Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
On va avoir droit à une course de marathon lors des jeux olympiques organisés aux Pays-Bas en 1928. Le monde se regroupait dans cet événement sportif fraternel dix ans après la terrible Première Guerre Mondiale. Cela ne pouvait pas faire de mal.
Cette course va nous être détaillée dans les moindres détails avec les concurrents en lisse. C'est un algérien colonisé représentant la France qui va remporter la mise alors que rien ne l'y prédisposait. Boughéra El Ouafi était ouvrier mécano à Billancourt. Il va affronter les meilleurs au monde dans cette course de 42,195 kilomètres. Bref, personne n'aurait misé sur lui. C'était une victoire quasi inespérée ce qui constitue un vrai exploit sportif.
Le graphisme est assez austère mais d'une grande simplicité. Il faut aimer. A noter qu'il y aura très peu de texte pour qu'on suive avec une plus grande fluidité ce récit. La place des images est prédominante avec une narration quasi absente.
Pour le reste, on aura droit à une photo du vrai marathonien vainqueur qui va sombrer dans l'oubli par la suite, abandonné également par les instances sportives.
J'ai bien aimé le dossier final en guise d'épilogue pour mieux comprendre ce qui s'est passé et le devenir de ce sportif qui méritait sans doute mieux. En effet, il restera pour toujours le premier athlète africain indigène à décrocher une médaille olympique, qui plus est en or. Marathon lui rend hommage et c'est très bien.