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On suit le voyage de Albino accompagné par ses 500000 fidèles aux confins de l'espace à la recherche de la galaxie promise tel une espèce de Noé avec son arche spacial. Le retour sur son passé nous promet de bons moments de lecture car il s'agit avant tout d'un parcours initiatique.
Il est vrai que ces obstacles qui se multiplient de manière presque artificielle rend la chose d'autant plus pénible que prévisible. La lassitude vous guette au bout de quelques tomes. Quelquefois, on est submergé par la folie de l'auteur dans ces histoires biscornues de type post-freudien où ses fantasmes les plus cachés sont déployés.
Pourtant, je suis fan de ce dessin même si le papier glacé est un peu froid à l'image de cet univers ainsi imaginé.
Cependant, je relève ma note car cette production est quand même objectivement au-dessus des productions actuelles. Un peu trop d'imagination ne fait pas de mal.
Notre long chemin de l’exil est semé d’embûches, de navires prédateurs, de barbares pré-psychos… Les pauvres. Ils ne peuvent rien contre notre pantechnique mentale… Comment peuvent-ils oser croire que la matière est plus rapide que l’esprit !
Notre galaxie entière est corrompue par un excès de science… Et son manque total de conscience !
Critique :
Et me voilà débarqué du deuxième tome des Technopères, toujours aussi largué que dans le premier. Apaté par le graphisme de Zoran Janjetov et la superbe couverture de Fred Beltran, acheté en même temps que le premier tome, je me suis laissé embarqué dans les délires de Jodorowsky qui poursuit les aventures des trois jumeaux et de leur mère dans un espace débridé où j’ai du mal à m’accrocher au récit. J’avoue avoir éprouvé un tout petit plus d’intérêt pour cet album que pour le premier, mais ce sera le dernier. Je n’irai pas plus loin. Des livres plus alléchants m’attendent…
Moi, Albino, Suprême Technopère, j’emmène 500.000 jeunes pan-technos des deux sexes vers la galaxie promise, loin de la galaxie maudite.
Mon corps est devenu celui d’un vieillard, mais pas mon âme…
Mon histoire commence quand Oulrij-le-Rouge attaqua l’astéroïde sacré où on cachait Panépha, ma future mère, jeune vierge, de beauté légendaire, destinée à être l’oracle de la Maison impériale. Les pirates éliminèrent les gardes impériaux et détruisirent le temple. Ce jour-là, Panépha fut violée par les soixante pirates…
Critique :
J’avoue tout : les délires d’Alexandro Jodorowski m’ont quelque peu égaré, au point qu’il m’aura fallu une vingtaine d’années entre l’achat et la lecture complète de cette BD, achetée essentiellement pour son caractère graphique, la couverture de Fred Beltran ayant été déterminante dans l’acte d’achat, ainsi que le graphisme du dessinateur Zoran Janjetov que je trouvais exceptionnel pour l’époque.
Je n’ai pas vraiment accroché à l’histoire qui est assez tirée par les cheveux : des humains vivant dans l’espace sans scaphandre… Des personnages plus proches des comics américains façon super héros… Du Camenvert… Le fromage produit par une prêtresse violée pour s’en sortir afin de prendre sa revanche sur le destin…
On le sait, Jodorowski a beaucoup d’imagination, mais je n’ai pas trouvé là ce qu’il fait de mieux. Après une petite vingtaine d’années, j’ai décidé de lire jusqu’au bout cette histoire qui a aucun moment ne m’a vraiment accroché.
Le monde de Jodorowsky est sans limite et c'est pour cela qu'il nous surprends à chaque œuvre et c'est pour cela que j'apprécie son travail. Mais là je n'est pas croché. Cette série n'a pas l'intensité des Métabarons et dégage à mon sens un coté " noeud-noeud". Je n'ai pas été enthousiasmé, l'histoire aurait pu durée sur 20 albums. C'est bien d'avoir stoppé au 8, c'était déjà bc.... Le dessin reste de grande qualité, à lire mais ne se dévore pas !
Génial, autant par l'histoire que le dessin.
Froid sans sentiment, glaciale comme le papier qui lui est glacé.
Une oeuvre à lire dans son intégralitéavant de la juger.
C'est du Jodorowsky.
Et les dessins sont superbes !!
Tout simplement génial. Lire l'avis de sincalo qui est tout à fait exact.
Pour les amateurs du genre il serait domage de passer à coté et pour les autres...
Il ne suffit pas de trouver des dessins enfermés dans des cases d'une feuille de papier pour que cela se nomme une BD, ce tome en est la preuve.
Il est aux antipodes du 9ème art, il est nauséabond et sa lecture procure un mal de tête et des nausées indescriptibles tant tout ceci est mauvais et ridicule.
Bref je n'ai pas aimé du tout.
0/10.
Avec Jodorowsky il faut s'attendre au meilleur comme au pire et avec cette série on a eu .....le pire.
Scénario incompréhensible et personnages totalement grotesques.
Tout n'est que prétexte à délirer pour ces auteurs fan de camembert, enfin je veux dire de camenvert.
A moins de vouloir se débarasser de quelques euros à éviter.
On vous aura prévenu.
2/10.
Une série à éviter de toute urgence. Les 8 tomes sont narrés de façon absolument identique. Toujours le même découpage. Si l'univers un peu déjanté de l'incal lui a value de belle critique, on tombe ici dans l'exagération. Je ne vois vraiment pas à quel type de public peut s'adresser cette bd. Après coup je ne distingue même pas de vraie histoire. En deux tome le tout tenait. Navrant
En lisant les avis qui précèdent je ne suis absolument pas surpris. Cette serie est, pourrait on dire, réservée exclusivement aux inconditionnels de Jodorowski. Vous qui n'avez pas aimé La Caste des Méta-Barons, passez votre chemin, vous qui trouvez le vocabulaire Méta/Techno agacant, cette série n'est pas pour vous.
En résumé Jodo nous fait ici un superbe étalage de son style, avec un critique grincante des voies que peuvent suivre nos sociètés actuelles. Au travers d'un créateur/vendeur de jeux vidéos il nous fait une critique de l'actuelle société de consommation, de l'abaissement de niveau intellectuels des masses prêtes à ingerer toutes les absurdités qu'on leur donne (ce qui n'est pas sans faire penser à une certaine télé poubelle qui sévit depuis quelques années).
En bref s'il on est capable de regarder au dela de la simple histoire d'un créateur de jeux vidéos stupides et que l'on se penche sur l'amère analyse de de ce Techno-Moïso-Noé on pourra se rendre compte du talent de Jodo qui peut transposer notre réalité et ses travers dans un univers pas tellement plus absurde que celui dans lequel nous vivons. Il faudra seulement un peu de courage et de confiance dans l'auteur pour arriver à entrer dans cette histoire.
En lisant les avis qui précèdent je ne suis absolument pas surpris. Cette serie est, pourrait on dire, réservée exclusivement aux inconditionnels de Jodorowski. Vous qui n'avez pas aimé La Caste des Méta-Barons, passez votre chemin, vous qui trouvez le vocabulaire Méta/Techno agacant, cette série n'est pas pour vous.
En résumé Jodo nous fait ici un superbe étalage de son style, avec un critique grincante des voies que peuvent suivre nos sociètés actuelles. Au travers d'un créateur/vendeur de jeux vidéos il nous fait une critique de l'actuelle société de consommation, de l'abaissement de niveau intellectuels des masses prêtes à ingerer toutes les absurdités qu'on leur donne (ce qui n'est pas sans faire penser à une certaine télé poubelle qui sévit depuis quelques années).
En bref s'il on est capable de regarder au dela de la simple histoire d'un créateur de jeux vidéos stupides et que l'on se penche sur l'amère analyse de de ce Techno-Moïso-Noé on pourra se rendre compte du talent de Jodo qui peut transposer notre réalité et ses travers dans un univers pas tellement plus absurde que celui dans lequel nous vivons. Il faudra seulement un peu de courage et de confiance dans l'auteur pour arriver à entrer dans cette histoire.
Et bin, cet album je l'ai lu à ma médiathéque, et fort heureusement, car j'ai voulu faire mon curieux pour voire de quoi il s'agissait, et vraiment c'est du très mauvais.
D'une part, Albino qui explique son parcours de jeunesse est vraiment recopier sur la caste des métabaron, ensuite l'histoire de ses personnages est nul et pour finir le dessin est d'une laideur.
Jodorowski aime apparement écrire des histoires assez biscornues et très extravagantes qui ne me plaisent pas.
voila a quoi peux resembler la Bd, quand le scénario déchire.
je suis aller jusqu'au tome 7 et j'ai tous revendu
Mare des délirs post freudien...
dessin numériser au possible
bref, c'est nul
Arghhh ! Tout d'abord j'ai essayé de me fier aux avis des autres internautes pour savoir si j'aurais le courage de lire cette série, alors que j'avais juré mes Grands Dieux que je ne poursuivrai pas Jodo dans ses délires mystico-SF après la relative déception de l'Incal... ouf, voilà que j'ai lu le premier tome.
(Euh, juste une petite précision concernant l'un des avis que j'ai lus sur BD Gest' : pourquoi les Gentils Organisateurs acceptent de publier les salmigondis de ckroonos ? C'est une véritable injure à l'intelligence d'un lecteur de BD, déjà qu'on est souvent accusé d'inculte et immature, en lisant l'avis de cet énergumène je désespère de l'enseignement scolaire français... il s'exprime en quel dialecte le bougre ?)
Bref, je confirme la presque inutilité de ce prolongement incohérent du Master Jodo... je ne lirai pas les 7 autres tomes. Ouste, je vais prendre l'air dans mon quotidien pour oublier les délires du bonhomme.
Il était temps que cela finisse, où est l'esprit se l'incal !!!
Heureusement cette série se termine...
Quelle souffrance !
Un dessin original m'aura accroché et finalement après chaque album la volonté de terminé la collection... Mais après celui la, même si la série avait continué j'aurai arrêté les frais...
Il faut se rendre à l'évidence, j'ai vraiment un souci avec les scénarios de Jodorowski.
bof!
comme la catres des métabarons, je regrette d'avoir acheter la série.
c'est une série a lire peut etre une fois quoi que, je me suis endormis sur le 4ème album....
vraiment, a éviter
Dessin très bon. Scénario pas mal, mais pas suffisant pour que je le consulte autrement qu'à la bibliothèque vui le prix
C'est laid, le scenario est un grand n'importe quoi. La lecture à été plus qu'ennuyeuse. A deconseiller.
Comment jeter 12€ par la fenêtre...
Texte digne d'un ados purulescent... Digne des plus grandes série Z de SFdes années 70. Le vocabulaire est répétitif et limité. Cela tente -il de cacher un scénario limité et sans imagination.
Le pire est que cela ne s'arrange pas au long de la série. Et dire que j'ai les 7er album et que j'acheterais le 8eme histoire de finir cette saga... bien trop longue.
La preuve que l'on publie parfois des séries uniquements sur des noms (Jodorowski).
Ne vous perdez pas dans cette "Holy shit"*.
* Vocabulaire néo techno ;-)
Voilà précidsément le type de série où plus on avance plus celà devient mauvais. Et là à part le dessin il n'y a pas grand chose à sauver. L'histoire devient ennuyante et sans intérêt. Bon on a quand même certaines explications sur le comment la secte Pantechno à pu acquérir un tel pouvoir, explication pour le moins surprenante et qui constitue le seul réelle point fort du scénario.
Le dessin quant à lui est toujours aussi magnifique.
Allez courage encore deux tome et je suis sûr que Jodorowsky peut encore faire pire.
Je trouve la plupart des internautes un peu sévère dans la mesure ou cette série ne dépareille pas la biblio de jodorowsky. Evidemment, vu la production pléthorique du bonhomme, certaines personnes peuvent ressentir de la lassitude mais bon, ok, peut être pas ce qu'il a fait de mieux mais une série tout de même au dessus du lot en regard à la plupart des productions actuelles.
Ce cinquième épisode (d'une série qui devrait en compter 8) on retrouve le jeune Albino a la poursuite de son rêve devenue un véritable cauchemard. L'histoire en elle même est meilleur que le précédent même si c'est dur d'y replonger sans avoir relu les 4 premiers. La construction de l'histoire est semblable à celle des précédents albums (ça respecte le même shéma). Cependant même si c'est pas mal on se lasse un peu à force et on aimerait avancer un peu plus vite dans l'histoire.
Le dessin quant à lui est super il n'y a rien à redire. C'est un vrai plaisir que de contempler ces superbes planches.
Papy JODORWSKY est de retours .Merde l'un des seul surealiste "bdéistte" francais , bien sur DRUILLET ausi mais le pauvre vieux ,il a des prob avec sa libido et l'alcool !(information perso lol).L'un des seul "otaku" qui on cotoyer SALVADOR DALI ! donc en somme un gros ponte dans son domaine !!si vous aimez DALI, BRETON ,MAGRITTE et BUNUEL ses votre HOMME !!mais dans cette serie cela ne va pas a son aventage loin de la .Dans cette serie ,il pompe alégrement dans sa serie fare L'INCAL.Mais maleure a lui_ il a pris tout les mauvaises choses .
Un senar qui au depard avait l'air "barre" est "surealistico-tecknologico" mais ses juste la surface ...
Le hero ,un albinos avec une fente sur le milieu du crane ...On s'en fou royalement pendant les 5tomes , il deviens meme franchemant agasant , pseudo pretre moralisateur on y crois pas une seconde , on dirait Paul 2 en boys band fragile( prefaire lire la bible ........si je dois subire ca !)
Pourtant le premier tome etait plutot pas mal (le commansemant de l'histoire ).Mais apres "jojo" enchaine tome sur tome qui nous reserre la meme histoire. .JOJO !! on est des cons de consomateurs certe mais quand meme , tu pouvait etre un peu plus fin .....
Le graphisme de Zoran JANJETOV EST parfait . planche a caractére "lente " mais qui "imprime" nos ensephales malades .
SES UNE SERIE HOOLYHOODIENNE EN SOMME , juste a regarder mais faite une hablation de votre cervau , pas parce que ses con ! mais juste parce que ses agasan et repetitif , SES BIEN PIRE !
serie a deconseil !!!!!
sur ceuu bonsoir ou bonjoirs :)
Si vous aimez Jodorowsky
Si vous aimez ses délires sans fin sur les "techno-trucs"
Si vous aimez les scénarios sans fin
Alors cet album est pour vous, sinon vous pouvez vous en passer, bref rien
de trés neuf dans la planète Jodo, toujours la même chose racontée de façon différente.
Voila bien une série qui ne passe pas inapperçue. L'originalité est sans conteste son point fort mais à mon avis, ça s'arrête là. Le premier album était bien mais je me suis lassé au fil de la série et j'ai même fini par l'abandonner (chose qui m'arrive pourtant extrêment rarement). Je me suis lassé du dessin qui sent l'ordinateur à plein nez. Je suis d'accord pour dire que l'univers des Technopères avait besoin d'un dessin froid pour pouvoir rendre une ambiance d'austérité qui colle bien avec l'histoire mais peut-être n'était-ce pas la bonne méthode.
Ce ne serait pas encore trop grave, me direz-vous, si le scénario compense ces lacunes. Oui mais non! Le scénario est justement tout aussi lassant que le dessin. Ce qui me dérange le plus, je crois que c'est la structure du récit qui se répète inlassablement d'album en album. De nouveau c'est la lassitude qui l'emporte.
Bon le scénario commence à dériver un peu mais il est encore assez réussi. le dessin toujours aussi bien fait un régale pour les yeux. J'attend la suite avec impatience.
Voilà les personnages évoluent toujours et encore leur destiné se dessine devant eux toujours avec violence et désillusion. Vraiment une série très psychologique servie par un dessin très réussi.
Comme pour le tome 1 le scénario et toujours tiré par les cheuveux et très violent. Le dessin et toujours aussi froid. Bref c'est toujours aussi bien mais il faut être en forme pour le lire sinon ça prend la tête. Si on n'a pas aimer le 1 il vaut mieux laisser tomber.
Comme il s'agit d'une série de Jodorowsky on peut s'attendre à un scénario tordu et c'est le cas. Je trouve que c'est un album très psychologique mais pas dénué d'intérêt. Le dessin est froid ce qui fait bien ressortir l'ambiance de l'univers où évoluent les personnages. C'est pour moi un bon album mais je conseille tout de même de lire l'album avant d'acheter.