème album dessiné par IKO avec toujours cette difficulté initiale pour m'habituer au dessin très différent de Y Swolf
mais passé le temps d'adaptation je peux profiter de la qualité graphique malgré des détails un peu moins précis à mon avis
j'avoue avoir un peu plus de mal avec les couleurs
concernant le scénario la patte de Y Swolf est toujours là
il s'agit donc de la suite du tome précédent, il se passe intégralement dans le Sonora au Mexique en pleine révolte des Yaquis contre Porfirio Díaz
un bon album à garder dans sa collection
Oui, c'est primaire. Il y a un beau cow-boy solitaire qui defend la justice, la veuve et l'orphelin contre des mechants qui n'ont aucune chance de l'abattre car Durango est le heros de la serie. ( Ils ont le droit de le blesser par contre...) Mais il faut admettre que c'est dans le haut du panier pour le genre. Le scenario est fluide et bien ficele. Et les dessins! Deja du tres tres haut niveau alors que Mr Swolfs n'avait pas encore atteint la maturite.
J'ai beaucoup cette histoire. Oui le tout est d'un classicisme presque déroutant, mais c'est bien fait, bien écrit et ça nous tease des choses pour la suite, donc je ne vois pas pourquoi nous ferions la fine bouche. En tout cas l'intrigue est plaisante, j'ai beaucoup aimé retrouver des figures du genre, que ce soit le propriétaire terrien ou le fils poltron. Durango étant limite un personnage de l'ombre, un croquemitaine, un personnage secondaire. J'ai beaucoup aimé le cadre du récit, rien de novateur là aussi, mais on s'y croirait et ça change des autres histoires récentes du genre que j'ai lu. Le fait que le scénariste change un peu sa formule habituelle pour nous proposer plusieurs intrigues était top. J'aime bien les histoires de chasses aux trésors et dans un cadre de Western, ça permet toujours de voir le meilleur des uns et des autres et ici on a une belle brochette de malfaisants pour être gentil. Alors, oui, le fait qu'il y ait des poncifs du genre peut être chiant, mais perso je n'ai pas besoin qu'un récit soit toujours novateur pour me porter, ici c'était plaisant et j'ai hâte de voir la suite en espérant que ce prochainement. Les dessins sont magnifiques, l'Amérique de l'époque est toujours aussi belle et les personnages ont de vraies gueules sous la plume de l'artiste, on passe un sacré temps à contempler les planches. Bref, une merveille et j'en veux encore.
Il a fallu attendre 6 ans pour avoir un nouvel opus de cet excellent western.
Cependant, la qualité n'est pas à la hauteur de l'attente.
La lecture de l'histoire est plaisante, mais le scénario est très / trop classique : une chasse au trésor, un prisonnier de méchants mexicains, un père riche et puissant qui veut récupérer son fils...
Et bien entendu le "jefe" de la bande de pistoleros mexicains à les traits d'Eli Wallach.
Côté scénario, c'est du bon western, j'ai bien aimé le côté chasse au trésor au Mexique
Mais dés la 1ère page quelque chose m'a froissé : un dessin baveux et des couleurs fades.
La comparaison avec le tome 17 est flagrante. A ce niveau c'est une déception.
Je m'attendais à mieux pour cette série que je cite régulièrement pour la qualité graphique...
Très bon tome. Je ne comprends pas les avis négatifs. Intrigue bien ficelée (diptyque) avec des personnages tous plus salauds les uns que les autres. Le magnifique dessin d'Iko est à la hauteur de cette série, espérons qu'il maintienne ce niveau, a contrario de Girod qui avait bien faibli sur "le crépuscule du vautour".
Durango est embarqué dans une histoire de chasse au trésor se déroulant au Mexique et absolument quelconque. Le scénario n'est pas particulièrement passionnant, accumule des poncifs éculés et autres passages obligés déjà vu ailleurs et en mieux.
Le dessin ne relèvera pas non plus le niveau tant le trait est gros et pourrait être plus travaillé.
Au final, un opus très moyen et parfaitement oubliable. Il serait temps d'arrêter les dégâts… au prochain tome par exemple.
J'ai revendu mes albums unitaires pour investir dans ces intégrales.
Durango, on connait c'est du classique et du solide !
La n'est pas la question, mais que valent ces intégrales ?
Pour ceux qui se posent la question, la finition est vraiment top, les jaquettes sont douces et épaisses, la couverture bien rigide, la reliure solide, les couvertures sont reprises pleines pages sans les titres et auteurs qui eux sont indiqués sur la page suivante.
La tranche est légèrement arrondie donnant un bel effet lorsque les 4 sont alignées.
Pas de dossier mais bon, j'ai économiser moitié moins de place sur mes étagères.
Le format est un poil plus petit, même pas 1 cm je dirais, on aurait aimer du papier mat, quoiqu'il en soit ... Ouvrage de très bonne facture.
Les dessins et couleurs sont tellement moches que, malgré tous mes efforts, j’ai arrêté la lecture à la moitié de l’album……
Svp Mr Swolfs, faites quelque chose !
Tres decevant. Le scenario — une chasse au tresor — n’a rien d’original et d’interessant. Le dessin, au gros trait, est mediocre. Je restais pourtant sur un bon souvenir de l’album precedent, Jessie.
Les dessins et le scenario sont mediocres.
SWOLFS ne devrait pas laisser les autres dessiner à sa place
Très déçu par cet album
Presque 5 ans pour un dessin aussi médiocre et des couleurs ratées, j'hallucine ! Pauvre Swolfs qui voit son scénario, déjà moyen, franchement mis par terre par ce graphisme!
cet album est le premier DURANGO ou je me suis franchement ennuyé.
l'histoire n'est pas passionnante et les dialogues assez poussifs.
les dessins sont nettement moins bons que ceux de Y Swolf, ou même que ceux de Girod bien moins précis et détaillés.
ils ne sont pas à proprement parler mauvais c'est juste que la comparaison est cruelle quand l'on relis les albums les uns à la suite des autres.
cependant la qualité est suffisante pour avoir envie d'attendre la suite en espérant qu'elle soit meilleure.
J'ai adoré la série et les albums de Swolfs en général, mais la série s’essouffle (souvent le cas après 15 ou 20 albums) et je préférais sincèrement les dessins de Swolf dans les premiers voire ceux de Girod. On va passer à Lonesome pour rester avec Swolf.
Je suis toujours aussi impressionné par la qualité du dessin de Swolfs. C'est une pure merveille de précision au niveau des traits des personnages. On entre de plein pied dans des décors somptueux rappelant effectivement les grands films de western de la grande époque hollywoodienne avec John Wayne ou encore Clint Eastwood. Deux mots peuvent caractériser cette ambiance ultraviolente : dure et âpre.
Je regrette juste que nous ayons encore droit à un de ces sempiternels héros qui défend la veuve et l'orphelin au nom de la Justice contre des ordures impitoyables. L'action est privilégiée au détriment de la psychologie propre des personnages. Toutefois, on passe un très agréable moment de lecture. Dans le genre, j'avoue quand même avoir ma préférence pour Bouncer.
De manière générale, j'approuve les auteurs qui misent encore sur le western à une époque où celui-ci a presque totalement disparu des écrans. C'est vrai que cela manque. Alors, pouvoir replonger dans une bd d'une telle qualité ne peut que nous ravir !
Un western très classique, clairement sous influence des westerns spaghettis (Durango ressemble à Clint Eastwood aussi bien physiquement que par son mutisme, et les personnages féminins sont également manifestement très inspirées des héroïnes de Sergio Leone). La neige donne une saveur particulière à cette histoire dont le scénario très convenu. Le dessin de Swolfs est clairement le point fort de cet album, aussi bien les personnages que les décors.
Un bon divertissement.
Iko reprend le flambeau : OUF !!!
Ce n'est pas Swolfs, c'est différent mais c'est certainement pas moins bon !
Quel plaisir de retrouver un vrai Durango !
Les détails sont soignés, les décors travaillés, les visages, les regards ... tout ... un soulagement et un réel plaisir. Même si Iko est encore plus impressionnant sur Ténébres (4 tomes à ce jour).
Comme mes prédécesseurs l'ont fait si bien remarqué, le clin d'oeil au méchant d'il était une fois dans l'est : Franck est bien sympa... Depuis les débuts l'on sent que Swolfs a été profondément marqué par ce film mythique.
Pour le scénario, une bonne histoire digne des one shot de Durango renforcé sans aucun doute par l'énorme potentiel d'Iko
(on y revient encore;).
Soigné et aider pour un vieil ami Shérif, aussi droit dans sa ligne de conduite que notre pacificateur, Durango poursuit inlassablement son entrainement, jusqu'à ce qu'une banale histoire de saloon vienne perturbée ce calme relatif.
Un poil en retrait, Durango subit quelques événements de l'histoire, Jessie la fausse putain, Franck le chef d'un groupe de desperados, le Shérif Larry et les Maxwell tenanciers peu scrupuleux mènent l'intrigue sans que cela ne dérange vraiment.
C'est plutôt bien fait étant donné que Durango se repose, recherche un peu de calme pour se remettre.
Il n'interviendra que lorsqu'il sera directement concerné.
Contrairement à d'autres avis, j'ai l'impression de retrouver le durango des premières histoires. Dans l'esprit.
Reste à attendre le 18.
Pour Kergan666 qui doit être aussi fan que moi d'Y.Swolfs ;)
Ce n'est pas tant la couleur qui m'a un poil dérangé, mais plutôt les traits trop noirs, trop épais (je ne suis pas spécialiste en technique de dessin) qui pour moi assombrissent trop certains passages.
Voilà le dernier album du triptyque de Girod ...
Un trio d'albums qui monte crescendo, en avançant dans les tomes (du 14 au 16) Durango remonte le fil vers à chaque fois vers un plus gros poisson jusqu'à la tête pensante et ses plans diaboliques.
Le dessin, la mise en scène et surtout la colorisation souffrent moins sur ce tome.
Le scénario est quand à lui de qualité tout au long de cet album... Du bon Durango... Bien plus sombre dans sa personnalité qu'il ne l'était déjà auparavant.
Le sort des indiens parqués en réserves, abusés par l'alcool et la folie des hommes blancs est bien palpable.
Sous couvert d'un excellent western spaghetti, Yves Swolfs nous distille sur toute la série, sans que cela entache le pur divertissement, une critique de la société, telle qu'elle fut et telle qu'elle est encore.
Le crépuscule d'un vautour nommé Steiner n'est qu'une poussière dans les maillons de la machine infernale.
Mais qu'importe la conscience est avant tout individuelle.
A nous d'y porter attention ou non.
3.5/5
(3 pour le dessin, 4 pour le scénario)
3/5 car le dessin, la couleur, et le découpage ne sont plus ce qu'était Durango.
La case qui reprend la couverture :( limite moche
Mais Girod sait dessiné les femmes ça c'est sûr. Du reste ....
Durango de plus en plus sombre part sur les traces des commanditaires.
Un tome qui démarre sur les chapeaux de roues pour installer son intrigue ensuite, ce nouvel ennemi argentin El Cobra est redoutable.
Dommage le duel de fin est raté à mon goût !
Heureusement le scénario suit !!
Le maître s'en est aller laissant les pinceaux à Girod, heureusement il garde les stylos du scénario.
Un riche groupe de prospections minières cherche a créer un monopole afin de contrôler l'offre et surtout les prix.
Ils sont évidemment passé par Nortonville et je vous laisse découvrir le pourquoi du comment Durango part a leurs trousses...
Un pas (de plus) vers l'enfer pour notre homme et la traque ne laissera place a aucune pitié !
Girod parvient à garder l'entité de Durango, bien que sa mise en scène soit différente, il n'a pas le soucis du détail de Swolfs, surtout pour les attroupement de foule, certaines bonnes surprise, d'autres cases moins bonnes.
On arrive toutefois a se laisser porter par l'histoire et après 13 tomes Durango est bien ancré dans notre imaginaire.
Le dessin n'est pas mauvais mais je suis beaucoup moins fan !
A lire pour comprendre les événements de la vie de Durango... Et j'ai plutôt hâte de voir ce qu'Iko nous donne dans le tome 17.
Dernier tome réalisé entièrement (scénario et dessin) par le père de la série.
Durango quitte sa retraite dorée au près de Celia pour poursuivre un braqueur de banques et tueurs en série : Louie.
Sans pitié pour les femmes et les enfants qu'il croise.
N'y a t'il pas de meilleur prétexte pour reprendre le chemin de la traque ?
Louie retraite vers sa ville natale où il a commis ses premiers crimes, protégé pour de sombres raisons par le shérif et une mère tyrannique et autoritaire.
Un récit de pure cruauté qui sonde les bas fonds de l'âme humaine. Swolfs nous gratifie encore et toujours de ses superbes plans et dessins (notamment celui du canyon et de l'aigle).
Heureusement la terre porte des gens tel Durango pour faire parler la justice.
Le maître va nous manquer sur sa série mère... Heureusement pour nous... Il revient en très grande forme pour Lonesome.
Un excellent diptyque que je nommerai 'Le cas Nortonville'
Difficile de résumer, tant l'histoire de ces 2 tomes (Colorado et l'héritière) est touffue.
Chose plutôt rare pour une aventure de Durango !
Mais tout aussi efficace.
En bref, une ville : Nortonville dirigé d'une poigne de fer par un Shériff omniscient.
Durango engagé pour résoudre se problème. Mais par qui ? Et pourquoi ?
Une intrigue rondement menée où nombre de protagonistes vont se croiser
(mineurs oppressés, syndicaliste, journaliste, agent fédéral sous couverture, hors la loi du côté de la loi, oligarchie familiale ...)
Un très très bon duo d'album.
Sans oublier ce dessin toujours aussi superbe qui en plus de poser une sacré ambiance nous pousse à tourner les pages avec un plaisir coupable.
Une bonne aventure, dans la lignée des précédentes.
Pour la 1ère fois Durango va croiser la route d'Indiens, bien loin de leur réserves.
Secourant une indienne destinée à l'esclavage sexuel, notre ami va se retrouver dans une très mauvaise situation. Un indien spécialiste du 'collier' finira par lui venir en aide et ils partiront à la recherche de la future épouse de son nouvel ami.
Amitié qui n'est pas sans rappeler celle d'Amos, d'autant plus que cette expédition va les emmener sur les terres mexicaines.
Parviendront-ils à sauver Sheena, la proie des chacals ?
CARAÏ les balles vont encore siffler !!!!
PS : La comparaison entre DURANGO et JEREMIAH
(2 series que j'affectionne particulièrement) m'a fait tellement rire.
Jérémiah n'est pas un western mais passons ...
L'on pourrait parler ici de 'cycle des Duncan' ...
2 histoires liées entre elles mais qui peuvent se lire indépendamment.
Pour la 1ère, Durango embauché comme garde du corps pour une partie de chasse par le riche maire de la ville va vite découvrir qu'il y a anguille sous roche...
Swolfs s'offre de belles grandes cases de paysages montagneux, riches en verdure automnale, une belle bande de tordus, une épouse pas si fragile que ça.
En effet, Lucy a un sacré caractère et bien trempé ! Et l'on comprend aisément que malgré ses erreurs le vieux Duncan a trouvé une raison pour mourir.
L'intrigue est un brin plus complexe que le pitch de départ.
Pour la 2nde aventure, Durango et Lucy font route vers l'or des Duncan, mais ils ne seront pas seuls, ça non !!!
Une chasse ou plutôt une traque au trésor bien orchestrée, truffée de personnages secondaires aux petits oignons.
A noter le duel final qui pour une fois ne finit pas comme l'on pourrait s'y attendre.
A noter aussi une apparition de Lucky Luke version Swolfs mégot au bec (sourire oblige).
Notre Durango est un vagabond, l'appel des grands espaces, de l'aventure est plus fort que lui malgré les charmes indéniables de Lucy... Ce n'est pas encore cette fois qu'il se fixera.
L'on pourra reprocher la relative simplicité des scénarios, pourtant le tout est bien ficelé, simple et efficace comme une balle de Mauser entre les deux yeux.
Du bon western ça oui ^^
Lavé de tout soupçon, nous retrouvons Durango sur les routes, il arrive à Loneville tel Harold sur son cheval blanc pour délivrer la princesse du dragon...
Une histoire de vengeance ayant pour mobile un thème peu courant encore aujourd'hui tellement le tabou est pesant (malheureusement).
On sent qu'Yves Swolfs prend plaisir à retrouver l'ouest américain et ses plaines enneigées (tout comme le tome 1) .
Le dessin s'améliore encore et la cruauté des ravageurs est parfois sans concession.
Un duel dans une ville perdue mais traité de manière originale par l'infiltration de Durango dans le repère de ses ennemis.
Et ce qu'il porte autour du cou (je vous laisse le découvrir) dans la signification intérieur de notre pacificateur est lourd de sens dans cette épisode.
Il n'a rien oublié et cela conforte la voie qu'il a choisit.
Un bon épisode et de jolies trouvailles.
Swolfs sait se renouveler et c'est tant mieux.
PS: quelle couverture pour l'EO ... Splendide.
5/5 pour ce cycle Amos ... Il le vaut bien.
C'est peut être beaucoup, mais pour la qualité du dessin, des scénarios riches en péripéties, une belle galerie de personnages ... Pour tout amateur d'aventures et de westerns, Durango, dans son genre, est un indispensable... Espérons que la suite gage de la même réussite.
Les puercos de Logan, son fidèle acolyte 'le Doc' et le capitaine Ortiz sont toujours à la poursuite de nos amis...
Et bien plus proche qu'ils ne le croient.
Pour la 1ère fois Durango laisse exploser sa fureur ! Lui, Amos, Ortega et Max sont dans de sales draps, ils seront souillés de sang, des deux côtés.
Les comptes vont se régler, des semaines, des mois de traques, pour finir en quelques secondes au son des 'BLAAM BLAAM'.
Dans ce cruel pays, la liberté se paye, son prix : le destin d'un desperado.
Vamos Amigos...Hasta Siempre
Quelques mois plus tard, Amos semant le chaos et le désordre au Méxique, Durango est libéré en échange de la tête de son ancien compagnon.
Ce qui ne l'enchante guère mais a t'il le choix ?
C'est Ortega fidèle sergent d'Amos qui le lui donnera.
Dans cette lutte pour libérer les 'péones' de l'oppression, les deux compadre devront lutter encore et toujours face a l'armée et à ce rascal de Logan.
Combat de machete, embuscade, prise de fort, audace et trahison sont au programme dans un décor de montagnes aux reliefs accidentés qu'est la Sierra sauvage.
( à noter que cette histoire a été publiée en 1985 et que l'on y rencontre un certain Max Von Ruhenberg. Un lien avec le futur Prince de la nuit publié pour la 1ère fois en 1994 ? Je vous laisse y songer ou vous y replonger.)
2ème tome sur 3 du cycle 'Amos' ... Un régal bourré d'actions et de rebondissements ou l'on ne s'ennuit pas une seule seconde.
Suite aux évènements précédents, Durango est maintenant recherché $5000$ et fait route vers le Mexique.
Par la force des choses, il va tirer Amos Rodriguez d'un sale traquenard.
L'un est poursuivi par les tueurs d'une grosse société minière, l'autre par les Pinkerton...
Dans ce désert impitoyable, une montagne d'or ne vaut pas Amos comme ami et Durango l'aura vite compris.
Un bon démarrage pour ce 1er tome du cycle 'Amos' et les décors toujours aussi superbe.
Quelques années après, Durango guérit totalement de ses blessures s'est choisit une nouvelle arme... Ce magnifique prototype d'arme automatique... Le fameux Mauser C96.
Il se remet en selle pour un nouveau job !
Malheureusement son client, finit mort au pied du lit de sa chambre d'hôtel. Durango est tombé dans un piège pour un tueur.
Il va y froisser son pelage mais ce n'est pas lui qui y laissera des plumes.
à noter que le décor de la scène d'intro fait énormément penser a celui d'il était une fois dans l'Ouest. (L'un des meilleur Western jamais fait)
Une histoire en 1 tome.
Un hold-up qui tourne mal pour Cal' et ses hommes ...
Bien leur en a pris de se donner rendez vous dans un trou paumé, habité par des chrétiens bien trop puritains...
C'est sans compter sur le présence de notre 'Pacificateur' qui se remet de ses blessures non loin...
Ils vont déclencher les forces de la colère mais la volonté et le talent de Durango vont les mettre à l'épreuve... du feu ardent de la chevrotine.
Oeil pour oeil n'est-il pas écrit dans la bible... Ou est-ce soigner le mal par le mal ?
Une histoire complète en 1 tome qui confirme les débuts grandioses de la série.
Après relecture, on ne se lasse pas de Durango.
Quelle entrée en matière pour notre anti-héros.
Le dessin de Swolfs fait toujours autant mouche à presque bientôt 40 ans.
Durango est un solitaire, mais il parle, il a un passé (on sait qu'il a un frère répugnant sa condition), sa propre vision de la justice, c'est un tueur, oui mais au service des opprimés non des oppresseurs, il vit dans le monde mais en marge de celui-ci, sa vie n'est pas celle du commun des mortels, le chant du diable accompagne son Colt (et bientôt son Mauser).
Il faut pousser au delà des clichés du genre car monsieur Yves distille ça et là de petites touches de sa personnalité.
Un bon divertissement pour certain, un incontournable personnellement... Quoi qu'il en soit, les chiens meurent en hiver... Pour notre plus grand plaisir.
Je viens de Relire les 13 premiers tomes de Durango RELIRE? je devrais dire dévorer Du coté dessins c'est FANTASTIQUE pour ne pas dire SUBLIME (Décors, personnages, chevaux ) Swolf est sans contredit un des meilleurs dessinateurs de B.D. ( sinon LE meilleur) Du coté scénario c'est TRÈS BON aussi PAS DU TOUT LINÉAIRE comme d'autres l,ont prétendu J,ai cru qu'il le serait un peu dans ce treizième tome ( Le dernier dessiné par son créateur) Qu'une longue poursuite pleine d’embûche, mais non l'apparition du Shérif (RIPOU) a changé la donne Bien sur DURANGO s'en sort toujours comme n'importe lequel héros de B.D. mais ses sauveteurs sont plutôt imprévisible Ce qui fait que ce treizième tome est un des meilleurs ( avec AMOS et les deux suivant du triptyque) c'est que DURANGO a commencé a se poser des questions et il fait taire Louis RADICALEMENT qui le ramène a ses démons Mais je dois dire que la fin est un peu bousculé Le rapport du monstre et de sa DURE maman est intéressant et j'aurais aimé voir DURANGO lui ramené son fiston Le seul bémol c'est qu'avec toutes ces balles dans la jambes * ou cuisse) DURANGO devrait boiter et pas a peu prés MAIS CA DEMEURE DU GRAND ART
Septième aventure de Durango, aventurier solitaire, as de gâchette, qui arpente les plaines enneigées. Scénario très classique avec une ville soumise face à une horde de bandits incontrôlables mais quel plaisir de voir Durango, jouer le prince charmant et remettre de l'ordre à sa manière !
Je connaissais cette série de nom, je me suis lancé dans ce premier tome histoire de ne pas mourir idiot.
Finalement je trouve ça plutôt sympa, c’est rapide à lire, l’histoire est très classique mais j’ai passé un bon moment. Pour moi c’est de la bédé de gare (sans vouloir être péjoratif) de bonne qualité, avec une mise en scène expéditive. Les dessins sont chouettes, je vais voir ce que réserve la suite.
Je trouve le scénario plutôt linéaire et un peu mou. Le clin d'oeil à Il était une fois dans l'ouest est le petit plus sympa
"Le crépuscule du vautour est l’occasion pour le virtuose du Mauser c96 de côtoyer enfin ses frères rouges. À l’opposé d’un Blueberry qui cultivait les amitiés indiennes, Durango semblait ne jamais devoir croiser leurs routes. "
Euh si, dans "Sans pitié" et plus encore dans "la proie des chacals".
Je trouve que le père Durango s’empâte de plus en plus d’album en album. Plus rien à voir avec le « Clint Eastwood » des premiers tomes. D’un autre côté, tout le monde perd en fraicheur et en souplesse avec l’âge.
J’aime beaucoup le clin d’œil à « Henri Fonda » dans le rôle de Franck en tant que chef de bande. Les différents personnages ont de vraies personnalités et l’ensemble proposé est de qualité.
Néanmoins, je trouve le dessin d’Iko un peu chargé comparativement à celui de Thierry Girod et encore plus, à l’époque du bonheur, quand les dessins étaient d’Yves Swolfs.
Pourtant, malgré ces petits inconvénients, c’est toujours un vrai plaisir de retrouver Durango. Combien d’années avant le prochain album ?????
Excellent album, avec un Durango au mieux de sa forme. Dommage que Swolfs n'ait pas la même "pèche", car 1 album tous les 4 ans, quelle misère!
je suis un fervent fan de Y Swolf et particulièrement de Durango.
le scénario et les dessins sont très bons.
un seul reproche, la couleur beaucoup trop flashy à mon gout.
très différente des autres albums.
la colorisation sur ordinateur se fait trop sentir.
ou est ce l'impression?
à part ce détail, vivement le prochain.
Très bon western.
Episode hommage au personnage d'Henry Fonda dans "Il était une fois dans l'Ouest" : Franck.
Voilà une BD qui traduit bien la vie à cette époque et qui amène une bonne histoire qui tient en haleine. l'ambiance, le côté impitoyable du climat la vie qui ne tient à pas grand chose. Les rêves des personnages qui ont un idéal face à ceux qui vivent au jour le jour. Les personnage secondaires sont bien étudiés, et le dessin de swolfs est sur mesure pour le sujet ! Une heureuse erreur m'a faite découvrir swolfs, assez jeune, par ce tome de Durango alors que la personne pensait m'offrir un tunique bleue, un vrai coup de poing à l'époque, mais qui ne m'a pas lâché depuis !
Les 6 derniers tomes sont excellents, tant par le dessin que par le scénario. C’est peut être très classique (mais le classique ne déçoit presque jamais) et l’aventure est au rendez vous avec un Durango solitaire et qui pourtant aura planté la graine dans le ventre d’une aimée, hélas prématurément disparue. C’est très bien rythmé et pour les amateurs de western ( la BD se prête très bien à ce genre) c’est une très bonne série.
Le dessin et le scénario sont très largement à la hauteur, le tout superbement mis en couleurs ce qui transcrit très bien une atmosphère qui sent bon la poudre, la sueur et le whisky…Mais alors qu’il est difficile d’avoir de la sympathie pour un Durango qui sort de nulle part, froid comme le serpent, presque aussi muet qu’une carpe, distant avec la gent féminine, rapide comme l’éclair mais au regard atone….C’est dommage car ce western, c’est du bon, mais quoi, Swolfs humanise un peu notre héros…Enfin, au bout de 16 albums, c’est peut être un peu tard….
J'adore.. Les scénarios sont très travaillés, les dessins splendides. Dans le top 5 de mes BD préférées.
Bonne série mais en déclin depuis quelques albums. Sur celui-ci une trame de fond honorable mais une fin bâclée tant au niveau du scénario que du dessin (pression de l'éditeur ?).
Le personnage a évolué au fil des albums, vivant personnellement encore plus au présent et se trouvant des "buts" pour occuper son manque de vie. Durango reste la référence western de la BD mais pour combien de temps encore...
Bon...C'etait un bon western sans plus des personnages interessant de beau paysage mais... je ne sais pas il manque quelque chose... certes la bd est bonne la fin... la fin... aurait pu etre mieux de beaucoup... selon moi......Bon ben je change d idee desfois on lis vite...prenez ltemps de le relire ;) c est un bon spaghat
Avis pour le triptyque (tome 14, 15, 16)
Durango est cette fois-ci entre les mains de Thierry Girod en ce qui concerne les graphismes et franchement, je dois dire que c’est du très bon travail. Le changement n’a pas été agressif, on reconnaît bien notre cow-boy. Les décors de l’Ouest, les trognes des ennemis ainsi que les couleurs sont remarquables et dans l’esprit de Swolfs.
Durango a évolué, on le sent plus désabusé, impitoyable que jamais et ça peut se comprendre vu ce qui lui est arrivé (voir sa relation avec l'héritière tome 12). La vengeance sera terrible et loin de tout repos face à un adversaire charismatique sans scrupules, capitaliste, que rien n’arrête dans sa soif de pouvoir.
Encore une fois, je me suis délecté à la lecture des dialogues, spécialement ceux en voix-off très psychologique et des nombreuses scènes d’action qui prouvent bien que la série reste une incontournable du style « Western »
L’histoire du dernier tome est plus dense (corruption, magouille,...) et demandera plus d’attention que les deux précédents albums.
Je serai présent pour d’autres aventures en espérant qu’il y en aura d’autres.
Il a mis du temps à arriver mais ce troisième tome qui cloture le cycle avec Girod au dessin est génial.
Un must dans ce genre là.
Durango réussi enfin à acomplir sa vengance commencé dans les deux prédents tomes, pour une fin en apothéose.
Du pur Durango comme toute la série.
Suite du tome 11 où l'intrigue est bien posée L' Héritière decoit un peu. Quand on connait la série, que j' ai moi-même découverte tardivement, on sait que ca va bien se terminer pour notre héros. Et c'est encore le cas. OK, le tout est de savoir comment on y arrive et surtout quelles surprises nous attendent. Je trouve qu' elles sont un peu émoussées et attendues. L' assassinat du frère de l' héroïne sous ses yeux c' est un peu de la comédie bon marché et le mot pour le père! Où est passé le serviteur antipathique du volume précédent?
Mais j' aime bien cette série quand même par son beau graphisme, ses intrigues bien carrées avec plusieurs protagonistes (le sadique-sherrif, le patron, son fils dépravé, le flic réglo etc...). Et c'est vrai que la série s' étoffe un peu par le social, comme Léone l' avait fait avec Il était une fois dans l' Ouest.