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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    sebastien01 Le 22/08/2021 à 13:32:47

    A l’image du premier volume des aventures de Wonder Woman scénarisées par G. Willow Wilson, le second continue d’opter pour une tonalité légère voire superficielle. Sa lecture ne m’a jamais vraiment intéressée, ça n’est même pas très enthousiasmant à regarder et j’ai fini par expédier les derniers chapitres (Wonder Woman 2016, #73-83 et #750 "The Wild Hunt - Finale").

    Deux histoires sont au programme de ce T2. Dans la première, Wonder Woman et ses copines sont de retour sur l’île de Themyscira par le biais d’une brèche temporelle qui ressemble beaucoup à une astuce scénaristique un peu trop commode. Et quelques coups d’épée plus tard (indolores, comme toujours), tout le monde a retrouvé la place qui était la sienne.
    Puis arrive la période "Year of the Villain", en VO, au cours de laquelle les super-vilains furent à l’honneur. Dans le cas présent, il s’agit sans surprise de Barbara Ann Minerva, alias Cheetah, l’ennemie jurée habituelle de la princesse amazone. Encouragée par Luthor, elle enragera, jalousera et affrontera son adversaire – jusqu’à brièvement endosser son costume – durant un trop long mano a mano. Les deux protagonistes multiplient les acrobaties épée à la main mais cela ne créé pas pour autant une dramaturgie suffisante. L’issue de ce long combat ne fait aucun doute, on ne ressent aucune véritable mise en danger de l’héroïne et il est donc difficile de porter un quelconque intérêt à cette seconde histoire.

    Plus nombreux encore que sur le premier volume, pas moins d’une dizaine de dessinateurs se relaient sur presque autant d’épisodes. L’ensemble est cependant cohérent puisqu’il s’agit d’un dessin standardisé, très typé "comics de super-héros" ; un travail correct mais presque sans saveur, dont Xermánico et Jesús Merino se sortent un peu mieux que les autres.

    sebastien01 Le 22/08/2021 à 13:32:28

    Après le run de Greg Rucka puis, un cran en-deçà, de James Robinson, tous deux publiés dans la série Wonder Woman Rebirth, voici une nouvelle série, en deux épais volumes de près de 300 pages, compilant la suite des aventures de la princesse amazone par G. Willow Wilson. Les belles couvertures par Jenny Frison font le lien entre les deux séries alors que ce genre de saucissonnage devient monnaie courante en VF lorsque le scénario change de main ou lorsque la tomaison s’accroit (Wonder Woman 2016, #58-72).

    Plusieurs histoires se succèdent durant les quinze premiers épisodes de ce T1 et, d’une manière générale, je les ai toutes trouvées très légères voire superficielles. Il n’y a surtout aucun enjeu durable ; en effet, chacune des tentatives pour mettre un tant soit peu Wonder Woman en danger est désamorcée en quelques pages. A l’instar de sa dispute avec le dieu de la guerre Arès à qui il suffit d’un chuchotement au creux de l’oreille pour lui faire rendre les armes. Ou à l’instar de sa dispute suivante avec la femme d’affaires Veronica Cale à qui il suffit d’une accolade pour la faire fondre en larmes.

    Les épisodes de transition sont navrants et oscillent entre le comique lourdingue avec un cheval ailé, un minotaure et un satyre et le grandiloquent avec un combat de géants. C’est à se demander si cette série n’est en fait pas à destination de jeunes adolescents. Il n’y a que la dernière histoire, dans laquelle il est question d’amour et qui met en scène Atlantiade, un personnage hermaphrodite – non-binaire dirions-nous aujourd’hui –, qui m’a paru relever un peu le niveau.

    Plusieurs dessinateurs se succèdent en raison du rythme de parution bimensuel en VO et, s’il y a évidemment du bon et du moins bon, dans l’ensemble, le dessin est correct et homogène. Si je ne devais retenir qu’un artiste, ce serait assurément le très bon Xermánico.