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Aria est présentée comme la version féminine de la célèbre série culte Thorgal. C'est vrai qu'il y a quelques similitudes car il s'agit également d'une guerrière à une époque médiévale. Pour autant, je ne connaissais pas très bien cette série étant peu attiré au premier abord.
C'est sympathique mais sans plus. Les thèmes sont récurrents. L'héroïne aux contours assez généreux va de village en village pour aider les opprimés. Elle n'a peur de personne. Une femme comme je les aime! Non, je plaisante! Attention spoiler : elle sort toujours vainqueur de ces épreuves! Cela en devient un peu lassant à la fin même si la lecture reste agréable dans l'ensemble.
Aria se retrouve embrigadée dans une secte dangereuse, le centre de Baohm. Michel Weyland ne s'éloigne guère de son intrigue favorite dans cet épisode mais la lecture reste plaisante.
Aria tente de délivrer Florineige, prisonnière de Xarxiar le Magnifique. La première partie est sympathique jusqu'à la rencontre avec les Xérènes et les Krylfes, même si leur description reste superficielle. La deuxième partie est trop facile, Aria ne rencontre pas la moindre difficulté sur sa route !
Aria découvre des lettres dans un coffret et part à la recherche de son propriétaire. Si la première partie de l'album est plutôt plaisante, l'intrigue s'essouffle assez vite. La fin parait presque grotesque.
Série que je continue d'acheter pour ne pas avoir de trou dans ma collection, mais sans réelle envie.
Sacham, le fils d'Aria déjà adolescent, part retrouver son père Tigron pour essayer de lui pardonner. Aria est en retrait dans ce vingt-deuxième album centré sur Sacham. Si la situation initiale propose une problématique intéressante, tout s'arrange bien trop facilement.
Aria attend un enfant de Tigron. Elle décide de rejoindre l'Arnolite mais le voyage ne se passe pas comme prévu. Michel Weyland troque son scénario standard pour un thriller plutôt réussi. Aria la guerrière indépendante laisse la place à une future mère vulnérable qui doit maintenant compter sur les autres.
Aria rencontre des amazones et affronte un tyran local, Sacristar. L'intrigue n'est guère originale et Michel Weland semble tourner en rond. Heureusement, l'arrivée de Tigron humanise Aria qui peut enfin surmonter son traumatisme et avancer.
Aria est attaquée et emprisonnée par des brigands. Elle reconnaît en eux les membres de la bande à laquelle elle a appartenu à l'orée de son adolescence. Michel Weyland revient sur le douloureux passé d'Aria. La violence du viol contraste avec la fin de l'album.
Au programme de ce 17e opus, une forêt mystérieuse et dangereuse, le jardin de Satan. Aria retrouve Guévrenne, seigneur immortel, rencontré dans le volume précédent. Les dessins sont précis et réussis, Aria de plus en plus sexy et l'intrigue sympathique, même si les ressemblances avec les tomes précédents sont nombreuses.
Changement d'éditeur pour le 16e tome mais toujours les mêmes thématiques. Aria se retrouve dans une contrée où les droits des femmes sont maltraités. Elle rencontre une jeune mariée, Phanèle, qui pense être la réincarnation d'Ove, née cinq siècles plus tôt. Elle veut retrouver son ancien mari, Guévrenne qui serait encore vivant. Épisode sympathique malgré les faiblesses narratives.
Une nouvelle fois Aria se rend dans un village sous le joug d'un tyran, ici l'empereur Cirénodule. Elle rencontre Vendéric, un musicien qui lui révèle les secrets de ses ancêtres. Un album maîtrisé, à la fois poétique et violent, peut-être le meilleur depuis le début de la saga.
Aria revient à Tavelborg, la ville de son enfance. Elle aide une famille, attaquée par des soldats, qui comme par hasard possédait un trésor convié par son père... Aria se frotte une nouvelle fois à un tyran local. Un album qui manque d'originalité.
Aria se retrouve prisonnière d'une étrange communauté qui vit dans un paradis isolé des autres. Mais entre paradis et dystopie, la frontière est mince. Un épisode bien construit et agréable à lire.
Aria retrouve de vieilles connaissances dans ce douzième tome, notamment Glore, sans ses chevaliers d'Aquarius. La plus grande partie de l'album se déroule sur un nouveau continent, l'Améronne. L'esclavage est au cœur de l'intrigue signée Michel Weyland. Le style des dessins s'affine et le scénario tient la route.
Dans ce onzième album Aria ne défend plus les opprimés mais la cause animale en voulant libérer un taurok capturé par des chasseurs. L'intrigue tourne autour du nak, une boisson mystérieuse. Un album réussi où l'on voit Aria perdre un peu de sa superbe.
Dixième album et aucun tyran à renverser pour Aria. Elle est engagée comme mercenaire pour réaliser une prophétie. Évidemment, elle fonce tête baissée... Le renouvellement scénaristique est intéressant et l'histoire plaisante.
Michel Weyland change (un peu) son schéma scénaristique et laisse Aria suivre les traces de son passé. Les incohérences sont encore nombreuses mais la lecture reste agréable.
Une nouvelle fois Aria est confrontée à un tyran local qui maltraite Des opprimés. le schéma narratif est connu et Aria ne fait rien pour éviter les ennuis . Son comportement est même parfois incompréhensible. La lecture reste toutefois plaisante.
Comme d'habitude Aria vient en aide au premier venu et se retrouve entraînée dans des aventures ubuesques. La lecture est plaisante mais la fin est trop brutale avec un deus ex machina vraiment abrupt.
Après la rude bataille contre les chevaliers d'Aquarius, Aria croise le chemin d'une paisible famille dont le petit garçon a un lien privilégié avec une elfing. Sixième album plus poétique mais loin d'être paisible pour Aria. Attention aux redoutables elfings-arbres qui ressemblent furieusement aux ents de JRR Tolkien.
Suite et fin du diptyque sur le lac maudit. Aria tente en vain de prévenir les habitants de Dragunda du danger que représentent les chevaliers d'Aquarius. Aria retrouve sa ruse et son bon sens pour se sortir de bien mauvaises postures. Un album plaisant.
Aria se rend près d'un lac magique suite aux confidences de Stralabas le lépreux. Mais les pouvoirs magiques du lac ne sont pas ceux espérés. Première partie d'un diptyque où Aria subit les éléments sans vraiment maîtriser la situation. La série gagne en intensité et en intérêt.
Aria vient en aide à une petite fille dotée d’étonnants pouvoirs et se trouve mêlée à une incroyable vengeance. Un album plus abouti que les deux précédents.
Recueil de petites histoires indépendantes où Aria fait preuve de d'astuce pour vaincre ses adversaires. Lecture plaisante.
Aria prend la tête d'un dizaine d'hommes pour prouver à un seigneur local ses compétences militaires. Une première aventure plaisante.
Album intéressant, même si tous les synopsis finissent par se ressembler ; par contre, la hideur de la couverture a failli me dissuader d'acheter cet album !
Un album à relire en pensant aux pouvoirs actuels des religions et des religieux. Un procès en bonne et due forme aux sectes bien que les moyens utilisés par Aria à l'encontre des sectaires soient...pour le moins expéditifs. Michel Weyland montre encore ici son amour de la liberté et son dégoût des dogmes qui essayent toujours de soumettre les femmes!
Curieux cet opus qui s'il voit comme d'habitude Aria lutter contre un méchant finit par son assassinat et son élimination radicale sans l'once d'un remord. Cela dénote un peu, Michel Weyland nous ayant plutôt habitué aux bons sentiments et à l'esprit chevaleresque.
Pas de surprise pour le reste, on est dans le classique, côté histoire et dessins, plus de 30 ans d'expérience !
J'ai vraiment bien aimé cette histoire, bien que ce tome fasse suite au précédent que j'avais moins aimé, celui ci montre plus de choses passionnantes et m'a bien plus.
Cette fois Aria doit encore éradiquer un tyran qui sévit dans la région proche de l'Arnolite.
Bon j'ai bien apprécié ce trentième tome, l'histoire est plutot sympas, mais c'est tout de meme loin d'étre le meilleurs scénario de la série j'ai vu mieux, mais cela reste tout de meme agréable à lire.
Nous retrouvons Aria qui rentre en Arnolite, ou elle trouve son amie Rexanne bléssée dans son chateau, du coup, Aria vas essayer de retrouver les agresseurs et voleurs de son trèsor.
Cette histoire est plutot pas mal.
Ouais, un tome qui n'est pas trop mal, mais bien moin bon que les quelques précédents, et pourtant il y avait de quoi faire.
Aria veut essayer de comprendre pourquoi un groupe des meme bétes qu'elle portait tentent de la tuer.
Je ne sais pas pourquoi, je m'attendais à voir une grosse béte, alors qu'en faite non.
Encore un album qui m'a vraiment bien plu avec une touche de suspence.
Aria apprend que son fils Sacham n'arrive plus à guérir et qu'il est devenu une sorte de mendiant, sa mère cour alors à son secours.
Encore un album que j'ai trouvé vraiment pas mal du tout.
Alors qu'Aria se retrouve empoisonnée et mise sur un bateau par erreur, son destin vas lui étre donné de sauvé une siréne du nom de Florineige.
Ceci dit les sirénes sont plutot moches, mais bon.
Pour l'instant c'est la meilleure histoire que j'ai trouvé.
En effet malgré une histoire qui semblée assez simpliste et sans grand intéret au départ, avec le dévelopement et la continuitée du fil de l'histoire est devenue vraiment très bon.
Nous retrouvons Sacham qui décide de retrouver son père pour mieux le connaitre et ainsi éviter de faire des cauchemards qui lui rappel la tentative de meurtre que son père a voulu faire sur lui.
Un bon album dans son enssemble.
Vraiment pas mal du tout cette histoire.
Aria donne naissance à un petit Sacham, le problème est qu'il est couvert d'écailles avec des cornes, heureusement, les frones se métent tous à guérir le jeune garçon qui à grandi très vite en quelques jours.
Cette fois ci notre chère Aria se retrouve enceinte de Tigron et décide donc de retourner dans son pays natal qu'est l'Arnolite.
En chemin elle vas croiser un homme qui vas tenter de la garder pour lui.
J'ai bien aimé cette pression qu'Aria subit ainsi que son amnésie.
Nous retrouvons Aria, qui cette fois doit essayer d'éliminer Sacristar qui cherche à éliminer toutes les amazones du pays, heureusement pour elle son ami Tigron est là pour l'aider.
Encore une histoire que je trouve originale et qui m'a bien plu.
Cette fois Aria aide une femme qui se serait réincarné en Ove, à fuire son marie forcé et ainsi retrouver son autre mari qui aurait 467 ans.
J'ai vraiment bien aimé cet album, pour l'instant il fait parti de mes préférés dans la série.
Cette fois Aria croise la route d'un barde qui, lorsqu'il est censsé mourir lui donne certains pouvoirs dont celui de jouer parfaitement de la harpe, se qui va permettre à Aria de reverdir un pays à l'aide de ces sceptres.
Aria retourne dans la ville de son enfance ou elle vas essayer de récupérer un trèsor qui lui apartient et qui a été volé par les hommes du nouveau dictateur.
Une histoire ni mauvaise et ni transcendante.
Cet album aussi m'a bien plu.
Aria voit son cheval se faire enlever par un groupe de personnes, elles les les retrouvent plus tard, et fait la connaissance d'une jeune fille qui n'est autre qu'Arcane qui à grandi.
Là aussi j'ai bien apprécié l'histoire.
Voilà une histoire qui m'a bien plu, ou Aria se retrouve malgré elle esclave sur une galère qui part sur un nouveau continent et elle vas faire ressurgire un dieu qui avait disparu.
Un tome plutot sympas à lire mais pas génial non plus.
Aria tiens à sauver un animal capturé par des hommes pour le tuer, elle se retrouve dans une citée ou une boisson délicieuse provoque une maladie.
Ouais, pour l'instand je n'arrive pas étre vraiment fan d'Aria.
Cette série série à des histoires trop simple et pour l'instant la plupart sont sans grandes importances.
Nous retrouvons Aria qui passe dans une citée, ou elle semble y avoir vécu dans son enfance dont elle n'avais plus les souvenir.
Malgré cela cet album est loin d'étre transcendant.
Encore une histoire moyenne, ou Aria se retrouve prisonnière et esclave d'un fou, mais comme on sait, elle ne se laissera pas faire.
Bof pas terrible comme histoire.
Voilà une histoire sans trop grand intéréts.
En effet Aria aide une famille à retrouver leur fille qui aurait portait des diamants incrustés sur son visage.
La fin semble un peu baclé en plus, domage.