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Terra Prohibita est fascinant.
Fascinant de par son univers riche, coloré, inventif.
Fascinant par les dessins de Laumond qui viennent nous en mettre plein la vue sur certaines cases et double-pages.
Fascinant par son aspect visuel très steam punk qui me rappelle le jeu de société 'Célestia'.
Fascinant par la trame de son scénario qui est absconse par bien des aspects ou totalement alambiquée (le tome 2 est un festival).
Fascinant de par sa fin totalement ramassée et décevante.
Un format en "one-shot" dotée d'une bonne pagination aurait peut-être largement suffi pour cette histoire et évité ce deuxième tome qui rallonge inutilement les choses.
Quel dommage.
Si vous n’avez pas lu le tome 1, vous n’allez pas comprendre grand-chose… Et si vous l’avez lu, vous comprendrez à peine davantage où Denis-Pierre Filippi veut nous emmener…
Quelques magnifiques planches de Patrick Laumond ne suffiront pas à sauver cette bande dessinée du naufrage tant le scénario est brouillon.
Pour une fois qu’il y avait du steampunk au programme servi par un dessinateur talentueux, on pouvait espérer une histoire plus captivante sans ces nombreux dialogues convenus.
Le découpage entraîne le lecteur dans un voyage où après quelques planches en plein cœur de l’action, on remonte en arrière de cinq heures (et en ce court laps de temps, nos « héros » vont se retrouver au-dessus de la mer au départ de Paris). Qui a dit qu’il fallait nécessairement ajouter de l’invraisemblance à l’invraisemblance parce que c’est une uchronie steampuntesque ?
Terra prohibita… La Terre interdite… Mais de quoi parle-t-on que diable ? L’Angleterre, vous connaissez ? Eh, bien, l’Angleterre n’est plus ! C’est un pays dévasté, envahi par des organismes exogènes aux effets effrayants et incontrôlables. D’aucuns pensent pouvoir les traiter pour en faire un bon usage…
Critique :
Voilà ce que rapporte le résumé de l’éditeur, Glénat. Ah ? J’ai dû louper un passage… Ou il manque des pages dans mon album parce que ce n’est pas clair du tout pour l’esprit simple que je suis de déduire cela des planches de ce premier album !
Comme beaucoup, j’ai été attiré par la couverture très steampunk et les pages que j’ai feuilletées. Les dessins de Patrick Laumond sont grandioses et encore mis en valeur par la mise en couleur réalisée par Arancia Studio. Voilà les points que j’ai appréciés.
Malheureusement, je me suis égaré plus d’une fois dans ce scénario. Denis-Pierre Filippi, le scénariste, n’a jamais dû entendre dire : « Qui trop embrasse, mal étreint ! ». Ou comme disait l’un de mes instituteurs : « Qui trop embrasse rate son train ! ». Le scénario part dans tous les sens et on se retrouve avec une bouillabaisse (ou un waterzooi pour les Belges) dans laquelle, on finit par se noyer. On ne sait plus pour finir qui est au service de qui, quelle est la mission (les missions ?) et quelle est la nature du drame, si drame il y a.
On débute, en Afrique, avec un tueur à gages, Dorian Singer, qui s’en vient liquider le biologiste qui découvre l’étendue des dégâts provoqués par cet organisme et ses effets incontrôlables et qui pense que le mieux à faire est de tout brûler. Visiblement, le bureau central est déjà au courant et ne partage pas cet avis puisque Dorian Singer est là, envoyé par le bureau, pour liquider ce gêneur. Seulement, Dorian Singer, biologiste, lui aussi, compte bien profiter de cette mission pour se livrer à ses propres expériences, en se servant, in vivo, du corps du scientifique… Pendant qu’il se livre à son expérimentation, il discute avec une apparition. Non, nous ne sommes pas à Lourdes ou à Fatima ! Qui est-ce ? Eh bien, l’apparition est « lui », en plus jeune. Vous suivez toujours ?
Ensuite, on se retrouve dans une cité aérienne britannique, avec monsieur Dorian Singer, encore lui ! J’en reste là pour ne pas spoiler. Comme j’ai acheté les deux albums en un coup, je m’en vais tout de même lire le deuxième… Et surtout profiter des fabuleux dessins…
Déception à la lecture de ce second tome qui ne ferme pas toutes les portes entrouvertes et finit en queue de poisson. Un diptyque qui n’en n’est pas un ? Contrairement à ce que je peux lire par ailleurs, si le dessin reste attirant, il m’a fallu relire certaines planches deux fois pour comprendre ce qui s’y passait. Un sentiment de confusion générale à la fin de cette lecture bien dommage car cette série avait fort bien démarré.
Côté décors, graphisme, dessin et colorisation, ce second tome est tout autant réussi et divertissant.
En revanche, le scénario faiblit un peu et l'explication est toute simple. Ce qui était à la base annoncé comme un diptyque, s'est transformé en série.
Du coup, l'histoire est devenue assez pauvre puisqu'il a fallu l'étirer un maximum pour couvrir d'autres albums. Ca se ressent énormément et c'est franchement dommage.
Même si l'ensemble est très bon, nous livre sa part de révélations et de rebondissements, et nous fait passer un bon moment, je reste un peu déçu et sur ma faim. J'attend de voir ce que la suite (qui a nécessité tous ces bouleversements) donnera. J'espère qu'elle sera à la hauteur du potentiel de cette série.
Apres un premier tome prometteur, l'essai n'est pas transformé. Le scénario se rêvele très décevant confus et finalement sans grand intérêt. On a du mal à suivre cette histoire embrouillée et ce deuxième tome qui devait initialement être le dernier ne révèle pas grand chose. Seuls les dessins méritent le détour. Mais ce ne sera pas suffisant pour moi pour continuer cette série.
Je sais que je casse un peu l'ambiance mais je n'ai pas vraiment aimé cette série. Je dois reconnaître que les décors et le graphisme de cet univers steampunk est vraiment somptueux. Rien à redire sur le dessin de Patrick Laumont !
C'est le scénario et la mise en œuvre des idées qui pêchent. Cela commence par une scène d'une inégalable cruauté pour nous tenir en haleine mais on se perd vite dans les conjonctures. C'est très bavard par moment. Cela ne m'a point accroché au final. La lecture a été plutôt assez difficile dans l'ensemble.
Je pense que c'est dans doute le concept d'une contamination végétale et biologique au début du XXème siècle qui m'a rebuté dans l'idée. On est dans l'inconcevable avec des cités suspendues en 1909.
Moi, je préfère aisément passer mon chemin de cette terra prohibita. Je reconnais qu'il y a de l'originalité et une belle mise en forme, mais cela n'a pas pris avec moi. Par contre, c'est une série qui pourra plaire au plus grand nombre, j'en suis certain.
même si les dessins sont sympa et que le monde proposé était attrayant, c'est décousu et avec une pagination a revoir. On passe d'un lieu a un autre, d'une époque a une autre sans aucune narration, sans aucune explication. on a l'impression que des pages ont été retirées. un bonne dizaine de pages en plus n'aurait pas été de trop pour fluidifier tout ca ... quelle déception !!!!
Lisez cette série pour le caractère tout à fait remarquable des dessins et des couleurs. Chaque case est un chef-d’œuvre de détail et de beauté.
Côté scénario, moi non plus, j’ai pas tout compris, ni au tome 1 ni au tome 2.
Mais vu la splendeur des dessins, je pardonne volontiers.
Je dois être un peu demeuré (ou trop fatigué lors de sa lecture) car je n'ai franchement pas suivi l'intrigue... Le scénario de Filippi m'a semblé mal agencé et malgré un dessin splendide de Laumond, j'ai eu du mal à comprendre. Gros défaut de pas mal de BD actuelles, la finesse extrême du graphisme qui une fois réduit devient illisible...
Les auteurs ont construit un fabuleux univers steampunk dans lequel j'ai pris énormément de plaisir à voyager.
Nous sommes plongés dans un monde dans lequel une mystérieuse contagion botanique à sévie. Des secrets d’état y découlent et y sont liés. Certains cherchent à tout pris à connaître la vérité pendant que d'autres ont le champs libre pour mener toutes sortes d'expérimentations.
Filippi à réalisé un excellent travail de fiction en construisant tout son récit autour de ce thème de la "botanique mutante", qui devient presque un protagoniste à lui seul. Le rythme est soutenu et nous tiens jusqu'à la fin.
Les dialogues sont pointus et ciselés avec une narration travaillée.
Le travail graphique est lui aussi très bon. L'album est très esthétique et se rapprocherait presque d'une œuvre d'art.
Le dessin, très beau, fourmille de détails d'orfèvrerie qui nous transporte davantage encore dans l'univers. La colorisation très élégante et l'atmosphère qui s'en dégage, viennent agrémenter un peu plus la poésie des lieux.
On ressort de cette première partie à la fois heureux et convaincu par ce diptyque franchement réussi.