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Voilà ce que j'appelle une véritable réussite graphique et narrative. On entre tout de suite dans un univers décalé avec ses règles particulières qui confère sa singularité. On s'attache très vite à la petite fille même si elle porte le nom d'une célèbre marque de chaussure de sport. On devine assez rapidement le lien qui existe entre cette héroïne, sa maladie et l'espèce d'être étrange qui est censé faire fonctionner une machine dans les profondeurs.
Cette société très industrialisée rappelle la fin du XIXème siècle avec le travail des enfants pour pouvoir survivre. C'est dur et âpre à la fois.
L'avancée de l'histoire n'est pas rapide car il y a beaucoup de moments silencieux. Ceci n'est pas un reproche car j'aime quelquefois lire des bd calmes et reposantes. Il y a dans la relation père-fille quelque chose d'indéfinissable qui laisse transparaître une véritable émotion que peu de bd parvienne à atteindre. Le charme de cette bd agit incontestablement sur le lecteur que je suis. Alors, pourquoi pas vous ?
Cela faisait des années que je n’avais pas relu Koma. Et je me suis replongé dans mon intégrale N&B avec un rare plaisir, toujours émerveillé par la fantaisie, l’intelligence, la tendresse et la gravité dont a fait preuve Frederik Peeters pour créer son œuvre.
Il y a du Miyazaki derrière cette poésie burlesque et horrifique qui aborde avec la même malice que le maître japonais des thèmes comme le deuil et la maladie. Koma est donc un merveilleux hommage à l’enfance et son pouvoir de résilience, seul rempart contre la bêtise dévastatrice des adultes. Car à la fin ce sont eux, les enfants, qui réinventent le monde.
Je suis beaucoup moins enthousiaste que les autres lecteurs. Le dessin est quand même très limité et l'album se lit en cinq minutes chrono, ce qui est très frustrant. Alors oui, l'héroïne est attachante par sa naïveté et toute mimi avec ses grands yeux, mais ça reste bien léger.
Bon, je viens de terminer d'une traite l'intégrale et je dois dire que je suis très déçu de la série en général et ce malgré les commentaires positifs sur Koma. Autant les 2,3 premiers tomes étaient corrects, les derniers nous plongent dans l'abstrait et à vrai dire je n'ai pas compris grand chose. Je suis vraiment resté sur ma faim.
Ca continue très bien avec toujours le dessin impeccable de Peeters. L'intrigue avance significativement dans ce tome très rythmé et souvent très drôle. La petite addidas est toujours aussi craquante (la petite fille que l'on rêve tous d'avoir !). Suffisament de zone d'ombres subsistent pour que la lecture du tome suivant soit attendue !
Mais quand même, le dessin de Peeters est vraiment superbe :o)
Au risque de paraitre un peu trop circonspect, ce cinquième album me laisse perplexe, il est source de crainte ( l'idée qu'une si riche série puisse s'achever dans un nimportte quoi généralisé balancé à la va vite me travaille) mais il a également tendance à faire naitre l'espoir d'une fin grandiose (dont je ne discerne alors pas du tout les ficelles) . Au final esperons que les auteurs se démènent pour nous pondre un final cohérent, rendant ainsi les critiques sur ce tome obsolètes mais honnetement c'est pas gagné!
Suite logique du tome 1 avec une intrigue qui se pécise sans trop se livrer. Beaucoup de questions soulévés et peu de réponses. J'aime toujours autant le dessin (normal c'est Peeters) et les personnages sont toujours aussi attachants, Addidas en tête. Bref, du tout bon je trouve !
Je ne vais pas laisser un avis sur chaque tome et celui-ci comptera pour les 3 premiers.
C'est une série merveilleuse qui nous fait oublier le train train quotidien pour nous plonger dans un monde mi-réel, mi-fantastique, mais avant tout d'une naïveté désarmante qui nous fait lâcher prise vis-à-vis du quotidien.
Contrairement à ce que j'imaginais, le scénario n'est pas contemplatif ou niais, mais plutôt rythmé et bien construit.
Je ne peux que vous conseiller de découvrir cette série si ce n'est déjà fait.
Je ne peux que réagir au commentaire précédent :)
On est en présence d'un tome intermédiaire où tout est dévoilé. Il fallait bien que ça arrive ! Il est vrai que ça se fait un peu dans la précipitation, mais l'ambiance et la magie sont toujours présents.
Cette série est excellente et il faudra attendre la fin pour savoir si le tout se tient. En attendant, je laisse le charme agir...
si les auteurs ne savaient pas ou ils allaent ils retardaient la publication
comme dit ma fille un album pour rien
on espère que la fin sera à la hauteur du début de la série !
L'histoire d'une petite ramoneuse et de son père, aussi raleur que gentil. Mais la petite a d'étrange evanouissement....
C'est très mignon ! Les yeux de la petite Adidas sont craquants (du style le regard du chat poté dans Shrek 2 ) . Beaucoup aimé, vivement que je lise la suite...
Une BD intelligente et poétique dans une ambiance rappelant par certains aspects Métropolis du fabuleux Fritz Lang.
La noirceur du début de l'histoire (mort de la mére d'Adiddas, séparation d'avec son père, maladie et faiblesse de la petite fille) est contre balancé par la sympathie, la naieveté et la chaleur de la jeune Adiddas.
On avance doucement dans cette histoire, mais il n'en peut être autrement d'une histoire sociale, poétique et mystérieuse à la fois.
Le dessin est bigrement efficace (surtout sur les expressions des visages).
C'est sensible, calme, le scénario a son propre rythme, parfaitement en accord avec celui de son personage principal, sa personalité : on voit le monde par ses yeux, avec ses évanouissements et ses périodes de mutisme.
Un univers graphique particulier, sombre et cru de par sa nature même : le noir de la suie, mais enchanteur et mystérieux, ce noir ne fait pas peur, il intrigue et il est rassurant.
Une pure merveille !
Rien à dire, sinon que c'est une BD attachante, émouvante, indéniablement indispensable, aussi bien pour les petits bouts d'choux que pour les grands dadets...
Deux auteurs atypiques pour un album plein de sensibilité, une personnage attachant et un univers captivant, tout pour un album vraiment indispensable.