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Album qui regroupe plusieurs petites histoires dessinées par Uderzo (et parfois scénarisées par Goscinny) entre 1963 et 2003, parues comme éléments publicitaires dans divers magazines ("Pilote", "Elle", "National Géographic" ...). Honnêtement, aucune ne casse trois pattes à un sanglier. Donc à part le côté "inédit" de ces historiettes qui ravira probablement les inconditionnels d'ASTERIX, il n'y a pas beaucoup d'intérêt.
Mention spéciale toutefois pour les histoires "Latinomanie" et "Mini Midi Maxi", bien drôles.
J’adore ! Ce qui est formidable avec Astérix, c’est que même 30 ans, 40 ans après, les scénarios restent toujours d’actualité. Les sujets abordés sont toujours aussi proches de notre vie quotidienne.
La grande force du duo Goscinny-Uderzo est la double lecture des albums et le dessin aux cadrages parfaits : je ne m'en lasse toujours pas, même après des dizaines de relectures.
Mes albums préférés sont chez les 24 premiers de notre duo mythique. J’ai lu certains des albums post-Goscinny, mais les histoires manquent de consistance, dommage. J’ai donc arrêté ma collection Astérix chez les Belges.
Une BD cultissime !
Album pas trop mal. On va dire le moins mauvais des albums scénarisés par Uderzo. Même si l'auteur est un génie du dessin.
Bof, sans intérêt. Long et ennuyeux. Album sans grande originalité. On est loin du style de Goscinny.
Le pire album d'Astérix. Un album sans scénario avec des personnages laids. Les noms sont à moitié compris. Cet album ne contient aucun humour. Les bagarres entre romains et gaulois sont inutiles. Les références à Aznavour m'ont à peine fait sourire.
Je ne l'ai pas trouvé si mauvais cet album.
Cela fait très longtemps que je n'ai pas lu d'Asterix.
On m'a offert le dernier dont j'ai oublié le titre, avec les Amazones.
Le dessin du transatlantique n'est pas mal, mais bien moins bon que "le Griffon !".
Par contre il y a trop de calembours durant cette traversée et trop longs (une planche complète sur les cimbres/timbres), idem pour le sponsors garum lupus.
Du coup le scenario est alourdi, dommage car l'histoire n'était pas si mal.
Rechercher les perles d'Uderzo et Goscinny n'étant pas le but de cet opus, il faut bien un début pour Fabcaro et Conrad, j'ai pris plaisir à cet ouvrage. Merci aux auteurs, j'espère une belle série dans la continuité.
Premier album d'une série accompagnant le lancement d'une nouvelle revue, Pilote. Les deux auteurs ne savent pas encore ce qu'ils viennent de composer là.
Ils posent leurs personnages. Goscinny sait où il va et exploite génialement l'idée de départ (identifier l'occupation allemande de 40 à l'occupation romaine de -52), Uderzo tatonne et semble apprendre à dessiner ses Gaulois.
Dans ma vieille édition, les couleurs sont catastrophiques mais on s'en fout, on se marre.
Dans cet album qui sera son dernier, Uderzo détruit son univers avant de le quitter. Doublement triste à pleurer.
Mouais…
Ben j’ai pas été convaincu…
Le méchant romain avec son idée de « corruption bobo » n’a pas beaucoup d’envergure ou de charisme, son idée n’est ni époustouflante ni enthousiasmante…
L’histoire est assez linéaire, on se suit, c’est tout, sans réelle grande idée, retournement de situation…
Peu de gags ou jeu de mots…
Bref, un album assez plat et fade qui ne m’a pas convaincu alors que j’avais bien marché au Griffon précédent…
Je ne mets un avis qu'après une relecture de l'album, juste pour lui laisser une chance, puisque la première lecture m'avait vraiment déçu. Et à la deuxième lecture, ce n'est pas mieux. Autant le dessin est très correct, et si on voit sur certaines cases qu'il ne s'agit pas du trait de Monsieur Uderzo, Didier Conrad s'en sort très bien et fait carrément le boulot. En revanche, Jean-Yves Ferri est l'élément faiblard du duo. On sent les tentatives de placer un paquet de jeux de mots. Et si, bien que n'étant que rarement du niveau de ceux de Goscinny, les calembours peuvent faire sourire, le scénario global est d'une platitude désespérante. Pour avoir relu l'ensemble de la série dans l'ordre à raison de 1 ou 2 tome(s) par jour, on en vient, à la lecture des albums de Jean-Yves Ferri à regretter l'époque où Albert Uderzo réalisait les albums tout seul, alors qu'on pensait à l'époque que ces réalisations n'était déjà plus à la hauteur de celles du duo initial. Et cet avis est valable pour l'ensemble des albums réalisés par le duo Ferri/Conrad, même si dans ce naufrage, Le Papyrus de César et la Transitalique semblent moins pauvres scénaristiquement (à défaut d'être extraordinaires, ces albums ont au moins le mérite de raconter un semblant d'histoire). Encore une fois, le dessin est tout à fait correct, mais le scénario est à peine existant et n'est même pas sauvé par les nombreux jeux de mots....
Je ne dis pas enfin! Les deux derniers Astérix avec Ferry aux scénarios m'avaient permis de passer de bons moments de lecture. Celui-là me semble un ton au-dessus. A la fois par le dessin de Conrad qui particulièrement bien réussi (à noter les expressions bougonnes d'Abraracourcix , excellentes) et par le ton et les trouvailles scénaristiques du scénariste (le TGV/ la SNCF, le milieu bobo parisien). En plus tout y est et est réussi (les pirates, les camps romains, les références aux autres albums...).
Les jeux de mots et expressions sont nombreuses et réussies.
Seul bémol ce n'est pas une re-création ou une autre lecture de l'univers d'Astérix. Mais malgré tout j'ai pris un vrai plaisir à lire plusieurs fois cet album et ai à chaque fois découvert des jeux de mots/références qui m'avaient échappé.
L'Iris Blanc se distingue nettement parmi les nouvelles éditions d'Astérix, souvent décevantes depuis le départ d'Uderzo. Cependant, il reste encore loin du génie de Goscinny.
Ceci étant dit, cette bande dessinée offre une narration captivante, évitant l'ennui, et provoque de bons moments de rire. L'histoire se lit de manière fluide, offrant une expérience de lecture divertissante.
J'ai apprécié le dessin mais pas le scénario, c'est du réchauffé! Pâle copie d'anciens albums comme le devin, la zizanie et le bouclier arverne, il n'apporte rien à la série.
Le dessin lui est bon par contre.
A un tel niveau de nullité il vaut mieux arrêter la série.
Aucune originalité, pale recopie des précédents. c'est indécent, ça dégouline de consumérisme dévoyé.
Dommage Que Ferry ait lâché l'affaire, il avait un certain talent pour Asterix
Avé la compagnie, me revoilà pour mon avis sur le dernier opus d'Astérix, " l'Iris Blanc " ... Fan de Fabcaro et de son humour décalé ( lire les derniers albums d'Achille Talon ou " Zaï zaï zaï zaï " par exemple ), j'attendais avec impatience le dernier Asterix ... Je pensais que la vision que Fabcaro a de notre société transposée dans l'univers d'Astérix allait donner une sorte de choc des cultures ... je me disais qu'on allait sortir des sentiers battus, des jeux de mots lourdingues et des gags pas drôles ( cf " Astérix et le Griffon " et d'autres albums scénarisés par Ferri ... ). Et là, j'avoue que j'ai été très déçu : en fait, Fabcaro nous sort du " réchauffé " ... je suis d'accord avec les lecteurs qui y voient un mélange du " Devin ", de la " Zizanie " et du " Bouclier Arverne " ... mais en moins bien. J'y ajouterais même une pincée de " Obélix et Compagnie " ... Bref, au lieu de sortir un album original et décalé, Fabcaro ressort les vieux poncifs et tombe dans les mêmes travers que Ferri ... même la critique du parisianisme tombe à plat, les anachronismes sont exagérés et pas drôles ( le CGV par exemple ... ) et les jeux de mots à répétition finissent par lasser. Heureusement, certains passages m'ont arraché un sourire ( le retour d'Obélix sur la scène d'un théatre par exemple ) mais cela ne suffit pas pour faire un bon album ... en bref, sans atteindre la nullité du " Griffon ", encore un album qui ne restera pas dans les annales. Décidemment, je crois qu'il est temps de jeter l'éponge et d'arréter le massacre ... mais comme je le disais dans mon post sur " le Griffon ", l'enjeu financier est trop important et personne ne veut tuer la poule aux oeufs d'or ... allez, je vais relire " la Zizanie " et " le Devin " ... encore une fois, l'original est supérieur à la ( pâle ) copie. Salut la compagnie.
J'ai retrouvé dans cet album les ressorts qui font la réussite de la série: une histoire (même si elle donne une impression de déjà vu sur le comment corrompre ces irréductibles gaulois), un dessin superbe, des gags et des jeux de mots qui tombent à pique. J'ai été moins enthousiasmé par les noms donnés aux protagonistes, on était habitués à +inventifs.
Un bon moment de détente qui ne m'a pas déçu.
A noter que compte tenu des nombreuses répliques particulières de "pensée positive", j'en fait +un album adulte qu'un album jeunesse. Pas sûr que les très jeunes comprennent.
bof, bof, bof. Encensé par la critique, du Monde à Télérama, j'ai finalement acheté cet album, d'autant que Conrad est de la partie. Finalement, sans intérêt aucun cet opuscule, pâle imitation des albums originaux . je vais vite sortir cet album qui n'a pas sa place au milieu des 4000 ouvrages de ma collection en l'offrant comme menu cadeau du nouvel an à un participant qui m'est indifférent
Après avoir lu les avis élogieux sur cet album je me suis décidé à l’acheter.
Quelle déception !
Je suis totalement en accord avec Campanar
Si le dessin est parfait nous sommes loin de la dérision annoncée. La critique (très facile) de notre société n’est pas à la hauteur des premiers albums historiques. Quelques vagues jeux de mots égaillent la fin mais la trame est plate et les clins d’œil inexistants.
Pauvre Goscinny !
Pour ma part j'ai bien aimé.
Le dessin est bon, même si il diffère de Uderzo, et ne m'a pas fait sortir de l'histoire. J'aime bien les expressions des personnages qui pour le coup sont vraiment de Connrad.
Les gags et jeux de mots sont amusants et pas amené au forceps! J'ai bien aimé le nom du centurion, les réf du spectacle, les running gag des maximes...
2 bémols: la simplicité scénaristique de résolution de problème déjà évoqué (la colère de Vicévertus alors qu'il a lui même réussi à rendre tout le village placide devant Assurancetourix); les blagues "parisiennes" que j'ai trouvé plus lourdes (trotinette TGV...).
Bref, même si ce n'est pas la BD de l'année, j'ai passé un bon moment avec Asterix!
Bon, on ne va pas faire les difficiles. Après je ne sais combien d'années de piètre production, un album correct ne se refuse pas.
J'avais des craintes en sachant que Fabcaro était aux manettes avec Conrad pour cet opus, n'étant pas un fan de Fabcaro...
Je dois reconnaître que, hormis quelques jeux de mots vaseux et inutiles dans les premières pages, et la répétition un peu lourdingue des "sentences" positives tout au long de l'album, le tout tient la route pour notre plus grand bonheur.
Comme il a été dit dans les avis précédents le mien, on sent l'influence d'albums anciens comme la "Zizanie" et le "Devin".
Eh ben moi je préfère des références comme celles-là, plutôt que certains albums de la période Uderzo seul ! Pour rappel, qu'on se souvienne de "Le ciel lui tombe sur la tête", opus fatal dont Uderzo ne s'est jamais remis...
Question dessin, Conrad approche admirablement le style Uderzo, à une exception notable près: Jules César demande à être amélioré; tel qu'il est depuis la reprise il n'est franchement pas terrible !
Et puisqu'on a atteint le 40ème album des Aventures d'Astérix, ne serait-il pas judicieux d'arrêter là une bonne fois pour toutes, après un album digne de l'ensemble ?
40 tout rond, ça serait pas mal pour une série légendaire, non ?
J'avais clairement un a priori catastrophique avant même d'ouvrir l'album. Comme de nombreux fans d'Astérix, je trouve que la reprise de la série était une hérésie et les sorties de ces dernières années n'ont pas démenti ce ressenti. J'adore Fabcaro et Didier Conrad et lorsque j'ai appris qu'ils étaient à la manoeuvre, je n'ai pas changé d'un iota ma position et ma déception s'est déportée sur leur choix pour cette collaboration. Passée cette impression, j'ai lu l'album. Force est de constater que je me suis trompé. Ce n'est sans doute pas mon album préféré mais le cahier des charges est respecté. Le dessin est agréable, le scénario bien pensé même si certains y verront un clin d'oeil par trop appuyé à d'autres albums (la zizanie et le devin essentiellement). Je trouve qu'au contraire, il était judicieux d'instaurer cet élément perturbateur qui s'inscrit dans la tradition d'Astérix : il n'est pas rare que le village gaulois trouve son harmonie interne menacée (le domaine des dieux, la rose et le glaive, etc...) par un personnage extérieur. L'originalité réside plus dans le recentrage autour du couple Bonemine-Abraracourcix avec des considérations modernes mais bien dosées. L'impertinence est au rendez-vous et les jeux de mots disséminés à bon escient. Je recommande cet album, en priant (vainement) pour que ce soit le dernier. Cette réussite ne se reproduira peut-être pas.
Un album confus !
Le personnage de Vicéverus change de comportement du tout au tout sans explication valable. Un pur deus ex machina. C'est génant. Et je trouve le dessin de Conrad moins bon par rapport aux albums précédents. Bref, un album moyen qui ne vaut que par les jeux de mots et pas par son histoire...
Bonjour,
Farpaitement d'accord avec l'avis de herve26 : je n'ai rien de plus à ajouter, si ce n'est que je dois atteindre les 100 caractères dans mon avis.
Je vais être beaucoup moins enthousiaste que certains sur cet album, déjà adulé par nombre de média et de lecteurs.
J'écarte de suite toute critique sur le dessin de Didier Conrad, qui maitrise parfaitement le style d'Uderzo, hormis César, qui ressemble plus à Vincent Cassel qu'au Jules César d'Uderzo. Comme d'habitude depuis quelques années, j'ai lu ce nouvel Astérix dans la version tirage de luxe, avec les crayonnés qui sont assez remarquables.
Par contre niveau scénario, je trouve que Fabcaro puise un peu trop d'idées dans les albums de "la Zizanie" et du "Devin", surtout en se servant , une nouvelle fois, de Bonemine.
Certes les jeux de mots de Fabcaro sont assez réussis et surtout un peu moins insistants que ceux de Ferri mais j'ai trouvé l'album un peu "verbeux", avec des scènes parfois longues voire inutiles. La page avec les pirates répond beaucoup plus aux exigences d'un cahier des charges qu'autre chose. L'épisode avec la trottinette ou encore avec la SNCF est certes drôle mais un peu insistant.
Bien sûr, cet album s'inscrit dans l'air du temps avec une critique des bobos parisiens, de la cuisine nouvelle ou de la pensée positive, mais j'avoue que j'ai trouvé que nos deux héros ne jouaient pas un rôle primordial dans l'intrigue qui repose sur Abrararcourcix, Bonemine, et Vicévertus.
Un album qui ne m'a guère convaincu finalement, malgré deux lectures successives.
Meilleur album d'Astérix depuis longtemps.
Le dessin est au niveau, bien qu'un peu moins dynamique que le maître. Cela fonctionne très bien avec Fabcaro, qui a parfaitement compris l'esprit de Goscinny. Quelques blagues redondantes, et une ou deux choses à améliorer sur le scénario, mais globalement du plaisir à le lire
Incontestablement, Fabcaro apporte quelque chose à la série, qui pour moi n'était plus que l'ombre d'elle-même depuis pas mal de temps. On retrouve l'esprit d'Astérix, même si Goscinny est inégalable et qu'il sera difficile de faire aussi bien.
C'est en tout cas le meilleur Astérix depuis longtemps.
Les derniers opus m'avaient énormément déçus au niveau du scénario et sans doute que cet album aurait été le dernier pour moi sans cette belle surprise.
Concernant le dessin, il était déjà au point dans les albums précédent, mais je le trouve ici encore amélioré.
Bravo aux auteurs !
Cet opus est, de loin, le meilleur depuis la disparition de René Goscinny.
Il est distrayant et les jeux de mots excellents., je ne me lasse pas, par exemple, des titres du "vase-pourri" du concert d'Assurancetourix.
Dommage que Fabcaro ne soit qu'un intérimaire car avec lui on retrouve l'esprit Astérix.
Astérix est devenu une véritable institution dont chaque album est scrupuleusement minuté en vue d'une sortie à plusieurs millions d 'exemplaires. Pourtant, cela fait pas mal d'année que ce héros gaulois est mort avec Gosciny.
Cependant, on exploite toujours le filon tant qu'il rapporte. Il sera traduit directement en 20 langues différentes, c'est dire ! Et puis le parc Astérix est arrivé à faire 2,8 millions d'entrées en 2022. On trouvera d'ailleurs en page de garde une invitation à y aller afin de retrouver Astérix et ses amis. Autant faire de la pub.
Evidemment, j'ai commencé la BD dès mon plus jeune âge avec Astérix qui est devenu une véritable institution. Il est vrai que ce support a été longtemps associé au gaulois moustachu en ne regardant pas la richesse des autres créations pourtant tout aussi méritantes sinon plus.
C'est l'un de mes auteurs comiques préférés qui se collent au scénario à savoir Fabcaro, obscur inconnu qui a enfin décollé en 2015 avec l'album « Zaï Zaï Zaï Zaï » puis « Open Bar » dans la foulée. C'est un terrible poids qui repose sur les épaules du roi de l'absurde tant le sans faute est vivement recommandé à ce niveau d'édition.
A noter qu'il assure seulement l'intérim car Jean-Yves Ferry compte bien poursuivre l'aventure le temps d'une pause. C'est vraiment dommage car la Presse titre déjà que c'est le meilleur Astérix depuis René Goscinny. Il est vrai que les 12 tomes précédents n'ont guère convaincu les fans les plus exigeants. Mais bon, Ferry a assuré un minimum syndical qui a fait la joie des lecteurs de pouvoir continuer à suivre les aventures de ce personnage mythique.
On retrouve Didier Conrad qui a succédé au dessinateur Albert Uderzo en 2013 soit déjà une bonne décennie ce qui lui a permis d'être à l'aise dans ce rôle. Au niveau du dessin, je n'ai rien eu à redire car c'est dans le prolongement du style graphique avec une homogénéité presque parfaite.
Le thème de ce tome baptisé « L'iris blanc » est celui du développement d'une forme de pensée que Jules César juge bon d'étendre jusqu'à la Gaulle pour ses effets bénéfiques. C'est assez intéressant comme challenge sachant que l'iris symbolise la bienveillance et l'épanouissement dans le langage des fleurs.
Evidemment, cette méthode est employée de nos jours dans une espèce de positivisme de façade afin de masquer les vrais difficultés. Il suffit que de voir les bonnes choses. J'ai bien aimé la manière dont Fabcaro se sert de ces pensées influentes.
Pour ma part, je rejoins le concert de louange autour de cet album en toute objectivité. Les phrasés de Fabcaro m'ont beaucoup fait rire notamment le récital de chant du barde Assurancetourix. Oui, c'est bien le meilleur album depuis trop longtemps.
C'est le seul album d'Astérix que je n'ai pas dans ma bibliothèque !
Pourquoi ? Je l'ai acheté, pour compléter la série, comme tout le monde...et puis je l'ai lu. Catastrophe absolue. Je me suis empressé de l'offrir à un neveu très jeune, très très jeune. Je n'aurais pas eu ce neveu, je le jetais à la poublelle !
Alors bien sûr on reste loin du mythique duo Goscinny/ Uderzo et des meilleurs albums de la série, effectivement c'est le devin ou la zizanie version moderne (et pour moi en moins bien) mais j'ai tout de même pris plaisir à le lire, Espérons que Fabcaro s'installe et élève le niveau.
Adoré cet opus , nous ne sommes plus trés loin du grand maitre Goscinny , Bravo à Fabcaro , autant les 3 précédents ( Transitalique , , fille de Vercingétorix , et le Griffon) m'avaient déçu, n'étant méme pas allé jusqu'au bout , autant cet album est excellent ,tout à fait dans l'air du temps (la pensée positive ) le dessin de Conrad s'est encore amélioré .... On en redemande !! J'ai dévoré l'Iris blanc avec énOOrmément de plaisir !!
Le devin, mais en nul !
Plat, mal construit, téléphoné, invraisemblable, aucun humour, etc … rien !
Le cgv, la caricature du bobo, Assurancetourix mis en avant puis encore enchaîné, etc, j’ai à peine souri … tout est attendu et on sait en ouvrant le livre quelle sera la fin !
Dommage … un peu de zizanie, de bouclier arverne, et beaucoup de devin, ne suffisent pas … je suis ébahi par le concert de louanges.
Un vrai régal ! On se rapproche franchement des albums de la grande époque. Des répliques tout en finesse, des jeux de mots jubilatoires, un scénario bien tramé, que demander de plus! ... sinon d'autres albums du même niveau. Merci Fabcaro, Merci Conrad... même si ses dessins ne sont pas au niveau de ceux de l'immense dessinateur qu'était Uderzo, c'est quand même bien!
Le Griffon sentait la panne d'inspiration, là on monte vraiment d'un cran!
Beaucoup mieux que le Griffon ! Comme quoi, pas besoin de grands espaces inexplorés pour faire un « bon » Astérix. Il suffit d’un bon scénariste. C’est le cas de Fabcaro qui signe une histoire très proche des Astérix historiques. Bien aboutie, plutôt drôle et assez fine, avec juste ce qu’il faut d’esprit satirique.
Même s’il y flotte un sentiment de déjà lu, Fabcaro réussit donc une excellente reprise, sobre et respectueuse, particulièrement appréciable après les calembours obsessionnels et pesants de son prédécesseur.
Après tant d'années de batailles acharnées, ne serait-il pas temps pour nos Gaulois et nos Romains de prendre un bain de positivité?
Fabcaro prend le relais dans le scénario de ce nouvel opus d'Astérix et franchement, cela fait du bien. Ce n'est pas toujours facile de se mettre dans les pantoufles du duo initial, mais pour le coup cela fonctionne. Fabcaro a compris l'esprit de la BD et m'a fait renouer avec le vrai esprit d'Astérix. J'ai adoré cette histoire et l'on retrouve le petit côté grinçant du scénariste.
Rebondissements et humour sont accompagnés d'illustrations très fidèles au style initial. J'aime me plonger dans ces BD qui me rappellent mon enfance. J'ai d'ailleurs retrouver dans ce quarantième tome, tous les ingrédients qui font la magie d'Astérix. En revanche, la recette la potion magique reste encore un mystère (je sais juste qu'il y a du gui et du homard, mais c'est juste pour le goût).
J’ai passé un bon moment de lecture, c’était clairement du niveau d’albums classiques d’Asterix. C’est la première fois que je peux dire ça depuis les reprises …
Le cahier des charges est parfaitement respecté pour ces nouvelles aventures gallo-romaines. Tout fonctionne à merveille qu’il s’agisse de l’histoire, des personnages ou de l’humour. vicévertus, le personnage central de cet album, est très réussi ce qui joue beaucoup dans le succès de ces nouvelles aventures. Quant au voyage, un élément très important dans cette série, il se déroule dans une Lutèce horriblement snob et bobo. Un régal.
Ce 40eme album est un excellent opus de la série....
L'arrivée de FABCARO au scénario apporte une autre vision de nos gaulois...
CONRAD quand à lui a encore peaufiné sa maîtrise des dessins...
Quand à l'histoire, en reprenant les ressorts déjà utilisés dans La Zizanie, Le Devin etc... avrc un thème plus actuel mais mis à la sauce de nos villageois, FABCARO signe une belle histoire
Enfin un album d'Astérix qui émerge bien au-dessus de la moyenne depuis la reprise post-Uderzo.
Un nouvel opus qui propose une histoire avec un début, milieu et fin, comprenant des références, des jeux de mots, des gags, des quiproquos et une bonne critique des bobos, de la cuisine contemporaine, des idéologies 'new-age' et des discours creux propres au politiquement correct.
Au rayon des surprises: Assurancetourix qui se lance dans un concert en 'one-man show', le service SNCF version gauloise et surtout, Vicévertus le méchant, manipulateur et bonimenteur à souhait.
Un très bon album qui ne dépassera jamais les originaux mais qui s'illustre via une histoire solide et brillamment écrite et non en une simple succession de sketchs/gags bien lourds et gratuits.
Heureux de retrouver nos comparses gaulois, je me suis plongé dans ce nouvel album avec curiosité. Après quelques album d’une fidélité graphique irréprochable, j’ai trouvé que Didier C. prenait bien ces marques en amenant quelques touches de modernités bienvenues dans ce qui est devenu un « vieux » standard de la bande dessinée. Bref, un dessin nickel… en trait pour très !
Même si j’ai d’abord eu un sentiment d’excès de pulsions textuelles, le scénario m’a bien plus, plus qu’un début, un milieu, des rebondissements et une fin… on y retrouve une avalanches de jeux de mots dignes du maître, une thématique qui se retrouve à tous niveaux, un réel humour à la fois accessible et intelligent. Mention spéciale aux bob parisien, à la nouvelle cuisine et au vase-pourri d’Assurancetourix où on sent le musicien qui, pour une fois, m’a permis de reconnaître toutes les chansons (ce que les plus jeunes ne pourront peut-être pas faire). A quand l’album ou Asterix et Obelix accompagnent Assurancetourix au Hell’enic Fest’ voir Acédésix, Ledzepline-l’ancien, les groupes Romains Dix-peurs-belles ou Metalique-casques ?).
Merci pour ce nouvelle album !
Un des moins mauvais de ses derniers temps. Je suis d'accord avec Minot.
Autant les précédents ressemblaient à des suites voir parodie des films mais autant celui ci retourne un peu plus dans l'histoire d'Astérix. Les dessins sont assez fidèle à ce qu'ils doivent être.
Bonjour, bizarrement j'ai l'impression de lire le devin, même idée de scénario et même victime "bonnemine" pour ne pas la citer
Un tome très amusant, bien dans l'esprit des albums de l'âge d'or de la série. Vicévertus est un beau méchant, dans la lignée des stratèges romains aussi fourbes que prétentieux tels Anglaigus ("Le domaine des dieux"), Détritus ("La zizanie") ou Saugrenus ("Obélix et compagnie"), pour ne citer qu'eux.
Le scénario est bourré de jeux de mots et de calembours rigolos sans qu'il n'y ait d'overdose et surtout, il raconte une VRAIE histoire (et n'est pas seulement une succession de saynètes amusantes) en offrant bien sûr plusieurs niveaux de lecture, puisque derrière cette histoire de Romains qui cherchent à abrutir nos Gaulois pour mieux les envahir, on a droit à une petite critique très drôle de certains travers de notre société actuelle, bobos et bien-pensants en prenant gentiment pour leur grade (la caricature des bobos parisiens est franchement hilarante, tout comme celle de la "nouvelle cuisine" ou des couples modernes). Le dessin de Conrad est de son côté parfaitement dans l'esprit d'Uderzo et est donc un régal pour les yeux.
Les albums post-Uderzo n'atteindront certainement jamais le niveau de ceux du tandem Goscinny-Uderzo, mais quand une reprise est bien faite il faut savoir le dire et l'apprécier et pour moi, c'est le cas avec cet album, qui constitue de fait une agréable surprise.
Rien a voir avec les 1er albums... donc pas acheté... Ce livre ne devrai même pas faire partie de la série.
Je ne l'ai pas trouvé si mal cet album.
Le scénario est certes très basique, une ligne droite déjà entamé dès les premières cases et des équipes qui se suivent tranquillement jusqu'à...rien.
Le dessin est plutôt réussi (très même), je trouve juste dommage de ne pas avoir quelques belles grandes cases avec les magnifiques paysages, ça donnerai un petit coup de modernité sans obligatoirement changer le style.
Il y a quelques bonnes vannes, d'autres plutôt lourdes (car répétitives), l'écriture inversée était également désagréable.
--> très bon point pour les dessins, je suis franchement surpris. C'est un album que je ressortirai non pas pour le relire mais pour le regarder.
Je ne saisi pas ce qui est reproché à cet album, c'est un concept intéressant je trouve.
Une page d'introduction et d'anecdotes et quelques planches qui l'accompagnent, j'ai trouvé la lecture agréable.
Dommage, il aurait franchement mérité d'être un peu plus volumineux avec quelques photos ou archives (c'était le moment de faire découvrir au grand publique les auteurs et leur collaboration).
Le premier dans l'ordre de parution qui ne m'a pas vraiment convaincu, si on laisse de côté le tout premier album qui était un premier jet. L'humour n'est pas le plus fin qu'on ait pu goûter, le scénario n'est pas grandiose. Eh oui, même du temps du grand Goscinny il n'y avait pas que des bons Astérix !
A bientôt 35 ans j'entame seulement aujourd'hui la lecture du cultissime "Astérix" . Le constat que j'en sors pour une découverte en 2023 d'un des monuments de la bande dessinée Franco-Belge est le suivant : De belles couleurs et un trait qui devait certainement être en avance sur son temps ou au moins dans ce qui se faisait de mieux, puisqu'il est toujours très agréable de tourner les pages aujourd'hui et de s'accorder quelques secondes sur certaines cases .
C'est drôle, bien raconté, avec un vocabulaire désuet par moment faisant tout le charme de l'écriture . Le scénario grand public permet d'être compris et apprécié par le plus grand nombre, mais personnellement ça ne m'a pas spécialement emballé comparé à un "Rahan" par exemple, avec lequel on apprend et enrichit notre savoir sur l'évolution de l'Homme tout en découvrant d'intrépides aventures ( Cependant ce dernier visait peut-être un public plus adolescent ) .
Un récit à lire pour n'importe quel amateur de bande dessinée, ne serait-ce que pour l'Histoire de la BD Franco-Belge .
A la relecture , plus de 50 ans après l'avoir eu , je m'esclaffe encore aux répliques d'Obélix... Ce 2ème album annonce la couleur de ce que sera la série sous la plume de Goscinny : scénario inventif , jeux de mots et répliques d'Obélix. "Amphorisage" pour embouteillage (logique) . Coté dessin Uderzo nous gratifie des premiers clins d'oeil : le préfet Gracchus Pleindastus est le portrait de Charles Laughton ,dans le film Spartacus de Kubrick, dans lequel il interprète le rôle du sénateur... Sempronius Gracchus... et ce tavernier venu de Massalia (Marseille) avé l'accent (pas évidsent en BD..) qui ressemble fortement à Raimu....
Un bon cru .