Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Un album pas désagréable à lire.
J'ai bien aimé le principe des doubles pages lorsque chacun raconte son histoire.
Malheureusement l'auteur n'est pas allé en profondeur, il a parlé de ce sujet en surface, telle qu'on la voit quand on a 13 ou 14 ans. Avec quelques gentils contestataires qui se cantonnent à poser des affiches. Le malaise, la méchanceté, les regards, les paroles, les silences ou l'indifférence auraient pu en quelques cases faire la différence.
C'est ce qui rend cette BD assez accessible à tous et à tout age mais sans réflexion du coup.
Au niveau des dessins, ils sont réussis même si ils ne sont pas très travaillé, cependant c'est un assez gros volume. C'est vraiment dommage qu'il n'y ai aucune couleur, il manque une vraie profondeur. Si c'est une contrainte de coût pour la publication je peux alors comprendre, si c'est juste un choix artistique il est raté. La première de couverture par exemple est reussie.
Le maire d'un village annonce à sa population la construction de logement destiné à accueillir des réfugiés étrangers. Aussitôt, les habitants de ce paisible village se mettent en opposition avec ce projet compte tenu de l'insécurité, du bruit et de la violence que cela va amener. Baliverne, ce sont des préjugés pensent d'autres âmes qui font dans la compréhension et l'humanitaire et qui sont prêts à les aider. Voilà pour le pitch de départ.
Il est vrai que la capitale souhaite exporter ces populations fragiles dans des endroits plus calme comme la campagne en raison d'une certaine saturation. Pour rappel, l’asile est la protection accordée par un État à un étranger qui est ou risque d’être persécuté dans son pays. Il est alors normal d'essayer de le protéger.
La France s’engage alors à lui procurer une protection internationale, un accompagnement social, l’accès à l’apprentissage linguistique, au logement et à l’ensemble des droits attachés au statut de réfugié. Quoi de mieux que le milieu rural pour ce faire où la densité de population est plus faible ?
Leur arrivée peut contribuer à la revitalisation des centre-bourgs et leur tissu social. C'est le credo emprunté par cette BD afin de dynamiser l'économie locale du monde rural. Les paysans apprécieront. Mais bon, la plupart des habitants de notre pays ont été des descendants d'étrangers à un moment donné.
On citera le cas de ce polonais qui travaille dans l'exploitation agricole comme des milliers d'autres ou celui des descendants des espagnols ayant fui le régime franquiste. C'était une immigration essentiellement européenne qui est quand même sensiblement différente de l'immigration actuelle plus lointaine.
Oui, on va avoir droit à une gentille confrontation dans la joie et la bonne humeur malgré la difficulté d'un tel sujet qui est très loin de faire l'unanimité. Non à l'hospitalité forcée où l'on ne peut pas accueillir toute la misère du monde selon le groupe de résistance à l'invasion de nos campagnes qui se met en place dans le village de Mazé près d'Angers.
Personnellement, ce titre ne m'a pas vraiment convaincu car il est trop dans la déconnexion que subit le pays actuellement. Les difficultés sont bien réelles et ne peuvent être minimisées dans un discours résolument optimiste sur le mode de la globalité de notre monde. Le contrecoup peut s'avérer assez catastrophique pour notre nation à l'instar de ce qui s'est passé en Hongrie avec Viktor Orban ou aux USA avec un certain Donald Trump qui construit également des murs de séparation.
Maintenant, l'initiative des auteurs est tout à fait louable afin de faire progresser les mentalités sur cette question. L'artillerie lourde sera utilisée de manière assez pédagogique pour dénoncer les chiffres alarmistes d'une immigration massive. Est-ce que cela suffira à faire reculer les préjugés ainsi que la désinformation sur ce sujet ? L'avenir nous le dira.