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J’avais beaucoup apprécié la vague de titres estampillés "Marvel Noir" sortis il y a une dizaine d’années, en particulier ceux consacrés aux personnages de Daredevil et de Spider-Man, et c’est donc avec un certain plaisir que j’ai découvert cette troisième saison du tisseur plongé dans les années 30 (Spider-Man Noir 2020, #1-5).
A la différence des deux premières itérations de Spider-Man Noir par Hine, Sapolsky et Di Giandomenico (rééditées en Deluxe l’année dernière), cette histoire délaisse rapidement les rues de New York pour nous faire voyager tambour battant en Europe puis au Moyen-Orient. On y retrouve donc un peu moins l’ambiance urbaine de la Grande Dépression et du film noir mais heureusement le costume, l’enquête et le dessin plus sombre qu’à l’accoutumée sont toujours au rendez-vous.
Cette fois-ci Spider-Man, bien aidé de quelques compagnons de voyage, enquête sur un meurtre qui le conduit sur la trace d’une mystérieuse breloque byzantine convoitée par les nazis (la période du récit le justifie mais, voilà, encore eux…). Le scénario de Margaret Stohl n’est pas sans rappeler une aventure d’Indiana Jones, notamment ses courses-poursuites à distance, jusqu’à son final entre fantastique et ésotérique (une fin assez éloignée du film noir qui m’a toutefois un peu déçu).
Le dessin de Juan Ferreyra est très bon et ses couleurs tout en nuances de gris avec une touche de rouge (comme la très belle couverture de Dave Rapoza) participent pleinement à installer l’ambiance.