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Un excellent triptyque !
On en a pour son argent, les ouvrages sont beaux et conséquents.
C'est de l'uchronie mêlée à du fantastique, tout en faisant référence aux problèmes sociaux et politiques actuels.
Les multiples personnages sont bien travaillés et le scénario permet de les suivre tous sans difficulté : encore la preuve d'un travail d'orfèvre.
Whaou ! Si j'étais un auteur de BD, je serais sans doute jaloux du Dernier Atlas. J'imagine du moins que c'est typiquement le genre de projet que la plupart aimerait réaliser. C'est ambitieux, complexe, maitrisé, intelligent, immersif et addictif. Ça ne ressemble à rien de ce que j'ai lu jusqu'à maintenant. Et quelle intensité ! Dans les 2 premiers tomes, les auteurs avaient déjà exploré le polar, l'uchronie et le fantastique. Le tout simultanément, avec réalisme et brio.
Ce 3ème et dernier tome rajoute encore deux dimensions supplémentaires : le politique et la science-fiction, tout en restant cohérent et crédible. Ce tour de force est tout bonnement magistral !
Mais comme si ce n'était pas suffisant, le Dernier Atlas réalise encore à mes yeux une autre prouesse. Concilier, voire réconcilier, la BD contemporaine et la BD classique. On l'avait déjà vu dans "Groenland Vertigo" qui prenait des allures de Tintin, le trait de Tanquerelle est extraordinaire pour cela. Expressif, détaillé, dynamique, tout en conservant une ligne presque claire, hyper lisible, qui rappelle parfois les indémodables auteurs d'antan. Le souffle de l'aventure et les élégants aplats de couleur de Laurence Croix font le reste.
Je ne dirai rien sur l'histoire, il faut le lire !
Enfin, pour rebondir sur la remarque d'herve26, Le Dernier Atlas est la seule série que j'ai intégralement en double, édition classique + édition N&B sous coffret. C'est dire si je la considère comme une œuvre définitivement à part. Définitivement indispensable. Bravo et merci.
J'ai été littéralement subjugué par le premier tome de cette série, qui, ouvrait de nombreuses portes.
J'avoue avoir trouvé le second tome plus faible que le précédent mais là,les auteurs concluent avec maestria cette série. J'ai retrouvé le côté "page turner"du premier tome avec cet ultime volume. En associant encore plus le côté uchronie de l'histoire( ah! le président François Fillon qui reporte les élections présidentielles) avec la science fiction (avec la réapparition de l'UMO), et l'aspect policier, les auteurs ont réussi leur pari de construire une série prenante,à l'image de certaines série TV devant lesquelles on ne peut plus décrocher
Beaucoup attendaient les auteurs (Tanquerelle, Blanchard, Vehlman, de Bonneval) au tournant, imaginant un final apocalyptique.
En recentrant l'intrigue autour d'Ismael Tayeb, les scénaristes offrent aux lecteurs un final à la hauteur de leurs attentes.
Je conseille tout de même de lire les trois volumes à la suite pour apprécier toutes les subtilités de cette série.
J'ai lu l'ensemble de ces albums dans la version noir et blanc,ce qui m'a permis d'obtenir un superbe coffret chez mon libraire canalbd.
Il faut saluer le travail des auteurs qui nous ont offert plus de 700 pages de qualités en 3 ans!
du gros polar noir à la frouze en squelette avec de la sci-fi, du kaiju, du drame psycho et plein d'autres bonnes choses pour donner de la chair.
Le dessin est super (taaanquerelle), le scénar est épais comme un vieux bottin, il part totalement en vrille dans sa trame générale à plein de moments mais c'est pas grave parce que les dialogues et les persos sont eux toujours bien plantés et nous charment de page en page, le méchant est fabuleux. Bref achetez le, offrez le !
Bon,
Malgré tous ses atouts cosmétiques, le scénar' lui se déglingue dans sa dernière partie: le kaiju est expédié dans les limbes scénaristiques dés l'entame, la sci-fi se dénoue sur une ficelle tordue pour correspondre aux "indices" parsemés dans les tomes précédents et surtout le happy end de fin où tout le monde remercie le nouveau parrain de la pègre pour les pistons ? Un brave gaillard qui compte visiblement soigner le monde en équipant de kalach' toutes les racailles de France ? Y'a un message politique qui m'a échappé ou le prochain cycle compte partir en madmax/ken le survivant à Chambery ?
J’ai mis du temps à mettre mon nez dans cet album. Pas forcément attiré par le graphisme, un peu rebuté par ce robot… Je me demandais bien ce qu’il venait faire dans ce qui ressemblait pourtant bien à un polar.
C’est plutôt à une uchronie que nous avons affaire ici. Et je dois bien dire qu’elle est diablement efficace, rythmée et suffisamment bien ficelée pour qu’on ait l’envie intense de lire la suite, et vite !
Ce petit voyou de bas étage, Ismaël, est intéressant, complexe et on s’attache très rapidement à lui et la quête qu’il semble devoir assumer, coûte que coûte !
Donc oui je suis en retard sur ce premier tome mais je vais vite me rattraper sur le suivant, en attendant la conclusion impatiemment !
Le dernier Atlas est très loin d'être ma BD coup de cœur. Je n'ai pas trop d'entrain pour ce récit qui commence à s'étaler dans ce second tome pour aller de l'Inde à l'Algérie et combattre ce mystérieux phénomène qui se transforme en ouragan géant. Il y a incontestablement un mélange de genre entre une histoire de ripoux et un combat de robot sur fond de guerre d'Algérie.
Je sais que ce titre a rencontré l'adhésion du public et du plus grand nombre. Après, chacun de nous réagit différemment face à une même lecture. Moi, j'avoue m'être un peu ennuyé même si tous les ingrédients du genre étaient réunis pour nous faire passer un bon moment de divertissement. Le premier tome ne m'avait déjà pas trop emballé. J'ai voulu laisser une chance à ce titre en poursuivant ma lecture dans un nouveau tome. Je n'y ai pas trouvé mon bonheur et c'est le moins que je puisse dire.
Pour autant, je suis obligé de reconnaître qu'intrinsèquement, cette Bd est non seulement bien dessinée mais elle offre des atouts incontestables aux lecteurs car il y a de la maîtrise chez les auteurs.
Le Dernier Atlas tome 2.
Le deuxième tome est tout aussi bon que le premier.
Ces bd sont vraiment à avoir absolument dans une bdthèque digne de ce nom !!
C'est fluide, c'est original, les personnages sont charismatiques, on ne s'ennuie pas une seconde... Bref que du bon !!!
Je ne sais pas comment ça va finir mais pour ma part je serais carrément preneur d'un prequel avec la bataille des atlas à Batna dont on nous parle dans ces deux premiers albums.
Le seul bémol c'est de devoir attendre le troisième et dernier tome...
Quand j’ai commencé cette bd, l’action se situait en plein désert algérien puis on a enchainé avec une autre scène qui se passe certainement à Paris mais ce n’était pas précisé et du coup, j’étais perdu dès le début de ma lecture. Il est en plus question d’un gros caïd qui revient au pays. Bref, un peu de précision n’aurait pas fait de mal pour ma compréhension.
Par la suite et pour corser le tout, je n’ai pas réalisé tout de suite qu’il s’agissait d’une uchronie sur la situation de notre pays face à l’Algérie. C’est tout à la fin de l'ouvrage qu’il y a un dossier qui explique le déroulé de cette uchronie. Dommage de ne pas avoir pu bénéficier de cette information auparavant.
Vous aurez compris que la lecture a été plutôt délicate. On peut faire mieux voir beaucoup mieux. Dans ce récit, je déplore un manque de construction logique et précis. Si on ne pose pas de bons jalons, on peut perdre une partie du lectorat.
Ceci dit, je resterai indulgent dans ma notation car j’ai tout de même passé un bon moment de lecture avec cette histoire plutôt originale où les hommes ont construit des robots géants avant d’arrêter leur fabrication.
Du grand art - on est subjugué par cette histoire hors du commun !
Les personnages sont croqués par les auteurs et le scénario est vraiment exceptionnel.
A lire
A conseiller
A offrir !
Les "Atlas" étaient de gigantesques robots nucléaires jadis conçus par la France pour réaliser les plus gros chantiers d'après-guerre. Le "Georges Sand" est le dernier d'entre eux encore debout. Remisé en Inde depuis des années en attendant son démantèlement, il est d'abord volé à des fins terroristes par Ismaël Tayeb, un truand aussi trouble qu'intelligent, puis redirigé vers l'Algérie pour faire face à une menace exogène inconnue, potentiellement apocalyptique pour l'humanité…
Un scenario toujours aussi impressionnant de maîtrise et de rebondissements ! Ce mix improbable de polar, uchronie et science-fiction est tout simplement l'une des BD les plus abouties que j'ai jamais lues. Rien n'est laissé au hasard dans cette histoire. Le moindre détail a son importance et enrichit l'intrigue. Les différents arcs narratifs sont traités de façon parfaitement réaliste mais ils convergent tous vers un dénouement fantastique et mystérieux. Et grâce au talent des scénaristes, je n'ai aucun mal à y croire.
Malgré la multiplicité des personnages et des situations on n'est jamais perdu, l'ensemble étant d'une clarté remarquable. Et cette fluidité contribue grandement au formidable plaisir de lecture que j'ai ressenti ! Le dessin fait le reste. Il n'est pas très fin mais reste efficace et lisible. On appréciera d'ailleurs le caméo de Georges de "Groenland vertigo" qui s'invite p. 65.
En un mot, c'est un sans-faute. Bravo aux auteurs pour cette aventure totalement addictive et palpitante ! Je croise les doigts pour que le niveau se maintienne dans le 3ème tome mais je n'ai guère de doute… Au vu des 2 premiers tomes, l'ensemble ne pourra être, à mon avis, qu'un chef d'œuvre.
Si vous êtes passés à côté, précipitez-vous !
Le Dernier Atlas a réussi à mélanger habilement plusieurs univers qui, a priori, ne sont pas tellement fait pour être ensemble. Il en ressort un album maitrisé, au background très complet qui, tout au long des quelques 200 pages, a pu se mettre en place efficacement. Les personnages sont également bien travaillés, chacun ayant un vrai rôle à jouer dans l’histoire.
En revanche, je trouve que le dessin est un peu inégal. On peut découvrir de superbes planches très bien réalisées et puis se retrouver face à des cases vides, aux airs bâclés. C'est dommage…
Le tout est quand même vraiment prenant et avec les évènements qui se déroule vers la fin, on se demande ce que les 2 prochaines tomes de ce tryptique vont nous réserver.
J'espère juste que les auteurs ne vont pas trop s'éparpiller et qu'il restera une certaine cohérence dans l'histoire.
Depuis un moment, mon libraire insiste pour me faire lire « le dernier Atlas », une pépite selon lui. Je l’ai feuilleté puis reposé. Cela ne me disait rien. Et puis, je suis tombé dessus à la médiathèque et j’ai commencé à le lire pour vraiment m’en faire une idée et je ne l’ai plus lâché !
Le début de cette histoire est pourtant assez banal : un petit truand de Nantes, Ismael Tayeb qui magouille dans les machines à sous. On pourrait facilement tomber dans le polar avec une guerre des gangs, que nenni ! De mystérieuses migrations d’animaux dans le désert algérien viennent bouleverser la vie de Tayeb.
Autour de Tayeb, gravite une galerie de personnages assez étonnants : Martin et Jean Legoff pour la pègre, Françoise, l’ancienne journaliste au « canard enchainé », sans oublier les anciens du « George Sand », le dernier Atlas, robot hors norme dédié à la construction.
Sur les conséquences de la fin de la guerre d’Algérie, cet album nous entraine en fin de compte dans une uchronie française étonnante, qui finalement nous est révélée dans le dossier présent à la fin de l’album.
J’ai suivi avec une certaine fascination l’histoire de Tayeb, qui au fil des chapitres, s’affirme de plus en plus et finit par s’émanciper de la pègre nantaise. Ce premier opus de cette série (qui en comptera 3) est littéralement addictif. J’en ai pour preuve que mon fils m’a emprunté, à son tour cet album, et lui qui lit rarement des bd, l’a dévoré d’une traite. Les auteurs confirmés (Vehlman, de Bonneval, Tanquerelle & Blanchard) nous livrent là une histoire digne des meilleures séries TV : aucun temps mort, on passe d’un personnage à l’autre, d’un continent à l’autre avec une facilité déconcertante de lecture.
Après avoir lu ce premier opus dans sa version standard (en couleur), j’ai finalement acheté la version noir et blanc , en tirage limité, de canal bd. Cette version est splendide (ce qui n’enlève rien au travail remarquable de la coloriste, Laurence Croix) et met en valeur le dessin d’Hervé Tanquerelle, que je rapproche ici du dessin de Frédéric Peeters, période « RG », comme le souligne également Jérôme Briot dans le magazine Zoo (mars/avril 2019). J’ai lu que canalbd allait continuer à éditer les deux volumes suivant en noir et blanc, je m’en réjouie d’avance.
Cet album est une des meilleurs sorties de ces derniers mois, et tranche avec la production actuelle.
Dépaysant, original et addictif, bref une réussite.
J’ai avalé "Le dernier Atlas" d’une traite, exalté par cette fusion assez inédite et parfaitement réussie de polar, uchronie et fantastique.
Le scenario, découpé en 10 chapitres, est d’une habileté redoutable. Fluide et nerveux, avec son background réaliste, il est étonnamment crédible. Ainsi, des robots géants à piles nucléaires y côtoient des gangs mafieux à Nantes et des phénomènes paranormaux en plein désert… et tout cela parait d’une logique limpide. Non seulement ça fonctionne mais c’est addictif ! Tous les personnages sont clairement identifiés et bien développés, aussi bien physiquement que psychologiquement. Les décors, nombreux et variés, sont très immersifs et participent aussi à l’attrait de l’ensemble.
Quant au dessin de Tanquerelle il ne plaira peut-être pas à tout le monde mais pour ma part, je l’ai trouvé audacieux et brillant. Enfin, les couleurs de Laurence Croix sont comme toujours magnifiques. Bref, un grand et beau moment de lecture !
Un album que je recommande à tous sans hésitation. Et vu la qualité et la densité de ce travail, je n’imagine pas un 2° tome de moins bonne facture… Dupuis a frappé fort ! A coup sûr une future référence.