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Pour la série au complet :
A la base : c'est sûr que de voir une série sur l'origine des Winch c'est super séduisant. Ça motive grandement à l'achat, surtout quand Van Hamme est à la barre. En 3 tomes, donc on n'attend pas des plombes avant d'avoir le fin mot de l'histoire, ce qui, en soit, est très sympa.
On se retrouve devant le même principe que les Maîtres de l'Orge, c'est à dire une grande saga familiale s'étendant sur plusieurs générations. La saga des Maîtres de l'Orge s'étendait sur 150 ans, en gros, en 7 albums. Et pour la saga des Winczlav, ca s'étend plus ou moins sur la même période et la même durée, mais en 3 albums.
La conséquence de ça est justement mon plus gros reproche sur la série : ca va trop vite, et bien trop vite à mon goût. On passe d'une scène à l'autre en sautant par moment jusqu'à 10 ans voir plus, sans avoir pris le temps de travailler les personnages en profondeur, ni les situations clés de l'existence de certains protagonistes. C'est bien dommage car le premier mot qui me vient à l'esprit est 'superficiel'... et d'autant plus dommage pour une série faite par Van Hamme.
Ce qui gâche aussi, ce sont certains thèmes abordés par l'auteur, tel que l'avortement ou les indiens d'Amérique, qui sont traités bien trop maladroitement, sans précédents ni recherches. Des thèmes jetés basiquement dans l'histoire, comme un pavé dans la marre, trop artificiellement comme justification de certaines situations, et aussitôt oubliés.
Donc l'origine du groupe W, le personnage de Nerio Winch, sa fortune, tout est traité bien trop succinctement. La série est donc superficielle pour un sujet comme celui-ci.
Bon, ça reste quand même à lire au moins une fois pour se faire une idée de la généalogie Winch.
Aussi, je ne suis pas super fan des dessins... Assez peu de détails en général, trop simples. Ça n'aide pas beaucoup la série non plus...
Même si j'ai abandonné la série Largo Winch (vers le Tome15, quand même!), j'ai aimé cette idée de revenir sur ses origines. Et surtout la genèse de ce tentaculaire empire qu'il dirige.
Sur 3tomes, c'est très bien, c'est d'ailleurs ce qui m'a décidé car je ne souhaitais pas me remettre dans une longue série.
La série tout comme ce dernier album se lit facilement. Le dessin est peut-être parfois un peu simple et le scénario compliqué car l'histoire défile vite. Mais c'est sympa. Je dirai un "bon roman de gare" et parfois ça suffit pour passer un moment agréable.
J'en suis même à me dire, moi qui ai horreur des séries à rallonge, qu'il manquerait maintenant un 4ème tome qui raconte l'enfance et la jeunesse de Largo jusqu'à son ascension au pouvoir.
Dernier volet de ce préquel à Largo Winch.
Malgré un titre assez inapproprié, et une couverture trompeuse, l'intrigue principale tourne essentiellement sur Nerio Winch, personnage qui s'avère au fil des pages, fourbe, antipathique et calculateur. En effet, on retrouve dans cet opus, le Van Hamme de la série mère, avec ses intrigues financières complexes menant à la chute de Gordon.
Alors que les deux premiers volumes couvraient voire survolaient une période assez longue en seulement quelques pages, JVH, pour les intimes, nous offre ici,certes une histoire assez linéaire, avec quelques digressions ( les relations de Nerio avec son frère de lait, l'histoire d' Aliana et de Danitza) mais qui tient le lecteur en haleine sur 64 pages sur une presque et même période..
Le final est tel que je me suis plongé dans les deux premiers volumes de Largo Winch, pour voir les éventuels erreurs de raccord entre le préquel et la série mère (et il y a en a , volontaire ou non)
Je n'ai pas parlé du dessin de Berthet, auteur que j'adore depuis plusieurs années, qui finalement s'inscrit parfaitement dans le scénario de JVH.
Voici le troisième volume qui est censé nous expliquer comme les Winch ont bâti leur immense fortune à partir de rien. On se souvient de Vanko qui dans le premier tome avait quitté le Monte-Négro pour s'installer en Amérique.
Nous suivons cette fois-ci son arrière petit-fils qui nous est bien connu car il s'agit du fameux Nério, le père adoptif de Largo. On va avoir droit au chaînon manquant à savoir les conditions de l'adoption de notre héros de la série mère.
On se rend compte également des méthodes peu orthodoxes employés par Nério qui souffre d'un véritable complexe d'infériorité lié à sa petite taille. Il compense en devenant un homme immensément riche mais seul dans sa vie puisqu'il ne pourra pas avoir d'enfant.
C'est vrai que le tome se prénomme Danitza mais c'est surtout la mère de famille Aliana qui serait la véritable héroïne. Elle représente la partie de la famille restée en Yougoslavie où l'on ne rigole pas sous le joug du maréchal Tito.
On apprendra ainsi que l'arrière grand-père du côté maternel de Largo était un Tchetnik, c'est à dire un résistant à l'occupation nazi pendant que le roi Pierre II se réfugiait à Londres. Le combat des royalistes a été supplanté par celui des partisans de Tito qui s'est accaparé les victoires pour bien se faire voir des alliés. A la fin de la guerre, Tito a aboli la monarchie.
Le préquel de Largo Winch aura eu le mérite d'éclaircir tout ce lourd passé familial composé de trahison mais également d'une détermination à s'en sortir. On a rien sans rien.
L'originalité ne sera pas de mise s'agissant d'une saga familial mais on peut reconnaître une réelle efficacité pour plaire aux lecteurs. Les fans de Largo seront comblés d'autant que le dessin de Berthet assure incontestablement. Bref, on prend du plaisir à lire. C'est ce qui compte, non ?
Franchement, Largo ne méritait pas cette pseudo saga assez médiocre, dont le scénario et le dessin sont aussi simplistes que mollassons. Tout sonne le vieillot et le réchauffé. Quelle déception !
Un second tome un peu meilleur que le précédent mais cette saga familiale est survolée beaucoup trop superficiellement pour susciter un intérêt quelconque. Les événements s'enchaînent sans aucun suspence ni crédibilité, les personnages sont caricaturaux, sans profondeur et on n'arrive vraiment pas à s'attacher à eux. Il reste les dessins très (trop?) propres de P.Berthet, dessinateur que j'apprécie beaucoup par ailleurs, mais qui ici, ne me semblent pas les plus adaptés à donner un peu d'intensité au récit.
Largo méritait tellement mieux !
Après les très nombreux déboires du patriarche des Winczlaw mystérieusement disparu après sa désertion d’une armée unioniste bien ingrate, son fils, Milan, va connaître quelques aventures qui vont l’amener à découvrir du pétrole… Avant que le Président des Etats-Unis, ne décide de le spolier de sa terre… Milan perd pratiquement tout. (Fin du 1er tome.)
Thomas Winczlav, fils de Milan, s’est bien fait rouler dans la farine par sa maîtresse, Sandy, pour qui il s’est ruiné en achetant le saloon qu’elle va vite transformer en bar à hôtesses avec chambres à l’étage pour soulager les messieurs de leurs soucis et d’une partie de leurs dollars. Heureusement pour lui, un détective privé vient le chercher dans son bled paumé pour l’emmener à New York, où il découvre avec stupéfaction être l’héritier d’une espèce de roi du whiskey, étant un descendant du principal importateur, un Irlandais du nom de O’Casey. Cette fortune, il doit la partager avec sa sœur jumelle qu’il n’a plus vue depuis l’âge de trois ans. Celle-ci vit en France et cet argent va lui permettre, à elle, d’assouvir un rêve, mais la guerre approche à grands pas en Europe…
Thomas, lui, découvre dans une propriété familiale, une grotte solidement barricadée et qui semble contenir un lourd secret familial. Il estime qu’il doit savoir de quoi il en retourne…
Critique :
Van Hamme est un maître dans les rebondissements à foison, et il le prouve une fois encore avec cette saga des Winczlav qui vont donner naissance à sa grande série « Largo Winch ». Ce tome 2 nous fera, entre autres traverser la Grande Guerre, avec une rencontre inattendue, le Baron Rouge, von Richthofen. Il sera aussi question de la prohibition, et surtout, du krach boursier qui verra un Winczlav investir au moment où tout le monde n’a qu’une idée en tête : vendre !
Nous sommes dans de la pure fiction. Les événements historiques sont là au service de l’imagination de l’auteur.
La ligne claire de Berthet fournit un dessin très lisible qui en rend la lecture bien agréable. Vivement le troisième tome…
1848. Monténégro.
Le pays est sous la coupe des Turcs et dirigé par Nicolas Petrovic, prince-évêque. Les paysans, écrasés par les occupants, se sont révoltés. Un des meneurs est un jeune médecin d’à peine 25 ans, Vanco Winczlav. Sa tête a été mise à prix. Les séides de l’occupant se présentent dans le village où il se terre, soignant malades et blessés. Le jeune homme sait que s’il ne se rend pas, le village sera mis à feu et à sang. Il décide courageusement de se rendre. Et si les villageois n’étaient pas de cet avis ?
Critique :
Ainsi débute une saga en trois tomes pour expliquer l’origine de la fortune des Winch… Mais, là, c’est un peu tôt pour parler de fortune… Pour l’instant, on n’a qu’un jeune docteur, foncièrement bon et désintéressé, face à de très gros ennuis qui vont l’obliger à fuir, et à fuir encore.
Dans sa fuite, il sera aidé par Veska, une jeune Bulgare, violée par le porc d’aubergiste qui l’employait, ou plutôt qui l’avait réduite en esclavage, et qui s’apprêtait avec l’aide d’un sergent corrompu à dépouiller le jeune homme de sa fortune. Pour entrer aux Etats-Unis, il faut des documents. Vanco est en règle. Veska, non ! Seule solution pour qu’elle ne soit pas repoussée par les Américains : le mariage à bord du bateau qui fait la traversée de l’Atlantique ! Veska ne cache pas à Vanco qu’elle est enceinte suite à son viol et qu’elle ne désire pas garder le « monstre » qu’elle porte. Elle veut que le jeune médecin procède à l’avortement, ce que celui-ci refuse catégoriquement. De plus, Veska précise clairement que mariés ou pas, elle refuse qu’un homme la touche après ce qu’elle a subi. Vanco, conscient de tout cela, accepte le mariage car il sait ce qu’il doit à Veska. Lors de son accouchement, Veska rejette le « monstre » et c’est Vanco qui va l’élever… Nous n’en sommes là qu’au début d’une multitude de péripéties, où les salauds ne manqueront pas, et où les injustices, mais aussi les vengeances, vont s’enchaîner…
De la très bonne bande dessinée où le savoir-faire de l’équipe Van Hamme, Berthet, Dominique David et Meephe Versaevel, s’exprime pleinement pour notre plus grand plaisir.
Le premier tome avait été l'occasion de voir le premier patriarche de la famille Winch à quitter le Monténégro suite à des persécutions. Il s'embarque pour les Etats-Unis où tout est en ébullition notamment vers l'Ouest.
On voit les petits-enfants en action dans le second volume à savoir Tom et Lisa. Pour autant, si le tome portent leur nom, c'est surtout la mère Miss Lafleur qui semble diriger tout ce petit monde. On l'avait découvert dans le premier tome s'amourachant de Buffalo Bill au point de le suivre dans ses spectacles. On peut dire qu'elle a bien évolué et pourtant, ce n'est pas une Winch pur sucre.
Une partie de l'action se déroule en Europe notamment sur le front aérien de la Première Guerre Mondiale ce qui sera l'occasion d'introduire le personnage du baron rouge.
Cela se termine avec une famille plus riche que jamais car Tom s'est découvert assez tardivement une passion pour la finance et notamment la banque d'affaire après avoir trempé dans le trafic d'alcool durant la prohibition.
On suit toujours avec autant de plaisir les différents personnages qui composent cette saga familiale. Côté dessin, c'est toujours Philippe Berthet qui officie pour notre plus grand bonheur. Cependant, parfois les personnages se ressemblent et on peut faire une confusion entre Tom et le baron rouge par exemple qui semble avoir la même couleur de cheveux et le même âge.
C'est toujours un plaisir de voir le contexte historique dans lequel évoluent tout ces personnages car il y a toujours un raccord. Il ne reste plus qu'un tome avant le bouclage de la série où Nério lègue son immense fortune à son fils adoptif Largo.
J'ai longtemps hésité, ayant peur d'une "nième" saga familiale qui n'en finit pas!
Je me suis finalement laissé tenter par la promesse d'une histoire en seulement 3tomes. Oufff!
J'ai passé un bon moment de lecture. Pour le reste, je me reconnais totalement dans l'avis du/de la membre "bulle.noire". Alors plutôt que de répéter, je vous renvoie à son analyse!
Edit après la lecture du 3ème et dernier tome: Petite série sympathoche qui mérite d'être lue et, il me semble, même si on n'a pas lu Largo Winch car ça peut être une histoire à elle-seule.
Etait-ce absolument nécessaire de faire un préquel à la série des Largo Winch afin de savoir comment cette famille a pu bâtir un tel empire ? Visiblement, Van Hamme a donné son accord sur ce projet dont il demeure le scénariste pour notre plus grand plaisir.
Bien que je suis un fan de Largo Winch, je ne me suis pas vraiment précipité sur ce nouvel opus. J'appréhendais un peu cette exploitation commerciale mais bon, il faut s'y faire. A noter que le dessin de Berthet tranche singulièrement avec la série originale ce qui n'est pas pour me déplaire.
Ce premier tome va commencer par le Dr Vanko en l'an 1848 alors que la petite principauté balkanique du Monténégro était en proie à de graves troubles politiques du fait de l'occupant turc qui n'hésite pas à massacrer les populations locales.
Vanko émigre non sans mal vers les Etats-Unis où il n'aura pas le temps de prospérer car victime d'une grave injustice le conduisant en prison. Je passe sur la suite des péripéties dont certaines seront assez vite expédiés comme par exemple celle de la guerre de Sécession.
J'avoue que je me suis laissé tenter par ce scénario qui multiplie également les destins de différents personnages liés à cette famille. On verra les deux premières générations. A la fin de l'album, on attend déjà la suite avec impatience. Mission réussie pour les auteurs.
La mode des spin-off et autres produits dérivés ? Pourquoi pas, quand au moins l'un des auteurs de la série initiale est présent comme garant d'une cohérence dans le scénario ou le dessin.
C'est bien le cas de cette mini-série "La fortune des Winczlav" avec Van Hamme aux manettes, lequel Van Hamme n'en est pas à son premier essai dans le genre (voir XIII, Histoire sans héros, les maitres de l'orge).
Autant je n'ai pas été déçu par les spin-offs de XIII, autant pour "La fortune des Winczlav" c'est un peu lège ; d'accord, dans le principe, il faut aller vite ; passe encore. Mais le dessin de Berthet est trop "ligne claire de chez ligne claire" : académique, plat, mou ; et les couleurs fades n'arrangent rien ; alors que dans "Le privé d'Hollywood", le dessin avait de la gueule ...
Bref, ça fait un peu "l'album de trop" pour les deux auteurs.
Ca ne m'empêche pas d'attendre la suite avec intérêt, car, bon sang de bois, comment le vieux Nerio avait-il construit son empire ? Hein ? Hein ? Hein ?
Un préquel aux longues aventures de Largo Winch. Voilà qui devrait ravir les fans. Dont je fus. J’avoue avoir un peu lâché l’affaire depuis quelques temps… Mais Largo a accompagné mes débuts de lecteur de BD adulte et j’avais envie de découvrir les origines…. On est ici bien accompagné, Van Hamme et Berthet c’est du lourd, du classique, mais du lourd quand même. Nous voici donc embarqués pour une saga familiale en 3 tomes et 3 générations. Ça va vite, le rythme est rapide, les années défilent à vitesse grand V, pas de temps à perdre. On fera les comptes à la fin.
Ce que je ferai moi aussi pour décider si cette trilogie est indispensable ou pas.
Ce premier volume se lit bien, on ne boude pas son plaisir et on est rassuré par le dessin et un univers que Berthet maîtrise. On sent que le scénario est riche et les évènements se succèdent… peut-être un peu trop.
Rendez-vous est pris pour le tome 2 !
C'est un bon album et le dessin est superbe.
Mais franchement pourquoi vouloir à tout prix être dans l'air du temps.
La scène du baiser des deux femmes après un concours de tir, en public, au farewest, au 19e siècle. J'ai comme un doute là...
Et pour couronner le tout, l'une d'elle est noire car il en faut et c'est la seule de la BD.
Il ne serait pas homo transgenre refoulé mangeant bio et végan notre héro ??? A suivre dans les prochains tomes.
Un Van Hamme totalement quelconque, sans grand rapport dans la narration avec tout ce qui a fait le charme de la série mère. Et le dessin de Berthet est trop lisse, trop plat, sans profondeur ni mouvement, et ne colle pas du tout avec l’histoire. En bref : très bof.
Une bonne surprise que cet album, après avoir hésité moi aussi à acheter. Van Hamme n'a pas perdu la main pour pondre des scénarios à rebondissements, je partage d'ailleurs la remarque d'Herve26 concernant le parallèle avec les Maîtres de l'orge. L'aspect survol historique est toujours intéressant et constitue pour moi un intérêt principal, et la rapidité de l'action ne m'a donc pas gêné. Côté dessin, la collaboration avec Berthet et sa ligne claire, surprenante dans les premières pages (j'avais bien sûr Largo Winch dans la tête) m' finalement très vite séduit.
Une bonne nouvelle mini-série.
Tout va beaucoup trop vite dans cet histoire pour que l'on s'attache aux personnages et que l'on s'intéresse à leur histoire malheureusement un peu bâclée. Cette saga sur plusieurs générations aurait sans doute méritée d'être développée sur plus d'albums afin de développer les caractères des différents protagonistes. Ça reste pour le moment très superficiel et sans grand intérêt si ce n'est pour le plaisir de savourer les dessins de Berthet.
J'ai hésité avant d'acquérir cet album, ô pas bien longtemps.
Je l'avais feuilleté et j'avoue avoir été un peu surpris pas le dessin de Berhet, auteur pourtant dont j'achète d'habitude les albums les yeux fermés.
Mais là, l'encrage me paraissait différent et les couleurs plus ternes qu'à l'accoutumée. J'ai donc reposé l'album sur la pile. Et puis, mon côté collectionneur l'a emporté et j'ai pris la version "tirage limitée" à 1635 exemplaires, et finalement, en me lançant dans la lecture , je n'ai pas regretté mon choix une seule seconde.
On retrouve ici le Van Hamme scénariste de la série "les maîtres de l'Orge" avec cette nouvelle saga. D'ailleurs il y fait quelques emprunts non dissimulés.
Certes, cela vite, parfois trop vite, l’histoire galope, elle va très vite, elle court la poste mais elle reste passionnante à travers les 2 générations que nous suivons ici..
C'est tout un pan de l'histoire de l'Amérique qui défile sous nos yeux, et j'ai hâte de savoir comment le vieux Nério Winch a bâti son empire.
Et finalement le style de Berthet sied parfaitement à cette nouvelle saga de Van Hamme...
bof, bof. bof. j'attendais nettement mieux de la part des 2 auteurs. Après un début prometteur, l'histoire devient vite prévisible et d'une banalité consternante.
J'ai raté le tirage de tête. Normalement je me serais rué sur les sites spécialisés pour me la procurer au prix fort. Pour 1 fois je vais m'abstenir et économiser ainsi quelques sous. Pas certain que j'achète le tome 2.
Un peu marre d'être pris pour une vache à lait de la part des éditeurs et de certains auteurs