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"Hécatombe". Voilà un titre en parfait adéquation avec son contenu puisqu'effectivement le lecteur va décompter les cadavres à la pelle au fil des planches.
Bouncer est de nouveau obligé de sortir les colts afin de mettre un terme à cette histoire de lingots d'or, objets de biens de convoitises, dans une ville en proie aux intempéries et autres prestigitateurs trop honnêtes pour être franc du collier.
Cet opus de fin de cycle est charnu avec 140 pages et géré de main de maître par Boucq et Jodorowsky. Comme à son habitude avec ce dernier, les corps prennent chers et finissent aussi meurtris que l'âme de ses personnages.
Autant c'est un plaisir de lecture bien sombre et violent à souhait, autant il y a quelques facilités scénaristiques notamment avec des lingots qui ne font pas bruit en tombant d'un coffre, ce qui m'oblige à diminuer la note finale.
Ce 12ème tome vient terminer un cycle commencé au tome 8. Jodorowsky revient sur ce tome pour nous offrir un scénario conjoint avec Boucq encore plus sombre qu'à l'accoutumé. Il faut dire qu'il n'a jamais vraiment ménagé son héros manchot qui vit toujours des situations très difficiles où l'on se demande s'il va vraiment s'en sortir mais surtout à quel prix.
Il pleut beaucoup et l'ambiance est vraiment boueuse pour nous donner un western âpre et violent comme l'auteur Boucq sait le faire avec une sacrée expérience derrière lui. Le trait graphique est toujours impeccable. Il y a moins de décors que dans les précédents tomes mais c'est pour les besoins de l'histoire qui se déroule un peu à huit clos dans une atmosphère vraiment humide où il va falloir faire un mettoyage par le vide.
C'est un album plutôt dense pour une fois avec 140 pages. Il est vrai qu'il y a parfois quelques longueurs mais qui sont facilement pardonnables au vu de la qualité de l'ensemble. C'est une série qui demeure un incontournable dans la catégorie western. Je l'ai toujours préféré à Lucky Luke ou encore Bluberry car il y a une dimension en plus mâture qui me ravit. Certes, il faudra s'habituer à cette violence sans limite qui caractérise l'Ouest américain.
Bouncer va beaucoup perdre dans cet album. Il faut dire que cet or qu'il a trouvé est vraiment maudit. On ne le verra pas pendant un certain moment le temps qu'il se remette de ses émotions. Il est question d'un étrange prestigitateur qui fait des siennes dans la ville de Barro-City en proie à la menace d'une bande de voleurs et d'assassins.
Comme dit, le scénario est parfaitement maîtrisé pour nous offrir un des meilleurs albums. On sent bien que c'est la fin d'un cycle et que plus rien ne sera comme avant.
Tout a été dit sur cet album et, dans ce concert de louanges, pas grand chose à ajouter... Si ce n'est que l'épisode du coffre-fort est tout de même fort "capillotracté"... [SPOILER ALERT] Comment les lingots pourraient-ils tomber dans le double fond sans produire un boucan de tous les diables et donc sans éveiller les soupçons ? Pourquoi les lingots sont-ils tombés et que le reste (deux petits coffrets) n'a pas bougé ? Et surtout, pourquoi les bandits mettent-ils en place un stratagème aussi alambiqué alors même que, fournissant le coffre et les clés eux-mêmes, ils ont tout le loisir de le vider à leur guise au moment opportun (la nuit, par exemple), d'autant que ce sont eux qui sont chargés de surveiller la banque ?? Voilà, un bel album très plaisant à lire, mais truffé tout de même d'invraisemblances scénaristiques...
Un album qui fait mal !
Une véritable hécatombe !
Excellent travail au niveau du scénario et de la mise en scène...
Les auteurs ont souhaité faire "tabula rasa" pour ouvrir de nouvelles perspectives à notre "videur manchot".
C'est certainement une de mes plus belles lectures de cette année. Pourtant, j'ai acheté cet album dès le jour de sa sortie mais j'ai attendu plus d'un mois avant d'en débuter la lecture. Peut-être que la pagination inhabituelle de près de 140 pages me faisait peur.
Je dois dire que j'ai aussi opté pour la version n&b grand format (en plus de l'édition courante) qui m'en a mit plein les yeux.
Boucq nous offre un scénario en béton avec cet opus. Pour prendre la pleine mesure de cet album, il faut, à mon avis, avoir lu les précédents volumes depuis le tome 8.
En effet, le lecteur ne peut qu'apprécier l'importance du devenir des principaux personnages de cet album, qu'à l'aulne de ce qu'il en connait. Car , comme le titre de l'album le précise "Hécatombe", il faut s'attendre à des surprises ! Il faut dire que cela flingue à tout va dans cet opus.
Le paradoxe de cette aventure est que "le Bouncer" ne m'a jamais semblé aussi absent que dans les autres albums! Il m'a fait songer aux mythiques "Chien des Baskerville" de Conan Doyle ou encore de "l'Aiguille Creuse" de Gaston Leroux où leur héros respectif, Sherlock Holmes et Arsène Lupin ne font que des apparitions !
Boucq arrive , dès l'incipit de l'album, à nous plonger dans une atmosphère lourde avec ces pluies torrentielles et interminables.
La ville de Barro city devient ici un véritable décor de théâtre, avec des personnages que l'on suit depuis des années, et des nouveaux venus comme ce couple de magicien, qui viendra apporter le chaos dans cette cité.
Le scénario est rempli de chausse trappes et de fausses pistes qui font de cet album une lecture captivante.
J'ai certes opté pour les deux versions couleur et n&b , mais l'une comme l'autre mérite votre attention.
J'ai adoré la version n&b, qui grâce à son format , met en valeur le travail de François Boucq. D'ailleurs , depuis quelques années, je m'attache à acheter la version grand format et n&b de Boucq comme "Un général, des généraux", "New York Cannibals".
Mais la version courante en couleur est également de très bonne qualité.
Je ne sais si cet album marque la fin de l'aventure du Bouncer, mais au vu des dernières interview de François Boucq , il semble que notre héros poursuive de nouvelles aventures dans les prochaines années.
En tout cas, "Bouncer" est devenu au fil des années, avec "Blueberry", "Undertaker" "Comanche" un des meilleurs westerns adaptés en bd.
A quoi reconnait on une série et un personnage culte ?
Quelques largesses, incohérences sur le scénario, des choses qui se répètent, mais on a toujours autant de plaisir ! Boucq est toujours aussi bon, le format 140 planche apporte beaucoup de plaisir à la lecture.
Même s'il ressemble à une conclusion, cette album me laisse entrevoir que la franchise sera reprise par la suite !
A lire
Voila un album dont le titre n'est pas usurpé .Quel carnage !! On ne va pas spoiler, mais j'ai la mâchoire encore décrochée !!
Excellente idée de sortir cette histoire en one shot.
Scénario sans faille quoiqu' un rien ( trop ? ) touffu.
Toujours la pâte si puissante de François Boucq, malgré une petite baisse de qualité à certains moments.
Tous les avis semblent s'accorder pour dire que ça ressemble fort à la fin de la série, même si la dernière planche peut aussi laisser penser à un nouveau départ.
Excellent album, dans un format long qui permet de savourer l'histoire du début à la fin. Dessin magnifique, scénario haletant, Boucq et Jodorowsky sont dans leur élément. La seule (petite) faiblesse, à mon sens, est la succession de rebondissements impliquant trop de personnages sur la fin de l'album. Cet album pourrait être un magnifique point final à cette superbe série.
Album hors norme qui semble sonner le glas de la série. "Hécatombe", il mérite bien son titre. Fallait il aller jusque là? Qui sait... mais savourons notre plaisir avec le retour de Jodorowsky à l'écriture. Quant à Boucq, même si, par moment, le dessin paraît se "simplifier" il sait comme toujours donner de la force et de la vigueur à son trait dans les scènes d'action. Chapeau bas, Messieurs, pour cette aventure- fleuve.
C’est en effet un album magistral, ça faisait quelques temps que je n’avais pas lu une BD aussi parfaitement exécutée !
L’album est dense, le suspens omniprésent, les retournements de situation nombreux, c’est aussi une ambiance très sombre et dure … je suis bien content, compte tenu du suspens, qu’il ait été décidé de le sortir en 1 gros album et non 2 plus ténus. L’attente entre les 2 aurait été insoutenable ^_^
L'histoire est vraiment passionnante. Il y a aussi beaucoup d'action, sans temps mort. Les méchants sont ignobles comme souvent dans cette série.
Le dessin, les couleurs, le découpage des scènes sont toujours aussi biens.
Je trouve qu'il s'agit d'un des meilleurs albums de la série.
Un énorme volume (138 pages) ...
Les dessins sont toujours magnifiques et d'une force incroyable.
Le scénario est plein de rebondissements (pas de spoil) qui rend l'histoire haletante ... mais qui, à mon humble avis, va mettre un point final à cette série hors du commun dans le style Western/Fantastique qui ne pouvait être créé que par F. Boucq.
Un western de plus... Malgré tout, le dessin de F. Boucq porte ce genre à un sommet. La série pêche surtout par sa propension à l’excès, comme pour tenir le lecteur en haleine: des trognes, de la violence inutile et des scénarios abracadabrants. Lassant.
Cette série reçoit en général tellement d'avis favorables, voire dithyrambiques, qu'une exigence certaine existe au moment d'en entamer la lecture. On s'attend à évoluer dans le sublime, le légendaire, l'ineffable, le cosmique, le divin... et, après avoir parcouru quelques pages de ce diptyque, on se retrouve plongé dans de l'honnête ouvrage d'artisan, du "ouais, c'est pas mal mais on n'est pas loin du tout venant quand même". On se rend bien vite compte qu'on n'est pas dans l'exceptionnel et que l'emballement promis n'arrivera sans doute pas.
J'aime bien le dessin de Boucq mais je ne lui prête pas l'admiration que d'autres lui accordent. Je trouve son graphisme, avec sa propension à évoluer vers la caricature, bien plus à son aise dans une série comme Jérôme Moucherot. Son trait colle alors parfaitement à l'univers proposé. Ici on est parfois dans un entre-deux qui à mon goût dessert la série.
D'autre part, je n'ai jamais été tout à fait emballé par les mises en couleur que Boucq réalise sur ses albums, et même si ici il y a des choses vraiment réussies sur ce plan, à d'autres moments le dessin y perd en intensité avec une utilisation peu convaincante de la couleur à cause d'effets de matière ratés ou d'association de teintes desservant le trait. De ce point de vue, il y a une réelle perte graphique due au changement de coloriste par rapport aux albums précédents.
Et puis graphiquement, je trouve que le personnage principal manque singulièrement de charisme. Cela donne l'impression qu'au moment du casting on s'est fourvoyé en confiant le rôle à un type qui n'a pas du tout le physique de son personnage. Un peu comme si on avait confié à Jean Lefèvre le rôle interprété par Clint Eastwood dans "Le bon, la brute et le truand".
Quant au scénario, s'il se suit avec un certain plaisir, ce n'est toutefois pas avec enthousiasme et frénésie, loin s'en faut.
Bref, voilà deux albums qui se lisent aussi facilement qu'ils s'oublient. On est quand même loin du chef d'œuvre annoncé.
note: 3/5
Cette série reçoit en général tellement d'avis favorables, voire dithyrambiques, qu'une exigence certaine existe au moment d'en entamer la lecture. On s'attend à évoluer dans le sublime, le légendaire, l'ineffable, le cosmique, le divin... et, après avoir parcouru quelques pages de ce diptyque, on se retrouve plongé dans de l'honnête ouvrage d'artisan, du "ouais, c'est pas mal mais on n'est pas loin du tout venant quand même". On se rend bien vite compte qu'on n'est pas dans l'exceptionnel et que l'emballement promis n'arrivera sans doute pas.
J'aime bien le dessin de Boucq mais je ne lui prête pas l'admiration que d'autres lui accordent. Je trouve son graphisme, avec sa propension à évoluer vers la caricature, bien plus à son aise dans une série comme Jérôme Moucherot. Son trait colle alors parfaitement à l'univers proposé. Ici on est parfois dans un entre-deux qui à mon goût dessert la série.
D'autre part, je n'ai jamais été tout à fait emballé par les mises en couleur que Boucq réalise sur ses albums, et même si ici il y a des choses vraiment réussies sur ce plan, à d'autres moments le dessin y perd en intensité avec une utilisation peu convaincante de la couleur à cause d'effets de matière ratés ou d'association de teintes desservant le trait. De ce point de vue, il y a une réelle perte graphique due au changement de coloriste par rapport aux albums précédents.
Et puis graphiquement, je trouve que le personnage principal manque singulièrement de charisme. Cela donne l'impression qu'au moment du casting on s'est fourvoyé en confiant le rôle à un type qui n'a pas du tout le physique de son personnage. Un peu comme si on avait confié à Jean Lefèvre le rôle interprété par Clint Eastwood dans "Le bon, la brute et le truand".
Quant au scénario, s'il se suit avec un certain plaisir, ce n'est toutefois pas avec enthousiasme et frénésie, loin s'en faut.
Bref, voilà deux albums qui se lisent aussi facilement qu'ils s'oublient. On est quand même loin du chef d'œuvre annoncé.
note: 2,5/5
Avis portant sur la série:
Nous avons là un vrai western sauvage vu par Jodorowsky entre drames familiaux et combats spectaculaires. Il n’y a pas de concession, c’est l’anti-Blueberry par excellence! Et que j'aime ça! Bref, il y a toute une différence de génération de lecteurs entre les deux œuvres ce qui n’empêche pas d’apprécier le mythe original de la bd western. Mais là, cela va plus loin car nous sommes au-delà d'une apparente naïveté du héros sans peur, ni reproche.
"Bouncer", c'est avant tout une histoire de famille: celle d'Aunty Lola, la prostituée la plus féroce de l'Ouest et de ses fils... d'un en particulier : le Bouncer, videur d'un saloon et accessoirement légèrement manchot ce qui ne l’empêche pas d’être un excellent tireur. Le videur va d'ailleurs devenir propriétaire. Cependant, ce n'est pas la restauration qui l'intéresse vraiment.
Cette série va connaître 5 cycles assez distincts:
- le premier composée des 2 premiers albums qui tourne autour de Seth, le neveu du Bouncer.
- le second cycle est composé des 3 albums suivants (tome 3, 4 et 5) où notre héros, un pistolero manchot, va reprendre du service après une vie redevenue normale.
- le troisième cycle (tome 6 et 7) autour de la veuve noire. Le final réserve bien des surprises au point d'avoir été littéralement bluffé.
- le quatrième cycle (tome 8 et 9) autour du pénitencier où se cache un tueur qui n'est autre que le fils du directeur de l'établissement.
- le cinquième cycle (tome 10 et 11) autour d'un trésor maudit caché dans le désert mexicain et qui a appartenu au défunt empereur Maximilien fusillé par la révolution locale. A noter un rythme de parution sans précédent puisqu'à peine quelques mois se sont écoulés entre les deux tomes.
Depuis le 8ème tome, la parution de cette série se fait chez Glénat. Fini les Humanoïdes Associés tombés en désuétude après une lente agonie. On regrettera le changement de tranche et de format qui ne plaît pas, par essence, au collectionneur de bd.
J’ai réellement apprécié cette saga familiale dans l’Ouest qui explore les facettes les plus obscures des personnages. Le scénario est passionnant et on se laisse vite emporter. Je crois que ce qui m’a définitivement convaincu, c’est l’atmosphère dégagée par ce western pas comme les autres. Nous avons là une âpreté inégalée. Et cerise sur le gâteau, on peut souligner une splendeur graphique d'une puissance rare qui fait de Bouncer un western comme on n'en avait encore jamais vu!
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.5/5
Ce tome 2 clôt magnifiquement l'épisode. Avec 59 planches très riches et toujours dans le même état d'esprit du Western Spaghetti, avec le rajout de l'institutrice. Grand Bravo pour la cornemuse, je trouve ça très original. Plus de présence des paysages, dessins toujours aussi étranges. Je ne peux pas me permettre de critique plus sévère parce que je ne sais pas dessiner, mais pour la sévérité, les belles femmes ne sont pas très belles, ce c'est pas du Manara non plus. Pour le reste voir mon commentaire pour le tome 1. Belle conclusion dans tous les cas. J'ai un peu peur pour les volumes suivants.
Uniquement pour ceux qui aime le genre, excellente entrée en matière. Très bon scénario même si un peu classique en matière de Western. Un cambriolage qui a mal tourné, un fratrie de tueurs, style Dalton version sérieuse avec un passé sombre, une vengeance comme "Il était une fois dans l'Ouest", un mentor, tous les éléments d'un bon western spaghetti. Album très réussi.
Le dessin des visages n'est pas trop à mon goût, ils sont un peu laid et mal définis mais on pourrait rapprocher ce type de dessin à bien des égards à un style impressionniste.
Toutefois il manque un peu les paysages du Grand Ouest et du Canyon. Je recommande ce premier volet sans aucun souci.
Bonjours c est vrai on est jamais déçu avec le bouncer .Les personnages et les décors ne pas oublier la chèvre sont toujours aussi bien traités Peut être une impression de fin boucler un peu vite Malgré cela je suis toujours aussi fan
Malgré le départ de jodorowsky le niveau est resté aussi haut je suis fan des personnages et du dessin j ai hâte de lire la suite
Une de mes séries Western préférées. J'avais des craintes lorsque j'ai vu que Jodorowsky n'avait pas signé le scénario de l'album... Mais les craintes ont rapidement été dissipées! L'une des forces de cette série ce sont les différents personnages hauts en couleur et à ce niveau, je n'ai pas été déçu. L' un des meilleurs albums de 2018. Hâte de lire la suite!
L’Echine du dragon, c’est une chasse au trésor assez classique, ponctuée de nombreux morts tout au long du chemin. La force du récit, ce sont les personnages particulièrement bien typés, et les paysages grandioses du Mexique. Parmi les personnages, une mention spéciale pour la chèvre ;-) Les dialogues sont eux aussi classiques, parfois trop théâtraux, comme quand on lit la dernière tirade d’une personne qui va mourir. Bons comme méchants vont en tout cas avoir fort à faire pour se sortir de cette aventure bien ficelée.
Jamais déçu après la lecture d'un Boucer.
Les dessins sont très bons (même si je trouve que certaines scènes d'action pourrait être plus détaillées).
Le scénario est cohérent avec ses grands méchants.
Bel ouvrage de 80 pages.
Comme pour la première partie de l’histoire dans le tome 10, je n’ai pas été déçu concernant le scénario. Celui-ci est bien ficelé et offre plein de surprises comme ces amazones du désert qui compliqueront les affaires des différents protagonistes. Non, ce qui m’a un tant soit peu gêné c’est le dessin un peu moins fouillé que d’habitude. Des visages moins précis et une sorte de « j’te fais un album à la va vite » histoire de boucler une histoire qui se déroule sur 160 pages. Une certaine qualité est toujours là, mais j’aurais préféré que François Boucq prenne plus de temps pour offrir un travail plus propre. Il faut néanmoins relativiser, il s'agit d'un très bon album.
Le dessin est toujours bon, par contre j'ai trouvé le scénario pauvre et les dialogues encore plus.
Alexandro Jodorowsky n'est plus là et on dirait que Boucq a essayé sans succès de combler le vide laissé.....
Bon album avec un scénario original sans être révolutionnaire, tout comme les dessins. Ce souci du détail empêche malgré tout de rendre les personnages attachants. Dommage...
Très bel album
Scénario de qualité et dessins soignés
Cela fait plaisir en ce début d’annee de disposer de ce nouveau tome de Bouncer
Avec Undertaker le western retrouve ses lettres de noblesse
Nous sommes gâtés en ce début d'année 2018 au niveau du western. Avec la sortie de Lonesome (d'Yves Swolfs) en même temps que ce dernier tome de Bouncer.
Ce nouvel opus est excellent : très bon dessins, scénario alléchant. J'ai dévoré cet album !
Vivement le 11ème !
Les élucubrations de Jodorowsky ne sont plus qu'un mauvais souvenir, gageons que cela ne soit pas contagieux et dommage que BOUCQ ait déjà 62 ans, il ne pourra pas nous en pondre encore 15 des comme ça.
Que de gâchis..
François Boucq nous offre un génial Bouncer pour ce début d’année. Tous les ingrédients d’un grand Western sont réunis. Un quiproquo, une carte au trésor, des bandits, les militaires français de l’empereur du Mexique, des indiens et une poursuite entre tous les protagonistes. Pas le temps de souffler, de s’ennuyer et les 80 pages passent à une vitesse vertigineuse. Quand nous savons que la suite et la fin arrivent au mois de mars… merci M. Boucq et chapeau bas !
La série tient en haleine du début à la fin.
Je me suis régalé.
Sûrement le meilleur de la série qui est juste indispensable.
Nous attendons la suite.
Rolalala, encore et toujours ce Jodorowsky qui me plait toujours autant. J'ai enfilé l'intégrale en deux jours tellement j'ai été pris, c'est bien violant et les dessins de Boucq nous font bien sentir la chose bien crade des bouseux alcooliques. La seule chose que je trouve dommage c'est que l'ont démarre sur l'histoire du Diamant avec Seth et ensuite plus rien....
Sinon rien à dire. A si, page 381 ! une erreur d'impression dans la page, feuille sur le blanchet. Lol
Wow quel conclusion! diptyque de feu excellent d'un bout a l autre, l'allez comme le retour , une excellente ambiance, de l'action a flow, vivement une autre aventure ... Merci pour le voyage
Avis sur le diptyque (tomes 8 et 9):
Un peu déçu par les tomes précédents, là, c'est une grande réussite!
Le découpage est digne d'un western de très bonne facture!
Les dessins de Boucq collent parfaitement bien à l'intrigue même si on peut déplorer quelques approximations notamment concernant la réalisation des animaux.
Mais ne boudons pas notre plaisir, Bouncer est une série majeure et indispensable dans votre bibliothèque... juste à côté des 2 premières intégrales de Comanche par exemple!
8,5/10
Le dessin les couleurs les personnages (ha les femmes de Mr Boucq) le scenario tout est fabuleux Courrez l acheter vous ne le regretterez pas
4,3 comme note en moyenne pour 83 votes !!! J'en reste baba !
Le dessin de Boucq que je trouvais plutôt pas mal autrefois est carrément hideux maintenant. Là où il pèche le plus c'est envers les animaux. J’axais déjà constaté que le dessinateur n'était pas très fort pour dessiner des créatures autres qu'humaines.
Effectivement, dans cet album, que ce soit chien, loups, chevaux, ours ou serpents, rien n'est réussi.
Mais s'il n'y avait que ça...
Le scénario ne vole pas très haut, les dialogues sont affligeants, les poncifs sont légion, la psychologie des personnages est grotesque. On dirait une BD de gare comme on les appelait autrefois...
Vraiment je ne comprend pas un tel engouement pour un navet pareil !
Un très bon diptyque nerveux à souhait...
Le scénario de Jodo est linéaire mais parfaitement maitrisé quant au dessin de Boucq du grand art...
Il me manque cependant "le" grand souffle épique des westerns d'autrefois...dans les tomes à venir j'espère. Ça reste du très très bon.
8/10
J'ai été déçu par le tome 7 mais alors, là, on est reparti sur du grand Bouncer comme au début de la série. Scénario impeccable, sans coupure, haletant, génial et du grand Boucq au dessin, on retrouve un masque façon 'Bouche du diable'.
A lire de toute d'urgence...
C'est certainement un des meilleurs Bouncer que j'ai lu.
Avec ce dernier titre "To Hell", Jodorowsky nous offre un bon scénario (Car, j'ai toujours une certaine réticense avec les délires de l'ami Jodo - j'ai revendu mon exemplaire du Pape terrible ) avec un Bouncer en pleine forme.
En outre Boucq sait mettre en valeur les grands espaces, et les paysages et c'est un régal de lire cet opus.
Tout y est: les loups, le pénitencier dirigé par un drôle de couple, de mystérieux moines-soldats,(qui ne vont pas s'en rappeler d'autres moines dans d'autres bandes dessinées) un dégénéré, des duels, des filles ... bref je ne me suis pas ennuyé une seconde en lisant ce huitième tome qui nous propose en outre un final grandiose et sanglant.
C'est vraiment un très bon cru qui relance mon intérêt pour cette série.
le meilleur de la série, à lire absolument, je le recommande sans état d'âme. Et longue vie à cette série avec la nouvelle maison d'édition
Bien content qu'un nouveau tome d'un nouveau dyptique du Bouncer sorte.
Lecture rapide, efficace et sans temps morts, toujours un vraie régal de voir jusqu'ou Jodo peut aller dans ses "délire".
J'attendrais la suite avec hate.
9.5/10
Quelle série mais quelle série !!! Un chef d'oeuvre !
La série commence par les origines du héros, ce qui est plutôt rare.
Et elle se poursuit comme elle a commencée, sans concessions et violentes.
Un monde sans illlusions où tout finit toujours par être gaché !
Mais avec quel panach ! Jodo et Boucq nous régale !
Ce dernier tome est des plus réussit !
Le dessin de Boucq sur Bouncer pogresse encore et Jodo nous livre un scénario bien meilleur que celui du précédent cycle.
Merci pour ce décor hivernale, on l'attendait
Petit kwak sur la dernière case de la page 19
Mocho a pas la bonne patte d'amputée ;)
Cet BD est celle qui m'a fait adorer les western spaghetti...c'est tres bien ...beau dessin quoi que l'histoire est courte ou je ne sais pas il manque quelque chose...
J'ai Lue les 7 tome quand meme
Pour Moi DURANGO Reste le Best Western!
Je donne cet avis pour les 4 premiers tomes.
Je suis assez partagé quant aux aventures du Bouncer.
D'un côté, le dessin adapté, la mise en scène ultra-brutale, l'ambiance glauque à souhait, sont vraiment superbes.
D'un autre, le scénario est très classique, voir parfois vraiment poussif (le hasard fait trop bien les choses !).
J'ai aussi un peu du mal à avoir de l’empathie pour le Bouncer. On connait son histoire, certes, mais pas lui. Ainsi, à part suivre les aventures d'un type qui fait toujours la tête et qui a eu une enfance difficile, c'est un peu... Vide !... Quant aux autres persos, ils ont a peu prêt tous la même personnalité...
Du coup, je ne sais pas encore si j'investirais dans le tome 5...
Comment un éditeur peut de nos jours autoriser la sortie d'une album au scénario aussi visiblement bâclé?
Comme le disait madlosa dans un message précédent, on sent que ce deuxième tome est survolé, histoire de boucler le cycle en deux volumes.
Énorme déception en ce qui me concerne surtout après un premier tome fort encourageant. D'un sujet passionnant Jodo a réussi une fois de plus (de trop?) à nous pondre un truc ni fait ni à faire. C'en devient presque un style propre finalement...
Même si le format ne restitue pas pleinement hommage au talent de Boucq, voilà une excellente intégrale pour se plonger dans ce western si différent et indispensable à toute bibliothèque BD. Un petit chef d'œuvre !
L'aventure du Bouncer continue pour notre plus grand plaisir. Place au troisième cycle, où notre Bouncer est désormais le gardien de cette terre ancestrale si précieuse pour les indiens injustement chassés par des blancs soucieux pour leur expansion de construire la ville de Barro-City. Ville toujours aussi violente, dans une région qui semble encore être l'objet de convoitises de par l'action à distance d'une mystérieuse femme, Carolyn Harten. A la solde de cette dernière, quelques brutes épaisses et autres gueules cassées.
Ce qui a de formidable dans cette série réside dans l'innovation du scénario (un anti-héros manchot, je n'en vois pas d'autres), de la galerie de portraits atypiques qui y est proposée (ici, Axe-Head, fallait l'imaginer, tout fou qu'il est de par la hache plantée au sommet de son crâne), et ses paysages (comme la main rocheuse au-dessus de Barro-City, symbolisant à mon sens à la fois une frontière et une main mise interdite). Et comme d'habitude, de l'action, de la terreur, des tueries, mais aussi des sentiments humains qui tentent de survivre dans cette austérité de vie. Superbe.
Un grand bof pour ce deuxième opus.
Certes les auteurs ont essayé de dépeindre un ouest américain différent du western habituel; mais c'est grossier, violent et finalement trop caricatural pour être crédible.
Les dessins sont moches.
Bref après avoir massacré la science fiction Jodorowsky fait dans lafarouest une nouvelle victime.
Affligeant.
4/10.
Les auteurs forment un tandem efficace et talentueux et Bouncer est loin d'être un pauvre manchot ! La série se termine donc comme elle s'est déroulée, violemment et également avec une vraie tendresse pour certains personnages. Les planches sont construites comme autant de plans cinématographiques où les scènes s'enchainent sans répit. Les dessins et les couleurs participent à la magie. Et si l'amour y perd ses illusions, il entrouvre une petite porte asiatique qui laisse entrevoir des lendemains qui chantent... Enfin c'est déjà peut-être l'amorce d'une autre histoire, du moins, je l'espère !
Plutôt déçu par ce premier opus.
L'histoire est ultra-conventionnelle et la pléthore de violence deserre le scénario au lieu de lui inspirer de la consistance.
Les dessins sont comment dire très personnels, personnellement je les trouve grossier et baclés.
Pour le moment une énorme déception, mais je donne une chance à cette série avant de l'enterrer étant donné le peu de bons westerns dans la BD.
A peine la moyenne.
5/10.