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Dieu sait que j’adore cette série depuis des années. Mais là, c’est l’album de trop. À oublier. Je propose que Travis meurt (enfin ?)
Un album un peu mollasson... et quelque peu confus, pour ceux qui, comme moi, on un peu laissé tomber Carmen Mc Callum depuis quelques temps ( la faute à un dessin qui a vraiment trop changé au cours de la série)... On retrouve quand même avec plaisir Nirki, Travis et leurs chéries, mais ça sent un peu la fin de série... il faudrait pas rater la sortie, ce serait dommage pour cette série sympathique et qui a souvent été assez bien inspirée
Alors que la série parallèle « Carmen Mc Callum » vient de se terminer en apothéose, on s'achemine également vers la fin pour Travis, ce vieux routier de l'espace. Il faut dire que ces séries cyberpunks ont commencé au siècle dernier. Il serait temps de conclure.
On va d'ailleurs retrouver Carmen en bien mauvaise posture avec un Travis tentant de la protéger malgré de mauvais souvenirs les liant. Leur relation a quelque chose d'assez intéressant mais avec un destin à la séparation en raison d'objectif et d'allégeance différentes.
Action et anticipation sont toujours au rendez-vous avec ses multinationales qui s'approprient l'acheminement de l'eau sur la planète dans un contexte de réchauffement climatique. On se rend quand même compte que cette série a vu juste depuis sa création il y a plus de 25 ans. On a bien des technologies toujours plus avancées mais qui n'ont pas su résoudre les problèmes des citoyens. Les menaces sur notre monde et notre civilisation sont malheureusement toujours d'actualité.
Nous avons une introduction un peu longue et bavarde où il ne se passe pas grand chose mais la rencontre des deux héros est un moment important pour créer de la tension. Par la suite, cela va se corser un peu suite à une vengeance expéditive mais salutaire de l'un de nos protagonistes.
Il y a également tout un jeu d'alliance à observer pour dénouer la situation et vaincre une IA puissante qui revient au galop pour s'approprier toute l'eau de la planète. Les pluies sèchent donnent un aperçu de ce qui nous attend si on n'y prend pas garde.
J'ai toujours aimé cette série car elle pose dans le fonds les vrais questions sur l'avenir de l'humanité.
l'histoire est de plus en plus compliquée...On s'y perd un peu entre les bons et les méchants. Il faut rester concentré pour ne pas perdre le fil. Le dessin des visages perd en qualité : ils ont tous la même tête (surtout les filles...)!
Une histoire sans sel, complètement prévisible qui n'aurait pas dû durer plus de quelques planches et un dessin très aléatoire (pour ne pas dire médiocre: certains personnages sont parfois méconnaissables d'une case à l'autre) font un album décevant. Il est probablement temps que cette série (que je suis depuis le premier tome) s'arrête.
Un album dans la droite ligne de la série Travis : un univers d'anticipation crédible et cynique, de l'action, un cross-over avec la série Carmen Mac Callum... Ce tome clôt le cycle EGM... pas le meilleur à mon goût mais cela reste de la SF classique qui se lit bien.
Un album un peu brouillon... Complexe de faire le tri entre tous les personnages et surtout entre leurs missions...
Les auteurs ont voulu nous montrer le "bordel" politique autour de la ceinture d'astéroïdes : entre grands groupes miniers, indépendantistes EGM (Êtres Génétiquement Modifiés), missions des Nations Unis...
Un tome sympa car c'est Travis, mais ce n'est pas un grand cru.
Pour ceux qui ne connaissent pas, Travis est déjà une vieille série qui a débuté au siècle dernier et qui se poursuit au rythme de plusieurs cycles. Travis est un routier de l'espace qui est à chaque fois embarqué dans des aventures géopolitiques qui le dépassent dans un monde futuriste tel qui pourrait réellement le devenir.
Il y a des sujets assez contemporains mais qui sont adaptés à la sauce science-fiction comme le poids croissant des multinationale dans l'ordre mondial. On le voit par exemple avec la Russie des oligarques. D'autres sujets sont également abordés comme les intelligence artificielle, le terrorisme ou la pollution de la planète. On reste dans un monde où l'ultra-libéralisme est roi en imposant ses dérèglements à 12 milliards d'êtres humains.
Dans ce tome, Travis doit sauver une entité extraterrestre qui pourrait permettre d'être une solution pour lutter contre la pollution des mers. Il s'agit de l'extraire d'un astéroïde où il y a un sérieux conflit opposant les groupes miniers et des êtres génétiquement modifiés qui travaillent dans des conditions inhumaines.
Tout cela va mal se terminer comme c'est souvent le cas dans le monde de Travis. C'est une lecture intéressante pour voir un possible devenir pour la planète que l'on ne souhaite pas trop. Sinon, c'est rythmé par l'action survitaminée dans ce qu'il y a de plus convenu. C'est de la BD divertissement sans aucune prétention. Pour moi, cela reste une excellente série de science-fiction qui plaira aux amateurs de ce genre.
Ce volume est très orienté action puisqu’il consiste en une chasse (très prenante) de la blondasse transformée en serveur biologique des données cryptées du machiavel Dario Fulci par la tueuse Thundercat… Sous la protection de Vlad qui s’en prend plein la poire sans ses nanomachines, on traverse l’Europe, on bave devant les joujou techno de la tueuse et on réfléchit (quand-même) aux implications des manipulations génétiques qui ont abouti à la création de véritables créatures fantastiques (Centaures entre autres!) dans un univers SF. On pourra tiquer, les lecteurs de la série Carmen ne seront pas surpris, mais il reste que Travis est toujours une valeur sure de l’anticipation grand public et un vrai bon plaisir de BD! Ce cycle s’avère plutôt bon et on a hâte de lire la suite! [...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/04/20/bd-en-vrac-18/
Un album sans le personnage principal peut paraître risqué....et pourtant ça fonctionne.
Un bon album bien rythmé qui fait le lien avec la série Carmen Mac Callum.
Par contre j'ai trouvé le dessin moyen par moment avec des visages et des arrières plans flous. Mais ça reste quand même l'une de mes séries préférées...
Un album efficace, sans surprise... le plus marrant dans cette série c'est que les personnages secondaires finissent par éclipser le personnage principal (Travis), d'ailleurs absent de ce tome. L'intrigue est toujours bien fichue, avec un crossover de + en + poussé avec Carmen Mac Callum (et avec plus de 10 de retard dans l'histoire, au niveau publication des albums)... du coup il faudra relire la saga de Carmen (surtout les volumes 6 à 8) pour une vision complète de la saga EGM
Un nouvel album de Travis sans Travis.
Cette fois-ci, Vlad Nyrki sert de bodyguard à une star de la Pop qui en sait beaucoup trop : c'est la suite directe du tome.
C'est toujours très bon, seul défaut, c'est toujours trop court.
je suis un inconditionnel de "Travis" et de "Carmen Mc Callum".
Donc, je suis de parti pris.
Avant de lire ce tome 15, j'ai pris soin de relire le 14.
Alors ?
Alors, ben... c'est du Travis.
L'intrigue est dense et complexe comme on peut le souhaiter dans une bonne BD d'aventure (des êtres génétiquement modifiés, des entreprises "multicontinentales", des vaisseaux dans l'espace, etc.).
ça, c'est de la SF et de l'aventure !
Avis portant sur la série :
L’histoire se situe en 2050 à un moment où l’homme va commencer sa colonisation vers d’autres planètes. Ce futur n’est pas si éloigné du nôtre ce qui le rend intéressant car possible. Le héros « un peu trop sans peur ni reproche » Travis, pilote de navette, va combattre des grandes multinationales qui veulent conquérir l’espace.
Le scénario est passionnant laissant une très grande place à l’action. Certaines planches sont excellentes. Les « méchants » de l’histoire sont bien exploités car on comprend ce qui les amène à commettre leurs actes répréhensibles. Cela les rend presque sympathiques. Des personnages secondaires très intéressants notamment Pacman et Vlad Nyrki…
Une série qui se lit très bien avec beaucoup de rythme. Du pur divertissement digne des grosses productions hollywoodiennes avec son lot de révélations. J’ai presque honte d’avouer que j’aime bien cela, que je suis presque le lecteur tout désigné pour lire ce genre de série. Cependant, force est de constater que sur la longueur, cette série parvient toujours à conserver sa qualité graphique et narrative.
Il y a 3 cycles assez distincts :
- 1er cycle (du tome 1 au 5): Les Cyberneurs
- 2ème cycle (du tome 6.1 à 7): Vitruvia
- 3ème cycle (du tome 8 à 10): H2O
- 3ème cycle (du tome 11 à 12): Les enfants de Marcos
Il est vrai qu'avec les tomes 6.1 et 6.2, le 7ème tome est en réalité le 8ème et ainsi de suite ce qui pourra un peu troubler le lecteur cartésien.
En conclusion, le scénario est véritablement haletant et les scènes d’action sont diablement efficaces. Une vraie bd d’anticipation de très bonne facture !
Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4/5
Nouveau cycle : j'adore cette série cependant je supporte de moins en moins les séries qui découpent les histoires sur plusieurs tomes.
Ce nouveau tome de Travis en est un excellent exemple : c'est au moment où l'on rentre dans l'histoire que l'album se termine... il faudra attendre la suite...
En tout cas, il me semble que Duval souhaite mettre en parallèle ses deux séries fétiches Carmen et Travis en s'offrant un scénario commun.
Mais que fait donc Vlad ?
Cet album entame un cinquième cycle des aventures du camionneur de l’espace, une longévité remarquable même si tous les cycles ne se valent pas. Comme pour les derniers volumes la couverture est réalisée à quatre mains avec Nicolas Siner et est plutôt réussie. A noter que cet album a la particularité de tisser de très nombreux liens avec la série parallèle de Fred Duval, Carmen Mac Callum, ce qui est nouveau et ouvre des pistes originales pour cette série de hard-anticipation.
Lorsque la villa de Dario Fulci, le tout puissant patron de la multi-continentale Transgenic est occupée par un commando d’EGM (humains génétiquement modifiés), c’est le sort des ouvriers de la ceinture d’astéroïdes qui se retrouve sur le devant de la scène. Dans le même temps sur la Lune Travis apprend que la mission scientifique de retour de la lune Europe a été victime d’une mutinerie…
On constate en compulsant les premiers albums que Christophe Quet a perdu en qualité et en minutie sur ses planches, ce qui est surprenant et peut laisser penser à une lassitude après vingt ans passés sur cette série. L’arrivée de Siner en aide sur les couvertures serait-elle un signe de passation prochaine du crayon au dessinateur du très bon Horacio D’alba? Si le design général reste de grand qualité on perd ainsi en précision des arrières-plans et de l’environnement général comme sur les personnages dans un album de lancement d’un arc que l’on peut imaginer long et qui nous emmène des capitales européennes à la Lune en passant par le vaisseau de la mission Europe. Après un arc mexicain très terrestre on va passer un bon moment en apesanteur. Passée cette relative déception, j’ai retrouvé dans un scénario complexe la richesse du cycle des Cyberneurs avec le retour en grande forme des pourritures préférées de Fred Duval à commencer par le milliardaire Fulci, véritable Machiavel moderne dont le vol des données secrètes va mettre au jour les pratiques probablement illégales de Transgenics dans l’emploi des mineurs clonés. [...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/11/12/travis-14-europe/
Tous les albums de BD classiques tous publics devraient être de la trempe de ceux de la série "Travis".
Des scenarii en béton, des thématiques de pointe et qui ne prennent pas une ride, une galerie de personnages riches et charismatiques, des couleurs au top, et des dessins de qualité par le dessinateur d'origine, conférant à la série qualité et cohérence.
Tout petit bémol (il en faut bien un) :
Le graphisme semble avoir évolué, sur cet album, parfois, sans que je puisse estimer ce qui a changé.
Certains visages, notamment.
Mais bon, je ne vais pas bouder mon plaisir.
Chaque nouveau "Travis" est un petit bonheur, et pourvu qu'il dure longtemps encore !
La série Travis a déjà vingt ans et clôture avec Serpent à plumes le quatrième arc narratif de la série, après les Cyberneurs (tomes 1 à 5), Le Hameau des Chênes (tomes 6 à 7) et le cycle de l’eau (8 à 10). A savoir que chaque cycle est disponible dans une intégrale, bonne formule pour apprécier la série et que tout les éditeurs devraient proposer généralement. La couverture est réalisée depuis le tome 11 par un autre que Christophe Quet, ce que je trouve dommage car ce dernier a produit dans la série de très belles couvertures et que cela trompe toujours un peu le lecteur, même si l’illustration de Nicolas Siner (que j’aimerais retrouver comme illustrateur sur une série BD…) est magnifique.
Enfermés dans un bunker de l’UNESCO où se trouve la preuve de la collusion entre une IA et les cartels de la drogue, Travis et ses compagnons vont devoir échapper à la horde de robots tueurs qui les encerclent en même temps qu)aux redoutables tueurs à gage envoyés à leurs trousses. Pendant ce temps Pacman et son puissant employeur discutent avec le Président des Etats-Unis de la réalité de la menace des cartels sur les intérêts des multinationales au Mexique… Business as usual!
Fred Duval est l’un de mes scénaristes préférés car il a su, discrètement mais avec constance, construire un univers cohérent de SF d’anticipation aux enjeux à la fois techniques et hautement politiques, de la bonne SF qui parle au futur des problèmes d’aujourd’hui. Non content d’être un très bon metteur en scène (déjà sur le cultissime duo Adios Palomita / 500 fusils avec le comparse Vatine). Si ses séries reprennent souvent les mêmes thèmes (y compris sur le récent et réussi Renaissance), l’univers partagé de Travis/Carmen MacCallum est ce qui illustre le mieux cette volonté de réalisme dans un monde où la technologie est réaliste et où les multicontinentales et l’ultra-libéralisme a gagné…
Dans l’arc mexicain qui s’achève les auteurs, à la manière d’un Lupano, parviennent à nous rappeler la rébellion du Chiapas du sous-commandant Marcos des années 90 au sein d’une BD SF d’action à grand spectacle! C’est tout l’intérêt de l’anticipation que de permettre à la fois au dessinateur de se faire plaisir par des designs futuristes tout en parlant de l’hyperactualité, la quasi totalité des inventions scientifiques de la série provenant de techniques existantes aujourd’hui et les idées thématiques prenant leurs sources dans les problématiques actuelles. Si les méchants de ce volume peuvent sembler un peu décevants, l’intrigue techno-géopolitique est toujours aussi redoutable et pointue chez Duval, les dialogues entre Pacman et le président étant le genre de choses que l’on relit pour être certain d’avoir saisi les tenants et aboutissants. A ce titre, je vous suggère de reprendre votre lecture au début de l’arc (Les enfants de Marcos), voir carrément le cycle de l’eau pour vous remémorer les influences de l’IA Dolly sur le scénario de ces derniers tomes. C’est ce que j’aime dans cette série, cette complexité d’intrigues solides qui reprennent toujours les mêmes fondamentaux et habillées par la technologie design et l’action la plus débridée.
La petite déception viens du dessin de Quet… Rassurez-vous, il est exactement au même niveau que sur les précédents albums et maîtrise toujours parfaitement les scènes d’action rapide, très lisibles malgré les angles de caméra parfois gonflés. Mais justement, son dessin n’a que peu évolué depuis le premier Travis et j’aurais aimé une progression technique ou des expérimentations chez cet auteur que je trouvais prometteur. Certaines petites faiblesses passent en début de carrière, moins après vingt ans. Il reste que j’ai toujours un faible pour ses personnages, leurs visages, le design général de cet auteur pour lequel j’ai une petite tendresse graphique.
Serpent à plume est un bon cru dans une série dont seul l’arc du Hameau des chênes était un peu faiblard par son ampleur. Travis reste une série qui maintient une qualité très élevée au fil des ans et qui ne voit aucun essoufflement tant le scénariste parvient à tisser des liens entre ses albums et à introduire de nouveaux personnages et problématiques à suivre régulièrement. Ici se termine pour notre héros l’enfer mexicain avant de rempiler dans sa chasse aux IA et aux capitalistes affreux pour encore de longues années probablement.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/11/07/travis-13-le-serpent-a-plume/
Fin du Cycle 4 des aventures de Travis, qui représente plus pour moi, une reprise des activités ou un soft reboot, comme on dit, qu'un véritable cycle.
L'histoire ramène un Travis plus dynamique et moins alcoolique sur le devant de la scène. Il va prendre le lead sur les actions à mener et s'affirmer tout au long de cet épisode. Certainement pour être prêt à affronter un nouveau conflit dans un prochain cycle. C'est en fait, les éléments développés à la toute fin de cet épisode, faisant office de cliffhanger qui m'ont le plus intéressés.
Au final, cet album, tout comme ce 4ème cycle n'est pas marquant, en tout cas pas autant que le dernier cycle des aventures de Carmen McCallum. Je me lasse peut-être du dessin de Christophe Quet et des couleurs "shiny" de Pierre Schelle, , pourtant sympathiques...
J'attends cependant le prochain cycle avec intérêt.
Fin du cycle 4 et des aventures de Travis au Mexique.
Les meilleurs moments :
Vlad Nirky : "...c'est de ma faute, on aurait dû la laisser se faire broyer par les cyborgs ! Désolé, c'est la vie danoise, je me suis humanisé !"
De nouveau Vlad : "...on a repéré deux humains qui nous suivent à la trace... ta technologie numérique ne peut pas les détecter mais nous, on les a sentis parce que c'est notre métier de sentir ça, tu comprends ?"
=> J'adore Vlad !!
Et pour finir, une petite phrase de Pacman, parlant de Travis et Vlad : "sans moi, ces deux-là font systématiquement n'importe quoi..."
Ça y est ! Travis est vraiment de retour !
On retrouve notre anti-héros dans la suite de l'aventure, entamée dans l'album précédent, plus dynamique cette fois. Cette deuxième partie de l'histoire est plus fluide et plus accessible. C'est plaisant. L'univers, quant-à-lui est toujours aussi crédible et sympathique.
Christophe Quet affine son trait qui, cette fois, fait moins "crayonné". Retour aux sources. Les couleurs un peu plus vives que dans la série sœur Carmen McCallum.
Une lecture agréable et sympathique pour tous les amateurs d'anticipation et fans de la série !
C'est un album "de transition", d'un cycle qui ne restera pas dans les annales, mais qui a le mérite de se lire facilement et agréablement.
Le scenario de cet album n'est pas le meilleur de la série, alors que nous retrouvons le héros-titre, qui avait disparu (et donc ce retour devrait me réjouir... mais cela ne me fait pas plus d'émotion que cela). Vlad prend beaucoup de place, et c'est tant mieux, mais même lui ne peut apporter plus à cet épisode plan-plan.
Il y a pourtant une bonne idée, ce parallèle entre robot de combat et mines anti-personnel (C'est quand même un scénario de M Fred Duval, la qualité demeure), mais pour le reste, je n'ai pas été emballé plus que ça.
Le dessin est plan-plan aussi. Fourni par un des meilleurs scénaristes de ces 20 dernières années, digne successeur de M Jean-Michel Charlier et de M Greg (tendance "Bernard Prince"), ce tome est une fois de plus bien rythmé et les cadrages sont bons.
Pourtant, le dessin reste plan-plan, car le dessinateur fait "ce qu'il sait faire". Il faudrait peut-être changer de dessinateur, comme cela été fait pour "Carmen McCallum" ?
Au début, cela m'a em...nuyé, que Gess quitte la série, mais petit à petit, j'ai adopté le style Emem, et maintenant, je me réjoui qu'il soit le dessinateur.
Il faudrait peut-être un tel changement sur "Travis" ?
Mais attention, uniquement si le nouveau dessinateur se révèle aussi efficace que christophe Quet, sinon, le changement pour le changement, non merci, on a déjà donné avec hollande et macron !
Juste un bémol, sur ce volume 11 :
la scène du début de l'album n'est pas assez identifiée flash-back. C'est d'autant plus dommage qu'un coloriage un peu "sépia" aurait sans doute aidé à la compréhension, sans trop de difficulté.
Mais enfin, je suis bien content que de telles séries au long court existent, car je déteste les histoires bâclées en 2 ou 3 albums. Et je suis persuadé que l'on désignera plus tard "Travis" et "Carmen Mc Callum" comme des séries novatrices, intemporelles, populaires et exigeantes.
Et que l'on parlera des BD "à la Duval", comme on parle des BD "à la Charlier".
C'est toujours sympa de retrouver Travis surtout lorsqu'il est accompagné de Vlad Nirky.
Beaucoup d'actions : nos héros devant échapper en pleine guerre civile à des droïdes livrés à eux-mêmes (mais terriblement dangereux) et à des Narcos sanguinaires.
En effet, un Travis sans le le héros, mais avec Nirky, toujours aussi efficace. Une nouvelle histoire commence. Le chassé-croisé avec CarmenMcCallum est à nouveau utilisé... ce qui peut donner à ceux qui lisent les deux séries un air de déjà-vu à ce scénario... mais bon, c'est efficace
Un album qui poursuit le nouveau cycle entamé dans le volume précédent. C'est du Travis, sans surprise, le dessin est efficace, en particulier dans les scènes d'action. l'intrigue, sans être très originale, met bien en valeur cet univers d'anticipation
Un Travis "sans Travis".
Un album centré sur l'excellent Vlad Nirky, parfaite machine à tuer., qui sort de sa retraite pour retrouver Travis.
Album à suivre, qui se termine sur une image hommage au film "Apocalypse Now" (référence à la barge et à la plongée "Au cœur des Ténèbres")
Retour confus pour Travis.
Le dessin évolue un peu, c'est normal. Côté ambiance c'est pas mal mais j'ai connu de meilleurs abums dans cette série. L'évolution et les relations entre les personnages semblent vraiment intéressants. Nyrki est plus que jamais LE personnage principal de cette série... donc de ce côté là tout va bien :-)
Ma réserve porte sur la mise en route de l'histoire, plutôt complexe. En effet, cet album met en place l'histoire et les personnages de ce nouveau cycle. On y trouve, comme d'habitude, des références aux multiples événements de cet univers partagé (Carmen McCallum, Code McCallum, Travis, etc.) mais je trouve ce démarrage lent, dense et confus.
J'ai besoin de lire la suite pour me faire un avis complet. De plus, je n'ai, hélas, pas eu l'effet "whaouh" obtenu à la lecture du premier tome du nouveau cycle de Carmen McCallum. C'est dommage.
J'ai sous-noté cet album, dans un 1er temps, mais je le regrette car il surnage dans un genre (action pure et SF) assez pauvre en bonnes surprises.
Je n'ai encore jamais été déçu par un album de cette collection "série B", qui n'a rien d'une série B tant les scénarios sont de qualités, et les thèmes abordés faussement d'action.
La BD peut se lire comme une Bd d'action pure, mais il est évident que les auteurs se creusent la cervelle pour intégrer l'action dans un contexte très riche et sans cesse connecté au monde réel, celui d'aujourd'hui et de très bientôt.
Le dessin n'a jamais baissé en qualité, ce qui est rare, et le dessinateur est resté le même, ce qui est très bien (et rare aussi !).
Le personnage titre n'est même pas présent dans cet album, sans que cela ne pose problème, ce qui prouve bien que l'univers de cette série est riche et les personnages "secondaires" très bien écrits.
Et puis, Vlad est un personnage incroyable de charisme ; il mériterait sa propre série, si d'aventure les auteurs en ont l'envie.
L'histoire est prenante, comme toujours, et comme dans "Carmen Mc Callum", "ou dans une moindre mesure "Golden City", le plaisir de lecture est total.
Que vive encore longtemps cette série !
J'avais acheté les 9 premiers tome y'a 1 mois, que j'ai lu d'une traite, j'ai eu le T10 recemment, l'histoire continue bien avec Dommy, rien a dire. Bon moment de lecture de SF.
A suivre
Ah lala!!!
Comme d'habitude, je l'ai attendu pendant des mois et comme d'habitude, j'ai A-DO-RE!!!
Excellent série qui aura su se renouveler lors de ses différents cycles.
Vivement la suite!!!
Voilà on sait avec certitude maintenant se que faisait réellement Travis.La fin de se second cycle est vraiment dramatique pour les deux nouveaux amis Travis et Vlad.
Sinon fin de cycle vraiment réussie.
Début d'un nouveau cycle, ou cette fois Travis se retrouve mélé avec son oncle Terry à une destruction compléte d'un hameau ou juste une personne y habite et le reste par des résistants qui refuse que le hameau soit détruit.
Une histoire qui sort totalement du contexte du précédent cycle, mais vraiment bien.
C'est donc le 5ème et dernier tome du premier cycle et il faut avouer qu'il le cloture vraiment bien. C'est très réussie pour ma part.
On a une fin digne de se nom qui ne nous laisse pas sur notre faim.
Les deux dernières pages nous donnent quelques informations en plus sur Travis que jusqu'içi on ne connaissais pas.
J'ai vraiment bien aimé l'explication sur ce qui est réellemnt cette inteligence artificielle et d'ou elle provient, car je me demandais bien qui pouvais étre le comanditaire de Vlad et Pacman.
En tout cas on vas de rebondissements en rebondissements.
Cette fois on retrouve Vlad et Travis qui font une sorte d'alliance temporaire.
Je trouve ce premier cycle vraiment très réussie autant niveau histoire que niveau dessin.
J'aime bien le personnage de Travis, mais je dois dire que c'est la première fois, je crois, dans une série bd que je trouve l'anti héros, qui est Vlad içi, plus attachant que le héros lui meme.
Cette suite est tout aussi distrayante et jouisive que le tome précédent.
Travis se retrouve en Guyane chez des amis et attend qu'on lui rembourse sa navette, il vas encore une fois étre plongé dans les ennuies et retrouver son ennemie juré Vlad.
Premier tome vraiment très bien réussie.
On fait la connaissance de Travis, un type qui fait des voyages en navette pour transporter des choses, et içi c'est sur la station orbitale Huracan, avant d'y arriver rien ne vas se passer comme il le pensait pour notre plus grand plaisir.
Le dessin me plait beaucoup aussi et colle parfaitement à l'histoire.
Et bien cette suite est réussie. Le scénario est impeccable, pas de temps mort et les passages du monde virtuel au monde réel sont très fluides, on n'est pas perdu, et même si la lecture du tome précédent est un peu ancienne, on s'y retrouve. C'est donc très agréable à lire, d'autant que les dessins sont à la hauteur.
De la pure aventure, mais de qualité, une série à suivre donc.
le scénario ne faiblit dans cet épisode et utilise une technique narrative intéressante dès le début du volume. Il y a beaucoup d'action certes mais elle s'inscrit dans le prolongement du tome précédent. Le soin apporté dans la réalisation des planches participe à notre plaisir de lecteur. Alors le tendem Travis / Vlad et l'explosive association avec Thundercat tonifie l'intrigue et donne un impact indéniable à l'histoire. Et puis quand l'amour s'en mêle !!!
Travis retrouve Vlad en Guyane qui intercepte le lancement d'une fusée Ariane, pendant qu'Anna est malheureusement mise sur la touche pour n'avoir pas voulu collaborer. Il réussit à arrêter Vlad mais pas le butin de celui-ci et se retrouve aux mains des autorités.
Scénario bien mené, bons dessins, cette suite tient les promesses du premier tome et donne envie de lire la suite.
Travis, pilote de navette cargo, est utilisé pour introduire des terroristes dans la station où travaille son ami Anna, et il fera tout pour déjouer leur plan.
Très bon scénario à multiples tiroirs pour le début d'une très bonne série. Le dessin prometteur est encore à affirmer, mais l'ensemble fait un très bon moment de lecture.
Tout simplement enorme !
J'adore les dessins, j'adore le background, j'adore le scenario.
Travis est à la recherche de son second souffle, et il va être aidé par une nouvelle entreprise terroriste qui le remet en action.
Il faut attendre la suite pour juger de la qualité de ce cycle, ce tome n'étant que l'ouverture. La qualité graphique reste constante, et le décor est bien planté, mais pour l'instant on ne retrouve pas encore le souffle épique des premiers cycles.
A suivre donc....
Ouais.... Ben, comment dire?! C'est sympa parce qu'on retrouve tout le monde et que ça plante le décor mais sans plus... Avec le prochain peut-être?!?
L'entreprise de Travis coule, car personne ne l'aime :-(
Les circonstances vont l'amener à reprendre du service en aidant Vlad qui cherche à libérer Pacman
On est en recherche de second souffle dans cette série, depuis la fin du premier cycle, cependant on retrouve toujours un bon cocktail d'action diverses et de prouesses informatiques, mais moins de "trouvailles" que précédemment
TRAVIS & VLAD se retrouvent dans ce nouveau cycle pour deux objectifs en apparence différents. Le premier pour TRAVIS consiste à participer à la lutte contre les effets de l'eau empoisonnée, le second pour VLAD à libérer Miss THUNDERCAT. On se doute que ces deux missions vont se rejoindre progressivement dans la vengeance de leurs amis. Les planches sont servies par des dessins aux couleurs vives et des dialogues percutants. Une aventure musclée sur fond de piratage informatique qui devrait valoir son pesant d'or si elle tient toutes ses promesses ...
Super ! ! Je me suis fié aux avis sur ce site et à une doc' que mon libraire m'a refilé.
J'avais peur de pas trop accroché sur le monde futuro-robotique etc ...
et en fait c'est génial.
Le scénar' est bien fourni avec en toile de fond une vengeance entre ex-meilleurs amis. Beaucoup de persos, tous bien différents.
Le dessin, quant à lui, est dynamique. Les persos semblent un peu moins nets quand ils sont vus de loin, mais j'ai remarqué que ce petit défaut (pour moi) disparait dès le 2e tome.
Les couleurs sont contrastées et donnent une impression de volume.
Le découpage suit bien l'action, avec tantot des grandes cases couvrant deux pages (meme les marges) et tantot des petites s'incrustant par dessus ou en décalé.
Bref, découpage complexe mais logique et lisible.
Excellent, j'aime trop.
Un peu déçu par rapport aux avis que j'ai lu, dont je me suis inspiré pour acheter ce premier album.
En fait, c'est la comparaison avec l'univers d'aquablue qui m'a un peu décontenancé.
Comparaison bien naturelle quand on voit les remerciements à Cailleteau et Vatine pour leur participation.
Donc j'ai eu du mal à rentrer dans ce premier tome car je m'attendais à quelquechose d'un peu plus personnel et novateur. En plus du dessin très proche de Mr Vatine, les personnages sont trop proches d'un état d'esprit de ceux d'Aquablue (Les gentils / les méchants, contexte politico/environnemental instable pourri par les riches...), encore une fois l'univers et les personnages, à mon sens, sont trop proches de ceux d'Aquablue.
Tous les personnages de Travis ont leur pendant Aquablue.
Dommage je m'attendais à autre chose.
Séduit par le cycle des cyberneurs, j'avais été un peu désappointé par le début du cycle vitruvia : alors que je m'attendais à une débauche d'aventures en des lieux futuristes et/ou exotiques, l'action est ici plus ou moins centrée sur un quartier de banlieue parisienne squatté. Pour rêver, on fait mieux ! Mais nos auteurs sont là pour nous raconter une histoire. Et quelle histoire ! Une fois les personnages et l'intrigue générale présentés, le tempo s'accélère sans jamais relacher la pression, en ajoutant de nombreuses ramifications personnelles, politiques et économiques s'enchainant et se complétant de façon dramatique pour les personnages principaux. Au bout du compte, on a de l'action, du suspense, des rebondissements à foison. Que demande le peuple... Juste encore et encore des sagas de cette qualité !
Ce nouveau cycle démarre sur terre et tout son intérêt ressort à la lecture du 6.2.