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AVERTISSEMENT : CE MANGA EST DESTINÉ À UN PUBLIC MATURE !
WOW! Quelle finale ! Ce dernier tome clôture cette série sur une apothéose des plus apocalyptiques. Dans cet ultime chapitre, l’auteur fait grimper les enchères à leur paroxysme avec, en plus, deux twists que je n’avais pas vu venir au cours des précédents volumes… le tout sur un fond de batailles royale qui ne vous laisseront presque pas souffler de la première à la dernière page..
Les points forts ; le graphisme comme toujours, y est impeccable. Du point de vue du scénario, ce sont le sacrifice de Musashi, ainsi que l’intervention de l’armé des démons, qui m’ont pris par surprise. Bien que le sort de Musashi m’ait attristé, l’arrivée de ces entités démoniaque m’a littéralement décontenancé. Vas t’ont en profité pour nous introduire à l’univers de « Devilman » (autre personnage de Go Nagai) ? C’est une bonne question. Quant aux scènes de combats, elles sont tout simplement superbes.
Les points faibles ; les seules que j’ai remarquées sont le destin de Musashi (parce que je trouvais ce personnage sympathique) et le fait que cette série se termine après 3 tomes; j’aurais vraiment espéré que l’histoire puisse continuer.
Mon opinion ; j'ai vraiment adoré cette saga. Si vous êtes comme moi, des nostalgiques des dessins animés des années 80, vous raffolerez tout autant ce produit… même si la violence y est des plus extrême.
En conclusion : Si vous avez aimé les deux premiers volumes de cette trilogie, vous allez aussi apprécier celui-ci. Actions, aventures, drames le tout assaisonné d’humour noir et absurde vous offriront un dépaysement garanti pour vous sortir de votre monotonie quotidienne.
Bonne lecture à tous.
AVERTISSEMENT : CE MANGA EST DESTINÉ À UN PUBLIC MATURE !
Comme le volume 1 finissait sur un suspense, l’auteur reprend, ici, l’histoire exactement là où il l’a laissé précédemment. Sans temps mort, l’aventure continue à une cadence effrénée jusqu’à une finale des plus apocalyptique.
Le thème principal de ce deuxième album, en est surtout la période nécessaire d’adaptation entre Ryô et Hayato envers leur nouvel équipier Musashi. Temps qui leur font cruellement défaut, car l’empire des Abysses ne leur occasionne aucun répit.
Les points forts ; le graphisme, il est toujours impeccable en plus d’appuyer l’action. Du point de vue du scénario, des pointes de cynisme absurde, telles les élucubrations déjantées du Professeur Shikishima), vienne atténuer les multiples séquences dramatiques que subisse nos héros tout au long de leurs sarabandes infernales.
Les points faibles ; un seul minuscule accroc qui se situe au niveau du dessin… pour une raison ou une autre, l’artiste a légèrement changé son style pour ce qui a trait aux illustrations des personnages. En effet, leurs aspects caricaturaux s’en sont retrouvés accentué. Ce petit détail agaçant n’enlève ou ne nuit en rien à l’histoire.
Mon opinion ; ce que j’apprécie le plus de cette série, hormis son côté nostalgique, sont les représentations biocybernétiques pour expliquer la genèse, ainsi que l’apparence des montres mécanique (alias Méchas) qu’affrontent nos protagonistes. C’est méchas créé de la sorte, sont des plus surprenant et peuvent donner de véritables défit pour notre équipe de protecteurs.
En conclusion : Si vous avez aimé le premier tome de cette trilogie, vous allez adorer aussi celui-ci. Actions, aventures, drames le tout assaisonné d’humour noir et absurde vous offriront un dépaysement garanti pour vous sortir de votre monotonie quotidienne.
Bonne lecture à tous.
AVERTISSEMENT : CE MANGA EST DESTINÉ À UN PUBLIC MATURE !
Je ne connaissais l’existence de Getter Robot uniquement que par le film « Goldorak contre le Dragonosaure » paru en 1976. En effet, c’est avec ce film que j’ai réalisé toute l’immensité de l’œuvre de Go Nagai. Les figures marquantes de Goldorak, Mazinger Z, Devilman, et bien d’autres encore, sont toutes sorties de l’imaginaire fertile de ce concepteur légendaire. Cependant, hormis ce que j’ai vu dans ce moyen métrage, je ne savais à peu près rien de ce robot.
C’est donc avec une grande curiosité que je me suis mis à dévorer ce magnifique cadeau de Noël, que m’a offert mon fils. Voici donc mon analyse :
Getter Robot fut imaginé en 1973 par Gô Nagai et Ken Ishikawa et diffusé sur les ondes de 1974 à 1975, pour un total de 51 épisodes. Cette série d’animation a été reconnue pour son innovation dans le genre des « super robots » en introduisant le concept d’engins séparé se combinant ensemble pour faire un super-robot. L’originalité de ce concept permettait à ces engins de se recombiner en une machine plus adaptée à la situation… et ce même en plein combat. En gros, Getter Robot est ni plus ni moins que l’ancêtre « spirituel » des Transformers.
Les points forts ; le graphisme ! Il est tout simplement génial. Les dessins de Ken Ishikawa sont tout bonnement grandioses. Le plan d’ensemble représentant les fonds marins en page 211 ou encore, celui du plan aérien en page 261 en est de très bons exemples. Quant au scénario, il suit admirablement le manga traditionnel… c’est-à-dire dramatique, chargé d’actions avec un tempo délirant, certes, mais très compréhensible et facile à suivre.
Les points faibles ; selon mon jugement, un seul ! Mais il s’agit plus d’un irritant que d’autre chose. J’aurais aimé savoir si le manga originel datait de 1974 ou bien s’il provenait d’un manga plus récent. Je n’ai pas réussi à le découvrir et il n’y a aucune mention de ce fait dans les pages de cette intégrale. Ce qui est dommage, car j’adore collectionner ce genre de petit détail.
Mon opinion ; lorsque j’ai commencé la lecture de cet ouvrage, j’ai été quelque peu pris de cours par la violence de certaines scènes ainsi que par l’éthique douteuse des protagonistes. Remarquez, je ne connais les œuvres de Gô Nagai que par le truchement de ses séries télé (probablement censuré pour la télévision occidentale), ainsi que ses comiques et bandes dessinées et autres œuvres littéraires…. Mais je n’ai jamais lu un de ses mangas. Donc je suis assez mal placé pour juger le niveau de violence dans ses histoires.
Ceci étant dit, on constate rapidement que l’auteur a adjoint ses héros d’une vision dans laquelle « la fin, justifie les moyens… quelque qu’en soit le prix ! » Lorsque l’on comprend ceci, on apprécie mieux leurs déterminations face leurs ennemies : Gore, l’Empereur des abysses.
D’ailleurs, c’est ce que j’ai apprécié le plus de cette histoire : ici, on a vraiment l’impression que l’humanité tout entière va réellement se battre pour sa survie, et non juste pour celle du Japon. Ceci étant démontré par l’amplitude à laquelle l’Empire des abysses peut affecter de larges territoires pour les faire régresser de quelque 65 millions d’années. Chose que je n’ai pas remarquée souvent chez les antagonistes de Gô Nagai. Habituellement, les plans de l’ennemie n’ont pour unique but que de faire sortir le héros dans l’espoir de réussir le détruire. Ce changement dans le Modus Operandi de l’adversaire ajoute non seulement de la profondeur au scénario, mais accentue de beaucoup le péril auquel l’humanité doit faire face.
En conclusion, j’ai adoré ce livre et le recommande à tous ceux qui ont la nostalgie des années 70 et 80… et je le suggère aussi à tous ceux qui aimeraient découvrir les créations fascinantes de Gô Nagai… Non pas seulement par nostalgie, car, sous un couvert d’apparence destiné aux enfants, ses personnages et scénarios font preuve d’une complexité à la fois surprenante et captivante.
Bonne lecture à tous.