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Super! Le meilleur album de la série jusqu'à maintenant!
Quand je vois le nom de Nicolas Jarry, je suis toujours optimiste sous réserve. Il a écrit tous les albums Nains qui sont pour moi généralement de meilleure facture que toutes les autres séries de cet univers. Par contre, justement, lorsqu'il prête sa plume à d'autres univers, il est tout aussi capable d'écrire des histoires bien médiocres. Mais j'avais espoir. Et je n'ai pas été déçu!
D'abord, cet d'album d'I.S.S. Snipers tranche de manière assez nette avec les quatre autres tomes de la série. Jarry nous amène à travers une histoire complètement déjantée de métamorphose d'araignée géante en cyborg au corps de femme. Hein? Franchement, l'idée est géniale. Mais notre héroïne n'est pas le seul personnage intéressant. Avec en plus une I.A. rechigneuse, une sorte de "robot" de 70 ans dans le corps d'une petite fille, et un pirate de l'espace qui complète le groupe, le cocktail est servi.
Surtout, c'est bien écrit. Heureusement. Comme avec Peru pour le tome 4, sauf qu'ici c'est encore plus original. Jarry maîtrise sa plume sur cet opus et ça donne un véritable bon moment de lecture. Le dessin de Campanella Avdisha est également très bon.
Seuls bémols pour moi -- quand on blâme les ultra-riches pour tous les problèmes du monde, gros bâillement. Et sinon, justement, le méchant est un peu trop exagéré. "Tu es ma propriété. Chacun de mes mots sera pour toi un commandement divin. Agenouille-toi! Et maintenant ouvre la bouche..." Vous voyez ou ça s'en va? Ce genre de comportement excessif et scénaristiquement facile pour faire en sorte qu'on déteste vraiment le méchant de service est décevant. Mais hormis ce détail, le méchant réussit quand même à remplir son rôle de manière assez convaincante.
Ultimement, un très bon album. Est-ce que je surcote parce que les trois premiers tomes étaient tous trop mauvais à mon goût? Peut-être. Peu importe, ça fait du bien de lire quelque chose qui n'enrage pas, pour une fois.
Bon bien voilà, vous voyez, il est possible de faire du bon même dans l'univers d'I.S.S. Snipers.
D'abord, il faut dire que l'écriture d'Olivier Peru est de loin supérieure à tout ce que nous avons vu dans les trois premiers tomes. J'ai cru au scénario, j'ai cru aux personnages, j'ai cru à la vision de l'auteur. J'ai voulu suivre cette bande de Snipers jusqu'au bout.
Pourtant (et en point négatif d'ailleurs), l'histoire reste à peu près la même que celle des trois premiers tomes. Le méchant est à peu près copié-collé lui aussi. Il y a quelques raccourcis scénaristiques que je n'ai pas aimés, comme quand les Snipers apprennent comme ça soudainement que leur navire a été équipé "d'émetteurs capables de passer outre les perturbations générées par la planète." Tiens donc, comme c'est commode! La fin, aussi, avec la révélation sur la planète, bof, mais bon.
La grosse différence, c'est que c'est bien écrit. L'histoire est peut-être sans grandes surprises, mais elle bien livrée. Pour moi, ça fait toute la différence. Je note aussi que le dessin d'Alessandra De Bernardis est plutôt bon.
Dernière note, par contre, c'est que page 12, il manque le dernier mot de la première bulle. C'est récurrent chez Soleil Productions ce genre d'erreur, ma foi.
Vous pensiez qu'on ne pouvait pas faire pire que les deux premiers albums? Eh bien, vous aviez tort!
Je suis désolé, mais j'ai absolument dé-tes-té les textes de cet album. Les personnages sont idiots, insensés, immatures, illogiques, irréalistes... Le scénario est simpliste, réchauffé, banal... Les scènes d'action sont absurdes... Il n'y a RIEN qui fonctionne, rien!
Quand on a des Snipers qui se font battre comme des mouches par le dieu du coin, transformant ainsi les super-soldats de leur BD éponyme en chair à canon jetable, c'est un mauvais choix scénaristique. Quand on a des Snipers qui pensent que leurs armes vont être assez puissantes pour s'attaquer à cette glu qui bouffe tout le monde, ça fait d'eux des personnages stupides. Quand on a les meilleurs soldats de l'armée qui s'abaissent à être des petits intimidateurs sortis tout droit d'une cour d'école, ça ne donne aucune plausibilité à leur rang. Quand on a un méchant dont la seule motivation est - encore - de récupérer des armes et puis tant pis pour les courageux envoyés à l'abattoir, c'est décevant. Quand on donne une importance quelconque à des personnages qui finissent par ne servir à rien (la rouquine), on a l'impression qu'on nous fait perdre notre temps. Quand on a le héros de l'histoire qui survit à l'impossible juste parce qu'il le faut bien, le récit perd toute crédibilité.
Et c'est sans compter les astérisques qui ne renvoient à rien! ENCORE! Ils nous avaient déjà fait le coup dans leur série Androïdes! Page 28, astérisque sans explication en bas de page! Page 29, astérisque sans explication en bas de page! Page 30, astérisque sans explication en bas de page! Quand on part à l'imprimerie trop vite... C'est sûr que, aux pages 29 et 30, les astérisques sont inutiles parce qu'on a déjà "expliqué" Khâliste à la page 3 (VOIR TOME 2!!!) , mais quand même, les gars. Ça fait dur.
Ouf.
*soupir*
J'avais une bonne impression après les premières pages. Un sniper alpha et un loup alpha qui œuvrent pour le même but mais qui sont rivaux? J'aime! Un méchant tout aussi alpha que même la fédération n'est pas capable de l'approcher? J'aime! J'ai toujours aimé quand plusieurs personnages qui sont au sommet de la meute doivent s'affronter, et c'est ce que nous présentait cet album.
Malheureusement, ça vire au gâchis total. Seul le loup finit par avoir un rôle substantiel. Le sniper? Rien du tout. Le méchant? Une véritable farce! Je ne suis même pas sûr de comprendre comment il a fini par être battu, tellement le dessin ne montre juste pas bien ce qui est censé être arrivé. Un véritable pétard mouillé.
De plus, les personnages sont beaucoup trop extrêmes à mon goût dans leurs personnalités. S'ils avaient été plus terre-à-terre et moins CoMplÈTeMenT CIngLÉS, on aurait eu une meilleure histoire! Déception totale.
Conquêtes version 2. Ou Androïdes version 2, dans une moindre mesure.
Connaissez-vous Jean-Luc Istin? C'est un jeune auteur qui cherche à se faire une place dans le milieu... allez, je blague. Soleil Productions, c'est lui. Impossible de ne pas retrouver son nom sur une nouvelle série publiée par cette maison. Non mais, quelles similarités avec l'autre série spatiale des productions ensoleillées, Conquêtes! La différence se résume probablement à, euh... eh bien... je ne sais pas trop.
De gigantesques vaisseaux qui se déplacent dans l'espace? Coché. Des soldats qui doivent se frotter à des extraterrestres? Coché. Encore des soldats qui sont vulgaires et dont c'est le seul trait de personnalité? Coché. Colonisation d'exoplanètes? Coché. Euh... j'aimerais vous en dire plus mais il n'y a pas grand scénario ici. La véritable différence, c'est que nos personnages sont des assassins à moitié robot, et non des colons. Ou quelque chose comme ça.
Bref, à quoi ressemble notre premier tome? Nos héros -- enfin, LE héros, parce que les autres membres du groupe sont pratiquement relégués aux oubliettes -- doivent généralement exterminer des colons rebelles. Sauf qu'ici, surprise, c'est une planète autochtone pacifiste, alors ils vont plutôt se rebeller contre la fédération. On y saupoudre des scènes d'action, et voilà.
On suit tous les codes de la BD ici, sans grande surprise, sans véritable originalité. Il n'y a rien qui ressorte du lot. Notre héros narre sa propre histoire. Notre héros a un passé bien triste. Notre héros doit faire face à un traître. Notre héros doit faire face à son passé. Ce sont des idées qui peuvent être passionnantes, même si on les a déjà vues mille fois, à condition que ce soit écrit de manière innovatrice. Malheureusement, il n'en est rien.
C'est sans compter ce dessin numérique qui est franchement parfois flou dans certaines cases, avec des couleurs souvent douteuses.
On verra si les prochains tomes sont meilleurs.
Un opus qui se démarque nettement des tomes précédents. On a baissé légèrement le curseur du côté bourrin et on a poussé un peu plus haut celui de la psychologie glauque. Et ça fonctionne.
On appréciera les graphismes soignés de ce "one shot" aux bases scénaristiques originales, en regard de ces prédécesseurs.
Dans la lignée des 4 tomes précédents : ça bastonne grave et on ne s’ennuie pas une seconde.
J’ai adoré le dessin de Erion Campanella Avdisha !
Bref, un bon moment de BD de science fiction
PS : oui, c'est de la série B. Et alors ? Quand c'est bien fait, moi, j'adore !
Plus le temps passe et l'on se rend compte que SOLEIL CELTIC nous manque. Le Soleil ne brille plus et ne nous fait plus rêver.
Je pense que cette série est faite pour les campeurs dans l'univers Warhammer 40K. C'est bourrin, ça tire partout, les personnages ont 2 de QI et c'est tout grosso-modo. Je ne demande pas une série avec x rebondissements, x propos digne d'un univers de SF et qui te fait réfléchir sur l'existence même de ta vie pour les dix prochaines années, mais j'en attends un peu plus quand même que ce qui est proposé par le scénariste, pourtant très bon habituellement. J'aime ce qu'il propose, mais ici, ça se lit trop vite à mon gout. 15 ou 20 minutes, montre en mains et c'est dommage vu que ça reste un investissement quand même. Après, contrairement au précédent tome, on a droit à quelques surprises qui réveille le lecteur que nous sommes, mais ce n'est pas suffisant pour crier au génie. Reste les dessins, assez bons, notamment quand il s'agit de proposer des design de technologies futuristes et quelques scènes de bastons qui défouraillent bien, mais voilà, c'est à peu près tout. Dommage.
Troisième tome de cette série et sincèrement, que ce soit le premier, le second ou le troisième tome, je ne vois pas de réelles différences. Le scénario fonctionne toujours sur le même principe. Ici, on a droit à des bourrins qui font un taf de bourrins et qui se font déglinguer rapidement par une menace titanesque, un peu comme dans le Aliens de Cameron ou aussi charismatiques que sont les Marines, on sait déjà que 95% du groupe se fera déglinguer pendant l'affrontement avec les xénomorphes. J'aime bien le côté témoignage, c'est une utilisation assez régulière dans ce type de récit et c'est une manière pour le scénariste de maintenir l'intérêt du lecteur. On veut savoir, on veut comprendre comment une mission aussi simple peut partir en vrille comme le dit le personnage en préambule. Bon, j'avoue que j'aimerais en avoir plus et surtout avoir droit à quelques surprises, mais ce n'est pas le cas. Ça reste plaisant à lire, car c'est bourrin et bas du front, mais bon c'est limite le concept de la série.
Les dessins sont très beaux et je dois dire que l'astéroïde est une véritable pépite, le concept même de l'endroit et la manière dont le dessinateur représente l'endroit est bluffant et contribue beaucoup à l'intérêt que l'on porte au tome. Je ne sais pas si je vais continuer, je verrai bien au prochain tome.
Les scénaristes commencent à tourner en rond, et fond de cet épisode 4 un mélange des trois premiers. De plus ils utilisent la même trame narrative depuis plusieurs tomes. Je me demande s'ils se lisent entre eux.
Le projet n'est pas mauvais, mais a-t-il encore quelque chose de nouveau à nous raconter ?
Le problème de ces tomes solitaires dans une série, c'est qu'il faut varié, en plus des personnages (dans le sens large du terme), le thème et la mise en scène. Ce n'est pas vraiment le cas ici.
Peut-être faudrait-il un format intermédiaire ?
Deux tomes par personnage pour mieux en "dessiner" les contours et approfondir l'intrigue.
Après les loups dans l'épisode précédent, on continue de mélanger les genres dans ce nouvel épisode.
Cette fois ci ce seront les codes d'heroic fantasy (en particulier les nains) et le space opéra bourrin.
Malgré toute la partie mystérieuse et inquiétante, je trouve que c'est l'opus le moins réussi.
Sans vouloir minimiser la qualité, j'ai moins accroché qu'avec les autres.
Néanmoins, cela se lit très facilement et sans déplaisir.
Le scénariste le dit lui même, c'est un space opéra en mode bourin ... en fait, pas tant que ça. Il y quand même de la profondeur, de la remise en question, de la réflexion au tant qu'il est possible d'en caser en 67 pages.
Le principe de cette série, comme dans d'autres chez Istin, fait qu'on est un peu triste de devoir abandonné le personnage principal.
J'ai été séduits par le démarrage de cette série.
Graphiquement, il n'y rien à dire, on peut y voir quelques références ou inspirations (Juge Dredd, 300, ...).
Scénaristiquement, il n'y a rien d'extraordinaire mais c'est traité avec justesse.
Cela donne un ensemble plus que fréquentable.
Changement d'auteurs pour ce nouvel opus mais toujours les mêmes problèmes que pour son prédécesseur, à savoir: vulgarité excessive, action épileptique et décousue, dessins à l'ordinateur qui gagneraient en qualité/détails, voix off trop présente, personnages pas développés en dehors des principaux (et encore je suis gentil sur ce point).
Pas sûr que je lise le troisième opus…
Décidément, ce cycle est une déception. Action décousue, dessin brouillon, dialogues vulgaires pour faire faussement "authentique". Le tome 1 m'avait déçu, le tome 2 est dans la même veine. Fin de cycle en ce qui me concerne
Pas révolutionnaire mais diablement efficace. C’est vrai, que ce type de série n’est pas forcément faite pour nous mettre en ébullition intellectuelle. En revanche, cela part fort, cela continue et accélère jusqu’au final. Bourrin, bien fait, avec quelques dialogues savoureux, objectif rempli. A suivre, pour confirmer. Un reproche, c’est marketing, mais tellement efficace.
Toujours à la recherche d'une série B sympathique à lire, je me suis naturellement penché sur cette nouvelle bande-dessinée de science-fiction, qui a eu le mérite d'attirer mon regard par sa couverture où l'on peut apercevoir le "héros" Reid Eckart, qui ressemble très fortement à Judge Dredd (les références cinématographiques sont bien assumées puisqu’il y a du "Robocop", le film de 2014 et du "300" de Zack Snyder).
Autant dire que les auteurs ont visiblement entrepris de transposer un film d’action des années 80 en bande-dessinée pour un résultat qui me laisse mi-figue mi-raisin, puisqu’en effet, Jean-Luc Istin et Erwan Seure-Le Bihan ont repris les qualités mais également les défauts qui sont inhérents à ce genre de film.
Le scénario est par conséquent très basique et on devine très fortement certains passages ou révélations clés. Bien évidemment, cela bourrine et défouraille à tour de bras, chose que n’aurait pas renié un certain Arnold Schwarzenegger, pour le plus grand plaisir de l’amateur du genre.
Néanmoins, les « punchlines » et beaucoup de lignes de dialogue sombrent régulièrement dans la vulgarité, au bout d’un moment cela en devient très lourd, de même que l’omniprésence de la voix du narrateur devient plus encombrante qu’autre chose.
Visuellement, les dessins sont corrects même si réalisés sous ordinateur. Les auteurs ont également fait le choix esthétique de mettre les cases sur un fond noir, histoire de renforcer la noirceur des personnages ou du récit, j’imagine.
En résumé, une grosse série B bourrine dans un univers de space opera, pas ennuyante une seule seconde mais qui pourrait être mieux. J'attends quand-même de voir si les auteurs sauront s'affranchir des écueils de ce premier opus pour les suivants.
Déçu... Le dessin sans être vilain ni baclé, ne me semble pas bien adapté à cet univers Space Opera: Pas assez de détail, en particulier en ce qui concerne les visages, les uniformes/armures et les vaisseaux spatiaux... Quant au scénario il est très simpliste et mal servi par de trop nombreux monologues du narrateur et un langage familier/vulgaire un peu agaçant
Pour ma part, même si le scénar se devine très rapidement, j'ai trouvé ça, pas mal du tout.
Et tout n'est pas question de baston, loin de là.
J'ai noté cet album 4/5, et franchement, je demande à voir sur le second, confirmation, ou pas, de mes bonnes impressions.
Et ce malgré les critiques négatives, que j'ai pu lire très rapidement ici. J'ai même hésité à le prendre du coup ... :-D
Aimant beaucoup les séries-concept du sieur Istin et étant un fan absolu de Stallone (notamment son Judge Dredd), j’étais très impatient de découvrir cette nouvelle proposition.
Mais j’ai été extrêmement déçu par ma lecture. À tel point que, dans les dernières pages, j’ai rapidement zappé les pages pour arriver enfin à la fin…
Alors pourquoi cette déception ? Plusieurs éléments :
- Un scénario cousu de fil blanc, où tout semble trop évident. Sur les 4 twists principaux, j’en avais anticipé 3…
- Des dialogues peu adaptés à mon goût. On peut faire bourrin, cela fonctionne en film. Mais en BD, il y a un dynamisme différent : rendre littéraire et bavard un « film bourrin des années 80 », c’est difficile. Et de mon point de vue ce fut un échec ici. Cela sonne faux par moment :s
- Des personnages peu intéressants hormis le principal, Reid Eckart. Les autres sont totalement transparents et servent peu le récit.
Pour les graphismes, je ne suis vraiment pas fan : beaucoup trop informatique et, comme pour les dialogues, on a voulu retranscrire en BD un esprit des films de série B, et encore une fois je trouve que cela n’a pas fonctionné.
Après il faut aussi être objectif , il y a un travail sur les planches et sur les décors, ce n’est pas du « vite fait ». C’est une question de sensibilité et d’adaptation je pense.
Déception du coup et j’en suis le premier désolé !
Je suis de parti pris car je suis un fan du dessin et des couleurs de Monsieur Erwan Seure-Le Bihan depuis son remarquable "Odin" en 2010/2012.
Vous trouverez dans ce tome 1 de ISS Snipers la même puissance dans les paysages spatiaux et les gros plans sur ces guerriers qui s'affrontent.
Coté scénario, ça bastonne grave et ça cogne dur.
Cerise sur le (très beau) gâteau, la psychologie des protagonistes est plus fine qu'attendue.
En synthèse ? Une réussite !!! Si la série rencontre du succès, il semble que les 4 tomes suivants soient déjà prêts... Alors je souhaite beaucoup de succès à cette série qui démarre si bien