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Pour moi, c'est le meilleur Jhen de ces dernières années. Le scénario tout d'abord, se base à nouveau sur des faits historiques et ne manque pas d'intérêt. L'histoire nous amène à découvrir les préjugés et us & coutumes du Moyen-Age. Mais elle est juste et tout simplement bien ficelée.
Le dessin de Paul Teng est absolument sublime. La ville médiévale de Trani y est magnifiquement bien représentée. On aurait presque l'impression nous aussi, lecteurs, de pouvoir s'y promener.
A acheter et lire sans modération (!)
Le scénario est excellent et original pour la série. On retrouve un Jhen un peu en retrait et dépassé par les événements, ce qui apporte un vent de fraicheur à la série.
Le dessin de Paul Teng est une nouvelle fois exceptionnel. Résolument moderne, il rends également magnifiquement bien nos villes européennes à l'heure du Moyen-Âge et nous proposent une immersion exceptionnelle; ce qui facilite l'appréciation du scénario.
Je recommande à tous les amateurs de BD historique et bonnes histoires. Décors et suspens sont au rendez-vous.
Casterman avait réussi à moderniser considérablement sa seule série historique sur le Moyen-Âge, avec des scénarii originaux & pertinent ainsi qu'un dessin résolument moderne.
Force est de constater qu'avec le retour en force de Jean Pleyers, ce 19ème tome n'est pas très réussi et vient casser la bonne dynamique de la série.
Y aura-t-il un tome 20? Je l'espère car ce personnage avec cet univers historique a un potentiel monstrueux, gâché par ce type de sortie qui vient briser la bonne dynamique de ses dernières années.
Tout n'est néanmoins pas à jeter dans cet album. Sans être exceptionnel, le scénario présente de l'intérêt. Qu'aurait donné cette histoire avec Paul Teng?
Bref, à lire si vous suivez la série. Mais je ne recommande pas à tous les fans de BD historique.
Le dessins de Paul Teng sort vraiment du lot. Il a su considérablement moderniser cette série et lui proposer un bel avenir.
L'histoire en elle-même est très bien construite. La Transylvanie est quasi absente de la BD hors univers de Dracula.
Comme souvent, cet album de Jhen se base sur des faits réels ce qui rends l'histoire crédible mais aussi intéressante d'un point de vue historique.
Album très décevant ! Le scénario est médiocre et le dessin est bâclé voire laid (les personnages et particulièrement les visages). Les enfants (à l’allure de gnomes sataniques) de la forêt sont particulièrement hideux, voire ridicules. Dommage pour une série qui devrait peut-être se clore plutôt que de partir en sucette.
C'est un sacré évènement que chaque album du dessinateur amblématique de cette formidable série, Jean Pleyers.
La couverture est dans le plus pur style Pleyers, celui qui m'a fait aimer la série.
Pourtant, cet album, s'il n'est pas complètement raté, n'est pas tout à fait à la hauteur de ce que j'espérais.
Le dessin de Pleyers, si il est toujours aussi fidèle à la série, a perdu en qualité. Melheureusement, le temps a fait son oeuvre, le trait est parfois tremblant et j'ai regretté qu'un assistant n'aide ce très grand monsieur de la BD a encrer certaines planches. Le résultat aurait été meilleur, certainement, car les cadrages, les couleurs, l'esprit Jhen est toujours là.
C'est émouvant de retrouver ce grand auteur, tout de même.
Le scénario n'est pas mauvais. On y retrouve les personnages emblématiques de lé série, avec grand plaisir me concernant. L'histoire se tient, même si je ne suis pas fan de ces uchronies dans lesquelles Jeanne d'Arc ne meurt pas. L'ambiance, ce Moyen Age à la fois sublimé et fidèle, est toujours aussi fascinant.
Au final c'est l'émotion des retrouvailles qui l'emporte.
Un album que j'aime, autant pour ce qu'il contient que pour le dessinateur qui l'a réalisé.
Merci M Pleyers !
Album très décevant, pas du tout dans la lignée de Jhen, histoire tirée par les cheveux et dessin d'une qualité médiocre, à éviter
Un premier tome vraiment très intéressant avec une très bonne base des dessins particulièrement brillants, beaucoup de recherche Notre héros et intéressant il passe de simple a conseillé royal et va découvrir tous les châteaux du royaume avec toutes les guerres qui s'ensuit. Il va decouvrir la vie de chateau ses injustices et ses délices. Le deuxième album est bien aussi.
Si on se base uniquement sur le scénario, cet album est excellent. Mais une chose me gène énormément concernant le dessin. Nous avons dix premières pages vraiment très bonnes comme Paul Teng a su le faire avec les tomes 15 et 16 et le reste me laisse sans voix tellement nous passons de la finesse du trait à un autre beaucoup trop gras enlevant toute délicatesse au graphisme. Peut-être un problème avec la colorisation ? Pleyers avait de trop gros pinceaux ??? En tout cas cela gâche l’ensemble. Dommage car le scénario de Valérie Mangin est bien pensé avec peut-être un petit bémol sur Jhen qui est souvent là en spectateur et sert un peu de faire-valoir sur la fin à Adèle.
Il était temps de fermer le ban avec cet "ami" aussi torturé qu'encombrant pour Jhen (etre pote avec un tueur en serie , et pédophile de surcroit ,il fallait le faire). Le concept est quand meme difficile à défendre! Meme si , flirté avec la" limite" est une des marques de jacques Martin
Ceci dit , je regrette aussi les dessins de Paul Teng , plus clairs et un scenario un peu "haché " et un peu "sec"
On peut dire ce qu'on veut des Américains mais ils restent les maitres du proces qui vous captive !
Difficile de croire que cet album a été scénarisé par Jacques Martin: le déroulement est chaotique, les rebondissements parfaitement improbables, et le tout manque cruellement de rythme… Enfin, le souci de véracité historique propre à la série laisse la place à un scénario sans queue ni tête, avec un côté fantastique complètement absent de la série jusqu'à ce tome.
Une grosse déception…
L’histoire de Gilles de Rais, héros de la guerre de cent ans, reconnu comme l’un des premiers serial Killer est vraiment passionnante. Et il s’agit de l’atout maître de cet album. Je suis un peu moins fan des dessins de Jean Pleyers. Il est dommage que Paul Teng ne soit plus à la baguette. J’espère qu’il reprendra le flambeau pour le tome 18.
Je pense que tous les personnages ayant réellement existé et concernés par cette histoire ont dû se retourner dans leur tombe (s'ils l'ont encore) en prenant connaissance de ce dernier volume.
J.Martin lui-même a dû tourner à la vitesse d'un ventilateur.
Comment a-t-on pu imprimer et mettre en vente une telle ineptie ?
Il parait que le procès de Gille de Rais est conservé aux archives de Nantes et que ce qui y est rapporté est particulièrement atroce. On comprend donc que cela n'a pas sa place dans une bande dessinée mais de là à sortir ça !
D'autre part, s'il est de bon ton aujourd'hui de fustiger les prêtres et les moines en les accusant de tous les maux et de toutes les vicissitudes, est-il nécessaire de faire cette narration ridicule d'un Jhen planqué dans une abbaye qui surprend des moines faisant un culte à Satan ?
Si on ne m'avait pas prêté ce livre, j'aurais exigé que le libraire me le rembourse.
Quand je pense que chaque album de Jhen est pire que le précédent et meilleur que le suivant, le seul intérêt que je porte désormais à ce personnage est de savoir jusqu'où oseront aller ceux qui ont remplacé J.Martin.
Après avoir hésité à acquérir l'album, un peu perplexe quant au changement de scénariste et à la mise en couleur plutôt désuète, j'ai finalement décidé de le lire et je ne regrette absolument pas. Car il s'agit là d'une solide réussite.
Voilà une série qui traverse admirablement le temps tout en conservant le classicisme qui en fait le charme et la saveur. Le scénariste introduit ici quelques éléments tordus et fantastiques (et parfois surprenants pour les amateurs de Jhen) qui donnent au final un goût étrange et très séduisant à ce dernier album.
Il s'inscrit dans la série, bien sûr ... mais quel scénario décousu, avec un manque d’homogénéité .. qui fait que le lecteur perd l'histoire ... on est obligé de revenir en arrière pour comprendre certains passages. Très déçu ... et le trait du dessin est limite de la ligne claire habituelle. Hormis le collectionneur, choisir un autre volume de la série ! ... les auteurs se sont décrédibilisés à s'essayer à cette série. Quelle catastrophe !
Jhen et son compagnon Venceslas arrivent dans la ville de Trani afin d’aider à la restauration de l’église San Nicola Pellegrino. Le mécène Madame Lucrezia Orsini s’occupe du financement du projet.
Quelques jours auparavant un marin arrivant de Gênes décéde étrangement dans une taverne. Un barbier a tenté une saignée afin de le sauver mais celle-ci sera la source d’une propagation de la peste.
Le mari de Lucrezia Orsini a emprunté l’argent du mécénat auprès d’un usurier Juif. Celle-ci voit alors une occasion, en faisant porter le chapeau de l’arrivée de la peste aux juifs, de ne pas rembourser l’emprunt et de satisfaire la haine qu’elle leur porte. Elle soulève ainsi la population mais, c’est sans compter sur Jhen qui va tout faire pour contrer Lucrezia.
Décidément, le dessin de Teng a donné une autre dimension à cette Série. Le scénario est aussi bien ficelé et on suit cette histoire avec passion où la population de confession juive est une fois de plus victime des idées reçues.
Je n’ai jamais vraiment accroché au dessin de Jean Pleyers aussi, Jhen n’était pas une série faite pour moi.
Mais avec Paul Teng c’est autre chose. Son dessin a su moderniser le personnage et il a surtout apporté du mouvement ce qui manquait cruellement. Le scénario de Jerry Frissen ne gâte rien.
Du coup nous nous retrouvons avec un très bon album mêlant le courage, l’amitié, l’aventure ainsi que les plus bas instincts. Hongrois et Ottomans s’affrontent pour une croix et beaucoup périront pour se l’approprier ou la récupérer.
J’ai adoré ! Il manque un je ne sais quoi pour en faire un excellent album. Mais maintenant c’est certain, si les auteurs restent les mêmes, Jhen va devenir une de mes séries préférées.
Au plus profond des mystérieuses Carpates enneigées, Jhen Roque et son ami Venceslas sont engagés par le prince Vlad Dracul. Le Dragon de Valachie veut agrandir et consolider le château de Târgoviste pour en faire "la plus imposante et effroyable forteresse visible sur le territoire menant de Budapest à la Mer noire". Mais une série de disparitions d'enfants mine le pouvoir du prince et viendra perturber les travaux de l'architecte. Jhen devra mener l'enquête pour résoudre le mystère. Le scénario se tient et la personnalité sanguinaire de Vlad Dracul tiendra toute ses promesses... Une bonne surprise.
Transylvanie, 1442. Les Janissaires de Corbaci Tursun Oktchanv mettent à sac les environs de la ville fortifiée de Sibiu. Ils s'emparent de l'imposant crucifix du monastère de Sainte Croix qu'ils comptent emporter comme trophée. Jhen se joint aux troupes hongroises du seigneur local pour délivrer son ami Venceslas, prisonnier des ottomans. Une belle histoire d'amitié et de bravoure. De superbes dessins de Paul Teng dans les paysages enneigés de Transylvanie du XV. Une réussite.
Belle redécouverte que voilà.
Un dessin plus "dur" au trait plus encré nous donnant un personnage plus nerveux et vieillissant. Une certaine petite distance au style de Jacques martin.
Mais aussi un bon scénario nous emportant facilement vers la page suivante. Pas de temps mort et notre personnage sera activement confronté à cet univers tragique.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu une aussi bonne histoire de notre héros.
Du bonheur.
Un bon scénario, qui tient la route, une bonne intrigue, et une fin non bâclée, phénomènes rares depuis plusieurs albums. En espérant de tout cœur que ça continue!
Le résumé de l'album dit : " ... une nouvelle aventure du héros médiéval de Jacques Martin, qui marque le grand retour de Gilles de Rais".
La seule chose à dire, c'est que Gilles de Rais n'aurait pas dû revenir et que les auteurs auraient dû avoir le courage d'en rester à l'album précédent.
Le pire du pire, c'est que j'ai acheté cet album malgré ma critique du précédent !!!
Je pense très sincèrement que je vais devoir consulter !
Franchement ! Je suis totalement d'accord avec l'avis ci-dessus.
Cet album est NUL. L'histoire n'a ni queue ni tête et en 48 pages, on passe du coq à l'âne. Le réalisme est proche de zéro.
C'est une parodie de l'Histoire !!! C'est le dernier album de JHEN que j'achèterai.
Il ne vaut rien.
Il m'est arrivé d'être déçu par un album d'un héros particulier mais ici, le seule note qu'il est possible de donner est une note négative.
Je ne parle pas du graphisme, c'est histoire de goût. Je critique l'histoire elle-même.
1 - 48 pages = 3 pages de sexe. Elles peuvent se comprendre dans certaines séries, chez Jhen, c'est un érotisme de cour d'école. D'autre part le dessinateur aime les pubis épilés, cela se voit.
2 - Des pages qui ne servent à rien si ce n'est parvenir à dessiner les 48 pages.
Exemples :
page 7 : Imagine-t-on Gilles de Rais, sur la falaise, à cheval une nuit de tempête apostrophant les navires passant à l'horizon ?
page 19 : Du remplissage, rien d'autre.
page 28 : Que cette page figure dans les voyages de Jhen à Bruxelles, passe encore, ici on remplit toujours (foutues 48 pages, comment les remplir) ?
3 - Une ignorance crasse de la société médiévale.
Je cite dans le désordre, ce serait trop fastidieux de faire un résumé page par page :
Quel était le châtiment pour avoir rossé (dans la mesure où cela eut été possible) les piqueurs du Duc de Bourgogne ?
Qui croira que le fis du Duc, tout bâtard qu'il fût, faisait visiter la ville à un maçon et courrait la ville, seul, comme un quelconque gosse des rues pour retrouver celui-ci ?
Inviter un maçon à la cérémonie de la Toison d'Or, ordre chevaleresque prestigieux à l'époque, c'est ignorer à la fois la hiérarchie sociale très stricte de l'époque et le protocole de cette réunion.
Quant à interpeler le Duc lors de cette cérémonie, se battre avec des écuyers et pouvoir quitter la ville sans être inquiété, visiblement le ridicule ne tue plus depuis longtemps !
Comment croire qu'un simple coup de coude dans l'estomac suffisait pour se dégager de l'emprise d'hommes pour qui le maniement des armes était presque quotidien et qui étaient beaucoup moins "chochottes" que ne l'imagine le dessinateur ? Les hommes d'armes partout présents n'auraient pas réagi au moindre tumulte ?
Dernier point, les décors. Dessinés à la va-vite, sans recherche ni imagination. La cour de Bourgogne était pratiquement la plus prestigieuse de son époque. Voir comment celle-ci est résumée page 46, de manière aussi terne ... c'est scandaleux.
Il semble aussi que la personne qui résume l'histoire chez BDGest ait aussi été catastrophée de cet opuscule au pont de n'avoir pas terminé le résumé !?
Que dire après avoir lu cet album? Avec un scénario d'une telle indigence, aux antipodes de ce que faisait Martin, tant du point de vue du découpage que du scénario, cette série si originale est coulée. Pleyers n'y peut rien, même si on l'a connu plus talentueux, son dessin fait toujours mouche.
Le premier album de Jhen est le meilleur, avec Jehanne de France, les dessins sont extraordinaires, très réalistes, et les décors sublimes.
On est dès le début envouté par l'atmosphère de la série, et l'ambiance rappelle les Alix et les Lefranc, notamment Le repaire du loup, bien qu'il soit dessiné par Jean Pleyers
Le meilleur de Jacques Martin et Jean Pleyers.
On est loin de L'or de la mort, mais cet album est le dernier Jhen intéressant de la série, après cela devient hideux.
Dans l'Alchimiste, la course-poursuite de Jhen et des moines est assez invraisemblable, mais le reste tient la route.
Retour après bien des années d'absence du héros martinien mais cette fois en l'absence de Jean Pleyers.
Si Thierry Caylan nous délivre des paysages splendides (la reconstitution de la forteresse de Sion entre autre), ses personnages sont moins réussis. Le problème du classicisme est que pour être pleinement efficace il doit être parfait ou presque. Ce n'est pas vraiment le cas ici.
Quant à l'histoire, elle se déroule en Suisse, c'est dire si elle se passe lentemeeeeent ! Les rebondissements aussi nombreux soient-ils ne font pas une histoire. L'une des erreurs de certaines BD (comme de films d'ailleurs) est de croire que l'action peut remplacer la vacuité du propos. Rien de très nouveaux à ce sujet puisque le scénariste, Hugues Payen, nous rejoue "les sorcières de Salem" au Moyen Age valaisan et ce n'est pas très enthousiasmant.
Trois gueux en armes inspectent la region de Sainte-Roye à la recherche d'une grotte mystérieuse. Pour être plus tranquilles, ils n'hésitent pas à prendre des otages. Mais Jhen veille ...
Retour de Gilles de Rais et du Dauphin dans l'aventure que la perspective du trésor des Templiers excite.
Nos deux auteurs vont abandonner la série pour un bon moment. Le coeur n'y est plus vraiment, les histoires patinent un peu. On a le sentiment que Martin veut écrire une oeuvre alors qu'auparavant il se contentait d'écrire des histoires et forcément on y perd au change.
Pleyers va reprendre le flambeau de cette fin du Moyen-Age et de la Renaissance dans sa série Giovani. Mais le succès ne sera pas au rendez-vous.
Il y a çà et là quelques pages intéressantes, d'autres qui sentent le recyclé comme l'épisode de l'aigle que l'on avait vu un peu différemment dans Alix (et que Martin tirait des auteurs latins !) et d'autres qui n'offrent aucun intérêt.
On se réjouissait d'aborder Florence mais elle n'est atteinte qu'après une vingtaine de pages inutiles, quant aux morceaux de bravoure, on les a déjà tant vu. Seul le dessin reste resplendissant.
A mon sens, l'album le plus faible de la série.
Beaucoup de parlote inutile, un ressort dramatique aussi tendu qu'un elastique en miettes et la folie de Gilles de Rais qui ne surpend plus du tout le lecteur mais qui finit vraiment par le lasser.
Pour plus d'explication, le lys c'est évidemment le roi de France et son Dauphin, le futur Louis XI, quant à l'Ogre faut-il vraiment faire un dessin ?
(A propos, ceux de Pleyers sont toujours aussi minutieux. Un vrai régal !)
L'Alsace est la terre natale de Martin, comment s'étonner qu'il y revienne régulièrement dans ses différents albums.
Cette fois Jhen est mandé par l'évêque de Strasbourg pour participer à la construction de la célèbre cathédrale. Or il se trouve qu'à peine arrivé Jhen est victime d'un accident puisqu'une pierre manque de l'écraser.
Accident ou attentat.
Si l'histoire est assez conventionnelle, on reste baba devant la beauté de la reconstitution.
Le Barbe-Bleue dont il est question ici n'est évidemment que le fameux Gilles de Rais. Le héros de la guerre contre l'Anglois commence à virer ferme dans le frappadingue.
Martin joue sur le mysticisme du personnage, mysticisme mâtiné de superstition, et sur ses pulsions meurtrières. On sent bien que Martin s'est attaché au "mareschal de France" et que seul son amour de la véracité historique va l'empêcher de jouer aux Alexandre Dumas de service, en tordant le cou à l'Histoire.
La guerre de 100 ans avaient jeté sur les routes des cohortes de routiers qui mercenaires sans solde se rabattaient sur les villes et les villages qu'ils pillaient sans remord.
L'album narre le siège d'une ville dans ce cas. Jhen fait bien évidemment partie des assiégés.
On le voit le scénario est simple mais l'atmosphère remarquablement rendu.
Un très bon moment.
Au plein coeur de la guerre de cent ans, Jhen est toujours au côté de l'inquiétant Gilles de Rais et l'aide lors du siège d'un château. Un deuxième album très bon mais un peu en dessous du précédent.
Une bd au scénario et aux dessins classiques mais très efficaces. Jacques Martin nous livre ici un ouvrage plus historique qu'Alix. En pleine guerre de Cent Ans, Jhen un tailleur de pierre rencontre Gilles de Rais. Commence alors une relation amicale mais pleine de suspicion.