Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Tout s'accélère dans ce 5ème opus.
Les années ont passées, tout le monde a grandi, tout le monde s'est préparé.
L'invasion et la guerre sont imminentes.
On sent que le virage scénaristique qui a été pris nous conduit inexorablement vers la conclusion de la série qui approche à grand pas.
C'est toujours minutieusement et intelligemment écrit et mis en scène.
Quel plaisir à chaque fois de se replonger dans cet univers, ô combien maitrisé.
Ce 4ème opus est centré autour des sans-visages. Car plus qu'Oblivion et que ses créatures qui y rodent, ce sont bien les sans-visages le plus grand danger pour Oblivion, comme pour la Terre. L'opération de sauvetage lancée pour sauver les hommes qu'ils détiennent risque bien de condamner l'humanité tout entière...
Le ton est beaucoup plus noir et dramatique. Le rythme est soutenu et les rebondissements se succèdent.
On sent qu'avec ce 4ème tome, la série va prendre un tournant et va pouvoir développer tout son potentiel.
En tout cas, c'est toujours un plaisir de se replonger dans cet univers de science -fiction que les auteurs exploitent au maximum. On en redemande !!!
L'auteur de Walking Dead a le mérite de ne pas s'enfermer dans son premier gros succès populaire. Il tente de se renouveler avec une certaine efficacité. Je dois bien avouer que le pari est plutôt réussi au final.
On retrouve un aspect fantastique presque impossible comme l'était d'ailleurs l'émergence d'un monde de morts-vivants à côté des survivants qui tentent de leur échapper. Là, il s'agit d'un univers parallèle rempli de monstres avec également des survivants. C'est toutefois assez crédible sur l'aspect humain que l'on retrouve. Cette coexistence qui a fait déjà recette est reproduite avec un certain succès. Et puis, on remplace Atlanta par Philadelphie et le tour semble joué.
Reste le dessin et le design des monstres qui ne m'a pas trop convaincu car cela demeure assez grossier. Et puis, il y a ce titre à savoir Oblivion qui a déjà maintes fois été utilisé dans les médias et le cinéma. On peut se demander également si Oblivion Song ne sera pas un jour une série à succès. C'est en tout cas calibré pour.
Encore meilleur que ses prédécesseurs, ce 3ème opus se déroule 3 ans plus tard. Beaucoup de choses ont changées sur Terre comme sur Olivion, et une nouvelle menace pointe le bout de son nez : les sans-visages.
Le rythme accélère encore et de multiples poursuites et scènes de combats viennent alimenter l'histoire. Celle-ci se déroule d'ailleurs en grande majorité sur Obivion.
Du coup on profite beaucoup de cette planète, de son univers et de ses décors grâce au dessin de Lorenzo qui progresse et se bonifie d'album en album. Beaucoup de détails viennent agrémenter les planches. La mise en couleur est encore plus maitrisée avec de très belles pleines pages et de beaux jeux de lumières.
On sent que les auteurs ont plongés au cœur de l'histoire et se retrouve en pleine immersion dans l'univers.
Du coup le lecteur est lui aussi facilement transporté et immergé dans Oblivion.
Cette série est un vrai succès et un vrai plaisir. Vivement la suite !!!
Ce second volume change de ton et accélère le rythme. Maintenant que le background est bien posé, on suit en parallèle la confrontation entre Ed et Nathan mais aussi le combat des 2 frères contre l'armée. L'ensemble est haletant, et alterne passage sur Terre et sur Oblivion de façon très cadencée. Les rebondissements se succèdent et nourrissent la trame principale tout en la faisant grandir.
Mais surtout je suis ravi du progrès très visible au niveau du graphisme. Les dessins sont plus travaillés et détaillés mais surtout les couleurs et les ambiances sont fantastiques et magnifient en tout point l'histoire. Le chapitre se déroulant de nuit sous la pluie au milieu de Philadelphie en est d'ailleurs le parfait exemple avec un résultat juste incroyable. C'est un vrai plaisir pour les yeux.
Le premier tome en a été l'ébauche, mais ce second le confirme, Oblivion Song est d'ores et déjà une très grande série que je suivrais avec attention.
Ce second album est surtout une confrontation entre les deux frères Ed et Nathan. L’un et l’autre essayent de se convaincre de la suite à donner. Ed souhaite retourner dans/sur Oblivion et Nathan veut absolument détruire cette « horreur » dont il est à l’origine. C’est ce qui rend ce deuxième tome un peu moins attrayant que le premier sans pourtant lasser.
L’action est toujours bien présente et l’album se lit rapidement. J’espère que les tergiversations des deux frères vont cesser dans les albums suivants et qu’ils arriveront à prendre des décisions sinon l’histoire risque de devenir pénible à suivre en souhaitant qu’elle ne devienne pas affligeante.
En conclusion, un bon deuxième album mais…
Nouvelle création de Kirkman et à nouveau une future belle et grande série.
L'histoire est très addictive, on a envie de découvrir oblivion, de l'explorer et de savoir ce qu'il s'est passé.
Le scénario est bien construit, ses multiples rebondissements sont bien amenés et les révélations finales nous laissent sur une furieuse envie de dévorer le prochain album.
Le dessin à le mérite de bien retranscrire le monde d'Oblivion même si certaines scènes y sont un peu brouillon. Autre petit point négatif, les personnages (notamment féminin) qui se ressemblent beaucoup.
Espérons que le dessin s'améliore avec le temps.
Malgré tout, Oblivion reste un très bon album.
Delcourt a réalisé, pour et album, une campagne marketing des plus fournines. En effet, TOUT le monde en a parlé. Difficile de passer à côté. D'autant plus que l'édition française comporte les 6 premiers chapitres d'un seul coup alors que les publications américaines vont s'étaler sur plusieurs mois. Ce n'est pas courant.
On retrouve dans cet album, un scénario intéressant : il y a 10 ans, un évènement hors du commun a transporté un morceau de territoire dans une autre dimension. Depuis, notre héros cherche sans cesse, d'une manière presque religieuse, à ramener les âmes perdues dans la bonne dimension. Au fur et à mesure des pages, l'intrigue prend corps et c'est pas mal du tout. Le scénario de Kirkman ne déçoit pas.
Le dessin en revanche ne m'emballe pas. Il est typé franco-belge mais là n'est pas la question. J'ai un problème avec les expressions des personnages et la mise en couleur, ne reflète pas la noirceur des évènements ni celle de ceux qui se dessinent.
Au final, Oblivion Song est loin d'être une déception et je vous encourage à le lire. Le seul point décevant pour moi est son dessin.
Bonne lecture.
Ce premier album est franchement excellent. Une partie de la ville de Philadelphie a soudainement disparu avec ses habitants dans ce que nous pourrions appeler un monde parallèle.
Voilà dix ans que le drame est arrivé, mais Nathan Cole continu malgré tout à se rendre dans ce monde pour tenter de ramener d’ultimes survivants. Son secret espoir étant de pouvoir retrouver son frère Edward.
Une question se pose, faut-il s’obstiner à ramener les gens dans leur monde d’origine. D’autant plus que ceux que l’on rapatrie ont du mal à se réadapter.
Sur Oblivion, nom donné à ce fameux monde parallèle, Nathan va réussir à retrouver son frère et toute une bande d’individus qui se sont construit une nouvelle vie qu’ils ont appris à apprécier et à aimer. Il s’agit pour eux d’une métamorphose liée à un sentiment de liberté. Pourtant ce monde est loin d’être accueillant avec une faune et une flore bizarres et agressives.
Nathan va convaincre son frère de le suivre dans le monde d’origine afin qu’il établisse un choix définitif : sa vie d’avant ou Oblivion.
Quant à Nathan, l’État lui coupe toutes les aides et le soupçonne d’être à l’origine de la catastrophe. À juste titre ?
J’ai hésité à acheter cet album car les comics ne sont pas trop ma tasse de thé. Nous sommes souvent confrontés à des dessins passables avec plusieurs auteurs qui se succèdent se moquant de l’aspect graphique du prédécesseur. Ici ce n’est pas le cas, le graphisme est identique de la première à la dernière page et tant mieux. Du coup, on se retrouve avec un album agréable et fascinant.
A priori, cette histoire sera développée sur six albums qui sont attendus avec impatience.