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Kogaratsu est une oeuvre à part dans la BD franco-belge: il s'agit peut-être (de mon point de vue) de la meilleure BD se déroulant à l'époque des samouraïs et possédant un cadre et une approche réaliste (contrairement à d'autres oeuvres qui plongent ouvertement dans le fantastique).
"Taro" est le dernier album de cette série, et comme précisé précédemment, il y a un sentiment de sérénité qui s'en dégage.
En un tome, Bosse signe un album qui se tient avec son lot de péripéties, de combats, d'émotions et doté d'un souffle épique sublimé par le dessin et les couleurs de Michetz.
Cet album est devenu l'un de mes favoris avec "Sous le regard de la lune" et "la stratégie des phalènes", en raison du fait qu'il s'agisse du dernier en date et peut-être bien du dernier tout court, pour une saga exemplaire où il n'y a eu aucun faux pas.
Encore une énième histoire de ronin dans le Japon du Shogun ? Certes, mais si bien traitée. La série est de qualité. On est vite séduit par l'onirisme et la poésie qui s'en dégagent. Le scénario est fort cohérent avec un suspense entretenu. La mise en page est soignée avec une colorisation un peu atypique. La narration est envoûtante. On suivra avec plaisir les aventures de ce ronin en quête de justice et de liberté. J'aime également les réflexions philosophiques qui se dégagent de cette oeuvre. Il y a un réel intérêt à commencer par le code de l'honneur.
Cependant, au fil des albums et notamment les derniers, j'ai senti un réel essoufflement non pas au niveau du dessin qui s'améliore encore mais du point de vue de l'intrigue. Puis, le 10ème tome a réussi à nouveau à me captiver sur le thème du choc des cultures. Les albums sont assez indépendants les uns des autres. Il est vrai que leur qualité est variable. On remarquera également que le rythme alterne des moments calmes puis de brutales accélérations dans l'action. Il y a beaucoup de batailles dans cette histoire de samouraï. Au moins, elles ont du sens.
j'adore Kogaratsu qui malheureusement se fait trop rare.
les albums sont parfois inégaux surtout les premiers.
mais tout amateurs des Samouraïs ne peut être que comblé.
les dessins sont très bons à mon gout.
les voir en noir et blanc et un plus car, comme souvent, les couleurs gâchent un peu leurs qualités.
l'album Le protocole du mal a un coté un peu dérangeant mais c'était à mon avis le but.
bref, je conseille avec un plus pour l'Homme sur la vague.
Étonnant. Comme clemlal5, je trouve que l'on oublie souvent les histoires. Il reste de la lecture de Kogaratsu une impression de calme et l'envie de s'éloigner des bruits et de la fureur. A l'image du héros dont l'évolution du jeune chien fou vers l'homme apaisé et réfléchi qu'il est devenu. Je viens de relire les 14 tomes à ce jour, et cette impression suit les sentiments du personnage. Il se détache et s'éloigne de son passé Ce calme et cette sérénité du personnage sont très bien rendus puisque le lecteur les ressent.
Kogaratsu nous transporte efficacement, bien que classiquement, dans un univers de Japon médiéval et de samouraïs. Toutefois la BD manque de caractère, que ce soit au niveau du trait (fin toutefois) ou des personnages (je n'ai pas réussi à m'attacher et je n'ai jamais voulu en savoir plus). A mon sens on peut lire un tome par-ci par-là sans que cela pose problème, l'histoire n'est pas "forte".
Bon, sans plus
Quand on est habitué à Kogaratsu, on n'est jamais vraiment déçu mais j'ai l'impression que je ne me souviens quasiment jamais des histoires. L'intérêt, c'est que je peux les relire régulièrement, l'inconvénient, c'est qu'on se dit que ça ne marque quand même pas des masses...
Une très bonne série sur la société japonaise traditionnelle. Chaque épisode est une réelle révélation. Le quatrième opus semble marquer un tournant de la série.
Je regrette le format trop petit qui nuit énormément aux dessins. Pourtant ces derniers sont de qualités.
Au total série à lire mais préférer le format "classique"
6/10.
J'ai eu du mal a entrer dans cette serie mais a partir du 3 tout est un bonheur , le dessin est devenu plus precis , l'histoire est simple mais efficace et les personnages de plus en plus fouilles , mis a part le 0 avec ces petites histoires le reste apres lecture nous laisse ravi .
Kogaratsu doit escorter un namban (blanc) venu au Japon pour y peindre la
guerre. Cet album aurait put être génial, mais il s'avère au final assez
décevant.
Le peintre Remigius Tafelberg est en lui-même tellement grotesque et
caricatural en tous points (a-t-on déjà vu une telle coiffure?) qu'il nuit
terriblement à l'ensemble de l'album. La manière dont Bosse développe son
histoire et surtout ses dialogues sont eux aussi bien en déça de ce qu'il est
capable de faire habituellement à mon sens.
Reste malgré tout encore et toujours de magnifiques dessins, et une intrigues
parallèle plutôt réussit (un duo de déserteur assez sympathique qui veut à tout
prix dérober les "richesses" de Remijiu-San).
Bref, un album qui en a ethousiasmé plus d'un qui ne m'a pas particulièrement
emballé.
Pour moi le meilleur album de la série. Et pourtant, l'histoire est toute simple :
Kitaro, manieur de sabre débonaire mais impitoyable, veut en découdre avec
Kogaratsu, qui s'efforce de ne pas répondre à ses provocations.
Tout au long de l'album, c'est cet affrontement psychologique qui est
développé avec beaucoup de finesse par Bosse. Ce sont deux entités qui se
font face, deux philisophies, deux personnalités. Bosse délaisse les longs
dialogues pour mieux faire resortir la qualité des quelques répliques qui
parsèment le récit, loin des longs discours qui pouvaient ralentir le
déroulement du récit dans d'autres volumes. Les planches muettes sont
nombreuses, et le dessinateur Michetz en profite pour laisser pleinement
s'exprimer son talent : la virtuosité de ses découpages, l'éclat de ses
magnifiques couleurs, la fluidité de son trait fin/épais n'ont jamais atteind une
telle qualité... Plus que jamais les auteurs laissent la place à ces scènes
muettes de "s'exprimer", et c'est tant mieux.
Cet épisode de Kogaratsu est à la fois un ovni et dans la continuité de la série,
qui atteind des sommets avec cet album.
Kogaratsu escorte une jeune aveugle partit sur la piste d'un mystérieux tueur
en série. Des personnages intéressants (la torturée biwahoshi et l'espiègle et
sûr de lui Gorodo), une intrigue bien développée, des répliques bien senties,
et une mise en couleur qui gagne en éclat par rapport aux volumes
précédents font de cet opus une réussite de plus pour cette série.
un peu en déça de son prédécesseur, L'Autre Moitié du Ciel reste un bon
Kogaratsu. Les personnages sont très réussit, l'intrigue pas inintéressante, et
certains passages vraiment bons, mais la manière dont Michetz raconte son
histoire est en déça de ce qu'il a réussit à faire d'autres fois. Reste malgré tout
un bon album, qui nous raonte un périple pour le moins semé d'embûches.
Un très bon album où notre bon vieux rônin sans attaches Kogaratsu se voit
mêlé à une "guerre" entre étudiants d'une école de sabres.
Comme à son habitude Bosse arrive à étirer son intrigue, à faire des passages
calmes pour mieux pouvoir accélérer le rythme le temps d'une scène, à nous
servir des dialogues tout en finesse remplis de phrases bien sentis. Mais il faut
malgré tout reconnaître qu'il est bien moins habile pour ce qui est d'entretenir
le suspense, qui se résume au final à un amas de mystères assez peu
palpitant.
Le trait a lui gagné en beauté, il se fait plus fluide, avec de longues lignes
alternant entre finesse et épaisseur. Les vues aériennes sont particulièrement
agréables, et les passages silencieux peuvent donné de très belles scènes,
soutenues par un découpage alternant sans mal entre classicisme et
destructuration (cases qui s'imbriquent les unes dans les autres, se
superposent, rétrécissent, etc...). L'art de la contemplation peut s'y avérer des
plus maîtrisé. Les vues ensoleillées, la colorisation atypique, et la façon de
dessiner la nature sont eux aussi très réussit, mais force est de constater que
dès qu'il y a un peu de pénombre Michetz excelle beaucoup moins. Reste que
son dessin reconnaissable au premier coup d'oeil est souvent un régal.
Bref, Kogaratsu est une série à découvrir malgré ses quelques défauts, et cet
album est particulièrement réussit.
Michetz est peut être le seul déssinateur à dessiner ses asiatiques d'un trait très japonais. Oui, le trait est là. Très grande maitrise du dessin.
L'album nous raconte la rencontre entre un ronin et un peintre hollandais dans un Japon ravagé par la guerre. De nombreuses péripéties les feront parcourir ce pays tourmenté.
Deux personnages opposés qui se trouveront dans un but inaccessible, l'un à la recherche d'un maître perdu, l'autre à la recherche du "rouge ultime".
Du pur bonheur
Une série indispensable pour les fans du japon médiéval, et un nvoyage extraordinaire pour les novices. Une perle
Pour amateur du style samouraï. Pas mal de réflexion philosophique bien dans la veine de la recherche de la "Voie". Pour les amateurs de livres, voir "le sabre et la pierre".
Ca procéde un peu de la même recherche personnelle. L'auteur est surement un fan de cette civilisation complexe dont la réflexion sur la vie est souvent bien loin de la notre.
J'aime bien le héros, un peu perdu dans ce vaste monde qu'il cherche à découvrir par son art du sabre.