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Fin de l'histoire. Le scénario a beau être peu complexe et assez manichéen, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire cet album, et cette trilogie dans son ensemble. L'esthétique reste bluffante; on croirait vraiment voir l'animé "sur papier".
L'esprit de la série animée a été respecté; les fans apprécieront sûrement.
On retrouve dans cette trilogie la plupart des personnages de l'univers de Matsumoto.
Pour les anciens, ça nous replonge avec nostalgie dans les années 80...
Le dessin est magnifique et soutient un scénario classique et bien rythmé.
Une pointe de déception concerne le manque de combats spatiaux...
Deuxième album de cette incroyable trilogie ; Jérôme Alquié nous dévoile ici un nouveau chapitre sur le mystérieux passé des Sylvidres. Mais pour ce qui en est d’Albator, les enjeux qui lui font face en sont devenus beaucoup plus périlleux… et personnels. Voici ce que j’en pense :
Les points forts ; ce que j’ai aimé par-dessus tout, c’est que l’auteur introduit les concepts « d’arbre de la connaissance » (sorte d’ordinateur/banque mémoire des Sylvidres), des trois sœurs maudites ainsi que la révélation que certains alignements de pyramides ne sont en fait que des vaisseaux géants Sylvidres. Je les apprécie tellement que j’espère que Leiji Matsumoto les reprendra à son compte.
Les points faibles ; un seul et il se situe au niveau du scénario : C’est la façon dont il se sort du piège de désespoir dans lequel lui et son équipage ont été plongés. Si Jérôme Alquié montre comment Albator se libère de l’emprise d’Eine, la Sylvidre de l’ombre ; il ne montre pas du tout comment Albator réussit à faire de même pour le reste de l’équipage incluant l’ordinateur du navire… et je trouve cela des plus dommageable.
Mon opinion ; je suis impressionné ! J’aime comment l’auteur a abordé l’univers complexe de Leiji Matsumoto pour lui donner un twist personnel. Le « caméo » de Maetel (Galaxie Express 999) ainsi que le clin d’œil à la « Stan Lee de MCU » (je n’en dis pas plus) sont des petites attentions que j’apprécie énormément.
J’ai aussi aimé apprendre plus de détails sur le passé des Sylvidres… d’ailleurs, cet épisode m’a fait réaliser que bien que nous en ayons appris beaucoup lors de la télé série Albator 78, ces informations ne concernaient uniquement que leurs présences sur Terre (avant l’humanité) ainsi que la marche (et conquêtes) de l’armada royale. C’est donc avec un grand intérêt que j’ai découvert cette nouvelle facette de la civilisation des Sylvidres.
Finalement, ce qui rend cet album fort captivant, est toute la dimension psychologique que l’auteur explore ici. En effet, jusqu’à présent, Albator a toujours apparu comme un héros sans failles et sans faiblesse… dont seules la foi en ses convictions et sa forte détermination suffisent à le propulser au travers de l’histoire. En examinant les doutes de notre protagoniste, M. Alquié aborde le sujet sous un angle rarement exploité. Ce qui fin de compte donne à notre ami un côté plus humain et moins invulnérable. Là où je suis en désaccord avec le scénariste est la façon dont il sort l’équipage de l’Arcadia du piège de désespérance. J’aurais préféré qu’il utilise le cliché de « la main tendue » pour expliquer cet exploit, mais il s’agit ici que d’un gout personnel.
En conclusion, une excellente histoire avec un angle d’approche rarement utilisé pour Alabator. Hormis le point avec lequel je suis en désaccord, j’ai vraiment aimé cet ouvrage et vous le recommande avec un 9 sur 10. J’ai hâte de lire la fin de cette histoire…
Bonne lecture à tous.
« ♫ Albator, Albator… Du fond de la nuit d’or… ♫ » pardonnez-moi si je fredonne cette chanson, mais, c’est plus fort que moi : à chaque fois que j’entends parler d’Albator (ou du Captain Herlock en VO.), ce générique me revient en tête.
Déjà un mordu de cette série mythique depuis 1980, je suis toujours heureux de découvrir de nouvelle création de Leiji Matusumoto. Étant un lecteur assidu de la série actuelle « Capitaine Albator : Dimension Voyage », tel ne fut pas ma surprise d’apercevoir ce petit bijou perdu au milieu des autres bandes dessinées de ma librairie locale. Je n’ai même pas hésité ! Voici ce que j’en pense :
Les points forts ; le graphisme ! Il est tout simplement génial et se marie parfaitement avec la série télé « d’Albator 78 ». Jérôme Alquié a non seulement très bien sue maitrisé le style de Leiji Matsumoto ; mais il a aussi réussi à lui donner une fluidité dans tous les mouvements. Cette même fluidité, en plus d’ajouter au dynamisme du scénario, sert surtout à rendre ses personnages et scènes des plus vivantes.
Les points faibles ; un tout petit… dans la série « Albator 78 », il y avait le chef de la défense et grand rival d’Alabtor : Vilac ! J’aurais aimé le revoir, car c’était l’un des acteurs le plus intéressant de cette saga. Mais c’est juste par simple nostalgie que je mentionne ça.
Mon opinion ; WOW ! Alors mes touts mignons, je vous le dis, c’est du pur bonbon ! Je me suis délecté en « dévorant » cet album. Le scénario se lit très bien. Il est fluide et ne contrarie en rien (jusqu’à présent) ce qui s’est passé dans la série animée des années 80. Je me suis régalé du début jusqu’à la fin et je suis des plus impatient de savoir la suite… ce qui ne devrait pas trop tarder.
Que vous soyez admirateur d’Albator, ou encore, comme moi un nostalgique des années 80… ou simplement un amateur de bandes dessinées et de bonnes histoires, vous allez aimer cette aventure. Croyez-moi, vous allez être captivé par cette BD.
En conclusion je classe celle-ci parmi les « classiques » instantanées. Un « must » pour tout collectionneur de ce héros légendaire.
Bonne lecture à tous.
Dans la lignée du premier opus, et donc très bon. Le dessin reste bluffant et le scénario, malgré son manque de complexité, est fidèle à ce que proposait jadis l'animé. C'est un vrai plaisir de voir ce héros emblématique, ce vaisseau mythique et tous ces personnages attachants retrouver une seconde jeunesse.
Le dessin et le scénario m'ont vraiment rappelé la série animée que je regardais quand j'étais petit et qui me plaisait tant. Bien sûr le scénario peut paraître un brin facile, mais c'est la série qui veut ça. En tout cas, on retrouve bien l'ambiance particulière de la série: sombre, mélancolique et romantique à la fois. Quant au dessin, il est vraiment incroyable, on retrouve totalement l'univers de l'animé.
Un album qui contrairement aux apparences n'est - je pense - pas destiné aux enfants (quel enfant en 2020 s'intéresse à ALBATOR ?) mais plutôt aux fans et aux nostalgiques.
Quand j'ai appris qu'une ribambelle d'adaptations de mangas des années 70-80 allait être lancée par des auteurs franco-belges, comme beaucoup d'entre vous mon cerveau s'est mis en pause et je me suis précipité sur cet Albator par l'auteur des Mythics. On parle ici du Albator 78 avec le vaisseau bleu. Tout d'abord je précise qu'il s'agit ici d'un ouvrage résolument jeunesse, qui contrairement à nombre de séries qui peuvent plaire à différents ages, se destine avant tout aux plus jeunes et aux fanatiques de la première heure du personnage. La fidélité au matériau d'origine, tant dans le design des personnages que dans l'esprit du récit est totale et validée par le maître Leiji Matsumoto, l'auteur d'origine. La colorisation impeccable nous donne l'impression de lire un Anime comic alors que l'on est bien dans une création originale. On sent que l'auteur s'est fait plaisir avec un très grand sérieux pour pour proposer cette histoire d'armada Sylvidre (des extra-terrestres humanoïdes semi végétales) revenant sur Terre alors qu'une période glaciaire enserre la planète dont les dirigeants corrompus ne gèrent pas grand chose. L'album reprend des éléments désuets de l'Anime et la simplicité de l'intrigue comme des personnages laissera les lecteurs adultes sur leur faim. Pour peu que l'on ne se soit donc pas trompé de cible, ce premier volume d'un triptyque remplit donc totalement son objectif et permettra aux enfants de la génération club-Dorothée de faire découvrir cet univers fascinant à leurs jeunes enfants.
A partir de 7 ans.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/08/21/bdenvrac10
Magistralement dessiné par un fan français de la première heure, cette BD ravira les yeux de tous les nostalgiques de la série TV de 1984.
L’histoire est certes très classique, mais on en prend plein les mirettes !