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Pour la série au complet :
Je viens de boucler les 3 cycles de la série. J'avais lu uniquement le premier cycle il y a plus de 20 ans, et je n'y étais pas revenu depuis. Du coup, j'ai vraiment recommencé depuis le début.
Pour commencer, au niveau du dessin, c'est plutôt sympa. J'ai beaucoup aimé les soucis du détails des uniformes, des personnages et des paysages, je pense assez respectés historiquement parlant. Donc la graphisme est très plaisant tout au long des 18 albums.
Quant à l'histoire, c'est une véritable fresque historique. Les faits historiques sont précis, bien retranscrits en bd, et c'est très bien documenté. Les récits précis et historiquement fiables des grandes batailles donnent du corps à la série, et l'introduction de personnages historiques comme le zoulou blanc, ou encore le descendant de Napoléon 3 ou Baden Powel contribue définitivement au sérieux général de la série.
Bien évidement, l'histoire est très bien romancée. Les personnages sont attachants. Ils sont pour la plupart traités avec profondeur, rien ni personne n'est bâclé.
En fin de compte, la série couvre l'histoire des origines du roi Shaka et se déroule jusqu'à la fin de la conquête du Zoulouland par les Britanniques. Ca témoigne de la toute puissance de la couronne d'Angleterre, mais surtout explique comment les colonisations ont contribué à agrandir l'empire britannique au détriment de peuples et de cultures qui n'ont rien demandé à personne, et qui finalement se sont fait massacrer.
Au bas mot, c'est une excellente série, passionnante et très instructive. Pour les passionnés de bd historique, c'est définitivement un must.
1,4 sur 5 comment est-ce possible ? Quel scandale ! Le travail de Mr Ramaïoli est en tout point exceptionnel. Il fait partie des grands de la BD pour l'ensemble de son oeuvre. Je me demande bien qu'elle bande d'aigris se permet de "descendre en flèche" un travail aussi remarquable ? La critique est facile...
Voici la conclusion de cette troooooooooooooooop longue série. Ca a traîné en longueur, et finalement l'auteur nous balance une fin bâclée, condensée sur 2 pages, là où il y aurait eu de quoi faire 10 ou 12 pages supplémentaires. Cette fin rapide contraste avec le reste de la série qui prend son temps. En fait, je pense que cette série aurait pu être facilement condensée sur 10 ou 12 albums max au lieu de 18. Ca aurait déjà fait une longue série, mais au moins on aurait évité certains poncifs. Avec cette fin, j'ai le sentiment que l'éditeur à dit à Ramaioli : "maintenant tu nous donnes la fin, on n'ira pas plus loin, on ne signe pas de prochain album". Donc le gars a tout fait rentrer dans un nombre trop limité de pages. on peu bien sûr jeter la pierre à l'éditeur, mais si l'auteur n'avait pas tant fait traîner les choses, avait su mieux découper son récit, et avait eu l'intelligence de conclure plus tôt l'histoire, je suis certain qu'il aurait eu la possibilité d'offrir un fin plus aboutie. Dommage parce que sur le papier, ce thème des guerres zouloues était plutôt une bonne idée. Il aurait juste fallu un bon scénariste sachant découper convenablement un tel projet. Quand o n'a pas les épaules d'un tel projet on ne se lance pas dans une telle aventure.
Comme dans toute bonne pièce voici le troisième et dernier acte.
Arpès une enfance malheureuse, une ascension fulgurante et pleine de violence, voici Shaka Zulu, le Grand Eléphant, glissait progressivement de l'autorité à la dictature, de la sévérité à la cruauté, de devenir un Néron noir en quelque sorte.
Reconnaissons que Durand est vraiment à son affaire et que Ramaïoli sait aussi y faire. Pourtant, et ce sera ma dernière remarque, la série TV reste bien meilleure (je sais, j'insiste !).
Comme cet album est très bon c'est vous dire à quels niveaux elle se situe !
Le fait est que l'histoire du peuple zoulou n'est pas commune et mérite d'être contée. Le fait est aussi que ce peuple doit son développement et sa gloire à ce fameux Shaka Zulu.
Par rapport à l'époque de Kevin et Dundee, nous sommes à la naissance de ce grand roi quelques 90 ans avant.
Le tome précédent s'était appesanti sur son enfance difficile, rejetée, pleine de danger.
Ce tome-ci nous montre son irrésistible ascension.
Globalement je ferai la même remarque que pour le tome 7, à savoir que la série TV est bien meilleure. Ne serait-ce que parce que Henri Cele est véritablement habité par son personnage et se révèle un acteur hors norme.
J'avoue avoir été un peu déçu, non pas par l'album lui même qui reste excellent, mais par le fait que le scénariste s'est très largement inspiré de la mini série TV de 1986 "Shaka Zulu".
Pour ceux qui n'ont pas eu la chance de voir cette série (elle est disponible désormais en DVD), l'album semblera parfait. Pour autant, ceux qui ont vu la série sont obligés de faire des comparaisons et là c'est nettement en faveur de la série TV.
Suite et fin de la bataille de l'Hlobane. Cette bataille est l'une des plus complexes qui soient dans la mesure où la configuration très particulière du terrain revêt une importance capitale. Le grand mérite de Durand et Ramaïoli est de rendre ces combats de façon simple et lisible. D'une manière très générale c'est d'ailleurs vrai pour toutes les batailles décrites dans la saga.
Encore un bel album !
Après tant d'accrochages pas toujours heureux, les Britanniques ont décidé de reprendre l'offensive. Les deux premiers tiers de l'album sont donc dédiés à cette (im)préparation. Ceci nous vaut donc des scènes de camp qui alternent le dérisoire de la vie militaire, ses inquiétudes et sa nécessité de rire, histoire de chasser la mort qui rôde.
La dernière partie du livre parle du fameux combat de l'Hlobane et montre mieux le génie à la fois tactique et stratégique des "fils du ciel".
Un triple bravo car l'Histoire est respectée au carré et l'histoire racontée est passionante tout en n'étant pas manichéenne. Une superbe série.
Pour la beauté de la série, Kevin et Dundee seront de tous les combats. Cette fois ci c'est la bataille de l'Inyezane qui sert de support au livre. Il serait d'ailleurs plus juste de parler de la toute dernière partie du livre.
Cet album est en effet moins sanglant et moins guerrier que les précédents un peu comme une pause face à la nouvelle tempête qui va suivre.
Cela nous vaut de voir le caractère des personnages encore mieux posé.
Une grande saga, fort attachante assurément.
Aussi remarquable que les précédents, cet album constitue la deuxième partie de la bataille de Rorke's Drift. L'histoire se focalise sur la terrible nuit que subirent les tuniques rouges et leur courage.
C'est somptueux, historiquement parfait et prenant comme aventure.
Ceux que la période intéresse auont intérêt à voir le fameux "Zoulous" de Cy Enfield qui décrit justement cette bataille de Rorke's Drift. Pour celle d'Isandlwana, c'est "l'ultime attaque " (Zulu Dawn) de Douglas Hickox qu'il faudra voir.
Les anglophones qui voudraient avoir une version plus académique se tourneront vers "The Washing of the Spears" de Donald Morris. Bien que ce livre soit déjà ancien (1965), il est constamment réédité. Bien que je n'en ai pas la preuve absolue, Durand a du se nourrir de ce livre pour cette saga car on y retrouve au fil des albums maintes anecdotes.
Cela étant comme c'est de l'Histoire (avec un grand H) on doit retrouver les mêmes anecdotes dans d'autres livres ! (ils ne sont toutefois pas si nombreux)
Le premier épisode finissait sur le désastre d'Isandlwana, l'une des plus retentissantes gifles reçue par un empire colonial. Ce deuxième album évoque lui la bataille de Rorke's Drift, un combat mineur par rapport à Isandlawana mais qui eût surtout le grand mérite de redorer le blason britannique.
A la différence du volume précédent, Ramaïoli et Durand prennent le temps de décrire par le menu la montée des combats, ce qui rend sans doute cette épopée plus magnigfique encore.
Le tout jeune Kevin Stuart, écossais d'origine, a rejoint l'armée britannique. C'est presque un adolescent encore béjaune qui débarque en Afrique du Sud. C'est le début des guerres zoulous et le prétexte pour René Durand et Georges Ramaioli, vieux complices, de nous brosser la saga de cette formidable épopée zoulou.
La saga est composée de plusieurs cycles qui abordent de A à Z l'histoire de ce peuple. Le dénominateur commun, celui qui fait le lien avec l'action du présent et la mémoire du passé, est un guide aventurier du nom de Dundee que Ramaioli dépeint en Kirk Douglas.
John Dundee sera donc le mentor de Kevin, son père spirituel, celui qui le fera passer à l'état adulte. Car cette saga se lit aussi comme celle d'une quête. C'est en quelque sorte un roman d'apprentissage.
Ce premier album met non seulement en scène les principaux personnages mais dresse également les enjeux de la confrontation entre les deux peuples protagonistes de l'histoire.
Plusieurs planches d'une force peu commune font de cet album et plus généralement de la série un "must".