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L’action se situe au début du XXe siècle, dans une ville de New York qui s’apprête à connaître des élections municipales aux enjeux importants. Alors que des bandes font régner le chaos en ville, deux candidats s’opposent. Tandis que Gedeon Sikk, le maire sortant, entend répondre à ces émeutes par une surenchère de violence, Jessica Ruppert, démocrate, prône le dialogue et l’écoute de l’autre. Les intrigues qui se mêlent autour de ce passage aux urnes sont nombreuses. C’est dans ce contexte que Joshua Logan, ancien du Viet-Nam, tente d’oublier les horreurs de la guerre aux côtés de sa femme et de son fils. Pas facile, lorsque l’actualité lui rappelle sans cesse ce passé qu’il pensait révolu.
Le pouvoir des innocents est une série qui aura marqué de nombreux lecteurs. La raison de ce succès, mérité, tient dans la profondeur des personnages et dans la façon dont le scénariste, Luc Brunschwig, entremêle les différentes destinées pour livrer un tout cohérent. À la lecture, la crainte est parfois grande de voir les auteurs se perdre dans leur propre intrigue ou décevoir par une fin qui ne serait pas à la hauteur de l’implacable montée en puissance du scénario au fil des cinq volumes. Au final, le dernier tome est sans nul doute l’un des mieux construits qu’il m’ait été donné de lire : toutes les questions trouvent réponse et le final, grandiose autant que cruel et chargé d’émotions, ponctue comme il se doit cette série haletante illustrée par Laurent Hirn avec un talent qui s’affirme à chaque parution.
Un must en matière de thriller politique, riche dans son propos et infaillible dans sa narration.
Pour le premier cycle :
Super sympa ce premier cycle...
C'est la première fois que je le lis, et c'est une excellente surprise.
Pour les dessins, c'est cool, ca passe bien. Y'a mieux quand même à mon goût, mais ca va.
L'intrigue est vraiment chouette.
Les personnages de la bd sont très bien approfondis par l'auteur, il n'y a pas de questions sans réponses. Plus les albums avancent, plus l'intrigue se tricote, et pages après pages, on comprends le rôle de chacun des protagonistes.
La cloture du premier cycle est vraiment bien faite, surprenante, digne de grands scénarios de polars américains.
Bref... à consommer sans modération...
Je dois reconnaître que je trouve le dessin est un peu « vieillot » : tout est une question de goût; c'est purement subjectif. Passé ce critère, on a affaire à une grande série qu'il faut absolument découvrir.
L’histoire monte en puissance avec un scénario parfaitement huilé. Les transitions entre le passé et le présent des personnages sont très bien agencées avec une maîtrise parfaite de la narration.
La force de cette BD réside dans ses personnages et leurs histoires : la mort d’un être cher, la résurrection, le racisme et les violences urbaines…
Le final est une apothéose qui marquera les esprits de tout bon bédéphile. Le scénario de Luc Brunchwig est à la fois prenant et d’une intelligence rare car il appelle véritablement à une réflexion sur notre société contemporaine.
Note Dessin : 3.75/5 – Note Scénario : 4.5./5 – Note Globale : 4.25/5
L’édition intégrale n’apporte rien de plus que les cinq albums qui la composent. Les parties sont séparées par une page de titre.
Cette série est une référence, d’abord de par son âge, Luc Brunschwig ayant été un des scénaristes phares des débuts de l’éditeur Delcourt dans les années quatre-vingt-dix, à l’époque des premiers albums d’un certain Lauffray ou autre Vatine par exemple… Datée graphiquement, de par des couleurs que l’on faisait à l’époque et un dessinateur à ses débuts (qui progresse à chaque tome), le volume critiqué ici est le premier des trois cycles qui viennent de se terminer et reste totalement novateur dans son sujet comme son traitement.
Dans une ville de New York en proie aux violences et en pleine campagne pour la mairie, une série de personnages très différents, de toutes les strates de la société, vont s’entrecroiser autour d’une machination pour le pouvoir. Entre mafia, politiciens véreux, journalistes et citoyens marqués par une vie difficile, Jessica Rupert, une visionnaire idéaliste, est convaincue que l’intelligence peut conquérir la mairie de New York et rendre aux innocents leur place dans cette société inégalitaire…
Il est toujours compliqué de lire une grande saga avec un dessinateur débutant. Le niveau d’exigence graphique atteint par les jeunes dessinateurs aujourd’hui est sans commune mesure avec une époque où la pression était moins forte, les éditeurs faisaient leur boulot de lancer des jeunes, leur laisser leur chance. Je ne vais pas ici parler du débat actuel autour de la surproduction et du statut des auteurs (pauvres) mais le contexte actuel de la BD fait étrangement échos au sujet comme à la période de publication du Pouvoir des Innocents. Comme dit plus haut, l’aspect graphique ne doit pas vous dissuader de vous lancer dans cette aventure toujours pertinente et ô combien ambitieuse. Laurent Hirn propose dès les premières planches une partition, si ce n’est très technique, très respectable et il atteindra progressivement, avec une amélioration des couleurs dès le premier cycle, un niveau très agréable dans les cycles suivants.
En outre l’exigence du scénario de Luc Brunschwig, très cinématographique et original dans ses cadrages et surtout ses enchaînements, ne le rend pas facile à transposer visuellement. Car outre des effets atypiques que l’on trouve parfois au cinéma (des eyefish ou des perspectives faussées), la particularité du scénario est d’enchevêtrer les récits de manière perturbante au début mais ô combien efficace et intellectuellement motivante. Que ce soient les principaux protagonistes (le sergent Logan, sa femme, Providence le boxeur,…) ou des personnages secondaires, une narration continue l’autre, que ce soit dans le texte ou visuellement. En somme l’auteur utilise (là encore) le décalage entre image et son utilisé au cinéma qui permet d’emmener le spectateur sur des interprétations faussées de ce qu’il voit ou à l’inverse induire des similitudes. Vous l’aurez compris, Le Pouvoir des innocents est un véritable film en BD et pourrait sans aucun doute être transposé à l’écran pratiquement sans retouche.
Les thématiques abordées sont multiples même si elles correspondent à des sujets que l’on traitait fin 80 en BD comme à l’écran. La guerre du Vietnam, le traumatisme incurable, les riches et les pauvres en Amérique, la communication médiatique manipulatoire, tels sont les focus de la BD. Mais dans son aspect multiple le scénario ne s’accroche jamais sur un élément, entrecroisant l’ensemble en une toile cohérente, selon le personnage au manettes du récit à tel moment. Ainsi, l’histoire de Logan prends des aspects de film militaire alors que celle de Providence a l’image d’un film carcéral. Et ainsi de suite. En solo ces intrigues auraient été juste intéressantes, mélangées elles créent une dynamique qui immerge le lecteur dans sa complexité. On pourra néanmoins regretter un côté mièvre un peu insistant dès qu’il s’agit de Jessica Rupert. Un univers de bons sentiments un peu appuyés, qui restent cohérents par contraste avec la dureté des vies de ces « innocents » mais agace un peu la lecture par son côté premier degré.
Au final, avec ses défauts graphiques comme scénaristiques, Le Pouvoir des innocents reste une BD touchante par l’implication de ses auteurs, par le travail visible de Laurent Hirn, par son engagement politique réel. Comme toute l’industrie culturelle la BD a tendance à freiner ce qui peut sortir du consensus du loisir. Des BD comme celles de Luc Brunschwig ou Wilfried Lupano nous rappellent que l’imaginaire, le thriller, ne sont jamais aussi intéressants que lorsqu’ils se rattachent au réel et abordent des thématiques d’actualité et investissent le champ politique. Cette BD est un hymne à l’utopie politique, à changer le monde, à renverser la table des injustices d’un capitalisme triomphant. Merci aux deux auteurs de nous proposer cette bouffée d’espoir.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/06/14/le-pouvoir-des-innocents-cycle-1/
Je viens de relire le premier cycle (que j'avais lu il y a plus de 20 ans, pour les premiers tomes), avant de m'attaquer aux 2ème et 3ème (dont j'avais achetés et mis de côté les albums jusqu'à ce qu'ils se terminent).
Je reste sur la même impression qu'à ma première lecture : la chute, sensée être une apothéose, est peu crédible pour une oeuvre qui joue dans la division des "fictions réalistes" !
Difficile d'entrer plus dans les détails sans spoiler,...
Je ne remets pas en cause que cela puisse se passer, mais que cela puisse passer (sans être démasqué)
Juste ce détail qui ne spoile rien : 508 enfants passés dans le centre de Jessyca au cours du temps ? On a vu ce que c'était durant toutes les années où Providence en fit partie...Ca fait quoi, 3-4 par an, peut-être ? Et encore...
Comme dans une autre critique précédente, je trouve aussi que le côté "donneur de leçon" à connotation sociale/humanitaire est un peu gavant. Mais bon, là on peut encore mettre tout ça sur le compte de la fiction ;)
Ces critiques vont vers le scénario. Le dessin est assez correct (là je parle de l'ensemble de la série), quoique les visages mériteraient d'être un peu plus soignés.... Parce que parfois, soit ils sont difformes, soit ils ne ressemblent pas au personnage tel qu'on l'avait habituellement vu. Mais j'aime beaucoup le rendu global, (la couverture de ce tome 5 en est une parfaite illustration).
Bref, dans l'ensemble une très bonne série quand-même !
Faut juste pas trop analyser le scénario pour le dénouement.
"Le pouvoir des innocents" est incontestablement une très grande BD ; une grande œuvre tout court qui mérite 4,5/5 minimum – puisqu’il faut la noter. Car bien sûr, ce n’est pas parfait ni en termes de dessin ni en termes de scenario mais il serait mesquin et peu respectueux de pinailler sur des détails. Le travail des auteurs sur ce titre est exceptionnel. Il se dégage de cette intégrale une intelligence rare, une construction brillante, un équilibre idéal entre l’action, la réflexion, l’émotion qui ne peut que susciter l’admiration !
Excellente série. Intrigues politiques, complots, une Amérique au bord du gouffre, un héros tourmenté et totalement félé... Que du bon !
Le graphisme est très soigné et les dialogues bien tournés.
J'ai découvert cette série par hasard sur conseil d'un vendeur et je la conseille vivement.
Déçu, vu les très bon avis j'ai acheté pour voir à l'occasion de la sortie de la suite. Les deux premiers tomes sont très bons, l'intrigue se met en place et après le soufflé retombe, les trois tomes suivants ne sont que des flashs-back et des redites. L'association éponyme n'est presque pas développée et le rythme est complètement cassé par cette narration en voix off.
Pour moi une déception.
Du même auteur, "L'esprit de Warren" m'avait vraiment scotché, et c'est en toute confiance que je me suis lancé dans "Le pouvoir des innocents". Les critiques à l'égard de cette série m’enthousiasmaient tout autant.
Si les deux premiers tomes m'ont vraiment emporté, j'avoue que les trois derniers ne m'ont pas passionné...
Attention, je ne dis pas que la série est mauvaise, loin de là, mais je ne sais... Pas mal de détails auxquels je n'ai pas cru, des petits incohérences, beaucoup (vraiment beaucoup) de bons sentiments, de "leçons de vie", et du coup, j'ai été... Gavé...
Ainsi, après un démarrage superbe (tomes 1 et 2), puissant, stressant, on s'enfonce dans la pédagogie, presque dans la "guimauve" (toutes proportions gardées) et on reste sur notre faim (ou notre écoeurement). Dommage...
OUhlàlàlà, quelle bombe ! Nous voilà dans une introduction à la FF Coppola! Vous vous souvenez du début du film où les rotors du ventilo renvoie aux pales de l'hélico et nous voilà dans les méandres de la guerre du Vietnam.
Joshua, traumatisé de cette guerre, qui de nouveau "lutte" contre ses souffrances permanentes et quotidiennes. La dimension de la "lutte" contre soi-même ou le système est central dans ce livre. Violence rude où desoeuvrer, rien n'a de sens que la survie. Nous avons un exemple du mode de fonctionnement du cerveau instinctuel où la raison et la réalité sont perdues.
Très bien imagé, malgré un dessin (peut-être), je vous invite à le lire.
Fin de la série.
On y redécouvre le nouveau sergent Logan et le vrai visage de Providence.
un tome riche en rebondissement avec des personnages tout en contraste.
Mais personnellement j'ai trouvé l'idée du "suicide collectif" peu crédible et cela a un peu gaché mon plaisir.
Néanmoins pour résumer une superbe série mélangeant polar et politique fiction au scénario original.
7/10 pour ce tome (mais 9/10 pour la série).
Quatrième tome d'une série très structurée livrant de tome en tome sa dose de secrets et de révélation.
On sent de ce tome un changement d'orientation de la série et certain personnage se révèle enfin au grand jour.
En attente du final.
8/10.
Un tome saisissant puisqu'il fait ressortir toute la noirceur et l'humanité du personnage de Providence amené à jouer un grand rôle dans la suite de l'histoire.
Seuls les dessins restent de niveau inférieur au scénario.
A suivre sans modération.
8/10.
Relecture de cette série avant de commencer les enfants de Jessica.
Les dessins restent le point faible de cette BD mais l'impression générale est plus que positive du fait d'un scénario extrêmement fort.
j'adore ce coté huis clos psychologique voire psychiatrique dans lequel est plongé Joshua.
Une vrai belle galerie de portrait et un excellent suspens.
A quand l'adaptation cinématographique??
8/10.
Un premier tome très encourageant.
Le scénario est noir très noir, jouissif à souhait pour un polar.
L'histoire est bien construite alliant traumatisme du Vietnam, droit à l'autodéfense, violence au quotidien et conspiration politique.
Les dessins sont par contre perfectibles.
8/10.
J'ai acheté la série complète sans même feuilleter un album, me fiant à son excellente réputation. Le debut du premier tome ne m'accroche pas du tout: c'est violent, noir, gloque, le héros est fou, hanté par de terribles cauchemars, ça ne donne pas envie de lire la suite, et pourtant quelle suite!! Cette série est un petit bijou. L'intrigue est parfaitement conduite durant les 5 tomes, les personnages sont très bien construits... Bref à lire sans faute
Excellent polar sur fond de campagne électorale, des personnages touchants, déchirés et imprégnés d'humanité, un scénario bien pensé qui fait réfléchir. La chute est prodigieuse. Une toute petite réserve sur les dessins pas toujours limpide. Série à découvrir absolument !
En ouvrant la BD ma première réaction fut assez négative causé par le dessin, mais en creusant le scénart est costaud et on s'habitue rapidement au graphisme. En la refermant on a hate d'attaquer la seconde!
LE POUVOIR DES INNOCENTS
Ici pas de prouesses au niveau du dessin, pas de cadrage à couper le souffle, pas de mise en page audacieuse, pas de bijoux en colorisation, pas de..., pas de..., pas de...
Et pourtant !! Ces 5 albums constituent l'un des meilleurs BD du Paysage Bédétesque Français ! Un scénario finement monté, des personnages aux caractères parfaitement trempé et une savante distillation des rouages de l'histoire.
Ce qui m'a le plus impressionné dans cet série c'est cette idée du bien dans le mal, du mal dans le bien, ce constat que rien n'est jamais totalement noir (à l'image de ses gosses délinquants auxquels on dévoile le meilleur d'eux-mêmes) mais surtout que rien n'est jamais blanc. Derrière les meilleures intentions peuvent se cacher les pires compromissions, derrière la bonté peut se cacher l'horreur et la cruauté... Alors parfois, pour échapper à cette dualité peut-être faut-il, à l'image de Logan, s'isoler totalement du monde, jusqu'à ce qu'un ange au sourire enfantin ne vienne vous en tirer.
Le scénario de Brunschwig est lourd de réflexions sociales, de pensées politiques, mais aussi de mise en perspective psychologique, il sait montrer le parcours de ses personnages et mettre en exergue tout ce qui les constitue. On aimerai entendre davantage de Jessica Ruppert parmi nos femmes et nos hommes politiques mais on frémi à la pensée des sacrifices consentis pour qu'elle puisse enfin être écoutée.
Alors certes le dessin de Hirn n'invite pas à la contemplation mais il faut néanmoins reconnaître qu'il sert fidèlement et efficacement l'histoire. Et si l'on regrette parfois quelques imprecisions, quelques traits trop hâtifs, sans doute faut-il se rappeler qu'un dessin correct suffit à un scénario aussi bon que celui-ci alors que le dessinateur le plus talentueux aura bien du mal à donner une âme à une histoire creuse. Tout ce que l'on peut souhaiter dès lors à Hirn c'est qu'il trouve encore d'autres auteurs qui, avec lui, auront des choses à dire et des réflexions à nous soumettre.
Toujours aussi énorme. On est complètement immergé dans l'histoire. Plus rien n'existe autour. Les personnages sont déchirants de vérité. L'histoire n'hésite pas à sacrifier des protagonistes principaux, ce qui est rare. Donc tout plein de rebondissements imprévisibles. Un must !
Excellent second tome, plein de finesse et de tendresse avec des personnages confrontés aux malheurs et la dureté de la vie. Certains personnages sont parfaitement représentatifs d'une morale crapuleuse hélas bien réelle bien que difficile à imaginer pour la majorité qui ne la partage pas. Une série culte, d'un réalisme à couper le soufle, nous plongeant ainsi dans une immersion totale et en apnée.
Une très belle rentrée en matière. Sans avoir lu la suite, je peux dire que l'histoire laisse présager un bon développement. Il y a, semble t il, du fond dans cette série faisant échos à la vie quotidienne, ce qui est très très rare en bd. Il ya des questions, des traumas, des anecdotes tout à fait réalistes. C'est très noir mais traité avec un désir de subtilité et de réalisme.
sans nul doute le meilleur démarrage de série que j'aie jamais lu avec le Tueur, tout simplement (plus marquant que l'esprit de Warren du même Brunschwig, par exemple...)
un crescendo de violence et de tension, des voyages entre présent et passé qui ne perdent pas le lecteur, des personnages ambigus ou des retournements de perspectives, c'est parfait à tout point de vue.
Que dire???
Une histoire qui va crescendo.Brunschwig nous ballade au bout des cinqs albums et nous assène sa terrible vérité en fin de cycle.
Le dessin de Hirn se bonifie au fil des albums.
Non? mais qu'attendez vous pour aller la lire?
Decidement, cette serie restera gravée au plus profond de ma memoire, et je ne me lasserai surement pas de la relire une 2eme, puis 3 puis 4 etc etc..
Cette fin absolument ENORME, confirme l'excellent scenario, qui pour moi, reste aujourd'hui inégalé.
Courez vite acheter le 1er tome de ce chef d'oeuvre de la bande dessinée.
MAis qu'est ce que c'est que cette histoire !!
Du grand ART .... Scenario incroyable ( où Brunschwig est allé chercher tout ça ) !! Ces personnages decrits avec une telle profondeur, une histoire si proche de la réalité .... .. On à l'impression que c'est une chose qu'il a vecu !!! Tant de details !!!
Grandiose !
Grandiose, tout d'abord par le realisme de ce monde que Brunschwig nous decrit : implacable, dur, froid et cruel mais malheuresement bien proche de la realite par cette violence. Et quand on a finit le 5eme et dernier tomes reste les questions qu'on se pose : ont-ils fait le bon choix, etait-ce la bonne solution?
mais je peux pas vous en dire plus. Enfin dans l'ensemble un pessimisme assez marqué (ce qui n'est pas pour me deplaire) alors depressifs s'abstenir.
Conclusion : une petite merveille a lire absolument.
Dans la foulée du premier, un scenario toujours aussi bon et le dessin qui s'améliore (à moins que je m'habitue ?)
On plonge totalement dans cet univers vertigineux, en découvrant peu à peu que tous les personnages ne sont pas forcéement ce qu'ils disent être.
La narration est réussie, il n'y aucun temps mort, c'est vraiment du grand art !
Une des meilleurs séries du genre à coup sûr !
Dérouté par le dessin, je me suis résolu à me lancer dans cette BD grâce à son excellente réputation.
Et je n'ai pas été déçu : le mélange des genres de violence (urbaine, guerrière, politique...) est très réussi, notamment grâce à des personnages particulièrement travaillés.
On s'habitue bien au dessin, grâce à une mise en scène excellente.
Tout ça donne un tome 1 haletant, à la fin réussie : vite, le tome 2 !
Que les amateurs de politique/fiction se réjouissent, on est en présence ici d'un vrai petit bijou !
Tout au long de 5 tomes, Brunschwig nous construit un scénario en béton avec des surprises et des personnages très attachants : c'est du grand art. Par contre ne vous attendez pas à un "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil" car le monde dépeint est particulièrement noir et ce n'est pas à mettre entre toutes les mains.
D'autre part, il faut insister sur le fait que cette série est terminée. Enfin un auteur qui réussit à ne pas s'éterniser et à rester crédible jusqu'au bout. On peut ne pas aimer mais à l'image de Chauvel, on sent que le scénario est réfléchi à la base, dans son ensemble, et que rien n'est ensuite brodé pour faire durer.
Côté dessin, ça ressemble un petit peu à du Boucq mais en nettement moins caricatural et expressif. Il en est cependant très différent car ici, on sent que le dessin de Hirn est fait pour prendre toute sa dimension grâce à la mise en couleur, et à ce niveau, il y a beaucoup d'évolution tout au long de ces 5 tomes :
Les 2 premiers (couleurs de Hirn) ont certes un peu vieilli mais le travail de lumière pour donner de la forme aux personnages est très bien réalisé. Par contre, pour les tomes 3 et 4 (couleurs de Guth), je n'ai pas trop aimé et ça m'a beaucoup dérangé : tout ce travail de relief disparaît et le dessin de Hirn en pâti.
Et puis le tome 5 débarque (couleurs directes de Hirn) et là c'est du très très beau travail, c'est tout simplement magnifique.
Une série à ne pas rater pour les amateurs du genre !
La meilleur cloture de cycle qu'il m'ait été donner de lire. Apres 5 tomes palpitants et parfaitement menés, Brunschwig acheve son polar sur un coup de génie. stupéfiant !
A noté aussi, le dessin de Laurent Hirn qui se bonnifie d'album en album, pour devenir excellent dans ce 5eme volume. Il signe ici une tres belle couverture (la plus belle de la serie)
Que dire?
On est tenu de bout en bout par un scénario parfait, des dessins collant au plus prés de l'histoire.....
Bref c'est une série INDISPENSABLE dans votre BDthèque