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Mon Dieu que c'est compliqué. La série originale n''était déjà pas simple à suivre et on s'y perdait un peu par moment. Cette fois-ci on s'y perd complètement. Entre les espions américains, les espions russes, les agents doubles, les gentils qui sont des méchants et le contraire, les flashbacks, ceux qui veulent devenir calife à la place du calife et ceux qui veulent les 'en empêcher, ça devient ch... Excusez moi pour le mot mais il résume assez bien ma pensée. Plus de plaisir à lire ça. Comme c'est dit dans les commentaires, il faudrait mettre un terme à cette série. Quitte à privilégier la prometteuse série Jones.
Pour supporter la lecture de cet album, je ne pense pas que c'est un nouvel opus de XIII, mais une autre série que je connais pas.
Je trouve ridicule, le fait que Kelly / Jason, ait été dans une énième manipulation, avant de devenir XIII, avec "juste" comme mission le fait de tuer le dirigeant russe de l'époque...
Comme beaucoup, je pense que XIII a perdu , non seulement sa célèbre mèche blanche , mais aussi son âme au fil des albums post Van Hamme. Non pas que cet album soit mauvais, bien au contraire, mais il ne reflète plus le XIII tel que je l'avais découvert dans le journal Spirou en 1984.
En essayant de combler les blancs laissés par Jean Van Hamme dans le passé du plus célèbre amnésique de la bande dessinée franco-belge, Yves Sente en fait trop.
Certes, les lacunes de la période cubaine de Jason sont bien utilisées et le flash back sur chute de l'URSS sont plaisants à lire, mais trop de hasard, de deus ex machina rythment ce récit d'espionnage où gadgets et retournements de situation s'apparentent plus à un avatar de James Bond qu'à XIII.
Je vous conseille de relire "Cuba, où tout a commencé", voire les deux albums précédents comme moi, pour mieux appréhender un scénario assez complexe parfois trop subtil. Par contre, j'ai trouvé que seul, le personnage du capitaine Spark tirait son épingle du jeu dans un album somme toute moyen.
Quant au dessin de Jigounov, il colle de plus en plus vers sa série "Alpha" qu'au XIII de Vance. Et c'est assez déconcertant !
Par contre, cela m'a donné envie de me replonger dans les premières aventures de XIII que viennent de publier en n&b et en grand format les éditions Niffle.
Nous voilà repartir sur la série principale qui a fait le bonheur de mon adolescence à savoir XIII. Il aurait voulu tuer le président russe en 1984 au temps de la guerre froide. Si seulement, cela avait été en 2024, cela nous aurait bien arrangé ! Mais bon, il s'agit de stimuler la mémoire perdue de l'agent secret américain et pas forcément pour de bonnes causes.
C'est vrai que cette série a perdu de son âme en perdant ses auteurs d'origine. Il s'agissait de relancer cette franchise à des fins purement commerciales en exploitant le filon jusqu'à épuisement.
Notre héros essaie toujours de retrouver sa mémoire avec l'aide d'agents de services secrets qui lui parlent de son passé. Nous voilà plonger dans l'infâme pays de Poutine à savoir la Russie mais bien avant que sa clique mafieuse ne s'installe au pouvoir. On apprendra qu'à la suite du démantèlement du l'URSS, les occidentaux ont opéré afin que le pays ne sombre pas dans le chaos. Avec du recul, on aurait sans doute préféré...
Evidemment, on ne peut que se méfier dans ce milieu fait de manipulation et de trahison pour des intérêts nous dépassant. Bon, au final, ce tome sur cette guerre secrète des services secrets ne m'aura pas fait palpiter comme jadis. Cela devient vraiment lassant. Les habitués de la série qui fête d'ailleurs ses 40 ans pourront me laisser des commentaires après lecture pour confirmer ou pas....
Oui, force est de reconnaître que la série a perdu un peu de son charme en multipliant ses intrigues et surtout en voulant combler à tout prix les quelques zones d'ombre laissées par Jean Van Hamme comme par exemple le passage de XIII à Cuba où il va apprendre à devenir un sniper hors pair.
Il reste le contexte géo-politique qui reste assez intéressant car parois la réalité rattrape la fiction comme l’émergence d'un président tel que Donald Trump qui a tout de l'archétype du méchant.
Quoiqu'il en soit, je pense sincèrement que cette belle série mériterait une conclusion digne de ses débuts et plutôt rapide. Sans vouloir faire de méchant jeu de mot sur l'amnésie, on pourra oublier ce tome !
• L'aveugle reconnait l'amnésique, comme c'est poétique
• XIII finalement met un bonnet
• C'est quoi, cette fameuse « intuition masculine » dont tous les hommes se servent ici ?
• l'évasion de la prison est tellement dynamique
• un livre qui arrête une balle — classique
• une bonne page muette, très efficace pour monter le dédain des habitants
— une femme au destin tragique se bat pour sa vie tout en étant presque nue sur 3 pages d'affilée (13 cases au total)
— il fait hiver et le XIII ne porte pas de chaperon !
— jolie scène de téléphone qui sonne dans un appartement rempli de neige
— nombre total de femmes à poil : 3
— XIII ne se déshabille pas
— hilarant quand le chef du XIII lui parle du ciel comme Mufasa juste pour dire « tu sais bien faire du ski, fiston »
Faire un zoom sur une cassette enregistré par une caméra amateur — classique !
J'ai apprécié les cases où le sol occupe la moitié de l'espace lecteur.
Un mec à poitrine nue, c'est bien ! J'espère en voir encore plus dans les volumes à suivre
La Mangouste ressemble au méchant de Breccia
Un hors-série de la revue les Cahiers de la BD qui analyse avec justesse les 8 premiers albums de XIII. Au menu : interviews des auteurs, décryptage du scénario y compris dans ses premières versions, des ficelles narratives de Van Hamme, des personnages dont le charismatique major Jones, du trait brumeux de Vance, de sa composition graphique dynamique, des easters-eggs, des références au cinéma et à la pop-culture, de la colorisation gouachée de Petra... Sans éluder quelques archaïsmes, comme la place des femmes et le vocabulaire assez sexiste de l’œuvre.
Au final, j'ai trouvé ces Cahiers de la BD - Hors Série très réussis. C'est clair, c'est lisible, c'est assez complet, bienveillant même et profond. Pour moi, c'est une synthèse indispensable, qui contient les clés de compréhension de la série XIII.
Quelle œuvre, quel univers et que de rebondissements ! J'adore XIII, cet aventurier casse-cou à qui tous les ennuis du monde arrivent, que tous les puissants haissent et veulent éliminer. Il a toujours une chance extraordinaire. Cela semble évident si l'on veut être un héros de BD qui dure dans le temps. L'intrigue est vraiment bien menée, parfois un peu rocambolesque, pas forcément juste et un peu répétitive, mais on pardonnera tellement l'histoire dans sa globalité et riche et complexe avec de nombreux personnages. Merci M. Van Hamme
Le dessin de Vance m'a beaucoup plus également. Ce sont des traits très précis. Certaines cases donnent l'impression d'être des photos. Les personnages, bien qu'ils soient nombreux, sont superbement bien dessinés et identifiables du début de la série jusqu'à son final, le tome 19.
Part contre, j'ai trouvé que la suite de Senté avec le May Flower était carrément "too much", trop dans la surrenchère de vouloir faire plus fort que la précédente intrigue. J'ai essayé d'accrocher jusqu'au tome 26, mais j'ai trouvé ces histoires lassantes.
En bref, le tome 19 sera pour moi l'album qui conclut cette série exceptionnelle que je qualifie de culte !
L’album de BD "XIII- Tome 28 : Cuba, où tout a commencé" (2023-Dargaud) du scénariste, Yves Sente, et du dessinateur, Youri Jigounov, est un album de transition.
En effet, il nous conte comment l’extrême-droite manipule XIII, après avoir de nouveau « rechargé » sa mémoire pour qu’il soit élu vice-président des Etats-Unis. Mais, lors d’un voyage d’agents secrets à Cuba, on va lui redonner sa première mémoire, l’éclaircir sur son entraînement dans une base militaire dans le passé (d’où le titre de l’album), direction : Moscou.
Le scénario est toujours basé sur les récits d’espionnages internationaux et les pots de vin à chaque niveau des administrations (américaine, cubaine, russe) au milieu desquelles XIII recherche toujours sa mémoire effacée.
Et les dessins commencent à s’éloigner un peu des canons de Van Hamme.
A lire.
La meilleure aventure du second cycle de XIII. Des dessins clairs mais précis à la fois. Détails bien présents, avec légèreté. On retrouve du William Vance des premiers albums (case 1 planche 5, case 4 planche 2, case 3 planche 7, case 8 planche 13). Je félicite Bruno Tatti pour ses couleurs. Son travail embellit les dessins de I. Jigounov. C'est le cas, notamment, pour les planches 2 et 3, avec des teintes vert clair - vert foncé superbes.
Cette aventure est celle des femmes. Tout comme l'avait été "Le Dernier Round", on retrouve cette fois toutes les femmes qui auront marqué ce deuxième cycle (ormis Betty Barnowsky). J'ai beaucoup aimé le traitement de Janet Fitzsimmons. Serait-elle plus humaine qu'on aurait pu le croire ? Yves Sente nous laisse à penser que oui... Mais avait-elle, par exemple, cautionné la mort d'enfants dans un bus d'écoliers, vu dans un tome précédent ? J'avoue que ma mémoire me joue des tours... En tout cas, rares sont les bandes-dessinées où tant de femmes ont des rôles si importants ! Le capitaine Spark est de celles-là ; cette belle blonde est courageuse et redoutable. À sa manière et comme a pu le faire le Lieutenant Jones dans le premier cycle, elle illumine la saga.
J'ajouterai que Yves Sente prolonge le suspense grâce à cette mission intimée à Jason par la Fondation Mayflower, rendant plus indispensable la lecture de la prochaine aventure !
Un chef-d'oeuvre. Yves Sente s'inscrit encore un peu plus dans la lignée de Jean Van Hamme et dépasse même le Maître. Le script est puissant et cohérent. Un découpage des différentes péripéties parfait. Comme dans l'opus précédent, quasiment tous les personnages du second cycle sont présents, d'où une belle variété de caractères. Yves Sente, tout comme Jean Van Hamme avec l'assassinat de JFK, nous éclaire sur l'attentat des tours jumelles en 2001. Si un auteur imagine tout cela, alors pourquoi des élites puissantes ne l'auraient pas expérimenté ? Et qu'on ne vienne pas nous parler de complotisme : les artistes sont les premiers des lanceurs d'alertes.
Les premières cases me laissaient un peu sur ma fin. Pas assez de finitions, de détails (case 5 page 1, 5 et 6 page 2, 1 page 3) et un agencement bizarre, pas toujours gracieux (case 4 page 2, 3 et 4 page 3). Mais très vite l'action s'emballe, devient violente, cauchemardesque. Et là I. Jigounov s'améliore (case 6 page 5, 3 et 5 page 6). Les dessins montent en puissance (ormis la case 7 page 8 : la fumée et la poussière de l'explosion ne sont pas top, pareil pour les cases 1 et 2 page 9). On assiste alors à de superbes cases (5 et 7 page 12) et le meilleur reste à venir : case 4 page 23, 4 page 24, 6 et 7 page 25, 4 et 6 page 26 et le summum de ce tome 27 : la planche... 27 ! Elle m'a rappelé la maîtrise de William Vance lors des scènes nocturnes au Costa Verde...
Un grand album qui nous donne envie de connaître au plus vite la suite !
Y. Sente nous livre tout l'historique de Jason, du moins lié à ce deuxième cycle. Les recherches d'Annika, à la toute fin de l'ouvrage, nous éclaire sur ce qu'il y a à savoir. Admiration et honneur pour le Colonel Jones...
I. Jigounov livre à nouveau des planches somptueuses, en particulier les paysages du Banichistan et du Pakistan.
Un excellent tome, une fois de plus.
Un volume indispensable pour comprendre la saga, avec "XIII Mystery" (Tome 13) et "La Version Irlandaise" (Tome 18). Ce volume est aussi un véritable chef-d'œuvre visuel de I. Jigounov. On continue de trouver des références au style de William Vance (case 3 page 3, case 3 page 13) et d'admirer le talent de son successeur ! En effet, I. Jigounov est à l'aise partout. Les planches de l'exploration nocturne du château de Leiden sont merveilleuses ! Quelle maîtrise !
Y. Sente nous présente avec brio de nouveaux personnages secondaires. Je pense notamment à l'avocat Eugène Martello et à Georgia, l'automobiliste que dépanne Jason. Et bien sûr, la ravissante et intrépide Annika. Y. Sente nous offre un feu d'artifice de lieux, de personnages et de jeu de piste mémorable ! La saga XIII continue merveilleusement sa route, plus passionnante que jamais !
Des personnages cruels et meurtriers comme encore jamais vus dans XIII. Ils sont néanmoins "légitimités" par le complot diabolique qui est derrière eux, par cet organisation dont on devine l'origine, à la fin de l'ouvrage. I. Jigounov donne à Jason Mac Lane une nouvelle dimension à son passé, permettant de lui (nous) faire vivre de nouvelles passionnantes et terribles aventures.
Yves Sente assure au dessin, livrant même des personnages encore plus expressifs que William Vance. Il conserve aussi une partie de son style, tout en fines touches d'encrage, notamment pour les paysages et bâtisses (case 4, page 2 / case 1, page 7 ou encore case 6, page 38).
J'ai hâte de dévorer les épisodes suivants et de retrouver notre chère Lieutenant Jones...
Sans doute comme vous, j'ai eu une belle émotion et une certaine tristesse lors des 3 dernières planches de cet album. Mais l'aventure XIII continue, heureusement.
Certaines phases d'action ne sont pas très bien coordonnées (planche 29 et 40) comme si Jean Van Hamme n'avait pas assez clairement donné à William Vance, les éléments à représenter. Je trouve que certaines cases ne sont pas assez détaillées (case 8, planche 35 / case 7, planche 10 / case 4, planche 43).
Mais William Vance nous offre encore des chefs-d'œuvre, comme les planches 22 et 23 (en particulier la case 6 planche 23), la case 1 (planche 1), la case 6 (planche 2), la case 4 (planche 6), la case 10 (planche 7), la case 7 (planche 9) ou encore la case 1 (planche 11).
Jean Van Hamme met les femmes à l'honneur dans cette ultime aventure, notamment avec la belle "Diane" (Jessica Martin), en quelque sorte l'alter ego "sombre" du Lieutenant Jones...
Infini merci à Jean Van Hamme et William Vance pour ses grands moments de Bande-Dessinée !
Des dessins toujours aussi beaux, d'une grande précision. Comme dans les aventures de GIL SAINT-ANDRE, l'usage de la PAO est fort efficace (cases 2 page 9, 6 page 12 et 2 page 40). Des images de toute beauté, comme la case 5 page 6 (une des plus belles de la saga XIII) ou encore 6 page 12 et 6 page 19. J'aime aussi les clins d'œil au style de William Vance (les flocons de neige, par exemple, case 5 page 27).
Le scénario redevient diabolique, comme dans "Le Jour du Mayflower". En particulier, les crimes que n'hésitent pas à commettre la Fondation pour arriver à ses fins. Betty Barnowski est vraiment une femme incroyable ! Finalement, l'alter ego du Lieutenant Jones mais en rousse... Quant à Julianne, elle ferait presque passer Irina (vu dans les épisodes précédents) pour une enfant de chœur ! Cette aventure a vraiment mis les femmes à l'honneur, puisqu'on retrouve aussi Judith Warner ainsi qu'un club lesbien... Un excellent tome !
Un album incontournable de la saga, tant il nous éclaire sur l'identité de XIII. On peut même dire qu'il résume parfaitement son évolution. A lire donc en complément de "XIII : Identity" (volume 13 de la saga). A l'heure où l'on célèbre tant la monarchie britannique (j'ai écrit cette chronique quelques jours après le décès de la reine Elizabeth II), il est intéressant de lire ce 18ème et passionnant volume. Très belle narration et très bon script de Jean Van Hamme. J'attendais beaucoup, en revanche, de la collaboration de Jean Giraud au plus célèbre amnésique de la bande-dessinée. J'avoue de la déception, tant je pensais voir des cases mieux remplies, avec plus de détails. Je trouve son style trop épuré, par rapport aux premiers BLUEBERRY. Reste, cependant, de belles cases, telles les 2 et 3 (planche 7), 1 (planche 8) et 1 (planche 15).
Quoiqu'il en soit, lisez au plus vite ce 18ème volet de la saga... Vous apprendrez des choses passionnantes !
Album décevant...
XIII est devenu une BD lambda d'espionnage : en même temps c'était déjà le cas depuis plusieurs tomes...
Le tome 27 du second cycle de "XIII : Mémoire" rechargée (éditions Dargaud-2020) du Scénariste Sente et du Dessinateur Jigounov est un thriller politico-militaire.
Contrairement à la couverture, McLane /XIII ne va pas adhérer au Ku-Klux-Klan ( ouf) mais, comme le dit le titre, sa mémoire, qui est le fond humain de toute cette série depuis le début , va être modifiée de nouveau.
La deuxième intrigue est toujours aussi intéressante : étudier les fondements des USA et leurs démons ( Mayflower, Ku-Klux-Klan, pouvoirs du Président des USA et ses institutions …).
Dans cette politique fiction, le Capitol est rasé ainsi que les sénateurs et le Président , avec des moyens plausibles : attaques terroristes et drones tueurs.
Un nouveau Président autoritaire est donc nommé et XIII a disparu.
Le Scénario est posé, bien bâti et les Dessins dans la lignée de ceux de feu Vance. Un vrai plaisir.
Belle conclusion, avec une mise en abyme assez amusante (les grincheux diront que c'est du marketing mais ce ne me semble pas lourd).
L'autre aspect amusant de ce diptyque final est que c'est finalement le personnage très charismatique de Jessica Martin qui prend toute la lumière dans cette fin de série. XIII, Jones, Carrington, etc sont un peu transparents. C'est assez étrange. Les fans de ce personnage (dont je suis) apprécieront donc sans nul doute plus que les autres. En ce qui me concerne, je suis ravi.
J'ai retrouvé le plaisir de lecture que j'ai pu ressentir avec les premiers XIII, que demander de plus. Quant à la mèche blanche qui a disparu, ceux qui s'interrogent devraient relire l'album précédent ;)
“Expect nothing and you'll never be disappointed” que l'on pourrait traduire par : Ne jamais placer ses attentes trop haut.
Je trouve personnellement que le dessin est plus faible que précédemment. le trait est moins maîtrisé et où est passé le signe distinctif de notre héros préféré.
J'ai toujours été fan de cette série. Le titre nous rappelait que celle-ci avait débuté à Cuba. Je m'attendais à quelque chose d'assez puissant et évocateur de ce passé.
Malheureusement, le déclic ne s'est pas produit. Le récit patine autour d'une salle d'infirmerie et d'ancien personnages assez pathétiques qui reviennent à la charge. Le second souffle n'a pas vraiment eu lieu. Par ailleurs, c'est du réchauffé car on nous refait le coup de l'amnésique !
Evidemment, je suis un peu déçu par ce tome qui promettait. Je pense que les séries à rallonge ne sont jamais une bonne chose surtout pour les fans. Il faut passer parfois à autre chose. La saga XIII en prend un coup. Certains clameront que XIII est mort et enterré sur le mode comment tuer la poule aux œufs d'or. On peut les comprendre.
Je pense réellement que cette BD mériterait une conclusion digne de ses débuts et plutôt rapide. Bref, sans vouloir faire de méchant jeu de mot sur l'amnésie, on peut oublier ce tome !
A une certaine époque, la sortie d'un XIII était un évènement très attendu dans le milieu de la bande dessinée.Depuis quelques années, j'ai le sentiment que cette série devient une série comme une autre. Même chez les libraires, un nouvel album de XIII n'est plus aussi mis en avant qu'auparavant.
La faute à qui ?
Un essoufflement sans doute de la série, qui a transformé, Jason Mac Lane , en un objet de jeu d'influence entre de mystérieuses sociétés plus ou moins occultes, sur un scénario d'Yves Sente, qui a du mal à retrouver le souffle épique des premières aventures.
Pourtant, le dernier diptyque m'avait convaincu, et semblait renouer avec les exploits de XIII.
Avec cet album, au vu de la couverture, je pensais retrouver une sorte de hors série sur la genèse de El Cascador, hélas, il n'en est rien.
Nous retrouvons XIII (enfin ce qu'il en reste) au centre d'une nouvelle intrigue internationale où services secrets russes, américains et armée cubaine sont aux premières lignes, avec des gadgets dignes d'un James Bond.
Certes, cela se lit bien (avec un début un peu laborieux), le dessin de Jigounov est parfait, mais je n'ai pu l'impression de suivre les aventures de XIII, même si Jones et Carrington sont présents en arrière plan.
Bref, là où je pensais retrouver El Cascador, je lis , en l'espèce, les aventures d'un James Bond américain, d'où ma petite déception.
De très beaux paysages (l'île de Charlie Oxbow par exemple : case 1, page 5) tant exotiques que désertiques, avec toujours un très beau travail de Petra (l'épouse de William Vance). C'est le cas, par exemple, pour le terrible Monte Dos Colmillos (page 33). Mais ce qui est peut-être le plus beau dans les dessins de XIII, ce sont les images de pluie. Bande-dessinée sombre, avec un climat lourd qui rend bien l'eau qui tombe et qui masque en partie ce qu'il se passe (case 1, page 29 / case 7, page 32). Le tryptique page 16, 17 et 18 est puissant.
XIII est grand. William Vance est immense. L'histoire s'apaise un peu. Plus que la quête de l'identité de notre héros, c'est sur Frank Giordino que l'on se focalise. Allez, M. Jean Van Hamme, lâchez les chiens contre cet odieux personnage !
Cette aventure revient aux sources du mythe XIII : la conjuration pour s'emparer du pouvoir aux USA et le rôle de Jason Fly dans celle-ci. Le général Carrington prend une nouvelle ampleur et devient un personnage auquel on s'attache. Il serait utile de le revoir par la suite. Les planches 14 et 15 sont une merveille !
Rendons hommage à ce génie de la bande-dessinée qu'est William Vance. Ces planches, ses cases devraient faire l'objet d'une belle exposition dans un musée. C'est de l'Art. Du grand Art. Chaque page de l'album "3 Montres d'Argent" est éblouissante. Quelques exemples : la salle de fête, page 5 / la tombe de Tom McLane, page 15 / le franchissement de la frontière mexicaine par les 3 Irlandais, page 22 / l'escale de Liam McLane dans un port du Costa Verde, page 30 et toute la planche 43. Je rends hommage à Petra, formidable coloriste, qui nous propose une riche palette de tons, donnant ainsi un rhythme supplémentaire à l'histoire et aux dessins...
C'est reparti comme au début
Dommage que la fin ne soit pas à la hauteur de la série mais OK c'est difficile d'arrêter des albums qui font toujours des trés bonnes ventes
Une impression de déjà vue...
XIII est une fois de plus plongé dans un complot et quand on croit qu'il s'en sort s'est pour mieux replonger dans un autre....
Un dessin de bonne facture mais un scénario archi classique, vite lu et pas grand chose à retenir...
Un chef-d'oeuvre ! Tout y est, à commencer par les dessins magnifiques de William Vance. Suspense toujours aussi bien entretenu et personnages de haut-vol. Mention spéciale pour la belle et héroïque Lieutenant Jones... Cet album clôt intelligemment ce qu'on pourrait appeler le "1er cycle" de la saga. Un must !
Non seulement cet album est inutile mais sa numérotation est un piège.
Il a été numéroté 13 bis et je déconseille aux nouveaux lecteurs de la saga de le lire en treizième car il divulgue (pour ne pas écrire spoiler) tout ce qui se passe dans les albums à suivre voire ceux de la série XIII mystery. Donc fuyez car en plus on n'y apprend rien.
très très décevant, on est loin du scenario qui nous a fait tant réver
Dommage, il fallait arreter avant
Un album qui démontre qu'il faut savoir s'arrêter à un moment.
Scénario abracabrantesque, méchants extrêmistes de droite (plénoasme!), énième complot politique visant les Etats-Unis (re-pléonasme)...
XIII est une série qui commence au tome 1 et finit au tome 19, le reste n'a plus d'intérêt si ce n'est faire de l'argent facile.
Dans mon cas, c'est terminé pour de bon.
Le scénario à un petit air de la série TV "Designated Survivor "
"https://fr.wikipedia.org/wiki/Designated_Survivor".
ce n'est pas l'album du siècle, mais cela se laisse lire...
On a l'impression de tourner en rond.
L'ascendance généalogique de XIII est reprise, approfondie et enrichie. Tout cela s'étire en longueur et donne l'impression d'une histoire délayée à l'infinie ou, d'album en album l'intrigue n'avance plus.
J'ai beaucoup de mal à adhérer à cette histoire d'héritage qui s'étend sur 4 siècle et ferait potentiellement un scandale énorme.
Dommage, j'ai tant aimé les premiers albums...
L'album de trop sans point d'interrogation. et l'avis de bd91130 est extrêmement pertinent : j'adhère en totalité.
Voilà notre héros devenu à nouveau amnésique mais chimiquement ! Scénario de série B au cinéma !
Au secours il nous faut un Schwarzenegger ou un Batman... les USA sont au mains de l'extrême droite ...
On arrête vite : ça ne peut être qu'une machine à cash pour les éditeurs et les auteurs !
L'album de trop ?
Désolé mais cet album porte le deuil de ce fabuleux amnésique créé il y a bien longtemps par Vance et Van Hamme et qui m'a accompagné durant tant d'années. Disparu le scénario en miroir, fascinant et d'une complexité infinie, et pourtant toujours cohérent. La reprise par Sente n'avait pas trop mal commencé avec cette histoire de Mayflower, reprenant les ingrédients principaux, complots d'extrême-droite et amnésie problématique du personnage central.
Mais là, ledit personnage tourne au super-héros, chaque page est un mixte de film catastrophe, de cinéma d'action à grand spectacle avec force cascades, et à la fin un zest de roman d'anticipation pour couronner le tout. Des rebondissements improbables, parachutés, multiples. La machiavélique Janet tourne à la fille à papa un peu nunuche, tandis que la froide et impitoyable Julianne devient carrément bienfaisante. Cela devient grotesque. Pitoyable, misérable.
Enfin bref, c'est pas mon truc. Ça ne l'est plus !
Excellent album !
Le scénario est très abouti. La détermination des complotistes semble inarrêtable. Jusqu'à la dernière manipulation subie par XIII (je n'en dis pas plus...) dont on se demande comment il va s'en tirer dans les prochains albums, que j'attends déjà avec impatience.
Un album très surprenant.
Après cet album la Nation américaine est totalement bouleversée... tout comme notre héros Jason...
La suite s'annonce très étonnante.
Avis sur la série:
XIII est un must de la BD d’espionnage et du political-fiction. Les premiers tomes sont réellement passionnants. L’histoire va se compliquer singulièrement au fil des tomes. Le lecteur va devoir s'accrocher. On va finir par se familiariser avec les différents personnages charismatiques qui parcourent cette série survoltée.
Le dessin n’est pas vraiment « top » non plus mais on s’y fait. Par exemple, la tête du héros semble changer d'un tome à l'autre ce qui confère un caractère un peu brouillon à l'oeuvre. Pourtant, je me suis vite accommodé de ce style graphique un peu vieillot et aux couleurs fades.
C'est vrai que les derniers tomes semblent tirer en longueur. Les deux derniers tomes parviennent tout de même à clore la série avec brio. Il n'en demeure pas moins que c'est une série qui a connu un réel succès et qui est peut-être à la base de la BD « moderne ». En tout cas, c'est l'une de ses emblématiques séries qui m'a fait aimer la bande dessinée. Elle mérite amplement le qualificatif de culte. Avec ça, je rentre définitivement dans la catégorie des lecteurs « grand public ».
Cependant, il n’y a pas de mal à ne pas être élitiste dans le choix des bd cultes. Je crois que ce n’est pas pour rien que cette série a su s’imposer et devenir un véritable phénomène dans l’édition de la bd au même titre qu’un Astérix par exemple. Or, on aura peut-être plus de facilité pour un Astérix que pour un XIII à accorder la note maximale malgré la piètre qualité des dernières aventures calamiteuses du gaulois. J’aimerais rétablir une certaine équité et exposer le fait que XIII fait définitivement partie du paysage de la bd. Bref, culte et incontournable !
Et alors que l'on croyait que c'était définitivement terminé, voilà que le repreneur attitré de Jean Van Hamme à savoir Yves Sente reprend également la destinée de cette série après Thorgal. Nous revoilà dans un nouveau complot avec en prime un XIII en quête de sa mémoire. Le nouveau dessinateur reproduit à merveille le style graphique de William Vance.
Au niveau scénario, c'est intéressant même si on se demande ce que vient faire les pionniers de la civilisation américaine dans cette aventure. A suivre par conséquent. Et cette suite ne va pas trop décevoir. Il y aura sans doute moins de révélations surprenantes mais plus d'aventures. On sent qu'on est embarqué pour une longue quête avec la description encore vague d'un nouvel ennemi qui aurait été à l'origine du précédent complot. Même si la ficelle paraît énorme, on se laisse tout de même prendre au jeu. Oui, Sente est bien le digne successeur de Van Hamme puisque on en redemande malgré tout.
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.5/5
J'ai apprécié cet album qui relance presque la série qui s'embourbait depuis de nombreux albums...
J'espère que la suite gardera le mêle cap que ce 26ème tome.
Je précise bien entendu que nous ne retrouverons plus la magie des premiers opus.
Pas encore lu l'album et je mets un 3 étoiles par défaut.
Je complèterai plus tard, mais qu'est ce que c'est que ce nouveau format à la C...N ??
Du plus bel effet sur les étagères quand tu as la série complète.
Bien sur, le plus important doit être DANS le livre, mais si on voulait bien arrêter de '' changer pour changer'', ça serait cool.
Je suis assez étonné des très bons avis précédents tellement je me suis ennuyé dans cet album.
Le scénario est assez plat et le dessin… Ouvrez les précédents tomes de Jigounov et comparez. Nous n’en sommes heureusement pas au point d’IR$ mais il y a incontestablement une petite dégradation graphique.
La fin de l’histoire nous ouvre peut-être quelque chose d’intéressant pour la suite.
Concernant le nouveau format de l’album, c’est du grand n’importe quoi. A se demander si ce n'est pas une erreur de l'imprimeur.
Je retrouve dans ce 26 tomes tous les ingrédients qui ont fait la réussite de cette série. Il me rappelle la grande époque de XIII.
Les seconds rôles sont toujours très bien mis en avant et sont souvent autant intéressent que XIII. Ici, on a la chance de retrouver (un peu) Jones, qui est pour moi l'un des meilleur personnages féminins de la BD.
C'est vraiment un plaisir de savoir que cette série continue avec autant de qualités.
Très bon album !
Avec cet opus, j'ai eu la franche impression de revenir aux fondamentaux de XIII,avec une menace, un complot et un compte à rebours bien amené.Le scénario d'Yves Sente est si simple que j'ai pas eu besoin de revenir sur les albums composant le deuxième cycle, la lecture récente du très bon "XIII Hystory" ayant bien résumé l'ensemble.Bref, j'ai retrouvé dans ce 26ème volume tout ce qui me plaisait dans les premiers albums de XIII, avec peut-être quelques réserves (pour ceux qui ont été attentifs aux dernières pages de "l'héritage de Jason Mac Lane", la cible de XIII semble évidente)
Un scénario simple et efficace, un dessin impeccable de Jigounov (dessin qui manque sans doute un peu de chaleur), bref, XIII repart sur de bonnes bases.
Un regret tout de même qui réside dans le changement de format de l'album (y'en a un peu marre des séries changeant de format en cours de route) et dans le dos de l'album (où est passé mon XIII en rouge?). Tout cela fait un peu désordre dans ma bibliothèque.
Sinon, bon album.
je n'attendais plus grand chose d'une série que je suivais malgré tout par fidélité (avec tout de même quelques bons XIII MISTERY de temps à autre) et Ô surprise, j'ai été pris par ce 26ème tome, "page turner" au découpage très efficace et cliffhanger à la clé. Bon millésime!
Autant "XIII, l'enquête, deuxième partie" m'a semblé parfaitement dispensable, autant "The XIII history" m'a réellement passionné.
Je l'ai dévoré comme un roman policier.
Mêlant planches de bandes dessinées et textes biographiques, cet opus est habilement construit, avec quelques clins d’œil à Van Hamme et Vance.
Yves Sente développe là les éléments présents à la fin de "lhéritage de Jason Mac Lane"
A travers cet opus, c'est toute l'histoire des USA que l'on découvre, sous un jour nouveau
Je suis un grand fan de XIII, depuis son apparition dans le journal Spirou de juin 1984, mais j'avoue que la reprise de Sente & Jigounov n'a pas laissé de grands souvenirs dans ma mémoire
Avec ce hors série, j'ai eu envie de replonger dans les cinq albums signés par ces repreneurs, avant de découvrir " 2 132 mètres", le nouveau titre à paraitre ce mois-ci.
Bref, un très bon album qui me réconcilie avec le nouveau cycle.
Quel scandale. Comment peut on oser sortir un album aussi inutile, aussi mauvais. Comment Van Hamme peut mettre son nom sur cet album. Seul petit intérêt, la dédicace de la dernière page. A fuir de toute urgence.
Mouais, c'est un résumé en fait. On n'avance pas beaucoup dans le scénario. Mais y a de bons moments quand même et historiquement les dessins d'ambiance du 17ième siècle sont excellents.