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Je viens de lire les trois albums de ce cycle à la suite.
Passe encore pour le premier, on peut supposer que le cadre se met en place, mais ensuite c'est du grand n'importe quoi ! À croire que l'histoire est écrite au fil de l'eau pendant un mauvais trip. On n' y comprend rien. Le dessin n'arrive pas à compenser la déception.
Je ne risque pas de continuer cette série, si d'aventure elle est poursuivie.
Ne perdez pas votre argent, il y a pléthore de bons titres à acheter.
Très mal présentée, la trilogie Shaolin s’avère n’être finalement qu’un prologue, ce qui permet de comprendre un peu mieux l’étonnante construction chaotique des albums et de son héros totalement insignifiant sur les cent-cinquante pages parues…
A cette première étape on voit se confirmer une grande cohérence dans la qualité comme dans les défauts des auteurs. Je ne reviendrais pas sur la partie graphique qui m’a parue très réussie et confirme le statut d’auteur à suivre pour Looky, porteur notamment d’un design en fantasy asiatique particulièrement attrayant en fusionnant l’exotisme fantastique des grandes saga à la Conan avec l’esprit extrême-oriental. Même s’il est plus à l’aise dans les panorama et scènes de batailles (donnant à certaines planches un esprit Warhammer du plus bel effet) que dans les gros-plans, le dessinateur apporte un vrai plus à cet univers avec ses encrages conséquents et un instinct de mise en scène sans faute.
Après une mise en place assez péchue bien que mystérieuse sur le tome un, une orientation vers l’action avec la fort réussie guerrière Yuki (qui ressemble plus à une héroïne que Nuage blanc), ce volume de « conclusion » développe de grandes batailles au sein d’une montagne enneigée avec un traitement chronologique qui laisse perplexe. Car à force de garder le mystère de Nuage blanc dans l’ombre et d’ouvrir de petites portes à chaque album le scénariste agace un peu en refusant de nous révéler qui sont les personnages importants, qui sont les méchants, qui sont les héros. La trame principale est pourtant révélée avec ce roi maudit qui abusa du pouvoir de l’Arme tombée du ciel et ce obscure confrérie chargée de cacher cet artéfact. Mais si la chasse à laquelle se résume l’album est claire et très lisible, les interactions et rôles restent bien brumeux, voir incohérents par moments. En annonçant plus clairement une saga en plusieurs cycles l’éditeur aurait permis d’apprécier cette brique introductive pour ce qu’elle est. A défaut il prend le risque de rater son lectorat et d’avorter une série qui a un vrai potentiel. Avec des défauts certains sur le plan de sa construction mais beaucoup d’atouts dans sa manche, Shaolin mérite de poursuivre les aventures de Nuage blanc (… et de Yuki!) et d’attirer votre curiosité.
Lire la chronique sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/01/16/shaolin-3/
Mauvais!
Le scénario est mauvais, les textes sont mauvais, les dialogues sont mauvais. Ça se lit très rapidement parce qu'il n'y a pas grand-chose à lire (heureusement!), et le dessin de Looky est très beau, mais l'écriture est très saccadée, simpliste, exagérée, clichée, sans saveur. Dans le tome 2, il y a aussi un bon vieil astérisque qui renvoie au tome 1, parce qu'il le faut bien! ($$$)
Pire, pourquoi Di Giorgio mélange-t-il les prénoms chinois et japonais? Ça se passe où, au juste? Shaolin, c'est chinois? De la soupe miso, c'est japonais? Allô? En 2020 (année de publication), ça passe encore ce genre de mélange des cultures asiatiques comme s'il n'y avait aucune différence entre elles? Je rappelle que l'histoire se déroule à une époque ancestrale.
Honteux.
Très partagé : le dessin est plaisant, même s'il est parfois difficile de reconnaitre certains personnages (j'ai joué au jeu des 7 différences en comptant les points de tatouage ou en cherchant la présence ou non d'une natte...)
Le scénario est confus pour ce qui est annoncé comme une trilogie. Le scénariste va devoir tout boucler en 52 planches alors que l'on a le sentiment que la "saga" se met à peine en place.
À moins que ce ne soit que la première trilogie d'une série de trilogie...
Cette belle couverture au logotype efficace a attiré mon intérêt alors que je n’ai jamais lu d’album des deux auteurs qui ne sont pas à proprement parler des débutants. Jean-François Di Giorgio a une vingtaine d’albums dans sa bibliographie et reste en terrain connu puisque son nom est rattaché à sa grande série Samurai, série concurrente chez Soleil du Okko de Hub sorti chez Delcourt la même année, à l’époque où les deux maisons se disputaient le secteur de la BD ado et fantastique. Looky est un autodidacte (j’aime les autodidactes parce qu’ils progressent sans arrêt!) qui s’est étrangement spécialisé dans des réinterprétations de contes et histoires célèbres, sans être resté particulièrement fidèle à une maison d’édition. En parcourant des galeries de ses albums j’ai été marqué par l’évolution non linéaire de son style, passé d’un classique de la BD à la Lanfeust à ses débuts à des planches impressionnantes sur la version SF d’Heraklès de Morvan, avant de revenir à une technique plus habituelle.
Cela se ressent en parcourant les planches très agréables de Shaolin, réhaussées par une colorisation plutôt chatoyante grâce à un choix de teintes élégant malgré un aspect final où ressort le numérique. Pour une BD de ce type ce n’est pas dérangeant. Surtout, le gros point fort des planches sont la finesse des décors, qui sont souvent le parent pauvre de la BD à l’heure des fournées pléthoriques hebdomadaires. Looky est très pointilleux sur ses arrière-plans alors que ses personnages sont encrés avec des traits un peu épais et ont d’étonnants problèmes techniques, surtout quand on voit la qualité sur de précédents albums. Très surprenant et assez inexplicable. Attention, la maîtrise générale est de très bonne qualité, les planches lisibles et par moment très agréables mais ces quelques soucis intriguent et rendent les scènes d’action pas aussi percutantes qu’elles auraient dû l’être. Un manque de temps? Sans doute…[...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/10/07/shaolin-lenfant-du-destin/