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Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Shaddam4 Le 22/07/2024 à 12:51:17

    2019… cela fait un monde que nous attendons la suite de ce Magic Order avec la promesse d’un niveau artistique de folie sous les pinceaux du grand Stuart Immonen. Les deux bonshommes ont déjà collaboré sur l’assez décevant Empress mais la radicalité et la qualité de l’univers de ces sorciers faisaient de cet album un des plus alléchants depuis longtemps. Malheureusement l’inspiration (ou le travail?) du golden-boy Millar semble s’être tarie et ce nouvel opus d’une série qui tarde à arriver en format audiovisuel sur la plateforme au N rouge ne nous rassure en rien sur sa capacité à proposer de nouveaux monuments du comic indé. La source se serait-elle tarie?

    On ne pourra en effet rien reprocher au dessinateur canadien qui s’il a tendance à rechercher la simplification des dessins, n’en explose pas moins de talent à chaque fois qu’il sort du pure illustratif. L’enchaînement des séquences reste lisible et les moments d’action plutôt fun. La tâche n’était pourtant pas facilitée par un scénario qui semble vouloir se concentrer tout le long sur la petite histoire, celle des sorciers en jogging et des problèmes de couple, comme si Mark Millar avait voulu faire, plus encore que sur le premier, un néo-polar londonien à la sauce Avada Kédavra… Peu de moments épiques à se mettre sous les yeux donc.

    A cela le péché majeur du scénariste est d’abuser totalement du Deus Ex-machina qui rend le tout presque risible tant il ne s’encombre à aucun instant de construire un puzzle. La linéarité du tout est confondante de faiblesse et malheureusement ce n’est pas la poudre de perlimpinpin jetée grâce à la maîtrise graphique d’Immonen qui masque l’absence de projet pour ce opus qui pourrait à ce rythme se prolonger sur des dizaines d’albums. Ainsi le méchant sorcier d’une lignée vaincue rassemble des pierres cachées pour se venger et reprendre le pouvoir sur les Moonstone… Hum, on a vu plus original. Accordons toutefois à Millar son caractère de sale gosse qui assume tout, tuant n’importe qui à tout va, donnant par-là un peu de sel à une intrigue qui en manque diablement.

    Il ressort de ce très attendu album un sentiment de gros gâchis qui fait hésiter entre le conserver pour les planches ou s’en séparer devant une telle incurie. Si l’on fait le compte le Magic Order #1 est le dernier vraiment bon album de Millar (en sauvant Sharkey pour son aspect fun qui a un bon potentiel en série). A force de se reposer sur une armée des plus grands dessinateurs de comics pour garantir les ventes, l’auteur semble en oublier la deuxième patte d’un bon album BD.

    Le troisième tome de Magic Order est en cours de publication aux Etats-Unis (avec l’italien Gigi Cavenago aux crayons) et les premiers aperçus (très impressionnants) des planches du quatre avec Dike Ruan indiquent une sortie dans la foulée, probablement fin 2023. Lorsqu’on sait que la newsletter publiée par Millar parle de Greg Capullo, Travis Charest ou encore le retour de Coipel, on a de quoi se faire briller les mirettes. Les séries Netflix semblent sur le point d’être lancées en production. De quoi rester confiant sur le catalogue Netflix. Côté BD pas forcément…

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2022/10/08/the-magic-order-2/

    Shaddam4 Le 22/07/2024 à 12:48:30

    Dans le yo-yo qualitatif des publications Millar je fais partie des optimistes qui voient dans le plus punk des scénaristes de comics un auteur toujours brillant qui jongle entre facilité d’écriture, feignantise du patron qui laisse ses employés graphiques faire le job et intelligence disruptive qui surgit… quand il s’en donne la peine.

    Après un excellent premier tome qui rappelait au monde du comic Indé qui est le boss en ouvrant d’immenses possibilités à son univers d’Harry Potter pour adulte, un second très faible épisode qui ressemblerait à un spin-off généré par une IA si ce n’était faire offense au pauvre Stuart Immonen pour le coup bien mal tombé, ce troisième tome rassure quand au potentiel des aventures des Moonstone. En semblant vouloir oublier l’égarement du précédent, le scénariste écossais ouvre une histoire en deux partie (qui se conclura au quatrième volume dessiné par Dike Ruan et que l’on espère voir rapidement en 2024) en se raccrochant résolument à ce qui avait fait le sel de l’ouverture, les parts sombres de la famille Moonstone.

    Le nombre de pistes ouvertes et le signal donné que personne n’était garanti de ne pas chuter permet ainsi de créer une atmosphère paranoïaque pour des lecteurs qui savent déjà que l’image n’est qu’une façade qui renferme bien rarement la réalité. Jouant sur plusieurs temporalités en juxtaposant l’histoire intime des membres du clan Moonstone (le père, la nièce, l’oncle ou… la mère!), Mark Millar joue avec nos nerfs en continuant à se faire plaisir dans un infini des possibles qui voit des créatures telles que le « puzzle-vampire » ou une sorte de Grand-Ancien sorti tout droit de l’univers Lovecraftien mettre en danger la Création. Les dialogues sont toujours aussi punchy et tout est fait pour qu’on se sente en terrain familier… juste pour nous tordre le bras à chaque page.

    La petite faiblesse de ce volume réside dans les planches de l’italien Gigi Cavenago surtout connu pour avoir travaillé sur le personnage de Dylan Dog. Non que l’artiste (et sa très bonne coloriste) ne réalise un travail assez remarquable, mais quand on passe après Coipel et Immonen (tous deux dans un registre assez proche, que rejoint Dike Ruan), le style de Cavenago tranche et modifie l’atmosphère réaliste recherchée par Millar. En adoptant un design anguleux en aplats, le dessinateur est parfois moyennement lisible, ce qui est problématique lorsqu’il s’agit de retranscrire une certaine folie visuelle où le scénariste se joue des formes, des dimensions et du Temps depuis la première page de la série. Disons qu’en tant que tel le travail graphique est tout à fait intéressant mais niveau cohérence on a une petite faute de gout de la part de son employeur qui avait pourtant des dizaines de graphistes plus adaptés à sa disposition.

    Volume qui aurait du être titré « première partie », ce nouveau Magic Order reste donc un plaisir de lecture qui ne se refuse pas sous la plume décidément unique de Mark Millar. Pour peu que vous soyez gourmand graphiquement et passiez sur la rupture de style, on plonge donc très volontiers dans les manipulations de ces terribles magiciens avec une grande envie et un soupçon de crainte sur ce que Millar va nous réserver pour la suite et la conclusion de la saga prévue au tome cinq. En attendant, une très grosse fin d’année côté Millarworld avec toujours des monstres aux crayons et de quoi alimenter encore et toujours les critiques agacées des fans devant les publications Millar.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/09/14/the-magic-order-3/

    Erik67 Le 02/10/2020 à 17:19:03

    Avec cet auteur de comics qu'est Mark Millar, je passe par des hauts et des bas. C'est jamais très constant. Du coup, il peut y avoir parfois de bonnes surprises.

    Le sujet n'est pas nouveau puisqu'il s'agit de règlements de comptes entre magiciens rivaux sur fond de sombres affaires de meurtres. Il est question d'un ordre qui protège l'humanité contre des dangers pouvant altérer notre réalité.

    Une force obscure vient rompre l'harmonie en tuant un par un les magiciens protecteurs. Un ancien livre fait l'objet de toutes les convoitises. Bref, on se croîrait un peu dans un univers à la Harry Potter mais en beaucoup plus adulte et plus sombre. C'est même assez machiavélique.

    Je dois avouer que j'ai aussi bien aimé le scénario parfois inattendu que le graphisme assez soigné et élégant. Au final, un passionnant thriller assez efficace.

    sebastien01 Le 27/02/2020 à 08:05:45

    Un premier titre édité par Netflix depuis le rachat de Millarworld – la société d’édition de Mark Millar – et son adaptation au petit écran annoncée dans la foulée de sa publication, on aura probablement plus lu dans la presse, spécialisée ou non, sur les à-côtés de ce comics que sur le comics en lui-même (The Magic Order 2018, #1-6).

    Si Millar a œuvré sur des genres divers et variés, il n’y avait pas encore la magie dans sa bibliographie. Voilà qui est chose faite avec The Magic Order, une histoire de familles de sorciers / magiciens qui s’entre-déchirent de la plus violente des manières. Cette dernière précision est utile car leurs pratiques qui sont ici dépeintes sont très éloignées de celles auxquelles Harry Potter a pu nous habituer : meurtres sordides, enterrements, sexe, violence graphique, déprime passagère et petits tracas de la vie de tous les jours, il s’agit résolument d’un comics adulte. Le plus intéressant dans cette histoire ne se situe d’ailleurs pas tellement dans cette querelle de magiciens vite expédiée mais dans les relations entre les membres de la famille Moonstone (qui rappellera les relations familiales d’un autre titre du scénariste : Jupiter’s Legacy). On passe ainsi beaucoup de temps sur ces six épisodes à apprendre à connaitre chacun d’entre eux, au point qu’il ne reste que bien peu d’espace pour le développement de l’intrigue. Mais, si le scénario n’est pas le fort du livre – ils se battent pour un obscur bouquin magique en gros –, cela n’en reste pas moins une lecture très très plaisante.

    La fin ouverte laisse en tout cas à Millar le loisir d’imaginer d’autres péripéties à ses sorciers et d’étendre cet univers. Seul regret : la suite – déjà annoncée – ne sera pas dessinée par Olivier Coipel. On risque donc fort s’assister au même schéma que pour Chrononauts : sans l’artiste star original – en l’occurrence Sean G. Murphy –, la suite n’aura, et de loin, pas la même saveur. Car la grande force de cette mini-série c’est avant tout le travail de son illustrateur. Le dessin de Coipel est comme toujours de toute beauté et, habitué jusqu’alors aux super-héros (House of M, Siege, Thor / Mighty Thor / Unworthy Thor), c’est un plaisir de le retrouver sur un genre plus conventionnel. Il m’apparait enfin comme une hérésie d’éditer une version en noir et blanc de cet album : le dessin est en effet bien plus lisible, détaillé et agréable à l’œil avec les couleurs de Dave Stewart.

    Shaddam4 Le 14/06/2019 à 16:44:15

    C’est peu de dire que je l’attendais celui-là! Depuis ma découverte des illustrations d’Olivier Coipel et ma première lecture de l’auteur sur Spider-verse, la diffusion des planches de l’album, j’imagine ce qu’un Mark Millar qui nous a proposé autant de chefs-d’œuvres pourra nous proposer. A noter que ce volume est un one-shot, comprenant les six issues de la publication US avec les couvertures originales en séparations de chapitres, des couvertures alternatives et une bio des auteurs (y compris l’excellent coloristes sans qui, tout de même, les dessins de Coipel ne seraient pas aussi forts). Le fait qu’il s’agisse du premier album publié par Netflix avec comme objectif une adaptation (déjà annoncée) à l’écran est pour moi totalement secondaire bien que cette info ait accaparé une bonne partie de l’attention des sites de comics. Et je crains d’ailleurs que la brièveté de l’album ne limite pas mal les possibilités d’univers large en série TV.

    La famille Moonstone protège le monde des dangers d’entre les dimensions, de ce qui se cache entre les réalités. Ils sont magiciens. Ils ont une famille. Ils ont des problèmes. Ils sont humains… Lorsqu’une puissante magicienne bannie passe à l’action, les membres de l’ordre tombent les uns après les autres, massacrés par un mystérieux personnage déguisé en vénitien. Leur dernier espoir réside dans le plus puissant d’entre eux: Gabriel. Mais Gabriel a renoncé à toute magie depuis la mort de sa fille…

    Les comics de Millar sont particuliers en ce que l’on sait à l’avance qu’ils ne seront pas ratés: la découverte réside dans la barre placée très haut et qui fait se demander si l’on aura été trop gourmand ou si l’on a un nouveau chef d’oeuvre. Sa très grande qualité (outre le choix d’immenses dessinateurs, contrairement à son compatriote Alan Moore qui semble opter pour l’inverse…) réside dans la cohérence de ses univers et la radicalité du traitement. Un peu comme Rick Remender, il aime placer de tout puissants personnages dans les affres des difficultés psychologiques du bas peuple. J’ai trouvé en cela de grandes proximités de Magic Order avec Jupiter’s Legacy, dans cette approche familiale alliant de brillants représentants confrontés aux désirs paternels et d’autres vilains canards qui n’arrivent pas à gérer leur vie quotidienne. Mark Millar a un vrai talent de dialoguiste et de metteur en scène (à quand une réalisation?), créant des caractères intéressants, des images géniales et des scènes d’actions que ses dessinateurs savent parfaitement dynamiser. On a tout autant de plaisir à voir un magicien faire ses courses avant d’affronter un Titan que des assassinats défiant les lois de la physique et un prestidigitateur compter les entrées de son spectacle du soir. Et lorsqu’il laisse divaguer son imagination sur le sort original qu’il pourrait trouver on a une explosion d’idées toutes plus inventive les unes que les autres.

    Contrairement à la famille d’Utopian dans Jupiter’Legacy, l’ambition ici reste celle d’une transposition adule du concept Harry Potter (jusque dans les baguettes). J’aime voir des variation sur le même thème, comme le Black Magick de Nicola Scott qui penche plus dans l’intimiste féminin. Pas de discours politique donc, aucune dénonciation, Magic order est (ce qui est beaucoup reproché à Millarworld) un concept destiné à lancer une poule aux œufs d’or audiovisuelle pour l’investissement de Netflix. Ce manque d’ambition de l’auteur écossais est dommage car son talent est fou et il est un des rares scénaristes à assumer ses envies, sans censure, se rapprochant beaucoup plus de la philosophie du Franco-Belge que de l’industrie super-héroïque formatée. Chez Millar on se drogue, des gamins égorgent des adultes dans la nuit, les personnages sont ouvertement homosexuels et même quand c’est édité chez Marvel les super-héros se font massacrer et le monde dominer par une famille Hulk consanguine et dégénérée (Old-man Logan qui a inspiré le Logan de James Mangold au ciné). Ce n’est pas le trash pour le trash mais juste plus réaliste que ce qu’on lit souvent. Millar donne à voir la vie réelle des super-héros une fois ôté le vernis politiquement correcte. Et c’est ce que veulent les lecteurs comme le montrent les grands succès de super-hero movies au cinéma. Malheureusement Magic Order est au format one-shot, ce qui est suffisant pour lancer un pitch mais bien trop court pour développer un background solide et réaliste. Pour rappel Jupiters’s Legacy tenait en deux tomes…

    Graphiquement en revanche on a sans doute un des plus beaux comics de l’année. Olivier Coipel est un très grand dessinateur avec un style qui évite les dessins trop léchés de nombre de ses confrères. Un peu comme Jerôme Opena ou Sean Murphy j’aime le côté rapide, à la fois très précis et hachuré de ses cases. La colorisation de Dave Stewart rehausse incroyablement ces dessins et si Panini propose une édition spéciale n&b, personnellement je ne suis pas sur que ce soit préférable tant on à ici l’alchimie parfaite dessins/couleurs qui rend l’album supérieur. Le design général est également au top, avec une élégance et un côté décalé qui rend cette histoire vivante. Les différents magiciens sont à peine entraperçus, nous donnant terriblement envie de savoir de quoi ils sont capables, avant de disparaître… Encore frustrant.

    Magic order est donc bien un des tous meilleurs comics sorti depuis longtemps, d’une facture irréprochable, mais aussi frustrant qu’enthousiasmant. Qu’il s’agisse des personnages, de l’histoire de l’ordre et de la Guerre secrète, de la famille Moonstone, tout n’a que le temps d’être effleuré et c’est déjà fini. Pourtant il y a de la bravoure, du mystère, du sang, de la folie,… tout ce qui fait un succès. Les auteurs s’amusent pendant quelques planches à imaginer les pouvoirs de ces sorciers, comme si détruire les amusait plus que bâtir sur le long terme. Le magnat des comics aurait pu nous gratifier d’un ou deux volumes supplémentaires pour bâtir un sommet des comics. Il préfère nous laisser là les yeux brillants, à relire ce qu’il nous a jeté et attendant sagement son prochain concept. Avec une prolongation sur Netflix pour les plus passionnés.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/06/08/the-magic-order/

    Yradon4774 Le 24/05/2019 à 09:39:42

    "The Magic Order" de @mrmarkmillar et @OlivierCoipel chez @paninicomicsfra

    Synopsis :

    "Cinq familles de magiciens ont prêté serment : celui de protéger les humains des créatures qui rôdent dans la nuit. Mais un ennemi a mis en place un plan implacable et se débarrasse des membres de l’ordre l’un après l’autre..."

    Scénario : Mark Millar ;
    Dessins : Olivier Coipel ;
    Éditeur : Panini Comics ;
    Prix : 22.00 € ;
    Commandez-le sur Original Comics ou sur Excalibur Comics.

    Voici en ce jour, l'un des plus beaux comics que j'ai pu lire ces derniers temps. Je suis fan du travail de Monsieur @OlivierCoipel et cette version en N&B met plus, qu'en avant son travail et son talent. Et en plus, lorsqu'on l'associe au talent de @mrmarkmillar, qui n'est plus à présenter, on a comme résultat ce magnifique bijou qu'est The Magic Order, paru chez @paninicomicsfra. C'est tout simplement une réussite cette version N&B [...]

    [...] Nous débarquons en pleine guerre des mages, en plein milieux de la vie ordinaire, de gens ordinaires, car, les différentes familles de Magiciens, qui opèrent depuis toujours dans l'ombre, à l'insu de tous, sont devenus le gibier d'un dangereux chasseur [...}

    La suite de la chronique ici :

    https://wordpress.com/post/yradon4774.wordpress.com/2060