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Généralement, j'aime bien Trondheim. Mais une BD comme celle-ci, ce n'est généralement pas dans mes cordes. Ça peut toutefois être plaisant à lire.
Moi, ça m'a beaucoup rappelé Lou!, mais en moins bon. Le style graphique d'Obion et ses couleurs éclatantes ne sont pas sans rappeler le style de Julien Neel. Dans Mamma Mia!, quatre générations de filles vivent dans une même maison; c'est une bonne idée. Les personnages sont plutôt attachants.
Par contre, les gags sont souvent assez moyens. Parce que oui, on a droit à un album de gags en série qui tiennent sur une page chacun, mais qui forment un tout. Certains gags sont très bien, mais souvent ça manque de force. Il aurait été mieux, je crois, de faire une histoire complète sans que les auteurs aient besoin de forcer une blague à chaque page.
Je n'ai pas détesté ma lecture, mais ça aurait pu être mieux. Je crois que le potentiel était là. Le premier tome ose indiquer que c'est le numéro 1, sauf que j'imagine que les ventes n'ont pas été au rendez-vous, parce qu'on attend toujours le numéro 2.
Trondheim disait : « Mamma mia est parti comme un défi. Serais-je capable de créer une série grand public un peu bête et facile pour Spirou ? Et en fait, non. J’ai tout de suite complexifié les choses et fait des gags avec trop de tendresse ».
Alors non, que Trondheim se rassure.
Il n’y a pas « trop » de tendresse et on n’est pas loin du « un peu bête » en étant carrément dans le facile.
Les personnages n’ont qu’un caractère exacerbé, les gags sont redondants et basiques.
Ce n’est pas déplaisant, certes, mais ça n’a rien d’original ou d’inventif – j’ai l’impression de voir Dad en moins bien…