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Le roman est dans mon top 10 depuis que je suis jeune, c’est dire comme la barre était haute pour cette lecture, et comme j’avais hâte de voir cette adaptation. J’ai eu moins d’émotions que dans le roman, c’est là le petit reproche que je ferais. Barjavel a toujours été extrêmement fort et doué pour véhiculer des émotions et placer l’humain au centre de ses histoires, aussi fantastiques soient-elles.
Cet album véhicule moins d’émotions car, je pense, il a moins de pages pour capter le lecteur sur la profondeur de l’amour qui existe entre Éléa et Païkan. Le roman me fait à chaque fois mouiller les yeux à la fin, alors que je la connais. C’est d’une tristesse incommensurable. Ici, c’est du bon boulot, mais pas aussi parfait que le maître là dessus (je n’ai pas versé ma larme).
Côté dessins par contre c’est très beau et plutôt fidèle, ça correspond aussi à ce que mon imagination avait pu concoter. Certaines planches sont sublimes.
Donc, globalement, c’est vraiment bien adapté et même réactualisé. Je ne peux pas mettre 5/5 mais c’est un bon 4.
Il est clair qu’on va remonter jusqu’à la nuit des temps pour découvrir ce qui se cache à 3000 mètres de profondeur sous la glace de l’Antarctique. Une expédition scientifique financée par de nombreux pays va tenter de percer le mystère en cachant d’ailleurs cette découverte aux médias et à la population mondiale.
Il y a deux sarcophages cryogénisés qui maintiennent en vie deux êtres humains ayant vécu leur vie sur terre il y a presque un million d’années. On apprendra qu’ils ont fait partie d’une civilisation assez avancée qui est entrée dans une guerre nucléaire destructrice ayant pour effet d’inverser la position des pôles de la planète.
Bref, il est dommage que les données qui sont révélées ne soient pas crédibles pour un sou. Si tel avait été le cas, on aurait retrouvé des preuves scientifiques sachant par exemple que l’extinction des dinosaures date d’il y a 66 millions d’années.
Autant dans les BD tirées des œuvres de Liu Cixin, il y a quand même une base scientifique pour justifier une situation extraordinaire. Là, l’auteur originel René Barjavel ne se soucie guère de ce genre de détails. Cela aurait apporter sans doute un peu plus de crédibilité au récit.
Pourtant, je dois bien reconnaître que c’est une bonne idée car un monde peut très bien être totalement détruit puis se reconstruire des millions d’années plus tard au terme d’une lente évolution. La moralité est de bien respecter la planète avant une fin inéluctable.
Cependant, il faut dire que le récit va perdre cette dimension planétaire et civilisationnelle pour se concentrer sur une belle histoire d’amour assez intimiste de deux êtres qui ne veulent pas être séparés. La conclusion de ce récit réservera d’ailleurs une petite surprise de taille.
A noter également que je n’ai pas cru une seule seconde à la déclaration d’amour de ce scientifique qui communique avec notre belle héroïne Eléa provenant de la nuit des temps. A la fin, il omet de lui donner une explication qui aurait pu changer le cours des choses. J’avoue que je suis resté un peu dubitatif. Il y a des choix scénaristiques qui m’ont paru assez légers.
Comme dit, c’est très bien dessiné et c’est plaisant à suivre grâce au talent indéniable de Christian de Metter qui parvient à sublimer le tout avec de magnifiques couleurs. Chaque planche est à contempler sans modération pour notre plus grand plaisir. A noter également une couverture qui ne laissera pas indifférent.
Globalement, nous avons là une œuvre de science-fiction adaptée assez intéressante sur des thématiques qui restent d’actualité plus que jamais.
Adaptation d'un des romans de Barjavel et sans doute le plus connu de tous, cette version de 'la nuit des temps' par Christian De Metter est appréciable à bien des égards.
Le dessin de l'auteur est beau et ne m'a pas dérangé, seul bémol au niveau des couleurs et de l'ambiance très sombre qui gêne dans le discernement des traits sur certaines cases.
L'histoire a été retranscrite à notre époque avec un peu trop de politique à mon goût: les marches contre le réchauffement climatique, les méchants CRS, Internet, les théories du complot… Des passages du roman originel ont été supprimés permettant à la narration d'être recentrée sur l'essentiel à savoir les deux temporalités du récit (notre époque et celle du Gondwana).
Il manquait peut-être une présentation globale des personnages de l'équipe scientifique puisque le lecteur est largué directement dans l'histoire sans rien savoir.
Au final, un bon one-shot doté d'une très belle couverture.
Super adaptation, et quel découpage, couleur , dessin! Le tout sur papier non brillant permettant de profiter pleinement ( en mat) du travail de Christian De Mettre. Bravo à lui, et merci.
Ma foi, une bonne adaptation de Barjavel. C'est vrai qu'une fois qu'on a lu '' Kebek'' , inspiré du même roman, tout est forcément bon.
L'adaptation de Christian De Metter ne trahit pas le roman, ce qui est déjà appréciable. Retranscrit dans notre époque, avec notre actualité, ça passe très bien.
Au niveau graphique, Christian De Metter a déjà fait mieux. L'album, très sombre, même dans les scènes du monde d'Eléa, est parfois difficilement lisible. Pas sûr que sans connaissance du roman, on accroche. Mais le résultat est plaisant à lire.