Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Eotran Le 30/10/2023 à 20:53:45

    Du Fabcaro comme on l'aime, décalé, absurde, critique et incisif.
    Peut être, un peu trop court. Car quand c'est bon, il y en a jamais assez.

    Erik67 Le 04/05/2021 à 09:00:21

    J'ai l'impression de ne pas être objectif quand je mets cette note à Fabcaro car c'est l'un des rares qui arrive à me faire sourire avec un humour très fin et distingué. Je succombe à chaque fois et ce depuis que je l'ai découvert alors qu'il était quasi-inconnu dans le vaste monde de la BD. C'est vrai que Zaï Zaï Zaï Zaï a tout changé et je me demande ce qui a enfin provoqué l'étincelle au niveau du public. Bien sûr, c'était mérité depuis longtemps.

    Avec ce titre, on flirte avec le roman photo qu'on trouvait dans les kiosques des gares et qui narrait les infidélités d'un couple sur fond d'eau de rose. Les références me parlent réellement à l'exception de la macédoine. Bon, en même temps, je ne verrai plus jamais ce légume de la même façon !

    L'auteur est un formidable conteur qui sait bien nous embarquer. Le texte est véritablement hilarant. On passe un superbe moment de lecture détente avec cette parodie de roman photo dans un style Harlequin des années 80.

    Au Fil des Plumes Le 22/08/2020 à 15:19:04

    Je renouvelle l’expérience avec Fabcaro que j’avais adoré avec Zaï, zaï, zaï, Moins qu’hier (plus que demain) et Open Bar. Cette fois ci, avec Et si l’amour c’était aimer ? Fabcaro se penche sur les romans photos. Je vous laisse découvrir le résumé qui donne le ton.
    Sandrine et Henri coulent des jours paisibles dans leur villa luxueuse. Henri est un patron de startup épanoui et dynamique et Sandrine l'admire. Mais hélas la vie n'est pas un long fleuve tranquille... Un beau jour, Sandrine tombe sous le charme de Michel, un brun ténébreux livreur à domicile et chanteur de rock à ses heures perdues. Une idylle merveilleuse va alors se nouer entre eux. Mais la vie est-elle toujours du côté de l'amour ? Les sentiments purs et absolus ne sont-ils pas qu'une feuille morte emportée par le vent ? Un arc-en-ciel ne finit-il pas toujours par disparaître derrière les nuages ?
    Le scénario que nous livre Fabcaro est bien construit, drôle et ressemble au soap opéra que l’on peut parfois voir à la télévision. Je pense d’ailleurs que cela a dû être sa principale source d’inspiration au vue de certains passages. Ce roman graphique est rempli de clichés qui donnent des situations téléphonées et cocasses voire absurdes. Les personnages suivent la même ligne directrice. Ils apparaissent peu intelligents et terriblement clichés. Ils en deviennent véritablement risibles. Le lecteur retrouvera avec plaisir l’humour grinçant et corrosif de Fabcaro. D’ailleurs, ce type d’écriture ne plaît pas forcément à tout le monde et il faut avouer qu’à sa sortie en 2017, Et si l’amour c’était aimer ? a recueilli des avis très tranchés. En somme, soit on aime, soit on déteste.
    D’un point de vue esthétique, l’esprit graphique est simple avec très peu de décor. Bien que contrairement à certains opus de Fabcaro, ici, les visages soient visibles et détaillés, le trait est fin et épuré. L’ensemble est en noir et blanc. Cela ressemble énormément à un roman photo notamment avec les différents plans dans les vignettes qui sont typiques du genre. Néanmoins, certains passages viennent couper le récit et renouent avec une esthétique plus brute où des personnages sans visage donnent leurs opinions sur le choix de vie des personnages principaux qu’ils ne connaissent pas. Résultat, ces personnages peuvent être n’importe qui. J’y ai vu pour ma part une critique de la société actuelle où chacun à son avis sur tout.
    Pour conclure, Fabcaro a encore su me séduire par son humour grinçant. C’est délicieusement cliché. Certaines répliques sont intelligemment construites et vraiment drôles. Fabcaro prouve encore qu’il est le maître dans le domaine de la critique et de l’humour.

    https://aufildesplumesblog.wordpress.com/2020/08/22/et-si-lamour-cetait-aimer/

    kingtoof Le 09/05/2020 à 17:31:34

    Une BD complètement décalée avec un style "roman photo" qui ne me donnait pas envie de me mettre dedans.
    À l'arrivée un hommage à l'humour des Nuls et des passages délirants qui font sourire.

    minot Le 04/01/2018 à 10:20:23

    L'humour ravageur de Fabcaro est tout bonnement jubilatoire. Comme en plus les dessins créent un gros décalage avec le ton absurde de cette histoire, l'effet comique est garanti à 100%. Une satire sur l'Amour et la vie de couple vraiment hilarante !

    judoc Le 09/12/2017 à 20:04:54

    Un ouvrage spirituel sur l’amour qui fait une pause avec les pitreries habituelles de ce sinistre auteur de BD. Mais pas longtemps (la pause), dés la 3eme case ça repart en vrille. Il n’y aurait rien de plus beau au monde que le concept de vie à deux (selon saint Fabcaro). Alors forcément, quand tu traverses une zone de turbulence, comme un poney au galop, t’as peur de te faire larguer pour une macédoine bio (blouson en vrai cuir ou pas).

    A lire !