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Malgré un scénario pointu, ce cycle 4 ne m'a pas convaincu pour différente raison. La première est le changement du style et le caractère du dessin, des planches parfois trop détaillées, en plus d'une palette de couleur relativement terne pour l'ensemble du cycle, et surtout le Tome 12 "Les Eaux de Golan" je ne sais pas non plus ce qu'il s'est passé concernant le dessin peu ragoutant (ou est passé la sexiness de Carmen ?). Un tome 11 complexe qui n'est pas très plaisant à lire, comme le début du tome 12. Le scénario est aussi farfelu avec une Carmen Mc Callum qui semble indomptable, mais surtout invincible avec une force d'anticipation incroyable ; bref, la parfaite wonderwoman mais j'aurais préféré voir la sensibilité et les faiblesses qu'elle présentait dans le 3ème cycle qui la rendait plus humaine. Qu'on se le dise, ce cycle m'a clairement refroidi sur la série "Carmen Mc Callum" que je pense stopper sur ce 4ème cycle.
Dans ce cycle, le scénario gagne vraiment en maturité, aussi bien dans son propos que la profondeur des personnages. C'est bien la première fois qu'est abordé la relation entre Russel et Carmen (qui semblait même inexistante lors des 2 premiers cycles). Carmen montre alors une corde bien plus sensible qui la rend d'autant plus attachante. Mais elle ne s'attendrit pas pour autant non plus, mais cela la rend tout simplement plus humaine. Le T6 qui introduit le cycle est assez laborieux à comprendre, il faudra attendre le T7 pour obtenir des explications, c'est assez déroutant pour le lecteur. L'histoire autour des EGM (Être génétiquement modifiés) qui permet de les rendre plus performant physiquement est une idées bien orchestrées (avec ces possibles dérives). On en vient à des questions éthiques comme le clonage et ce qu'il apporte au monde et à la science. C'est un bon cycle par rapport au précédent, bien plus construit et mature, moins d'actions (même s'il y a encore beaucoup), plus de discussions.
D'un dessin global satisfaisant, c'est surtout le découpage de Carmen mc Callum qui est efficace et un bel exemple d'une œuvre dynamique, qui propose un vrai souffle dans le déroulé des séquences et des actions. Le dessin nous parle dans ce sens et sert complétement le dynamisme de la narration. En revanche, coté scénario, c'est un peu en dehors de mes préférences, la faute a un scénario trop politique sur fond de fin de l'humanité (une sauce qu'on connait malheureusement trop souvent). C'est un peu too much, comme les scènes d'actions ou ça tire à toute vitesse, je n'en suis pas friand. La recherche autour du monde futuriste des années 2050 est plaisant à lire. Carmen est toujours une femme aussi froide, mais on s'attache à son personnage parfois antipathique. Je crois bien que cette série n'est pas faite pour moi.
Si le T1 démarre de manière assez maladroite dans le dessin, mais aussi dans son scénario. Le T2 et surtout le T3 qui ferme ce cycle permettent de donner à la narration un cocktail explosif et bien orchestré. Des planches dynamiques, une construction de l'intrigue recherchée en plus du vocabulaire technique. On pourrait rapidement faire le parallèle avec "Aquablue" au niveau de la montée en puissance. Sauf qu'ici notre héroïne est une femme, Carmen Mc Callum qui a un coté froid, mystérieux, toujours un peu sexy dans son dessin malgré des tenues très strictes, c'est un personnage à part entière, pour l'instant assez peu attachant, mais complet. Et si je ne suis pas un grand fan, du futurisme robotisé avec une armada de pistolets, les personnages ont suffisament d'enveloppe et de profondeur pour en faire quelque chose de puissant. Notamment avec une chute bien sympa, un méchant intelligent et charismatique. C'est un bon début, même si j'en attends un peu plus que du "Il faut sauver le monde".
Un avis sur les huit premiers tomes..
Cette série est un des sommets de la SF en bd , avec L'incal évidemment et plus récemment Renaissance du même scénariste, sur un mode beaucoup plus réaliste celle-ci, j' y reviendrai quand j'aurai lu le tome 6 ..
Carmen Mc Callum est une héroïne incroyable,hyper balèze,un vrai plaisir d'identification. Les personnages secondaires sont aussi très réussis, je pense notamment au "méchant" généticien russe qui marquera le lecteur durablement .
Bon, j'y suis venu pour découvrir ce qu'avait fait Gess avant la Pieuvre, je n'ai pas été déçu, j'adore.
Donc si vous ne connaissez pas encore, gros plaisir de lecture en perspective !
Je mets 3/5 à cet album parce que cette série est une des meilleures des 30 dernières années.
Je viens de relire ce tome 12. J’hésite entre « les dessins sont bâclés » et « c’est juste moche » côté couleur. . Dommage parce que le scénario est vraiment d’enfer.
Il était temps d’arrêter ; dessin et scénario « faméliques »
Les multiples changements de dessinateur ont perdu l’esprit de Carmen. Dommage de finir sur un album aussi terne
Heureusement Duval s’est relancé magnifiquement sur « Renaissance »
super fin de série , album qui ne démérite pas les nombreuses aventures de Carmen , avec un scénario qui tient la route du début jusqu’à la fin pour moi c'est un top niveaux pour le plaisir de lecture
encore merci au auteurs.
Vous voulez de l’action ? Vous allez en avoir avec notre charmante mais violente Carmen Mc Callum ! Comme dit, cela va déménager ! Chaque postulat est facile : c’est tuer ou être tué.
La particularité de ce tome est d'être le tout dernier de la série avec une Carmen qui désire raccrocher définitivement car elle a quand même 37 ans. On va dire adieu à notre héroïne qu'on suit depuis 1995 c'est à dire au siècle dernier. Autant dire qu'on aborde ce tome avec une certaine nostalgie d'une époque désormais révolue.
Carmen doit sauver Tokyo d'une attaque de robots et de drones dirigés par une intelligence artificielle émancipée alors que la ville plonge dans le chaos. Autant dire que ce scénario de science-fiction peut s'avérer assez réaliste à l'avenir au train où vont les choses en la matière.
Dernièrement, un expert renommé déclarait dans les médias qu'il y a pire menace que le changement climatique à savoir l'intelligence artificielle qui risque de prendre le contrôle à la manière d'un Terminator. Un pouvoir qui tue, qui détruit, sans objectif annoncé et sans aucune empathie pour l'espèce humaine.
Le découpage des planches ainsi que la mise en page sont très dynamiques. Une belle mise en page attractive attire incontestablement l’œil. La palette de couleurs participe également à sa façon à l’action.
Un bon dernier tome pour un vrai plaisir de lecture. Une série d'anticipation assez étonnante que l’on peut détester ou aimer. Moi, j'ai toujours bien aimé. Cependant, je suis content que cela se termine enfin, n'étant plus trop adepte des longues séries.
Cet album de Carmen m'a bien fait plaisir !
Après un diptyque fadasse et décevant, nous retrouvons un épisode bien plus intéressant, espérons que le tome 20 sera aussi bon pour terminer en beauté cette aventure japonaise.
Carmen n'est pas qu'un opéra célèbre dont je vais bientôt assister à une représentation. Non, c'est également une guerrière qui n'est pas sans foi ni loi mais qui se met à la disposition des organisations pour offrir ses compétences dans des missions périlleuses au quatre coin du globe.
On va apprendre que Carmen est un bébé né à Barcelone pendant l'année du COVID (2021). Elle a désormais 38 ans en 2059 et elle habite Tokyo au Japon après sa guerre sibérienne et l'attentat de Londres. L'Europe est économiquement détruite et il faudra au moins plusieurs décennies avant de revenir au niveau.
Le Japon va également mal car il y a des coupures de courant qui sont organisés. On se rend compte que cela fait écho à notre situation nationale où nous avons failli vivre cela en 2023 du fait du manque d'énergie.
Evidemment, des organisations criminelles veulent détruire les centrales nucléaires en les empêchant de produire de l'énergie. Au Japon, elles sont désormais à la main des triades avec un accord tacite du gouvernement.
J'ai bien aimé ce tome où l'on voit une Carmen vieillissante mais qui n'a pas perdu de son talent de guerrière. Elle devra lutter cette fois-ci contre un vieil ami qui refait surface. Il y a toujours un jeu délicat des alliances qui sont changeantes selon les perspectives.
Il ne faut pas oublier que l'on est désormais dans un monde où l'ultralibéralisme est devenue la norme, où ce sont des grands groupes industriels qui gouvernent la planète. Il faut dire que c'est plutôt bien parti actuellement pour atteindre cet idéal chez les multimilliardaires. On songe à Elon Musk, Jeff Bezos, Donald Trump et d'autres magnats. On songe aux inégalités de richesse qui s'accroissent.
Cependant, ce néolibéralisme qui dure depuis 30 ans semble toucher à sa fin à cause de la contestation et surtout du grand effondrement. Bref, le contexte géo-politique de cette BD fait froid dans le dos tant elle décrit un futur tout à fait possible pour les prochaines décennies.
Il y a toujours du rythme et de l'action dans ce monde cyberpunk avec un effort particulier pour nous présenter en introduction l'univers géo-politique. C'est efficace dans la mise en forme. Bref, le plaisir de lecture est toujours présent.
Au niveau graphique, il y a une précision du trait qui est tout à fait remarquable en mettant les décors en avant. J'aime beaucoup la colorisation que je trouve adéquate à ce type de récit.
Un excellent tome qui fera plaisir aux fans de la série et au grand public. C'est de la bonne science-fiction d'anticipation.
Plus on avance plus je suis déçu par cette série que j'adorais. Les dessins sont juste moyens et le scénario plat. Je ne panse pas acheter le 19.
Le dessin a déteint sur le scénario, et définitivement douché mon enthousiasme pour cette série.
C'est affreux comme ce qui constituait ma série préférée a été massacré, par des dessins toujours aussi bâclés (regardez les décors, ils sont généralement horribles).
Du coup, le scenario m'a complètement échappé.
Je n'ai pas réussi à passer outre le dessin.
La comparaison avec "Renaissance", par l'équipe Duval/Emem, est terrible.
Que de regrets...
Je lache l'affaire.
Ce sera mon dernier album de Carmen acheté, tant que Louis sera au dessin.
Un album de fin de cycle...Pas de grande révélation, ni cliffhanger., juste une transition vers la suite. J'ai aussi trouvé moyen le dessin avec beaucoup d'approximation sur les grandes scènes, le trait est grossier et pas très engageant....
Avis sur la série:
Carmen Mac Callum est le pendant féminin de la série Travis par le même auteur (Duval) et se situant à la même époque du futur vers l’an 2050. Il existe même une série parallèle contant les récits de Carmen et Travis qui est malheureusement un ratage complet. L’action dans Carmen y est plus rythmée au détriment d’un scénario plus basique. Cela reste néanmoins intéressant. La qualité de la série ira justement en grandissant.
En effet, le coup de foudre n’a pas été immédiat avec cette série mais elle se bonifie au fil des albums grâce à l’intrigue. Le dessin reste toutefois assez quelconque. La mise en couleur est peu attirante du moins à ses débuts. Je n’arrivais pas non plus à m’attacher au personnage de Carmen que je trouvais un peu froide. C’est difficile d’appréhender une série dont on n’aime pas l’héroïne.
Cependant, je dois avouer que depuis le tome 6, cette série a atteint une forme de maturité aussi bien graphique que narrative. En effet, ce n'est plus de l'action à l'état brut mais une véritable réflexion, voire une densité du récit autour de sujets d'anticipation quelques fois complexes (ex: les dérives génétiques). Par ailleurs, le découpage dynamique révèle une grande maîtrise notamment dans les scènes d'actions.
Le tome 7 me réconcilie totalement avec le personnage de Carmen qui laisse enfin apparaître une certaine humanité notamment par rapport au drame qui l'a frappée dans son passé (p.10 où elle appuie sa main sur une photo du groupe de rock "the dirty Mac") et le drame qui va l'atteindre dans ce tome riche en émotion.
Je trouve également que le scénariste Fred Duval est très à l'aise dans ce monde de science-fiction. On sent une réelle efficacité notamment dans les derniers tomes. Une bonne BD de divertissement à l’image des films d’actions américains mais qui s'épaissit dans le récit au fil des tomes. Le changement de dessinateur ne m’a pas affecté pour le tome 9 car je trouve que la qualité s’est également améliorée de ce côté là. Bref, Carmen est devenue au fil du temps l’une de mes héroïnes préférées. Je suis également un lecteur assidu de son passé dans la série Code Mc Callum. Comme quoi, tout est possible !
Pour l’instant, la série se décline en 4 cycles assez distincts :
- 1er cycle (tome 1 à 3) : L’affaire Sonoda
Carmen aide à faire évader Sonoda pour le compte d’un yakuza. On fait la connaissance d’une tueuse hors norme et c’est bien de l’action à l’état pur avec toutes les maladresses du genre liées au manque de maturité.
- 2ème cycle (tome 4 à 5) : Le dossier Earp
Carmen enlève Samuel Earp pour le livrer à l’ONU qui constitue le dernier rempart contre les multinationales hyperpuissantes dans un monde où le libéralisme est roi. Cependant, Earp n’a pas dit son dernier mot. L’héroïne est toujours super vitaminée mais on voit l’ébauche d’un scénario qui commence à tenir la route.
- 3ème cycle (tome 6 à 8 ) : La question E.G.M
Carmen est appelée par Scott Brennan afin d’élucider la mort d’un vieil ami. Enfin l’âge de la maturité pour cette série qui va révéler toutes ses facettes.
- 4ème cycle (tome 9 à 12) : Le cycle de l’eau
Carmen se trouve impliquée malgré elle dans la lutte pour le contrôle de l’eau. Ce cycle semble compléter en parallèle celui de la série Travis où l’on retrouvera le personnage de Dommy, une intelligence artificielle émancipée.
- 5ème cycle (tome 13 à 16) : L’attentat nucléaire
Ce cycle est digne des précédents avec un événement majeur qui va bouleverser toute la donne. Il s’agit pour Carmen d’éviter deux autres attentats pouvant rayer une ville de la carte. On est évidemment sous le choc car cela pourrait s'avérer prémonitoire. Les I.A font également très peur. Je sais que demain, elles vont entrer en application dans la vie courante et dans nos entreprises. De la bonne science-fiction d'anticipation.
En conclusion, c’est une série qui au contraire d’Aquablue s’est bonifiée avec le temps.
Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4/5
Une des meilleures séries de SF des 20 dernières années. Si vous accrochez sur ce tome 1, vous lirez tous les suivants !!!! Déjà un classique, dont les thèmes sont toujours d’actualité. Une série culte (je me répète ?)
Le changement de dessinateur n'apporte rien, bien au contraire c'est pénible, ce n'est plus la même Carmen.
Quand au scénario il vaut autant que le jeu de mot foireux du titre.
Cinquième tome des aventures de Carmen McCallum qui arbitre le duel entre le marchand d'arme Samuel Earp et l'ONU. Si les dessins sont de bonne facture, l'intrigue ne laisse pas un souvenir impérissable.
On repart sur un nouveau cycle. Un album pour lancer la présentation des différents protagonistes et le contexte géopolitique sibérien.
A l'arrivée, je suis resté sur ma faim... j'espère ne pas attendre la suite trop longtemps...
Nous avons un peu de mal à reconnaître notre Carmen mais le dessin de Louis, plus épuré, n’est pas désagréable même si certaines cases auraient pu être mieux travaillées. Presque trois ans après l’album précédent, Je suis heureux de retrouver cette héroïne que j’adore. L’histoire se tient et il me semble que la suite sera plus rythmée par l’action. Pas si mal pour un retour. A suivre…
Je viens de lire ce nouveau "Carmen" et je suis très déçu.
Pas énormément déçu car je connaissais le dessin de Louis, que je n'aime pas à la base.
Je pensais qu'il allait faire un effort pour se mettre au niveau de ses prestigieux prédécesseurs (Gess et Emem).
Hélas, il n'a pas le niveau, et cela se voit.
"Carmen" était pour moi la synthèse la plus aboutie entre style graphique et scénario ; là, j'ai lu une série B que je n'aurais pas acheté si cela avait été le n°1 de ce titre.
Les dessins ne sont pas maitrisés, certaines cases sont des gribouillis (je n'exagère pas, hélas), l'aspect futuriste de certains véhicules a disparu, les design sont trop actuels, les décors ne font pas rêver, les personnages sont mal dessinés, les 2 acolytes de Carmen n'ont aucun caractère, je suis incapable de les distinguer ni les décrire, à part le fait qu'il y a un "africain" et un rouquin, et parmi les protagonistes, ceux à tête d'animaux sont très mal dessinés.
Bref, je suis très déçu et très inquiet pour l'avenir de ma série préférée, maintenant qu'il est entre les mains de Louis.
Finir comme ça, c'est triste. :(
Quatrième tome de la saga Mc Callum. Carmen et Naoko sont chargés par l'ONU d'arrêter Samuel W. Earp. Un album rythmé avec de multiples rebondissements. Les dessins de Gess sont efficaces mais les couleurs sont un peu vives.
Une jolie fin pour le meilleur cycle de la série Carmen McCallum.
Un coup de chapeau à Fred Duval pour la qualité de l'histoire et la complémentarité de son univers BD. Ce n'est, selon moi, pas le meilleur album de ce cycle mais il le conclut parfaitement bien. On reste dans du grand Cyberpunk, bravo. PacMan dans la série Carmen McCallum est certainement une des meilleures idées de Duval, car il est plus qu'ailleurs, à sa vraie place.
Un autre coup de chapeau à Emem qui a su s'approprier complètement l'univers de Carmen sur ce 5ème cycle.
Cette série est une des rares "pionnière" à ne pas avoir glissé sur le terrain de la simplicité et du marketing... Pourvu que ça dure !!!
Une vraie réussite.
Un tour de force.
Les adjectifs me manquent pour qualifier ce petit bijou de SF, qui est plus qu'une simple BD de Science-Fiction ou d'action.
ce 16ème tome vient conclure de fort belle façon une histoire entamée il y a quelques années. La fin est forcement dramatique, et très touchante.
Cette BD est incroyable.
C'est un peu un James Bond 007 au féminin (avec l'indication à la fin de l'album que "carmen reviendra", comme dans tout 007 qui se respecte !), mais dans une version "3.0", totalement en accord avec son époque (un monde global, connecté et de plus en plus robotisé).
C'est à ça que devrait ressembler un film de 007, au lieu des immondes navets qu'on nous inflige sous l'ère Daniel Craig.
L'histoire est intense, prenante de bout en bout, les personnages sont bien en place et chacun à sa personnalité qui donne de la chair à l'ensemble. On sait qui est qui, et dans quel sens il agit, ce qui est rare à notre époque où les Bd sont le plus souvent assez incompréhensibles, les personnages pas toujours reconnaissables.
Fred Duval est un génie de la vulgarisation scientifique qui arrive à incorporer les concepts les plus pointus dans une histoire grand public qui intéressera aussi bien les ados (l'action est forte et prenante) que les adultes confirmés (il y a de la réflexion sur le progrès scientifique et les risques qu'il comporte fatalement).
Ce futur est très crédible, et le dessin du dessinateur, Emem, y est aussi pour quelque chose. Quand il a repris la série des mains de Gess, j'ai craint pour la qualité graphique de la série, mais Emem impressionne par les progrès constants dont il fait preuve ; l'élève a surpassé le maitre, tant ses cadrages et le rythme qu'il imprime rendent la BD très facile à lire, et pourtant en incorporant énormément de design futuriste (un exemple ? le vélo très moderne , les airbags de voiture, ...) sans chercher à en faire quelque chose d'extraordinaire, mais plutôt du quotidien banal.
Les décors sont aussi fantastiques, le moderne côtoie l'ancien sans que cela ne choque visuellement ; on a l'impression que ce monde pourrait tout à fait exister, et que c'est déjà un peu le cas.
(seul petit bémol, les voitures font un peu ringardes, au regard du design des voitures actuelles ; l'action se déroulant 40 ans dans le futur, le design des voitures aura forcement évolué, plus que dans la série)
Bref, cette "série B" faussement intitulée ainsi est vraiment un chef d'oeuvre en gestation, la Rolls des série d'action futuriste, et on se rendra compte, plus tard, que nous lisions sans en avoir vraiment conscience une série culte.
Félicitations aux auteurs pour cette album et cette série géniale, sans égale dans la production BD.
Un must !!!
L'univers d'anticipation de Carmen & Travis est excellent.
Cette intégrale reste dans la lignée de la série, de l'action, des droïdes, des IA agressives et des flingues...
A noter l’apparition de personnages secondaire comme le grand hacker PacMan.
Les auteurs utilisent les aventures de Carmen pour nous montrer les catastrophes écologiques, qui vont avoir lieu dans le futur...
Suite du cycle entammé avec le Tome 13. Super album. Emem maîtrise ses personnages, il manque parfois un peu de finesse mais ça ne gâche rien. Côté scénario, on garde le rythme et ça fait plaisir de voir progresser une histoire à un rythme normal et pas ralenti pour faire 5 albums de plus (n'est-ce pas M. Léo ?!)... Les couleurs changent un peu mais l'abum n'en souffre pas.
Alors bravo aux auteurs et vivement la suite !
Superbe album, dans la lignée du précédent. L'histoire continue sur une belle dynamique et le cocktail "scénario + dessin + couleurs = super ambiance" continue de fonctionner. Excellent album !
Un tome des aventures de Carmen a dévorer sans modération.
On adorera cette vision futuriste de l'Afrique,ce monde où les robots sont parfaitement intégrés.
Finalement l'histoire est trop courte.
7/10.
Je n'écris plus très souvent d'avis en ce moment, une sorte de paresse ou de léthargie provoquée par le raz de marée des sorties mensuelles. Cependant, le nouvel épisode de Carmen m'en a donné envie. C'est surprenant de voir l'éternelle jeunesse de cette série que Fred Duval, le scénariste a alimenté avec un sacré talent. Ici, sous le crayon de Emem, Carmen a retrouvé une seconde jeunesse. Le récit est riche mais clair et l'action y est suffisante pour accrocher notre intérêt. Les planches superbement colorisées par Calvez nous livrent la vision de notre planète moribonde, maltraitée par les multinationales. Les aventures de Carmen mc Callum, sont plus efficaces pour la cause écologique que tous les discours des politiciens qui n'hésitent pas à retourner leur veste à la première occasion...
Carmen est de retour et ce tome 13 est un bon cru !
Je fût très déçu à la lecture du tome 12 à cause de l'histoire qui trainait, du dessin et des couleurs ternes et de l'apparition de Pacman. Je n'avais pas l'intention de relire une quelconque suite...
J'avais tort ! Une nouvelle histoire bien rythmée, un Pacman tout à fait à sa place (mis plus en avant que dans Travis), des couleurs retrouvées et le dessin de Emem qui tend vers la maturité. Tout ça nous donne un bel album qui relance une série qui, à mon sens, s'essouflait.
Bonne lecture !
Carmen, fidèle à elle même. Froide. De plus en plus , d'ailleurs. trop peut-être. Et de plus en plus dans un côté diplomatique, et moins dans l'action. Il bouge moins, cet album. beaucoup moins que les autres.
Le scenario est fouillé, comme toujours, mais il me manque l'action des premiers tomes... Pourtant il n'y a aucun temps mort, on accroche très rapidement !! Mais on reste dans la parlote....
Aucun regret en revanche sur le plan graphique, le dessin d'Emem est toujours aussi bon, mais c'est surtout la mise en couleur qui m'a fait plaisir, après l'episode précédent qui m'avait clairement refroidi..... Là le trait du dessinateur reprend ses droits !
Hâte de voir la suite !
Je viens de lire ce premier tome et je dois dire que je n'ai pas aimé cette BD... Les dessins sont pas mal au départ mais j'ai moins apprécié vers la fin. Il est parfois difficile de bien comprendre le scénario et de suivre la transition des planches (j'ai du retourné en arriere plusieurs fois pour mieux capter). J'apprecie le theme futuristique mais je n'ai pas aimé le theme fantaisie (par example l'esprit d'un dragon qui communique avec un mysterieux personnage). On ne s'attache pas vraiment aux personnages, y compris l'heroine qui semble avoir mauvais charactere. Bref, c'est une décéption.
Personnellement je trouve les dessins plus mauvais que dans le précédent opus et pourtant le dessinateur est resté le même.
Coté scénario rien à redire même si on atteint pas les sommets du tome 11.
A lire sans modération.
7/10.
Le meilleur tome de la série.
la faute à un scénario sans faille et à des dessins impeccables.
J'adore la galerie de personnages accessoires tous plus noirs les uns que les autres.
Un vrai régal.
9/10.
Un ton au dessous des précédents.
En effet plus qu'une BD de science fiction on a plutôt droit à un conte de légendes corses.
Heureusement le scénario est récupéré par de très bonnes scènes d'action.
7/10.
Les couleurs, mon dieu quel horreur... Ca m'a gaché la lecture de l'album. J'avais beaucoup apprécié le début du cycle, je suis un peu moins fan de la conclusion.
Au secours les couleurs et le dessin ... Sur le T11, ca passait encore mais là, c'est triste et compliqué à lire. On a du mal à distinguer les personnages dans toute cette pénombre et ce trait grossier. Bon l'histoire est un peu tirée par les cheveux sans être mauvaise mais il va être temps d'arrêter la série à mon avis !
Toujours la suite des aventures de Carmen avec l'IA Dommy implanté dans son cerveau.
Petit changement de coloriste, et à a grande surprise, j'ai vraiment apprécié, certe cela fait un peu bizzarre au débu mais au fil de l'histoire je trouve que l'enssemble colle parfaitement au scénarios que je trouve toujours au top.
Ils ont changé de coloriste et ça se voit....
Je viens de vérifier, C'est Pierre Schelle qui colorisait depuis la reprise du dessin par Emem, et ca se passait bien. Mais là, que dire, ca rend l'ensemble insipide.
Est-ce cela, mais même le scénario ne me semble pas à la hauteur.
Voilà la Mc Callum qu'on aime. Un brin d'aventure futuriste avec gadgets et gros calibres, un brin polar et en prime un nouveau dessinateur.
Que du bonheur!!
9/10.
En net progrès par rapport à l'épisode précédent.
On retrouve l'ambiance futuriste des premiers tomes et le scénario est nettement plus intéressant.
Les dessins restent médiocres d'où la note.
7/10.
L'histoire est assez banale et assez mal ficelée. On nage parfois en pleine héroîc fantasy avec centaure et sphinx (??).
La fin est trop rapide.
Là encore les dessins gâchent tout.
6/10
Fan de la série, je l'ai acheté sans même l'ouvrir.
Quand je l'ai ouvert, je suis retourné chez mon libraire, car je pensais qu'il avait un défaut d'impression tellement les couleurs me semblaient passées, ternes, sombres et vieillottes .
Mais non.
Pas de défaut, il est colorisé comme ça, ce tome 12. On se croirait revenu il y a 20 ans, voire plus...
Super déçu du coup, car les mises en couleurs étaient bien plus claquantes et semblaient plus travaillées sur les précédents tomes. Du coup le trait d'Emem est moins mis en valeur. Que s'est-il passé ? Pourquoi ce changement de direction artistique si soudain, en plein cycle ?
C'aurait été compréhensible sur un nouveau cycle mais là.... Et encore, pourquoi la revoir, après tout ?
Du coup je ne sais pas si c'est les couleurs ou le scenario, mais ce tome m'a paru long, trop raconté, trop stratégie/politique, avec très peu d'action, finalement. Ce qui fait toutle charme et la force de la série m'a semblé inexistant dans nouvel opus.... J'ai même eu du mal à refaire le lien avec Nouméa Tchamba pour le coup....
J'ai été déçu par cet album, principalement à cause des couleurs, très blêmes et sans le relief des précédents tomes. Le dessin aussi m'a paru moins abouti qu'avant, très rapide.
Cette fois Carmen c'est associé de manière forcé avec l'IA Dommy pour détruire un complexe de recherche dans les eaux dans le pacifique sud, car celle ci veut controler tout l'eau potable.
Pour une fois on a la possibillité de voire de beaux paysages.
Nous retrouvons Carmen qui doit faire une copie de certains dossiers qui se trouve dans la villa de De Cambre, pour cela elle doit aller en Corse ou une tempéte fait rage.
J'aime toujours autant cette série malgrés le changement de dessinateur.
Nouveau cycle pour la jolie et implacable Carmen.
Cette fois nous avoàns un nouveau dessin mais qui correspond tout à fait bien au trait de l'héroine, et qui lui rend un peu de jeunesse.
Ce nouveau cycle démarre très fort et ma fortement plus, et j'en redemande.
Vive la mercenaire Carmen mc Callum et impitoyable ou presque.
Fin du cycle en apothéose en se qui me concerne.
On y trouve la conclusion de l'histoire des 2 précédents tomes.
Cette fois l'histoire se passe dans l'espace sur un astéroide.
Les uns veulent éliminer les étres génétiquement modifiés, et Carmen Russel et les autres tentent d'empécher cela mais les choses vont pour une fois se terminer assez dramatiquement.
Cette suite de ce cycle est tout aussi bien réussie que le précédent, on ne s'ennuie pas une seconde, que du bonheur.
Carmen doit aller tuer un généticien en Sibérie dont elle à déjà eu à faire.
La couverture de ce 7ème tome est très jolie aussi.
J'ai vraiment aimé ce tome.
Cette fois nous découvrons une Carmen qui semble bien plus humaine qu'elle ne semblait l'étre dans les précédents albums.
En effet son compagnon Russel à disparu et elle met tout en oeuvre pour le retrouver, l'histoire nous réserves quelques surprises.
J'ai été conquis par l'histoire et par la superbe couverture.