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histoire apocalyptique comme il était coutume d'écrire dans les années 80.
la terre est devenue acide par la pollution et la gestion capitaliste des hommes. La mer l'est plus encore. Et, les derniers animaux restant se sont adaptés à cet écosystème. Ils sont devenus aussi plus destructeurs. Alex, le personnage principal, est un loser beau gosse, marié à Marylin, belle, vénale et égoïste.
Il pèche, la nuit, l'alligator blanc en scaphandre et arme létale pour donner la belle vie que sa femme croit méritée.
Beaucoup d'action dans un rythme qui se veut haletant mais qui, par un mauvais découpage, casse la vitesse de lecture. Il y a de belles idées.: le sexe technologique, le fils déjà désabusé et une civilisation décrépit par des détails bien amenés, construisant ainsi une ambiance de fin de monde. Les couleurs sont glacés. Le dessin fait le minimum syndical et le final, étonnant de froideur émotionnelle, est une conclusion rapide, trop d'ailleurs, qui enfonce le clou au propos global. Un sorte de twist qui se veut surprenant mais qui tombe à plat car la raison du twist est expliqué verbalement pendant que, hors champ, cela se passe. On ne peut pas mieux faire pour désintéresser le lecteur à ce qu'il lit.
Il y a parfois de vrais et beaux moments de lecture visuelle ( L'ascenseur, les scènes de ville). Mais, à part cela, la lecture demeure froide.
Voila un one shot qui fait le job sans motivation particulière. Dommage.
Un futur proche très noire et ironique, qui rappelle Soleil vert ou les délires de Brunner avec des dessins dont l'extrait rend mal la qualité.
Ecologie, pollution.... ça sent bon les années 70 / 80 mais ça reste d'actualité.
Comme quoi, on peut faire une bonne histoire en 46 pages, et ne pas attendre pendant 10 tomes une hypothétique fin.