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== Avis pour les deux premiers tomes ==
Tome 1 : 3/5
Tome 2 : 0/5
D'abord, "Static picture". Quand on pense avoir révolutionné le genre et qu'on prétend recréer un film en BD, faut le faire! Comme si on n'avait jamais vu ça avant!
Quoi qu'il en soit, le scénario est classique. Cartels, tueurs, scènes d'action abracadabrantes... du bon vieux cinéma Z. J'ai cru voir des gens comparer ça à du Tarantino!? On se calme. Tarantino écrit d'abord un excellent scénario avec d'excellents dialogues et parsème son histoire de scènes violentes. Petrimaux essaie vraiment très fort d'être drôle, met du gros boum boum un peu partout et relègue le scénario à un style bien classique, bien éculé.
J'ai quand même apprécié le premier tome. On peut quand même faire du divertissement avec le classique. L'humour fonctionne parfois, mais Petrimaux essaie beaucoup trop d'être toujours drôle, au point d'utiliser des gags déjà vu des milliers de fois auparavant. Mais sinon, j'ai quand même pris un certain plaisir à le lire. Là où j'ai complètement décroché, c'est avec le tome 2. Ça devient du gros n'importe quoi avec des personnages trop peu crédibles, avec encore plus d'humour forcé. La scène de l'inspecteur qui grille un témoin et qui demande "C'EST DES ARMES, DE LA DROGUE?!?" et qui se fait dire que c'était pour monter un groupe rock, vraiment? Personne n'a vu ça venir?
Le péché cardinal de l'album, par contre, se trouve à être cette petite perle :
"Désolé, hein! Tu penses bien que j'aurais pu les flinguer plus tôt... J'étais juste curieux d'voir comment t'allais t'en sortir..."
Alors là, non. Non, non, et renon.
Toute l'histoire tient sur ce super tueur invisible imbattable qui doit absolument protéger une certaine personne... et là, alors que ça canarde de partout et que son protégé passe à deux doigts de mourir on ne sait combien de fois, IL VOULAIT VOIR COMMENT ÇA ALLAIT SE PASSER? Quelle paresse scénaristique. N'importe quelle autre excuse aurait été meilleure! Je sais, je sais, c'est de la comédie et il n'y a rien de réaliste dans toute cette histoire. Mais ça, c'est le genre d'absurdité que je ne tolère pas. Quand les personnages ne sont plus logiques ou cohérents avec leur personnalité, c'est fini.
Enfin, faites réviser votre anglais les gars. Je ne compte plus le nombre d'auteurs français qui écrivent en anglais dans leurs BDs et qui laissent passer des fautes. J'avoue que Petrimaux s'en sort pas mal, mais "You own me a yellow car!", c'est pas bon. C'est "You OWE me a yellow car", qu'on dit.
J'ai tellement été déçu par le tome 2 que je pense que je ne lirai même pas le troisième.
L'auteur travaille dans le storyboarding pour les jeux vidéo et les films et ça paraît. C'est vraiment bâti comme un blockbuster américain tout en ridiculisant la culture de surconsommation américaine.
Niveau art, rien à dire. C'est magnifique. Mention spéciale aux perspectives qui sont ultra bien maîtrisées (ce qui est pas évident). Les choix de couleur sont top et aident à nous situer dans les années 80 où la série se situe. 5/5
Au niveau de l'histoire, c'est très rocambolesque. Quelques passages sont légèrement plus long, mais on a pas le temps de s'ennuyer. J'ai l'impression de me faire amener en avion très très haut. J'ai un peu peur de voir comment unaussi beau voyage pourra bien se terminer. Je reste un peu plus méfiant de ce côté-là. Considérant que ça fait 4 ans que le 2ème tome est sorti et qu'on a pas de nouvelle du 3ème, j'en ai encore pour un bout à rester sur ma faim.
Ça reste une excellente lecture qui montre à quel point la BD peut être un beau medium quand c'est utilisé par quelqu'un qui sait comment l'utiliser pour raconter une histoire (jusqu'à présent, du moins).
Oh yeah, Ramirez est de retour! Je viens de terminer le tome 2 et franchement, c'est décoiffant, c'est rythmé, c'est drôle, ça pète de partout...
Cet acte est tout aussi bon, voire meilleur, que l'acte 1.
Le début de cette suite se situe exactement à l'endroit où le précédent tome nous avait laissés.
Le scénario est toujours aussi excellent, nous passons d'une révélation à l'autre, d'un étonnement à l'autre.
Dans ce tome, nous pouvons basculer de l'humour à la mélancolie, car OUI hélas, ce personnage a malheureusement perdu la vie (sniff, sniff, pourquoi Nicolas Pétrimaux a anéanti un rêve qui aurait pu être).
Les scènes d'action sont toujours aussi spectaculaires. Les dialogues restent aussi bien élaborés, certaines scènes et publicités sont hilarantes avec de nombreux clins d'œil.
En ce qui concerne l'aspect graphique, on retrouve la continuité du tome précédent. Les couleurs, d'une intensité chaude, nous plongent dans la chaleur de l'action. Grâce à la mise en scène des vignettes et à la mise en page, nous nous retrouvons plongés au cœur de l'action d'un film. Les doubles planches nous émerveillent, la mise en page est un véritable plaisir pour nos petits yeux.
Pour tous ceux qui ont été séduits par le premier, sautez sur la suite.
Une fois de plus, j'ai passé un excellent moment avec M. Ramirez. Je suis vraiment impatient de découvrir le troisième et dernier tome de la série.
Il faut flinguer Ramirez le premier tome, est pour moi un véritable succès, un véritable coup de cœur. Cette bande dessinée a tout pour attirer l'attention.
Observez ce format de bande dessinée, extrêmement pratique à prendre en main, (on dirait un format 16/9 retourné), la couverture est splendide, la quatrième de couve nous donne une irrésistible envie d'en savoir plus sur ce curieux personnage.
Dès le départ, on sait que le pauvre est muet, qu'il est le spécialiste de la réparation d'aspirateur, un homme anodin qui ne ferait aucun mal à une mouche. Vraiment comment pourrait-il être la cible d'un dangereux cartel mexicain bien décidé à lui faire la peau ?
Dès l'ouverture de ce tome, nos yeux sont subjugués par les couleurs chaudes des illustrations qui ornent les pages. C'est une véritable claque visuel.
Grâce aux traits des dessins, les personnages sont expressifs et le mouvement est parfaitement retranscrit, on a vraiment l'impression d'assister à un véritable film d'action à la Tarantino. Les cases parfaitement découpées nous donnent presque l'impression d'être au cinéma, on en aurait presque les oreilles qui bourdonnent avec cette ambiance incroyable. Nous ne savons plus où donner de l'œil, il n'y a aucune baisse de régime.
Le scénario est bien élaboré, très bien structuré, chaque chapitre est agrémenté de publicités humoristiques années 80 tout à fait remarquables. Pendant ces publicités, ces instants de détente entre les chapitres, il ne nous manque plus que les hôtesses pour nous proposer des glaces et des bonbons. La construction est si bien élaborée que j'ai l'impression de regarder un film dans une salle.
Cette bande dessinée ne manque de rien, tout y est, de l'action à l'humour en passant par les références (j'ai trouvé très drôle le clin d'œil à Magnum avec la Ferrari).
Les personnages sont tout de suite attachants, que ce soit notre héros, ou ces 2 femmes à la Thelma et Louise, les Mexicains, on a envie de suivre leurs péripéties.
J'ai passé un excellent moment avec cette bande dessinée, le dosage entre humour, action et suspense est parfaitement équilibré.
Je me dirige immédiatement vers la deuxième séance.
Enfin je l'aie. Outre le dessin insuffisant pour ma part, les bulles parfois pénibles à lire, parce que souvent "écrit" trop petit, l'album vaut son pesant d'or. L'objet est beau, le format est suffisamment grand, il y a beaucoup de lecture et de nombreuses pages. L'album est parsemé de publicités tellement exagérées que ç'en est devenu très drôle. Les dialogues sont sans aspérités ça déboîte et une bonne brochette de personnages plus ou moins loufoques qui nous présente cette histoire de fous.
Dans ce premier tome, le rythme est progressif. Les personnages rentrent très vite au cœur de l'action, et l'album termine dans une situation, qu'il ne peut qu'annoncer de bonnes choses dans le tome 2 et tel est le cas.
Le récit est rythmé, les dialogues sont souvent bien trouvés, les trognes et attitudes des personnages valent le coup d’œil.
En revanche le scénario est très moyen, classique et sans surprise. De plus les graphismes sont très informatisés, et s’ils sont donc bien réalistes, les ambiances sont assez vides et creuses. Je ne me suis pas senti immergé dans le récit.
On sent bien que le créateur est un graphiste avant toute chose, peut-être qu’un vrai scénariste aurait aidé.
A lire une fois pour les bonnes vannes et l’humour omniprésent, sans plus.
Je suis plutôt déçu par ce tome n°2 de la série. Le dynamisme du tome n°1 a disparu. A mon avis, les auteurs ont manqué d'inspiration pour le scénario. Il eu été plus judicieux de sortir le tome n°2 après avoir bâti une oeuvre pouvant égaler le tome n°1. On a là un album que je considère comme bâclé et sorti avec trop de précipitation. Dommage, les auteurs nous avaient habitué à mieux.
Cette BD est un feu d'artifice de subtilité, d'action, d'humour. Les dessins sont époustouflants et proches de la photographie. La mise en couleur est agréable et dynamique. Je recommande.
Le silence qui entoure Ramirez commence à s’éclaircir. On aspire jamais totalement son passé. Un grain de poussière peut faire ressurgir un mouton de problèmes.
Dans une course insensée, les vies s’arrêtent aussi rapidement qu’un bon rock énergique. Star sous couvert pour renouer avec les feux de la rampe, hommage là où tout a basculé.
De la pellicule au papier, des pleines enneigées aux étendus désertiques, il y a du Fargo des frères Coen dans cette histoire.
Savoureux quiproquo dans un pays où les douilles et les tuyaux d’aspirateur rois. Dans le viseur un attachant silencieux.
La satire sociale bien que burlesque dans sa forme s’avère imparable, narcisse d’une société qui existe par sa consommation.
L’innovation s’anime avec innovation, un délicieux QR code qui vous orientera vers une publicité d’une minute. On arrête pas le progrès, pour le reste il y a le vacumizer 2000 !
Voilà encore des pages que j’ai tardé à tourner. Pas sûr d’être la cible, un peu effrayé par l’ambiance parodiesque qui semblait se dégager.
J’avais tort évidemment. J’ai pris un plaisir inattendu à suivre cet acte 1 qui file à toute vitesse, qui part dans tous les sens. Graphiquement ça claque.. Quel univers ! Chacun y trouvera des références, des clins d’œil… Et puis bien sûr il y a Ramirez…. Ce personnage qui ne dit rien est plus intéressant que je ne le pensais… Ce n’est pas un coup de cœur, pas encore… peut-être après l’acte 2 que je suis pressé de découvrir !
J’avais tardé à me lancer dans cette série, un préjugé, une impression que ce n’était pas pour moi. La lecture du tome 1 m’avait ouvert les yeux. Il me fallait lire le 2 au plus vite, c’est chose faite. Le petit cinéma de Nicolas Petrimaux fonctionne toujours aussi bien. C’est toujours aussi déjanté, dynamique, explosif, drôle…Mais pour autant le scénario tient bien la route et les quelques infos distillées dans ce tome 2 maintiennent l’intérêt pour la suite….car le mystère reste présent et on se pose encore pas mal de questions sur ce héros improbable.. Qui est donc vraiment Jacques Ramirez ?
Au final on passe quand même un sacré bon moment, L’univers de cette série peut plaire à tout le monde, et le dessin n’est pas en reste, c’est beau, coloré, les scènes d’action sont impressionnantes.
Laisse-toi embarquer par Jacques Ramirez, tu ne le regretteras pas !
Puisqu’il faut sélectionner dans l’onglet du menu déroulant la manière dont l’on note une œuvre, je viens de relire le tome 1 et je confirme le 5/5. C’est un CHEF D’OEUVRE, n’ayons pas peur des mots.
Tout d'un coup, je me rends compte que je n'ai pas laissé d'avis sur le Tome1, désolé ... Mais il y en a tellement et bien sûr je lui donne 5sur5.
Pour m'excuser, je dois avouer que je l'ai offert comme cadeau à plein de personnes, aussi je ne culpabilise pas trop!
Et dire que je n'ai même pas eu 10% sur l'achat du T2 : désolant ;) !!!!!
Plus sérieusement : bien sûr, j'attendais avec délectation l'arrivée de ce nouvel opus! Mais ... j'ai été déçu.
Il y a bien sûr le délire permanent, les planches toutes de qualité, avec des détails. Mais je n'ai pas aimé le déroulement de l'histoire. C'est bien plus gore que le premier tome, même si c'est traité "à la Tarantino" , mais quand c'est trop, c'est trop pour moi! La scène dans le garage, par exemple.
Par ailleurs, contrairement au premier tome, je n'ai pas senti de fil conducteur dans cet album.
Autant dans le premier il y avait une énigme qui se déroulait tout le long des pages: Qui était ce Ramirez? Que lui voulaient ces gangsters? Qui les trucidaient au fur et à mesure qu'ils tentaient de s'approcher de lui? Y aurait-il méprise sur le personnage?
Dans ce second tome, ça tue à tout va sans qu'on comprenne pourquoi. Sans que rien s'entrouvre sur qu'est-ce qui fait qu'il est maintenant muet (ou refuse de parler)? Pourquoi il porte une alliance? Pourquoi, tout d'un coup sans crier gare, ce groupe de rock que ses collègues et lui ont créé? C'est quoi son histoire entre le début dans cet hôtel où il reprend les "affaires" de son père et quand on le retrouve Star des réparateurs d'aspirateur?
Pour tout avouer, que l'auteur et/ou l'éditeur se rassurent : En mémoire du tome1, j'achètera le dernier opus car j'espère une réponse à tous ces mystères!
Mais ça ne sera pas grâce à ce tome2 que j'ai trouvé trop moyen, comme si, après la décharge de délires contenus depuis longtemps chez l'auteur et traduits dans le tome1, il avait dû forcer le trait pour ce second opus.
Nicolas Petrinaux a du talent, il sait mettre en image ses histoires. Après avoir lu le tome 1, on ne pouvait qu'attendre la suite.
Petite déception. En effet, même si le récit reste enlevé, que le trait apparait toujours aussi dynamique et que le côté pastiche semble avoir le bon goût de ne pas être (encore) trop écœurant, on a malgré tout la fâcheuse impression que l'auteur commence déjà à légèrement tourner en rond. L'album n'est pour autant pas raté mais des réglages doivent être effectués pour ne pas tomber dans le pastiche toc à la Stranger Things (saison 3).
Courage, monsieur Petrimaux, nous attendons les suites et sommes certain de la qualité de votre (futur) travail!
Complètement Tarantinesque ! De l'action, en veux-tu, en voilà, de l'humour en profusion, un protagoniste atypique qu'on adore, et un scénario digne des plus gros blockbusters américains. Artistiquement, c'est parfait. Atmosphère des années 80 très réussi, un détail et une profondeur à couper le souffle. Première œuvre d'un auteur à suivre. Je suis inconditionnellement fan.
Toujours aussi décalé, toujours aussi rythmé, toujours aussi bon !
Un tome 2, nous dévoile un peu plus sur notre réparateur d'aspirateur..
Vivement la suite.....
Désolé, c'est une boucherie en continu, je déteste ce genre. on est loin des bandes dessinées des années 80. Malheureusement le cinéma a prit cette tournure depuis plusieurs années.
J'ai littéralement dégusté cette DB sur plusieurs jours. un vrai régal a touts les niveaux. J' y retourne juste pour le plaisir des yeux
Impossible de faire la moinde remarque négative : c'est une tuerie !
Le plaisir ! Rien que le plaisir ! N'est ce pas le but d'une bd ? N'en déplaise a certains, chipoteur, expert autoproclamé des perspectives et autre analyse...Cette Bd emporte, fais rire et sourire...du plaisir je vous dit...!
C'est vraiment une tuerie dans tous les sens du terme !!!
à lire et relire, soucis du détail excellent
vivement l'acte 3 ( 4, 5 ..... :-) )
BRAVO monsieur Petrimaux et MERCI
Un road movie très rythmé dans l'univers du cinéma des années 80, Thelma et Louise, Tarantino, Fargo des frères Cohen..
L'on ne risque pas de s'ennuyer ....
C'est du dessin numérique; et alors ? Le rendu est bluffant et me satisfait pleinement. Ajoutez-y un scénario "tarantinesque" et explosif à souhait et vous obtenez une BD de pur divertissement de tout premier plan. Lecture vivement conseillée !
Un deuxième acte encore plus barré, encore plus explosif et encore plus puissant que le premier.
Plus qu'une simple BD, c'est un véritable film que l'on découvre.
Il y a une somptueuse mise en scène dont les plans, les cadrages, les découpages et les mouvements donnent une fluidité dans la lecture, telle que l'on a du mal a quitter les pages des yeux, comme on aurait du mal à quitter un écran de cinéma.
Les rebondissements judicieusement placés rendent ce deuxième acte vivant, mais dont l'issue heureuse des protagonistes semble au contraire bien proche de la mort.
Ajoutons à tout cela une colorisation maitrisée qui sublime les décors et l'ambiance sud américaine des années 90.
Il s'en dégage une atmosphère qui nous prend aux tripes.
Entre la BD, le Comics, le roman graphique et le cinéma, Il Faut Flinguer Ramirez est un ovni du 9ème art, qui a su embarquer tout le monde dans son univers.
Le 3ème et dernier acte, d'ore et déjà très attendu, annonce à n'en pas douter une conclusion épique.
Comme le dit Nicolas Pétrimaux lui-même, IFFR est plus un « static picture », autrement dit un film dessiné, qu’une BD.
J’aime bien, mais je ne fais pas partie du fan club de cette esthétique de jeux vidéo appliquée au 9ème art. Le dessin numérique a son intérêt mais il ne fait pas tout. Or, ce graphisme ostentatoire en met tellement plein la vue qu’il a tendance à l’emporter sur l’histoire. Histoire qui, il faut le dire, possède une qualité majeure : son rythme frénétique, créé par une mise en scène inventive. Ce tempo parfaitement maitrisé est un modèle du genre.
Pour le scenario en lui-même, on a 80% de boum boum et d’enrobage – effets de cadrages, de perspectives et de couleurs, tous très efficaces – et 20% d’un récit relativement pauvre, truffé de gimmicks et de situations loufoques, qui, au delà de son allant, ne débouche sur rien de très consistant pour l’instant. Je passe sur les fausses pubs à l’humour assez bas du front ; ce genre de conneries ne me fera jamais rire mais je reconnais que c’est stylé et que ça donne une identité forte à l’ensemble.
Le défaut principal, pour moi, est de n’avoir pas créé de véritable héros à cette histoire. Ramirez est quand même un peu neuneu et aucun personnage n’émerge du lot à part peut-être Ramon, le tueur, que sa capacité à ne pas mourir rend intéressant. Mais ce choix narratif m’a semblé discutable car finalement, la double ou triple vie de Ramirez devient secondaire, et la maigre intrigue finie noyée sous la pyrotechnie et les couches de vernis.
3 étoiles pour l'ambiance, la beauté des planches ET le boulot monumental que cela représente. Mais visuellement spectaculaire ne veut pas dire révolutionnaire... Au vu du battage médiatique hallucinant dont elle bénéficie, cette série est quand même largement surcotée, un peu comme les films de Tarantino desquels elle s’inspire. Un divertissement de luxe, flatteur pour la rétine, mais dénué de réflexion, de finesse, de toute profondeur. Ça tombe bien, c’est apparemment exactement ce que voulais faire Pétrimaux : « Un truc d’action qui ne se prend pas la tête » a-t-il dit en interview.
Moi, il m’en faut quand même un peu plus pour déchainer mon enthousiasme…
Notre réparateur d'aspirateur Jacques Ramirez est enfin de retour pour un second tome survitaminé et dynamique. Il faut dire que la rock star du service après-vente de Robotop nous avait un peu manqué. Pour autant, n'oublions pas le titre : il faut le flinguer !
Personnellement, j'aime bien ce personnage muet assez sympathique qui me fait penser au défunt chanteur John Scatman dont d'ailleurs j'avais acheté son unique album (ski-ba-bop-ba-dop-bop). Je m'attends toujours à ce qu'il prononce des mots mais non, il reste sans parole ce qui constitue en soi une vraie prouesse notamment pour le déroulé de ce récit. Le dessin nous permet de faire ressentir toutes les émotions notamment quand il retrouve son père qui veille sur lui.
Le sang va encore couler et cela sera parfois assez triste de perdre notamment un personnage auquel on commençait à s'attacher. Il faut dire que ces tueurs du cartel ne font pas dans la dentelle. On arrive aussi à percevoir un peu plus d'éléments du passé pour comprendre les enjeux de l’intrigue présente.
J'ai adoré toutes ces trouvailles qui renvoi aux années 80 avec ces clins d’œil à Madonna par exemple ou à ces acteurs de film d'action totalement débiles qui ne savait aligner deux mots intelligents lors d'interview.
Le premier tome avait été un franc-succès révélant le talent d'un nouveau venu dans le monde de la bande dessinée à savoir Nicolas Petrimaux. Ce second volet était assez attendu au tournant. On se situe dans la continuité avec une parfaite maîtrise du récit, du dessin, des plans de cadrage et de ces articles et photos publicitaires qui ponctuent habilement les différents chapitres. Et puis, beaucoup d'adrénaline. C'est un pur bonheur !
Petit conseil : ignorez les commentaires "des critiques du dimanche" dont la sempiternelle frustration est le moteur et n'hésitez pas si vous souhaitez passer un agréable moment devant cette délicieuse BD.
Il ne reste plus qu'un dernier tome. On l'attend déjà avec impatience.
Que dire, ce qui me chiffonne le plus ce n'est pas l'histoire que je trouve très sympas, mais plutôt les dessins.
Est ce que sans l'aide d'une tablette cet auteur aurait été capable d'avoir ce niveau ? loin de moi l'idée que ce monsieur ne sait pas dessiner. Quand je vois les perspectives des villes des bâtiments, des scènes en intérieur. je me dit que l'idée vient plus du logiciel qui peut proposer différents angles de vue que des perspectives imaginé par l'auteur.
Les objets tv, ampli , panneau etc...c'est tellement parfait que je n'imagine pas ça avec du travail "traditionnel" mais encore la possibilité numérique de façonner et déplacer en "un click" des objets parfaits, et ensuite à déplacer un personnage dans différents contextes ?
Les couleurs ouais c'est beaux mais c'est encore du numérique, est ce que l'auteur est en réalité capable de créer ses atmosphères au demeurent très belles sans une tablette ?
Attention ce sont des questions que je me pose en toute légitimité sans vouloir dénigrer le travail accompli.
En fait c'est en cherchant des planches originales de ses dessins sur internet pour mieux rendre compte de son travail que j'ai appris qu'il travaillait sur tablette. Exit l'original place au pdf ...
Certaines cases les décors c'est du copier collé c'est quand même dommage.
Un vrai bon dessinateur ? ou un vrai bon dessinateur numérique ?
ENORME! Rien à redire!! L'ambiance! Les couleurs! "Les pubs"!^^ Les scènes sur 2 pages! Du rythme quoi!!
quelle claque! couleur et rythme
au risque de répéter ce qui a déjà été dit ou écrit : cette BD "dépoussière" le genre. il faut absolument la lire et se faire son idée et ne surtout pas feuilleter 3,4 planches par curiosité. Il est important d'être prit dans le rythme de l'histoire et les actions qui s'enchainent au fil de ces 2 excellents tomes.
les personnages n'ont rien d'exceptionnels mais le scenario et la mise en scène sont top
Un "film dessiné" excellent qui met un coup de vieux à la BD traditionnelle.
Le scénario, le dessin, la mise en scène, la photo, la couleur, rien n'est à jeter.
Foncez!!!
Une BD dont beaucoup d’auteurs devraient y prendre quelques " leçons " , comment faire un album.
Tout comme le vol. 1 , le vol. 2 est juste une réussite à tout point de vue
Je voulais mettre 3 étoiles, mais j'en mets 4 à l'arrivée : car cette série est très addictive.
C'est bien réalisé, il y a un gros travail derrière, respect Mr Petrimaux.
Maintenant, on veut la suite !!!
après une longue attente le tome 2 a finit par arriver.
j'avoue ne pas être déçu par cette histoire plus proche d'un film d'action que d'une bande dessinée.
les dessins ne sont pas toujours parfaits mais certaine scènes sont vraiment très réussies et parfaitement cadrées comme dans un film en fait.
les couleurs sont encore parfaitement adaptées.
le scénario quand à lui dévoile petit à petit ce qu'est réellement Ramirez très loin d'être un simple réparateur d'aspirateurs.
vraiment du très bon mais qui peut déstabiliser les habitués du style Hergé.
enfin la suite ! mais pas la fin ! il faudra attendre le tome 3 (snif). une très très bonne suite, avec toujours autant d'actions et une façon de raconté et de mettre en page extra, je crois que l'on assiste à un nouveau genre de BD qui donne l'impression de voir un film.
une étoile en moins pour moi car quelque élément ajouté par l'auteur que je n'approuve pas, mais ce n'est pas moi qui écrit.
Un bon aviseur doit savoir reconnaître une bonne bd. Il faut savoir faire preuve de discernement pour déceler le meilleur du médiocre. Après, on peut toujours essayer d’atténuer que le mauvais n’est pas aussi mauvais que cela etc… et faire un peu dans la langue de bois afin de préserver les intérêts des auteurs et des éditeurs. Je réserve pour ma part ce langage aux politiciens.
L’auteur que je ne connaissais pas à tout compris à la bande dessinée. Il sait introduire son histoire de manière plus que surprenante. Il sait maintenir un suspens. Il arrive même à nous faire aimer son héros qui ne prononcera pas un seul mot dans toute la bd ce qui est en soi un exploit. Bref, il possède tout les talents car il maîtrise toutes les techniques cinématographiques avec un découpage parfait.
Je suis toujours étonné de voir des auteurs accomplis qui n’ont toujours rien compris au bout de la cinquième bande dessinée qu’ils réalisent et qui sont toujours aux commandes quand on voit ces talents émergés et qui possèdent déjà tout en eux au bout de leur 1ère bd. Là encore, il faut du discernement. Mais que faites-vous les gars ?
Effectivement, si on aime Les 4 As et Bob et Bobette au point d’accorder 4 étoiles (j’aurais pu citer d’autres exemples), on aura sans doute un peu de mal avec cet univers. Et pourtant, c’est bien la reproduction des années 80 des USA non sans malice et humour. J’ai adoré les affiches publicitaires et les manchettes de journaux. C’était un véritable régal. Superbe travail. Que dire de plus ? C'est magistral pour ne pas dire flinguant.
Un opus de très belle qualité graphique au niveau couleur/composition/gestion des planches. Le scénario est de bonne facture et le côté année 80 est bien retranscrit.
Néanmoins nous avons le droit au quota couple de lesbiennes dont on aurait très pu se passer (n'apportant rien au final) !!!
Réalisation trés belle, des planches pleines de détails, et beaucoup de soins apportés aux couleurs.
Les péripéties un peu téléphonées et l'accumulation de références parodiques sont un peu lassantes, et j'attendais de découvrir le dénouement de l'histoire. [...]
De l'Action, du Suspense, un ART du bas de page respecté à la lettre, magistral j'attends la suite.
Jacques Ramirez est réparateur d'aspirateur. Il vit une vie tranquille mais son train train va basculer lorsque deux mafioso pensent le reconnaître. Ne serait-ce pas le grand tueur Ramirez? Ce fumier! Commence une véritable course poursuite. Jacques ne semble pas vraiment comprendre ce qu'il lui arrive. Il échappe aux dangers sans savoir comment. Le scénario fait les vas et vient entre Jacques qui subit de multiples attaques et le groupe de mafioso qui veut absolument obtenir sa vengeance. Les rebondissements sont multiples. Il faut dire que l'ensemble est plutôt musclé. Les scènes violentes s'enchaînent. Au fur et à mesure de la lecture, le mystère s'épaissit. Jacques Ramirez est-il vraiment celui que tout le monde recherche? Au fil des pages, le voile se lève et la fin n'apparaît que comme un début de l'aventure.
Le personnage de Jacques est impénétrable. Il n'a aucune expression faciale et ne semble pas ressentir quoi que ce soit. Muet, il subit la situation plus qu'autre chose. Autour de lui, gravitent de nombreux personnages tout aussi mauvais les uns que les autres. Tous les protagonistes possèdent une certaine noirceur que chacun laisse plus ou moins apparaître.
L'ambiance qui se dégage de cette lecture fait penser aux thrillers des années 80. J'ai véritablement accroché à cet univers musclé. L'esthétique se rapproche de celle des comics. Les traits sont noirs parfois épais. Les couleurs sont très vives et tranchés. Les décors foisonnent de détails. Chaque vignette est vraiment riche. Le choix esthétique colle parfaitement au sujet abordé et contribue à cette immersion totale dans l'univers de la mafia.
http://aufildesplumesblog.wordpress.com
On ne peut que féliciter le travail de l'auteur au niveau graphisme/couleurs sur cet album, c'est superbe. Cependant, j'ai trouvé certaines planches trop confuses, certaines cases trop détaillées, du coup l'oeil ne sait pas où se poser. J'ai du m'arrêter plusieurs fois pour piger le sens des phylactères ou qui fait quoi, qui dit quoi... et c'est dommage. Pour ma part, une bonne BD comme un bon film doit se lire sans interruption. En fait, comme beaucoup de BD actuelles, à l'impression, le dessin devient parfois tellement fin qu'on ne perçoit plus rien. La lisibilité est selon moi primordiale dans la réalisation d'une BD. L'histoire reste sympathique, l'humour est gentil, les pubs n'ont pas un intérêt incroyable mais c'est original. Un bon album à découvrir.
Le dessinateur s'est fait plaisir, le scénariste un peu moins… Cette BD a été unanimement accueillie comme un must to have, je ne suis pas du même avis.
Cette série sort du lot grâce à son univers et son dessin à couper le souffle. Comme souligné par beaucoup, on baigne en plein dans l'univers de Tarantino: flingues, grosses rouflaquettes, belles pépés, coupes afro,... Plutôt agréable. C'est rythmé, bourré d'action, ce qui est plutôt rare dans le domaine de la BD.
Par contre, au niveau scénar, c'est plutôt léger. Durant les 114 pages, on a droit à une course poursuite interminable qui finit par lasser. Autre gros point faible, à force de vouloir mettre trop d'humour par ci par là, les personnages perdent en crédibilité. Le mélange des genres est un équilibre subtil à atteindre. Ici, force est de constater que l'équilibre n'est pas atteint.
On attend le tome 2 pour se faire une vraie opinion.
Mise place d’un univers original , on attends la suite avec impatience
Une bd qui qui va plaire au plus grand nombre
Graphiquement splendide, tout y est superbe. Ceci dit, le suspense a beau être parfaitement tenu le scénario reste un peu maigre : Ramirez, réparateur d aspirateurs sourd et muet, est il le plus gros tueur du pays sur 114 pages...mais bon vrai c'est très bien fait
Scénario, dessins, mise en page, couleurs, univers, atmosphère, humour, les petits plus insérés ici ou là, excellents!
Excellent thriller sauce salsa, explosif et déjanté à souhait. Un scénario bodybuldé "à l'américaine", avec en prime pas mal d'humour, et un dessin et une colorisation façon "comics" très réussis. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi enlevé. Bravo.
Belle mise en page, scénario déjanté, beaucoup de références hilarantes.Excellent album. Vivement la suite...
Lecture très sympathique.
Je souscris à ce qui a été dit par mes camarades.
Les amateurs de Scorcese et Tarantino y prendront beaucoup de plaisir.
Le dessin est formidable et l'univers parfaitement détaillé et fourmillant de détails (publicités...)
Fortement recommandable.
Bon... j'ai vraiment pas accroché...
Des personnages qui se veulent décalés... mais qui ont l'air (trop?) stupide! Est ce que la caricature n'a pas été poussé un peu (trop?) loin pour les rendre "drôles" au détriment de la crédibilité?
Pour notre héros, tout l'incrimine! Sauf que c'est tellement gros qu'on n'y crois plus/pas... Ce ne sont que des concours de circonstances afin d'aiguiller le lecteur d'une façon. Un stratagème qui m'a beaucoup dérangé et déplu.
La suite sera sans moi...
cet album ne m'avait pas vraiment interpellé au départ du fait de ses couleurs trop flashs à mon gout et de son style graphique très éloigné de la ligne franco-belge que j'affectionne.
mais à force de lire des évaluations dithyrambiques j'ai fini par l'acheter.
bien m'en a pris car il est littéralement bluffant que ce soit au niveau du scénario et des dessins.
les couleurs étant pour le coup bien associées.
le style, très cinématographique, est beaucoup plus proche de Tarentino que d'Edgar P. Jacobs.
c'est une sorte d'OVNI dans le milieu de la bande dessinée.
j'ai beaucoup aimé et l'attente va être longue avant le tome 2.
J'ai longuement hésité à acheter cet album quand il est sorti. Les multiples critiques positives m'ont fait franchir le pas, et je ne regrette vraiment pas. Cet album est digne d'un bon film Américain, tant dans le scénario que dans le dessin, la couleur et même toute la lourde mise en scène autour de l'album. En effet, celle ci est particulièrement réussie. L'album est composé d'une introduction, de chapitres, de pages de pub, d'un résumé du prochain épisode, d'un générique, et d'un bonus sur le réalisateur Nicolas Pétrimaux... Même la couverture en jette et annonce d'emblée la couleur.
Le mélange d'action et d'humour des années 80 est très réussi. L'histoire est constituée d'un ensemble de petites choses, de petits détails qui nourrissent l'album (le fait que Ramirez soit muet, qu'il répare des aspirateurs, qu'il est une voiture pourrie, que les méchants soient un peu neuneu...).
Pour son premier album, l'auteur nous livre un album totalement abouti et particulièrement réussi. On a hâte de découvrir la suite.