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Ce 25ème volume termine en 100 pages l'histoire de Basara.
Yumi Tamura avait laissé ses personnages principaux en plein combat dans le palais en flamme et prêt à s'éfrronder. Le château écroulé, les combats terminés, un ultime affrontement a lieu. Le dernier, celui celui où Tatara doit choisir définitivement qui il est : Tatara le meneur de la révolte qui doit venger le village de Byakko ou Srasa la jeune fille qui aspire à la paix. Choix crucial de vie ou de mort. Les dernières pages s'arrêtent sur le récit de cette fin racontée par Nagui, récit empreint de nostalgie mais également d'espoir et de la joie de la paix retrouvée dans le pays.
Suivent deux histoires parallèles, "Madara ; histoire du blanc : la figue" et "Hazama : histoire du bleu :la nèfle du Japon" qui racontent respectivement l'histoire de Ginko la reine Blanche et celle de Papillon de Nuit le fils du vent. Elles dévoilent de nombreux éléments supposés ou inconnus sur ces deux personnages et permet de mieux saisir leur psycologie (en particulier celle de la Reine Blanche).
La fin de Basara est à la hauteur de la série : épique (quelque peu shakespearienne), romantique, emplie d'une douce tristesse purement mélancolique. Certaines disparitions touchent énormément, d'autres donnent l'espoir d'une renaissance (difficile de ne pas spoiler).
C'est aussi la 1ère fois que l'on rencontre la mère de Shuri (et de la Reine blanche). Elle n'apparaît que de façon fugace mais on devine tout ce que Shuri éprouve pour elle, ainsi que tout ce qu'est cette femme : une souveraine digne qui va jusqu'au bout de sa fonction. Elle apparaît plus longuement dans l'histoire parallèle "Madara".
C'est avec un petit pincement au coeur qu'on referme le volume et qu'on se dit : "c'est terminé".
Les 2 volumes suivants seront composés de diverses histoires supplémentaires. Je souhaite qu'elles soient tout autant intéressantes que celles du vol. 25.
L'auteur nous a ménagé une surprise et à quelques volumes de la fin voici un nouveau retournement de situation. Ce tome met Asagi en avant. Un Asagi dont la conduite et la démarche sont effectivement suicidaires. Là encore les sentiments de haine, de jalousie, d'amour sont au centre des réactions des personnages. Le triangle Sarasa, Shuri, Asagi nous réserve des surprises et des émotions. Par ailleurs Tatara n'en a pas fini avec ses propres troupes dont une partie voient d'un mauvais oeil son alliance avec le Roi Rouge destructeur de leur village de Byakko.
Le talent de Yumi Tamura est de nous tenir en haleine sans cesse, d'amener avec subtilité des rebondissements saisissants et de savoir donner une vie, une âme, des sentiments à chaque personnage en les mettant tour à tour sur le devant de la scène, sans jamais s'éloigner trop longtemps de l'intrigue principale.
Un excellent tome qui donne encore plus envie de lire la suite. On retrouve Taro dans la très fâcheuse posture où on l'a laissé et le dénouement ne fait aucun doute. Parallèlement, la bataille a commencé entre les troupes de Shuri et celles de Tatara, sous l'oeil du conspirateur Hagiwara dont le plan grenade est sur le point de se réaliser.
C'est très intense et on ne peut s'empêcher de partager les sentiments des protagonistes. On sent l'évolution des personnages que ce soit Shuri, Sarasa ou Asagi. Shuri se dévoile vers la fin et c'est un grand homme que Tamura nous propose d'apprécier.
Bref, un super moment de lecture.
Le passage nordique de l'histoire s'achève avec la sortie de Sarasa et de ses compagnons de captivité de la prison. On enchaîne presque immédiatement sur un retour à Suo, au sud, avec une tentative de l'héroïne de mettre des batons dans les roues du gouverneur Momoï qui a remplacé Shuri, chassé par ses hommes. Parallèlement, Shuri veut profiter des préparatifs de guerre contre Tatara dudit Momoï pour reprendre son trône. On rencontre le fils de Momoï, un jeune peintre non-violent qui met Sarasa face au problème de la violence guerrière et lui fait appraître la possibilité d'un autre moyen de lutter.
Un tome intéressant ne serait-ce que par l'évolution des personnages (le plus de la série dont les dessins restent assez brouillons).
Gravement blessée aux yeux, Sarasa part pour l'île indépendante d'Okinawa pour être soignée par le maître de Nagui. Elle charge ses alliés de s'occuper des affaires dans chaque région déjà parcourue. De son côté, Shuri se retrouve seul après la mort du Shogun Kazan et Asho son conseiller, poussé par les hommes d'Asagi, fommentent un coup d'Etat. Renversé, Shuri arrive à s'échapper et se retrouve également à Okinawa.
Un bel et intéressant volume qui fait évoluer les personnages (en particulier Shuri dépossédé de son trône). On fait également connaissance avec de nouveaux personnages et on découvre le système politique démocratique d'Okinawa, indépendante du Japon mais que le souverain veut récupérer.
Bref, une belle page qui s'ouvre dans cette série.
Tatara-Sarasa part avec un petit groupe délivrer sa mère à Kumano où doivent avoir lieu les funérailles du faux Roi Bleu en présence de la famille royale. Elle rencontre en chemin les fils des dignitaires et prêtres de la ville et s'allie à eux. Parallèlement, Shuri décide d'éliminer le Shogun Kazan qui l'a trahi en ne lui livrant pas la mère de Tatara (il en est tombé amoureux).
Bref, un beau volume avec des combats et un aperçu intéressant de la personnalité de Shuri. La mise en avant des amitiés nouées par Tatara avec Chacha et Zaki. Un beau volume, même si on regrette le côté brouillon des dessins qui rendent presque illisibles les scènes de combat.
Le Roi Bleu disparaît tragiquement lors de la révolte de son peuple, aidé en celà par le mystérieux Asagi son capitaine de la Milice qui s'avère être en fait ledit Roi Bleu (l'autre n'était qu'une doublure). Ce-dernier monte une scène et se fait sauver par Tatara-Sarasa. De son côté, Shuri repart à Suo reprendre son royaume en main. Alors qu'elle s'apprête à partir vers le nord à la rencontre des détenteurs du sabre de Genbu, Tatara-Sarasa apprend par Asagi (qui a découvert son petit secret) que sa mère est prisonnière du Shogun Kazan, bras droit du Roi Rouge.
Quelques confrontations, la mise en place du plan d'Asagi, mais au final peu d'action. Une sorte de transition entre 2 combats et la mise à nu des états d'âmes de l'héroïne qui refuse toute aide et les réactions de ses compagnons.
Le plus vient de la nouvelle intrigue qui se trame dans l'ombre.
A peine arrivés dans le Kanto, Sarasa et Shuri tombent dans un piège et sont capturés par les hommes du Roi Bleu qui les obligent à participer à une grande course piégée : la "chasse à l'homme" au bout de laquelle Sarasa est emprisonnée pour être sacrifiée à un prétendu monstre. Mais le peuple gronde à Seiran et se rebelle finalement en suivant le Comte -ancien homme d'un Roi qui n'est qu'un fantôche. Par la même occasion, Tatara-Sarasa trouve le sabre de Seiryu.
Un bel épisode avec la confrontation des points de vue de Shuri et Sarasa pendant la course, une très théâtrale fin pour le supposé Roi Bleu. De très beaux dessins bien travaillés dans certaines scènes et du flou brouillon dans d'autres, ce qui est un peu dommage. On prend toujours du plaisir à lire ce manga et à mieux connaître les personnages.
Un duel entre Shido et Tatara-Sarasa sur fond d'éruption volcanique du Sakurajima, le tout dans une ambiance très shojo (pensées de Shido pour son épouse Senju et pour Shuri, réflexions de Papillon de nuit et sa relation avec Shido). Au final, le sabre de Suzaku, héritage de Hayato, réapparaît pendant que celui de Byakko tombe entre les mains d'une nouvelle force : celle du Roi Bleu, frère et ennemi du Roi Rouge Shuri. Le premier combat contre le Roi Rouge est terminé et Sarasa -vêtue en fille- prend la route du Kanto, royaume du Roi Bleu, accompagnée par Shuri qui, de son côté, veut éliminer ceux qui entrave sa marche au pouvoir : sa famille.
Une réflexion sur la mort du guerrier et le devenir de sa famille à travers les personnages de Shid et Senju.
Des longueurs et une atmosphère shojo très présente (la mort de Shido prend la moitié du tome), mais la 2ème partie annonce de nouvelles et intéressantes aventures.
Tatara-Sarasa et Hayato sont capturés par des pirates qui veulent les revendre comme esclaves à des étrnagers, mais notre héroïne décide de combattre la chef des pirates, Chacha, et d'obtenir son alliance contre les traitres Shoujou (qui ont détruit le village de Suzaku où se trouvait l'un des sabres) et contre les troupes d'élites du Roi Rouge commandées par son ami Shido : Fuujin et Raijin. A Suo, rien ne va plus suite à un attentat contre un navire marchand européen coulé par un inconnu ; Shuri, pour éviter la guerre, préfère couler son propre navire ultra-moderne afin d'amener les Européens à négocier.
Une suite trépidante donc qui nous laisse percevoir un peu plus la personnalité de Shuri, amène une rélexion sur la guerre et donne à Tatara-Sarasa une nouvelle dimension de rassembleur et de stratège.
un bon moment de lecture
L'aventure de Basara se poursuit dans ce 2e volume. Désespérée d'avoir échouer à sauver les villageois de Byakko des prisons du Roi Rouge et d'avoir vu mourir son grand-père, Tatara-Sarasa reprend ses habits de fille et se dirige seule vers le village de Sakurajima à Kyushu où se trouve un 2ème sabre. Passant par Suo, capitale du Roi rouge, elle est sauvée par Papillon de Nuit et rencontre Shido, cousin et ami du Roi Rouge Shuri. A Kyushu, elle trouve un allié en Hayato, descendant des détenteurs du sabre de Sakurajima.
Un 2ème volet bien mené qui nous amène à mieux connaître Shuri et nous fait découvrir le Japon avec Sarasa. Une dimension plus internationale de l'histoire se dessine avec la mention d'une flotte européenne prête à envahir le pays.
Au 24ème siècle, le Japon est retourné à l'âge féodal et est gouverné depuis 300 ans par une famille royale qui pressure le peuple. A Byakko, dans la contrée dirigée par le Roi Rouge, l'un des fils du souverain, un garçon du nom de Tatara est désigné comme "l'élu" qui apportera le changement par un prophète. Très vite assassiné par les troupes du Roi Rouge, Tatara et l'espoir qu'il portait sont désormais incarnés par sa souer jumelle : Sarasa, qui décide de mener la lutte. La jeune fille rencontre alors un certain Shuri qui n'est autre que le Roi Rouge. Attirés l'un vers l'autre, les deux jeunes gens ne savent rien de leur identité respective.
Ce shojo est une belle surprise. S'il garde les traits caractéristiques de son genre (dessins assez éthérés, situations romantiques, larmes et larmoiements), il s'annonce comme une série plutôt épique où les combats sont bien présents et où la mort des personnages (secondaires) est bien visible.
C'est un premier tome qui laisse deviner une série prometteuse.
Avec ce 9 ème tome, la série s'enrichit encore en personnages et en intrigues. Elle prend un tour très intéressant et rompt une nouvelle fois avec les shojo traditionnels. On baigne ici dans une atmosphère d'intrigues politiques dont l'issue est loin d'être certaine et rien ne va vraiment comme on pourrait le penser d'abord. En somme, bonne suite et on attend les prochains albums.
Un magnifique 10ème tome, centré autour d'un épique combat naval et de la stratégie très particulière du Roi Rouge Shuri. A nouveau, une belle vision de la démocratie et du pacifisme, incarnés par les habitants d'Okinawa, prêts au sacrifice de leur réputation (Unten) pour sauver leur pays des Japonais féodaux. Plusieurs révélations. En somme, belle conclusion d'un chapitre et entrée dans un autre qui s'annonce riche en émotions et en rebondissements. On est vraiment dans le genre épique, ce qui donne son charme à ce shojo.