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J'ai été attiré par la couverture car c'est joliment bien dessinée avec des décors très soignés et des personnages aux proportions justes. On embarque pour un road movie dans les USA des années 30 sur fond de crise économique.
Certes, cela manque singulièrement d'orginalité sur des thèmes qui ont déjà été maintes fois traités: racisme, intolérance... Dufaux a un peu trop étiré sa narration. Les textes semi-poétiques sont presque assomants. L'intrigue avait pourtant un bon potentiel qui n'a pas été totalement exploité. J'ai procédé à une relecture qui m'a fait revoir mon sévère jugement initial.
Cela ne sera pas le chef d'oeuvre qu'on attendait mais une série dans la moyenne. La série n'a d'ailleurs pas connu le succès. Le scénariste a depuis connu la gloire mais avec d'autres titres.
Une série qui aurait pu être intéressante malgré les visages un peu approximatifs parfois... Mais que c'est mal écrit, mon dieu, que c'est très mal écrit !!! Les dialogues sont d'une nullité...
Violence, grève, misère ouvrière et Dixie et sa famille en fuite au milieu de tout ça.
Que de souvenirs en relisant cette série qui révéla le talent graphique de Labiano.
Niveau dessin, rien à dire, c'est vraiment tout ce que j'aime. Les personnages sont bien typés (Ernest Pike le tueur à gages, le père Jones solitaire qui ne sait pas tenir en place, Duchamp patron cruel et sans scrupules, l'énigmatique Keena,..), reconnaissables, les visages graves et expressifs sans oublier les remarquables couleurs de Marie-Paule Alluard qui les accompagnent (point de couleurs informatique sans âmes ici)
Niveau histoire, ça reste assez classique mais bien écrit avec une ambiance générale remplie de mélancolie et qui me fait penser à certains bons films américains (les raisins de la colère, Bonnie and Clyde et d'autres dont j'oublie le nom...)
A découvrir, ça vaut le coup.
ah ? Donc Labiano serait à mettre au bûcher avec Steinbeck ? Pas vraiment d'accord !!! Son dessin a un cachet énorme et l'intrigue est bien menée (même si, c'est bien connu, les travailleurs américains de l'entre-deux guerres étaient des nantis qui profitaient du système). Quant aux couleurs j'ai vu bien pire (Les Humanos à une certaine période pas si lointaine). Et les auteurs résistent à la tentation horripilante de prolonger artificiellement la série en faisant redémarrer des sous-intrigues ou en publiant des séries parallèles. Ce dont on ne peut que les féliciter....
Une très bonne bd.
Le dessin est formidable meme si certains lui reprocherons de faire des tetes plus grosses que les corps.
Dixie est une jeune fille de 14 ans, et l'histoire se passe en fait tout autour d'elle.
En fait Dufaux en a fait sa narratrice pour l'histoire, car c'est elle qui nous raconte son histoire et se qui l'entoure.
Vraiment super.
Très bonne série qui se lit à 100 à l'heure. L'histoire se déroule tambour battant. Le dessin et les couleurs sont réussis.
Cette série est en 4 tomes. Les auteurs ne sont pas tombés dans la médiocrité de certains de leurs confrères, qui ne peuvent s'empêcher de réaliser des séries à rallonge, après le succès des premiers tomes.
L'album le moins réussi de la série. L'atmosphère développée tout au long des 150 premières pages et d'une bonne partie de ce dernier opus, laissait diificilement prévoir sinon un "happy ending" au moins une fin sans trop de casse chez nos héros.
Si la série demeure excellente, il reste quand même un arrière goût d'inachevé. A ce propos la fin ouverte laisse espérer une suite.
Le patriarche Duchamp poursuit toujours de sa haine inextinguible les Jones, lesquels ont échoué dans le campement minable de Silver Creek.
Là encore la grève risque de tourner mal et d'ailleurs les nervis des propriétaires s'y emploient. En attendant Ernest Pike (très sûrement un coup de chapeau au hééros de la BD argentine Ernie Pike) s'est mis en chasse pour retrouver les Jones. Et il le fait sans tendresse.
Mille choses, toutes plus excellentes, les unes que les autres dans ce très bon album.
Si l'atmosphère reste étouffante, voire désespérée, l'horreur de la fin du premier tome (magnifique !) ne resurgit pas ici. Nous sommes toujours dans ce schéma de fuite éperdue mais avec la surprise du personnage de Caleb Keena qui n'est pas celui qu'on croyait.
Dufaux sait astuciuesement mettre en rapport ce que l'on voit et lit avec un slogan qui revient comme une antienne "There's no way like the american way". Il sait jouer sur ce saisissant contraste.
Nous sommes dans années 30 dans le sud profond, là où l'on peut tuer et violer en toute impunité pourvu qu'on soit blanc et riche. Ce n'est pas le cas de Dixie, jeune fille de 17 ans, et de sa mère Nadine Jones, leader dans un conflit de revendications syndicales.
Pour couronner le tout, le père, absent depuis fort longtemps, revient plein aux as. Il a pillé une banque, ce qui fait désordre mais donne un bon motif aux forces patronales de réagir.
Superbe BD qui fait bien sûr penser aux "Raisins de la Colère" ou à la fameuse photo de Dorothe Lange "Migrant Mother".
Désolé, mais je vais détonner, oh combien, avec les avis précédents.
Je n'appelle pas ce que fait LABIANO du bon dessin, loin de là.
Je déteste les couleurs, à la (malfaisante) mode depuis une vingtaine d'années.
Quant à l'histoire, c'est la sempiternelle rengaine, usée jusqu'à la corde, de l'horrible possédant qui, soutenu par le pouvoir, bien entendu, opprime et pressure le pauvre démuni. C'est connu, c'est d'un faux qui confine à l'indécence mais ça permet, depuis plus d'un siècle, au moins, à une longue lignée de talents médiocres de subvenir à leurs prolétariens besoins. Qu'ils continuent de profiter de l'aubaine, ça fonctionne.
Fin de l'histoire en 4 tomes, avec un dénouement sans grandes surprises, mais au final, une histoire plutôt bien menée, desservie par de bons dialogues et illustsrées par de bons dessins. Globalement une bonne série.
Entrée d'un nouveau personnage, et quelques bons moments, comme par exemple le café que va prendre le président des USA dans cette petite gare. Un tome au-dessus des 2 précédents. De bons dialogues, une bonne atmosphère, certes assez pesante et dure. Et Dixie, au milieu de ses aventures, au milieu de ses parents qui se cherchent et se retrouvent.
Suite de la poursuite des Jones, traqué par les propriétaires terriens et par un inconnu qui doit ramener Ms Jones auprès de sa mère. L'aventure se lit avec plaisir, mais ne casse rien.
L'ambiance du sud profond est bien restituée, frace a un dessin qui colle bien à l'histoire et un scénario qui tient la route. Si on ne s'ennuie pas au cours de la lecture et qu'apparement, tous les ingrédients semblent présents pour une bonne histoire, je n'ai pas totalement accroché.
Il est bien dommage que Dixie Road soit méconnue du grand public; quelle excellente bd pourtant. Les dessins sont nickel (j'adore Labiano!), le scénario original, et bien mené. Bref, le must-have des must-have. Le seul petit bémol, c'est que cette histoire se soit arrêtée.
Il faut que cette série reprenne à tout prix!!!
Un monument qui aurait mérité d'être mieux connu et reconnu.
Une fabuleuse épopée à un moment de l'histoire américaine pas très gaie.
Définitivement un must.
Magnifique histoire d'une jeune femme en devenir. Rien à redire sur les dessins de Labiano (certains auteurs actuels devraient s'en inspirer !...). Bravo aux deux auteurs, dommage que cela s'arrete...
Un avis plus sur la série.
Une histoire bien racontée, avec un dessin avec des imperfections à mon avis mais des couleurs bien agréable.On suit Dixie tout au long de ces quatres albums et on sent bien la moiteur de saison.Les USA par Dufaux c'est du tout bon.Si vous aimez la série Jessica Blandy vous ne serez surement pas déçu par cette série qui sent un peu "Des Souris et des Hommes" de Steinbeck...