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A mon avis le plus drôle de tout les Bob et Bobette Cette satire de la société de consommation donne a réfléchir sur notre triste rôle de carnivore L,histoire est super bien imaginé Je lui doit un rire et plusieurs sourire Paul GEERTS est de loin le meilleur remplaçant de Vanderstein
A mon avis le plus drôle de tout les Bob et Bobette Cette satire de la société de consommation donne a réfléchir sur notre triste rôle de carnivore L,histoire est super bien imaginé Je lui doit un rire et plusieurs sourire
Il existe une édition datée du 03.11.1975 non répertoriée ici.
Le dos comporte la nomenclature des numéros parus à partir du 67 et s'arrête au n° 157.
Le scénario est assez rythmé. Il y a de bon rebondissements et des course-poursuites époustouflantes autour du poignard d'or qui rappelle, un peu, le scénario du "Le Sceptre d'Ottokar"d'Hergé... L'intérêt du dessin relève de l'illustration, assez précise, des grands sites de Jordanie: Pétra, le désert de Wadi Rum, les ruines de Jerash...
Grâce au télé-porteur temporel de Barabas, Vandersteen nous plonge dans la Gaules antique. L'humour est plus au rendez-vous que les véracités historiques. J'ai eu un petit coup de coeur pour la nymphe rondouillette amoureuse de Jérôme. Le dessin est particulièrement soigné dans les scènes de combat entre Gaulois et Romains.
Cet album est d'un intérêt primordial car il raconte la première rencontre entre Bob et Bobette. On découvre, ainsi, qu'il n'est pas son frère mais un habitant de l'île magique d'Amphoria où le Moyen-âge a toujours cours. On découvre, également, le professeur Barabas pour la première fois. Le dessin est soigné en ce qui concerne les décors liés au château fort.
Ce tome a été choisi comme premier album en couleur en 1967. Le scénario de Vandersteen est bien ficelé. Il s'agit du thème éternelle de la lutte du bien et du mal avec, bien entendu, les forces du mal du côté de l'argent. Lambique veut devenir riche mais il doit, pour cela, vendre son coeur à Nathan et Jézabel, des suppôts du diable... L'intérêt de dessin se trouve dans l'ambiance très sixties de l'album avec des voitures d'époques, des hippies aux vêtements fleuris... Nostalgie quand tu nous tiens!
Très bon album j'en conviens- mais pour moi qui suis dessinateur, j'en conclu que Vandersteen était comme Hergé - un commanditaire ! dessiner et scénariser 320 albums en 40 ans de carrière est techniquement impossible ! N'oublions pas que Lambique avait aussi sa propre série! Grand partisan de l'artisanat, je ne peux que réprouver cette méthode ! Tibet, auteur très prolifique, avait un assistant, il n'avait pas honte de le nommer !
Le Prince René III fait appel à Lambique, Bob et Bobette afin de protéger la principauté de Mocano contre un complot qui vise à dérober le mystérieux trésor englouti au pied du Rocher...
Cet épisode fait partie des 8 histoires publiées dans le Journal de Tintin :
dessin très pur et précis et seul Lambique, Bob et Bobette participent à l'intrigue.
En outre, leur apparence et leur comportement vont être sensiblement modifiés,
suite aux recommandations d'Hergé.
Un de mes préférés car on y retrouve de très beaux décors de Monaco et de plongée sous-marine.
Le nouveau look des personnages (plus matures et plus intelligent) est appréciable mais on perd quand même le côté loufoque et populaire qui fesait le charme de la saga de Vandersteen...
Jérôme a été enlevé .
Nos héros réussissent à retrouver sa trâce dans le cirque Fantasar et s'y infiltrer comme clown, trapézistes et fusée humaine.
En outre, un mystérieux Wagon Noir entre en action à la tombée de la nuit.
Tout tentative de percer le secret du cirque s'avère infructeuse : l'Invisible, secondé par Tazzan, Jack le Tireur et le Maître de Piste, veille...
"Lalie2548
Bande dessinée que j'ai lue petite et que j'ai relu par après.
Dans cet épisode des aventures de nos intrépides héros, nous allons découvrir le monde du cirque. Et loin de la magie de cet univers, on va se retrouver dans une histoire pleine de rebondissements et de dangers.
On commence l'aventure par l'enlèvement de Jérôme alors qu'il est seul à la maison mais grâce à la caméra de Bobette, nos amis vont voir ce qui s'est réellement passé pendant leur absence. Quelques jours plus tard, un heureux hasard fait en sorte que Lambique se fasse engager comme clown dans un cirque. Pour trouver une relation entre ces deux faits, il n'y a qu'un pas pour nos amis et c'est ici que leurs péripéties vont commencer.
Très bon tome pour nos petits héros. A lire! Moi, en tous cas, chaque fois il me rappelle mon enfance (une de mes premières découvertes en bande dessinée)"
Par petitemadame
"Un météorite transforme en zombie l'humanité et doue d'intelligence les singes. Nos amis se sauvent des rayons débilitants en fuyant avec l'aigrefin sous l'eau. Les singes font exploser le budget de l'armée pour créer une terrible guerre mondiale en lançant une bombe H dans l'espace.
Peut-on parler d'une version Planète des Singes en BD ? En tout cas, les singes imitent à la perfection leurs homologues humains, toujours prêts à faire la guerre. C'est aussi une parodie de James Bond où Lambique tient le rôle de James Bique, "l'agent secret qui se sacrifie", équipé de toute une série de gadgets efficaces mais inoffenstifs bricolé par un Professeur Barabas, Mr Q pour l'heure."
La couverture annonce la couleur : ce tome s'inspire allègrement des univers de James Bond et de La Planète des Singes. Comme de coutume, Barabas et ses inventions permettent de déjouer un complot à l'échelle planétaire, mené par les 7 Grands Singes. La critique de notre société toujours en filigrane. Du tout bon.
"Un cimeterre du temps des croisades suspendu à la plus haute voûte de Sainte Sophie à Istanbul permettra de délivrer de l'errance un templier maudit.
Mais Boris le bulgare et Kémal le turc sont également à sa recherche.
L'histoire se termine par la réconciliation entre Kémal le turc et Jéromba le grec, alias Jérôme rendu amnésique par la foudre. Tout un symbole !"...
indispensables à cause du dessin original de Willy vandersteen, non retouché. La fabrication de ces album, qui sont assez difficiles à trouver est totalement artisanale. Fabriqués à l'unité à 200 exemplaires, numérotés et plastifiés, il n'existe pas deux exemplaires identiques du même volume, les couleurs de la couverture change d'intensité, le quatrième plat n'est pas le même, etc. ! même la pagination des pages de garde est différente. D'authentiques pièces de collection surtout avec le bandeau original !!!!