Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Pulp_Sirius Le 06/08/2024 à 02:54:33

    Là, par contre, je déchante.

    Blutch sait-il faire autre chose que de parler de lui même? Encore? Et nous ressasser toujours les mêmes scènes? Son "délire" est-il si stagnant qu'il se le rejoue en boucle et qu'il n'est pas capable de dessiner autre chose?

    Ouais, ouais, on comprend, rien ne sert de chercher à revivre son passé. Mais ce genre de scénario prétentieux devient lourd. Et si j'ai beaucoup aimé Lune l'envers, du même auteur, j'ai absolument détesté cet album. D'ailleurs, mister Blutch, ta citation sur le paradis et l'enfer, tu nous l'as déjà faite avant! Tout comme "La Volupté" et "Pour en finir avec le cinéma" partageaient aussi des scènes!

    Le scénario est pompeux? Absolument! C'est quoi cette histoire de dessinateurs, d'ailleurs? Déjà, dans Lune L'envers, il critiquait l'abandon des techniques classiques. Et là, dans La Mer à boire, nous avons cette perle : "Navré. Nous n'avons pas vu de dessinateur en Belgique..." Ah, bon, d'accord. Tu es le seul véritable dessinateur qui demeure, Blutch. Il n'y a que toi qui sois vrai. Voilà.

    N'importe quoi. Pourtant, je sais que Blutch peut frôler le génie. Mais un peu comme David Lynch, si on ne le dirige pas, qui sait ce qu'on va retrouver à la fin? J'ai adoré le Donjon de Blutch, mais ça ne venait pas de lui au départ. J'ai adoré le Lucky Luke de Blutch, mais le personnage ne venait pas de lui au départ. Mais là, mis à part pour Lune L'envers (déjà difficile à la lecture), les BDs de Blutch sont des cryptes insondables.

    Des cryptes en partie recyclées.

    minot Le 05/08/2024 à 11:30:48

    C'est typiquement le genre de "BD d'auteur" que je ne supporte pas. Certes, le dessin élastique de Blutch a un certain charme, mais le scénario est bien trop pompeux, bien trop snob et tellement absurde que je n'ai pas réussi à accrocher. L'album plaira certainement aux bobos de la capitale et à une certaine intelligentsia parisienne, mais pour ma part la lecture m'a profondément ennuyé et cet album ne m'a absolument pas touché, malgré le talent graphique de Blutch.

    Eric DEMAISON Le 30/04/2023 à 18:35:55

    Ce livre ne ressemble à aucun autre. Il y a certes une histoire ou plutôt un récit. C'est celui d'un amour, d'une recherche croisée de l'autre. Cela se passe dans un hôtel au bord de la mer à Bruxelles! Vont-ils se rencontrer oui et non car il s'agit aussi d'un voyage dans le temps. En effet sont-ils dans la même époque? Rêvent-ils ou pas?
    Quand on a fini le livre , il faut le recommencer et on redécouvre que le début est peut être à la fin. D'ailleurs la mise en page commence sans page de garde comme si on entrait au milieu de l'histoire.
    Plus on relit ce livre plus on y prend du plaisir, c'est un peu comme toute ces grandes œuvres, musique, peintures ou à chaque fois on se rend compte qu'un détail essentiel nous avait échappé.
    Je ne sais pas pourquoi, peut être les scènes de western, m'ont fait penser au film de Marco Ferreri "Touche pas à la femme blanche". Film pour lequel l'affiche avait été faite par J. Giraud.

    Le dessin de Blutch est somptueux et d'une très grande expression, le choix des teintes roses et bleues est totalement adapté.
    Passé les premières pages, c'est une BD hypnotique. A laisser dans la bibliothèque en bonne place pour la retrouver aisément.