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Comme attendu, ce tome marque une certaine pause en concluant les multiples combats entamés précédemment et en reprenant l’itinéraire des jeunes héros de cette saga foisonnante. On l’avait déjà constaté, Jay Skwar a une ambition très élevée pour sa série et a tendance à se noyer (et nous avec) dans une intrigue qu’il maintient toujours très cryptique et une ribambelle de personnages que l’on finit par avoir du mal à identifier malgré l’indispensable dramatis personae d’introduction d’album. De même pour une fort jolie carte (conçue par l’auteur d’Albator) pas assez détaillée pour nous assister dans la géographie d’Egregor. L’action continue installée depuis le début permettait de maintenir une accroche, malheureusement lors des pauses on souffre un peu à la lecture de dialogues parfois très « djeun’z » et qui manquent de relecture. Si les dessins restent tout à fait agréables à l’œil et assez lisibles avec des designs toujours réussis, ils ne suffisent pas à compenser une histoire qui peine à s’installer. Du coup on espère la prochaine scène d’action en attendant que les auteurs nous aident à nous attacher un peu à quelques personnages dans ce maelstrom permanent.
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https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/05/08/manga-en-vrac-10/
Après une découverte enchaînée sur les quatre premiers tomes et une impression plutôt positive, ce cinquième tome d’Egregor reprend en plein cœur du combat contre le Comte et enchaîne sur les différents théâtres d’affrontement… sans que l’on n’ait trop le temps de souffler ni même de comprendre où on a basculé. En introduisant toujours de nouveaux personnages, certes plutôt classes à défaut d’être fins, Jay Skwar a tendance à nous perdre dans un trop plein. Cet album est l’illustration de la nécessité de respiration dans un scénario. Faute des séquences politique des précédents volumes et avec des décors urbains assez semblables, on ne sait plus trop qui est qui, où on est, et toujours ces méchants à peu près invincibles. Ce qui a accroché jusqu’ici, une rage guerrière, un mystère maintenu autour des Faucheurs, des dialogues très verbeux, aurait besoin de débouchés, d’étapes. La bataille de Waldgarth dure depuis maintenant trois volumes sans que l’on ne voit une quelconque ouverture ni début de révélations. L’ambition d’Egregor est très large et le scénariste a construit un monde complexe. Il ne faudrait pas oublier le lecteur en chemin.
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https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/12/12/manga-en-vrac-5-2/
Très étonnante série qu’Egregor, dont les illustrations de couverture absolument sublimes sont parmi les plus remarquables des étalages des librairies de manga! Il est surprenant que la série ne soit pas plus connue tant elle se démarque de ce à quoi on a l’habitude dans le secteur manga. Orienté vers un public d’adolescents (je ne parlerais toutefois pas de Shonen), Egregor reprend une esthétique empruntée à la fois aux RPG de jeux vidéo japonais, à l’univers de la Fantasy et à l’animation. Le scénariste explique dès les premiers tomes qu’il a été marqué par Game of Thrones, ce qui se ressent à la fois dans l’ambition du projet mais aussi dans son aspect sombre et complexe. Au sortir des quatre premiers volumes je dois dire que si le premier tome est un peu confus du fait de la plongée sans avertissement dans les effets des pouvoirs des Egides, la complexité des dialogues et la profusion de personnages et lieux géographiques rendent la lecture plutôt passionnante et concentrée sans jamais ressentir une influence trop voyante du modèle.
Egregor - Le Souffle de la Foi - Geek-ItL’autre influence graphique est donc l’animation, et il est à ce titre intéressant de comparer une série comme Lastman, dont les auteurs viennent du monde de l’animation et utilisent un dessin simplifié en mettant tout dans le mouvement, et Egregor dont le dessinateur propose un dessin beaucoup plus poussé mais utilisant les effets de flou et angles propres à l’animation. Les planches sont très détaillées avec des décors réalisés en partie en 3D avec des textures informatiques. Cela donne un aspect un peu froid par moments mais la qualité du dessin des personnages (artisanal cette fois) couvre ce problème en tirant parti de l’ordinateur pour massifier les séquences de bataille très impressionnantes et en posant des effets visuels (du feu, des sorts, etc) efficaces dans ce qui est conçu comme un blockbuster. Une fois cette impression de lire une mise en livre d’un film d’animation passée, on profite d’une vraie qualité visuelle qui est heureusement loin d’être le seul point fort de la série.[...]
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https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/09/26/egregor-1-4/