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Humour
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Europe
34 albums
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Les tomes de Nelson se suivent… et se ressemblent.
Je serais bien incapable de me souvenir d’un gag précisément et si c’était le cas, incapable de dire dans quel opus il se trouvait…
Il y a juste un univers, inchangé depuis des années.
On marche ou on ne marche pas.
Perso, pour celui-ci comme pour les autres, je marche gentiment, lisant quelques strips ici et là pour passer le temps.
Le titre, comme à chaque fois, on s’en fiche : les gags en 3 cases s’enchaînent, peu importe le sujet… C’est vif, c’est pas hilarant mais j’ai parfois souri… C’est un truc à picorer de temps en temps, quand on a cinq minutes à tuer parce que ça se lit vite…
Bon, c’est redondant, à force, mais moi, ça m’amuse toujours un peu, Nelson…
Je n’éclate jamais de rire mais c’est comme du Droopy, du Garfield, du strip en 3 cases… Sujet, développement, chute.
Jamais réellement hilarant, souvent répétitif et prévisible, mais jamais désagréable non plus…
Distrayant, quoi.
La BD à lire quand on n’a rien à faire pendant un quart d’heure.
Les gags prêtent à sourire, mais légèrement.
Rien de notable, ça s’enchaîne comme les tomes précédents.
Léger mais pas inoubliable.
Les albums se suivent et se ressemblent.
Aucune originalité particulière, toujours le même humour, efficace si on aime, de petits sketchs en trois (ou quatre) cases.
Comme j’aime assez le dynamisme, que ça va vite, qu’il n’y a pas besoin de réfléchir, j’ai trouvé ça distrayant.
Les albums se suivent et se ressemblent : en lisant Nelson, on sait exactement ce qu’on va trouver (comme dans tous ces strips publiés dans des journaux, de Garfield à Snoopy…).
Pas de surprise, donc, ça continue dans la même veine, le même humour, le même genre de gag.
Si on aime, on continuera à aimer et inversement…
Ça passe.
Bon, voilà quoi…
Aucune évolution chez les personnages qui continuent leurs sempiternelles blagues, comme coincés à jamais dans la même période de temps, l’histoire se répétant sans cesse…
Pas désagréable parce que ça reste vif, péchu, inventif même si ça reste la même chose…
Les albums de Nelson se suivent et se ressemblent.
C’est donc toujours gentiment rigolo, très légèrement irrévérencieux, potache.
Distrayant.
Nelson n'a pas du tout le caractère de Garfield, Floyd est bien loin de ressembler à Odie et Julie n'est en rien (à part le célibat) semblable à Jon.
N'ayez crainte, amateurs de la bd Garfield, ceci n'a rien à voir.
Un Nelson correct, dans la lignée des précédents, rien à dire :)
série qui se veut drôle mais qui ne l' ai pas, en plus le dessin est sans intérêt . des séries dans ce genre on en voit beaucoup mes des aussi nulles rarement .
il est orange, il est toujours accompagné d'un chien idiot, il ne fait que des bétises....
j'ai nommé nelson !
et non, ce n'est pas garfield !!!
Comme tout le monde, je trouve cette série trés proche de garfield, mais, l'auteur à pour lui un dessin plaisant et qui moi me fait rire.
de plus, faire une copie est une chose, mais il faut pouvoir trouver les gags !!!
et là, je trouve que bertshy s'en sort plutot bien.
donc, il ne faut pas lui jeter la pierre, ce n'est quand mème pas si mal !
Dans ce quatrième tome de strips du petit diablotin Nelson, le lecteur a droit à une nouvelle collection de gags du protagoniste et de sa famille d'accueil dans laquelle on retrouve de Julie, une jeune demoiselle, ainsi que son chien Floyd.
Tout dans cette bande dessinée rappelle la série Garfield, en commençant avec la couleur du personnage de Nelson, la forme du chien ressemblant étrangement à Odie, la façon de publier en strips et la profondeur de l'humour. Toutefois, il n'y a que le maître familial qui ait été remplacé par une jeune femme pour offrir un minimum de différence.
En résumé, cet album n'est une copie déguisée de l'autre série à immense succès de Jim Davis, mais pour sa défense, il semble que le jeune lectorat l'aime tout de même bien.
Une pâle copie conforme de Garfield : quelqu'un trouve le filon et tout le monde l'exploite ce n'est que du commercial.