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Je suis cette série depuis le début et j’étais vraiment curieux de savoir comment elle allait se terminer.
Pour rappel, le 1er tome commençait comme un survival post apo assez classique, puis les auteurs ont viré de façon inattendue vers une intrigue occulte, en remettant au goût du jour les Grands Anciens, les Shoggoths et le Necronomicon. Bref, tous les fondamentaux du mythe de Cthulhu. Dans ce 5ème et dernier tome, on retrouve même l’emblématique université de Miskatonic. Autant de créations sorties tout droit de l’imagination de l’écrivain H.P. Lovecraft. L’affiliation avec son univers est donc totale, claire et assumée.
Cette réinterprétation étonnante du genre mérite à elle seule une lecture.
Ce qu’en ont fait les auteurs est, en revanche, un peu plus discutable.
La trame est relativement simple, mais elle parait souvent difficile à suivre. D’ailleurs, le résumé présent au début de chaque album n’est pas là par hasard. Sans ça, de nombreux lecteurs – moi le premier – seraient perdus.
C’est à la fois la force et la faiblesse du scenario :
- Une volonté d’aller vite, en introduisant régulièrement des éléments nouveaux.
- Une place de choix laissée aux scènes de combats, dans lesquelles le dessinateur David Tako excelle (les 3 planches d’ouverture de « Dernier sacrifice » sont géniales).
- Des cadrages et une mise en page ultra dynamiques électrisent le tout avec une efficacité redoutable.
Bref, on ne s’ennuie pas et on en prend plein les mirettes.
Malgré cela, c'est parfois l’impression de confusion qui l’emporte. La faute à un récit un peu abscons, comme à chaque fois qu'il est question de portails interdimensionnels et d'invocations d'entités d'outre-monde. Mais également à une profusion de créatures quasiment toutes identiques, de décors plus ou moins uniformes durant de longues séquences et d’action tous azimuts, jusqu’à l’overdose.
En réalité, derrière les monstres et la pyrotechnie, on a une histoire qui aurait pu ne faire que 3 ou 4 tomes, sans les dizaines de pages de baston pas toujours digestes. Ces 5 tomes auraient pu donner le temps aux auteurs de développer encore davantage les personnages. Personnellement je les trouve tous intéressants et j’aurais eu envie d’en savoir plus sur eux.
Là, on a un joyeux bordel sous stéroïdes, qui hésite entre manga et comics, sans apport significatif à la mythologie de Lovecraft, auquel il emprunte pourtant 95% de son ADN.
Cette conclusion propose tout de même une fin satisfaisante, logique et cohérente, mais sans éclat notable.
En définitive, c’est une bonne série, bien réalisée, très bien éditée par Le Lombard (les couvertures texturées sont incroyables !) mais qui s’adresse essentiellement aux grands ados qui pourront s’identifier sans peine aux jeunes héros.
Peut-être ai-je tout simplement passé l’âge pour l’apprécier pleinement ?
La venue des grands anciens se rapproche. Tous les protagonistes tournent un peu en rond. Il y a des passages inutiles, ou des tournures de scénarios inutiles et cela dilue la force du récit.
Ce tome reste intéressant au niveau de l'intrigue seulement ça n'avance pas beaucoup.
On retrouve nos ados canadiens après la clôture tonitruante du tome précédent.
S'il y avait quelques indices (que je prenais naïvement pour un hommage, voire un clin d'?il) dans le tome précédent ,maintenant c'est indéniable : on est clairement dans un monde "lovecraftien".
Et il semblerait que le salut de l'humanité se retrouve entre les mains d'ados glandeurs en marge de notre bien-pensante société.
Un récit prenant, inquiétant et qui semble perdu d'avance.
On lève le coin du voile sur la situation en dehors de la zone de quarantaine.
On est un peu comme les ados que l'on suit : perdus. Entre mysticisme et virologie, on ne sait pas (encore?) où est la vérité et cela rend ce deuxième tome très passionnant.
Malgré quelques faiblesses scénaristiques, on a envie de suivre ces ados en mode "survival". Le dessin est nerveux et efficace.
Voyons ce que la suite nous réserve !
Je ne sais pas trop pourquoi je continue à acheter cette série puisqu’elle est destinée avant tout aux adolescents et que ses développements scénaristiques sont parfois difficiles à suivre… Cela dit, sa lecture reste étonnamment prenante.
La partie graphique y est pour beaucoup : le style de Tako donne aux personnages une identité bien reconnaissable et son dynamisme fait merveille dans les nombreuses scènes d’action. De plus, la mise en couleurs remarquable confère aux planches une atmosphère fantastique très immersive.
Enfin, le scenario - basé sur le mythe des Grands Anciens mais très actuel - progresse efficacement tout en dépoussiérant le Necronomicon et l’univers de Lovecraft.
Une série particulière à l’esthétique soignée, qui parvient à se démarquer dans la jungle des parutions post apocalyptique, ce qui n’est pas rien. A lire.
Ce n'est pas si fréquent qu'un scénariste prenne de tels risques en faisant bifurquer ainsi le cours de son histoire. Ce qui commençait au tome 1 comme un Survival classique se transforme avec "Chaos rampant" en saga ésotérique à la Lovecraft ! C'est plutôt bien goupillé d'ailleurs, malgré la densité du contenu qui m'a demandé de m'y reprendre à deux fois pour commencer à comprendre...
On peut ne pas accrocher, c'est certain. Mais être étonné à ce point en lisant une série est une qualité que j'apprécie. Du coup, même si tout ça est tiré par les cheveux, avouons-le, je suis curieux de savoir où cela mènera. D'autant que le dessin n'est pas désagréable et colle parfaitement à l'histoire.
Ça part loin, c'est déroutant, mais dans son genre c'est assez réussi.
Ce 3ème tome est au niveau de son prédécesseur en tout point.
Le graphisme est excellent, avec une ambiance toujours très sombre. On sent que les personnages grandissent et évoluent. On se doute qu'ils quittent définitivement cette Terre telle qu'ils l'ont connue et qu'ils vont devoir s'adapter.
La narration qui en découle est d'ailleurs très bonne, avec des dialogues ciselés . Le scénario toujours aussi efficace, va à l'essentiel tout en nous surprenant au moment ou on s'y attend le moins.
Au niveau de la trame, le coté très terre à terre du virus et de la pandémie semble définitivement s'éloigner au profit d'un univers beaucoup plus axé sur la science fiction avec l'exploitation de ce monde parallèle et de la porte des enfers. Cela ne me déplait pas du tout, bien au contraire. Cela permet de donner plus de profondeur à l'histoire, tout en laissant le champ des possibles très ouvert quand au devenir de la série. Il faudra juste espérer que les auteurs ne s'éparpillent pas trop.
En tout cas, je suis toujours autant attaché à cet univers dont je prend plaisir à redécouvrir d'album en album.
C'est du très bon travail.
Cette série, qui a commencé avant la pandémie, commençait de façon très créative autour d'un virus. Puis, on a basculé au tome 2 dans ce qui ressemblait fort à des manipulations par l'armée, liées à des 'secret-défense'.
Et maintenant, on bascule vers les portes entre mondes, et le réveil des grands anciens... On prend des idées un peu partout : c'est dommage, car le dessin est plutôt sympathique.
Espérons que les auteurs vont se ressaisir...
Merci à toute l'équipe de BDFugue pour le Journal des Confinés #22.
Je découvre cette BD après l'avoir déjà eue entre les mains et avoir hésité à l'acheter. Encore une fois ce n'est pas le genre de scénario que j'affectionne mais j'ai été happé dans cette aventure palpitante, dans laquelle malgré un scénario faible, le mouvement est manifeste avec des excellents effets de profondeurs et autres techniques du genre, ainsi qu'une bonne bande de pauvres jeunes "Perdus" comme il y en a plein chez nous, ce qui nous garde en haleine et qui a rendu ma lecture géniale et imperturbable. Le résumé de kurdy1207 est excellent et tout à fait conforme.
Par contre pour les notes, je les trouve un peu dures, surtout lorsque je regarde les notes données au tome 2. (Les gars, vous avez la possibilité de les revoir) Surtout que sur d'autres BD, j'ai vu des 5 étoiles pour de vrais navets (je ne parle pas de vous). C'est à croire parfois que certains ne lisent vraiment pas beaucoup ou vraiment que des M_ _ _ _ S ou d'autres encore sont tout contents quand il reçoivent un nonosse à ronger.
La première planche avec les bayous est franchement sublime. Nos héros sont également très bien imaginés, avec leur caractère bien trempés, leurs faiblesses, leurs sentiments profonds et attachants, leur traumatismes. On pourrait un peu reprocher aux auteurs qu'ils s'en sortent tout de suite bien en milieu hostile mais on comprend aussi que ce sont des jeunes avec des problèmes familiaux au départ, ils sont plus durs. On ne sait pas assez sur eux malheureusement.
Les passages en forêt sont très réussis. Les arrières plans sont réalisés avec des flous artistiques, impressionnistes parfois, qui sont également très réussis. Toutefois, certaines autres cases manquent de fond, certains visages parfois d'identification. J'ai, malgré tout, passé un excellent moment. Le volume est plus que satisfaisant.
Dans le contexte du virus qui sévit actuellement dans le monde, le nombre de morts y est bien plus faible. En dehors des créatures que j'appelle des "Je s'appelle Groot", l'histoire de cette BD apocalyptique et eschatologique pourrait bien devenir une réalité dans le style de confinement que nos chers politiciens risquent de nous imposer dans le futur. Le Futur est obscur.
C'est une très bonne BD.
Ce 2ème tome m’a surpris et a réussi à m’accrocher. Autant "Pandémie" avait tout du survival ado classique, autant "L’alpha" est étonnamment complexe et prend des directions assez inattendues. Beaucoup d’informations, d’évènements et de rebondissements viennent enrichir l’intrigue. Ça va à 100 à l’heure, et ce rythme est entretenu par un dessin très propre et ultra dynamique. Non, franchement, c’est pas mal.
Ce 2ème opus confirme en tous cas que c’est une bonne série, sérieuse, solide et bien réalisée. Et les étonnantes couvertures texturées rajoutent encore à son attrait. Impatient de découvrir la suite !
Dans le genre post apo, "Green class" sera à mon avis très vite incontournable.
Un deuxième album encore plus rythmé que le précédent. Nous vivons une véritable aventure dans un monde en pleine déliquescence où les infectés deviennent de plus en plus nombreux. L’album s’aborde à grande vitesse et avec délice. Il est vrai qu’il s’agit plus d’une série pour adolescents mais qu’importe si elle vous transporte.
Moi qui espérais être surpris dans ce second tome, j'ai obtenu entière satisfaction à tout point de vue.
Pour commencer, l'histoire s'est véritablement assombrie et complexifiée autour d'une vrai intrigue qui nous tient en haleine. On laisse de coté les sujets légers d'ados coincés dans la ville pour des conversations beaucoup plus matures et adultes dans un environnement ouvert. S'ajoute à cela quelques évolutions:
Le groupe d'ado est séparé, plusieurs fortes personnalités coté militaire rentrent en scène, et les "Human First" mènent la résistance. De ce cocktail, il en ressort une trame solide, prenante mais surtout intelligemment construite pour le déroulement futur de la série.
Second point, les dialogues un peu trop lourds et indigestes du premier opus, laissent places à beaucoup plus d'actions. Les scènes de poursuites et de combats sont très réalistes, notamment grâce aux mouvements des personnages que David Tako a pris soin de mettre en place.
Pour finir, le dessin, même s'il est au même niveau que son prédécesseur, laisse la part belle à une mise en couleur qui elle, est beaucoup plus maîtrisée. Les jeux de lumières sont beaux, les atmosphères profondes, mais surtout le travail sur les jeux d'ombres est remarquable. On peut ainsi par exemple observer en pleine nuit, les ombres des branches d'arbres projetées par la lune sur les personnages. C'est juste magnifique.
Pour couronner le tout, les dernières pages riches en révélations se concluent sur un cliffhanger qui surprend et donne furieusement envie de découvrir la suite..
En résumé, ce second tome n'à pas monté, mais bondi d'un cran par rapport à son prédécesseur. Le virage est serré mais à le mérite de faire grandir la série pour la placer dans la cour des grands...
Avec une couverture bien travaillée et qui donne envie de plonger dans l'histoire, on en ressort finalement un peu sur notre faim. Aucune introduction ne vient poser le contexte. On commence d'entrée de jeu au cœur de cette épidémie sans connaitre le comment et le pourquoi.
Le fait d'avoir enfermé le groupe de 6 ados dans une zone emmurée et contaminée de laquelle ils doivent sortir est pour moi, bien trop facile et qui plus est, très mal scénarisée (notamment le fait d'avoir monté ce mur en 15 jours, ou le fait qu'en 15 jours cette épidémie tombe de nulle part).
D'ailleurs c'est l'ensemble de l'histoire qui est pour moi beaucoup trop stéréotypée. C’est du vu et revu que ce soit en Série, Film, Roman ou même BD comme l’excellent Gung Ho avec lequel, cette nouvelle série souffre affreusement de la comparaison.
Mais c'est vrai qu'en faisant abstraction de tous ces petits détails, nous sommes correctement divertis par cette nouvelle série.
Une série au dessin très bien réalisé avec des connotations Manga.
Au vu des évènements qui se déroulent à la fin on a très envie de poursuivre l'aventure Green Class.
Il faut juste espérer que l'histoire ne s'éparpille pas trop mais surtout qu'elle nous surprenne réellement...
Très efficace couverture pour ce survival-zombie, premier album d'un dessinateur que Jérôme Hamon a rencontré sur internet. Je m'attendais à une histoire de classe verte partant en mode trash, un peu comme sur le très efficace Rocher rouge. Walking Dead fait des émules mais le soucis de cette Green class est d'arriver dans un thème déjà bien encombré et par de très bons albums/séries. Gung-Ho (dont ce dernier est très proche) est excellent tant graphiquement que dans son traitement des relations entre ado et adultes, cela par-ce que le background est travaillé. C'est là la principale faille de pas mal d'histoires de Zombies (y compris Walking Dead et donc ce Green Class) que d'oublier d'expliquer le hors champ et le contexte pour fermer la focale sur un seul petit groupe. Non que cela soit inintéressant mais c'est déjà lu mille fois. Avec un dessin proche du manga très sympa pour les personnages mais assez vide pour les arrières-plans (pour un premier album, pour peu que l'auteur progresse ca reste très acceptable) et des couleurs que j'ai trouvé un peu passées la partie graphique ne suffit pas totalement à combler ce problème. Le scénario se concentre sur l'évolution des relations dans le groupe d'ado en situation de crise et tarde un peu à proposer des scènes choc que nécessitent ces histoires. C'est au final un travail honnête, pas fondamentalement original et qui vire vers le fantastique sur la fin en laissant de possibles perspectives d'aller vers quelque chose de plus novateur...
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/03/19/bd-en-vrac-4-2
Aucune introduction, des personnages stéréotypés, des angles répétitifs et conventionnels, et un sujet lui aussi éculé. L'album est joli et le travail d'édition bien réalisé, mais à part ça je recommande largement plus KidZ sorti presqu'en même temps chez Glénat, qui aborde le même sujet et pour la même tranche d'âge et qui a le mérite d'être original et d'avoir une patte.
Entrée en matière réussie pour ce survival post apocalyptique dans la lignée directe de "Gung Ho", dont les personnages se résument à un groupe d’ados livrés à eux-mêmes. Exposés à une contamination mortelle dévastatrice, confinés à l’intérieur d’un périmètre clos, ils vont – forcément – devoir se serrer les coudes, faire appel à leurs valeurs et oublier leurs divergences pour tenter de s’en sortir...
La base est donc un archétype du genre mais le récit, très dynamique, tient la route.
Si le rythme est dense, l’action sait aussi laisser la place aux dialogues "djeuns" et à une ébauche de psychologie. A noter que les cases et les textes paraissent petits mais les dessins restent efficaces et bien colorisés.
Le cahier des charges est rempli ; si le niveau se maintient, je serai partant pour le tome 2.
Un virus se répand aux Etats-Unis du côté de la Louisiane. Un groupe de jeunes canadiens parti faire une sortie dans le bayou est plus que satisfait de pouvoir retourner à « la civilisation » mais de retour à leur bus, le conducteur a disparu et le village de départ semble avoir été déserté. Leur éducateur prend la décision de conduire le bus qui sera arrêté peu de temps après par des militaires. Ceux-ci remarquent que noah, l’un des adolescents, est déjà atteint par le virus et décident de le mettre en quarantaine. Ses amis, n’écoutant que leur courage, décident de fuir avec lui mais se retrouvent prisonniers d’une étendue déjà cloisonnée par de hauts murs et des miradors. Dans ce lieu se retrouvent prisonniers un ensemble de personnes qui ne veulent pas fuir et toutes celles atteintes du virus. Virus qui les transforme en monstres. Entraide, inconscience et changements de personnalités se bousculent et offrent une bd post-apocalyptique passionnante. Mais la fin de ce premier volume avec un super monstre me laisse sceptique quant à une suite de qualité. J’espère que cela ne va pas tout gâcher.