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Premier album de la série qui est assez épatant pour sa qualité !
Les rats noirs : L’aventure est pleine de rebondissements et d’inventivité, les dessins sont hyper dynamiques et drôles, avec la réussite de réaliser des animaux réalistes tout en leur donnant des comportements humains mais avec une réflexion animale… Bel équilibre.
L’histoire, elle, reste assez simpliste, voire enfantine…
On pourra y faire des parallèles si on est adultes mais globalement, ça reste des méchants rats noirs et de gentils animaux majoritairement brun et poilus jolis, les seconds tentant d’échapper aux premiers…
En bonus :
Chlorophylle contre Borborygme – 3,5 : si c’est très drôle, encore mieux dessiné que le premier et très dynamique avec d’autres idées amusantes, j’ai quand même l’impression de voir la même chose que la première histoire… On se bat contre un roi (corbeau au lieu de rat) avec des aventures (plus originale ici avec l’invisibilité)…
Chlorophylle et le « Gai Séjour » - 1 : alors là, je n’ai pas marché du tout du tout. Autant j’aimais beaucoup ces réactions animales avec des personnages parlant dans le premier, joli mélange, autant là, le camping, la voiture, j’accroche pas… A ce niveau, dessiner des humains aurait été tout aussi efficace. Pas aimé.
Édition minable, pour une des meilleures histoires de Macherot. La scène où Chloro et Minimun pénètrent dans la maison et montent au grenier pour délivrer Particule, alors qu'ils sont poursuivis par Célimène, est digne d'un Hitchkock !
Petite remarque, les notes relatives à l'édition, page 2 (dépôt légal, ISBN) sont exactement les mêmes que celles du tome 1, "Chlorophylle contre les conspirateurs". Une erreur sans doute...
Etant grand admirateur de l'oeuvre de Macherot, je suis un peu gêné de mettre une si mauvaise note à l'un de ces ouvrages...
L'histoire en elle même n'est pas la meilleur des Chlorophylle mais ce qui me dérange dans cet ouvrage c'est la qualité de la réédition qui est très médiocre.
Des couleurs horribles, un lettrage refait, un trait baveux, une réédition non chronologique !!!
Non vraiment fuyez cet ouvrage ainsi que la collection "série Verte" qui détruit le travail de Macherot. Fuyez si vous trouvez un Chlorophylle sur fond vert avec des papillons !!!
En quittant Tintin, Macherot avait conservé les droits sur le personnage d'Anthracite, ce qui explique que le grand méchant avait disparu. Hors l'île empoisonnée du tandem Guilmard/Hubuc, nous n'avions plus de "méchant" à la hauteur. Ceci explique en partie l'affadissement de la série même si quelques heureuses surprises se sont fait jour ici et là (Le grand exode par exemple).
Reprendre les droits sur Anthracite était donc une bonne idée.
Par le biais de maître Mustellas, Anthracite fait parvenir à Chloro ses dernières volontés. Il se meurt en prison d'un klaxus du staphylet. Chloro et Minimum arrivent trop tard et le méchant meurt quasiment dans leurs bras. Son voeu le plus cher : être enterré au petit bois.
Qu'en est-il du fantôme qui désormais hante le petit bois ?
Cette aventure dont l'idée de base n'est pas plus bête qu'une autre montre à l'évidence le génie de Macherot. Nous avons droit ici à du lisse, peu passionnant et enfantin. Le créateur de la série savait s'adresser à différents lectorats en établissant plusieurs niveaux de lecture. Ce n'est pas le cas ici.
Il savait être cruel, ici ce n'est que cucuterie.
Bravo pour cet hommage en creux à raymond Macherot !
On peut regretter que cette série ait fait l'impasse sur la période Guilmard, Hubuc, qui avait pourtant su reprendre à leur compte le rythme et l'esprit de Macherot.
Reconnaissons toutefois que ces "Faits Divers" sont une superbe fable sur l'argent et les comportements déviants qu'il induit. On pourrait même parler d'album chef d'oeuvre si la seconde histoire, l'Oeuf (16 planches), était à la hauteur.
Ce n'est pas le cas -c'est même gnangnan. Mais la première histoire est vraiment remarquable d'où cette note.
Des castors -canadiens- construisent des barrages. Nos amis n'ont donc plus de rivières pour jouer, se baigner et se laver. Explications, bagarres, collaboration. Toiut est bien qui finit bien (dans une bagarre quand même !).
Affligeant n'est pas le mot. Mais désolant sûrement de voir comment l'une des meilleures séries classiques de l'école franco-belge a tourné.
Il convient de ramener Gustave le serpent au zoo. Un long périple commence semé de nombreuses embûches. Heureusement quand nos amis seront en péril, le serpent saura les tirer... de ce mauvais pas.
Dans la foulée de leurs aventures, ils iront jusqu'à libérer les animaux d'un labo vétérinaire.
Parmi les histoires qui complètent l'album, Maximum d'ennuis pour Minimum, est classique mais charmant tandis que Les dents de la rivière est tout aussi classique mais beaucoup moins charmant.
Au global, c'est seulement pas mal.
Gustave est un dangereux serpent qui s'est évadé d'un zoo. Le petit bois lui semble l'endroit idéal pour assouvir sa soif de grandeur. Visiblement inspiré par Kâa, le serpent du livre de la jungle dont le film était sorti quelque temps plus tôt. C'est sympa mais sans plus.
D'autant que les planches qui complètent pour parvenir aux 44 pages réglementaires ne sont pas exceptionnelles loin de là.
Chlorophylle et Minimum quittent Coquefredouille en ballon et viennent apporter la "civilisation" à leurs amis. Outre renards et buzards qui en voudront à leur peau, nos héros seront aussi la victime de fripouilles bien décidées à les faire travailler... pour des noisettes.
Une deuxième aventure, le Bosquet Hanté, complète cet album. Dans cette deuxième histoire Chloro et Minimum se retrouvent prisonniers des petits animaux d'un bosquet voisin. La raison : ils ont découvert que les "fantômes" du bosquet ne sont que des épouvantails manipulés par les animaux pour éloigner les prédateurs.
Il ne reste plus à nos héros qu'à s'évader.
Si la qualité Macherot est toujours bien là, ces deux histoires ne font certes pas partie de ses chefs d'oeuvres. A lire toutefois.
Zizanion le terrible est un révolutionnaire qui attente à la vie du roi à plusieurs reprises. Il va même jusqu'à libérer Anthracite de sa prison. Voici donc réunis un dangereux tandem de revolutionnaires. Révolutionnaires ou profiteurs ?
Encore une fois Macherot fait mouche pour le plus grand plaisir de toutes les tranches d'âge de lecteurs.
Voulant partir au soleil pour les vacances, Chloro et Minimum se retrouvent -pour la première fois- à Coquefredouille, l'île où les petits animaux vivent débarassés de l'homme et des bêtes carnivores.
Or il se trouve qu'un putois et un furet -Escalope et Fricandeau- sont introduits dans l'île... par Anthracite. Oui, mais personne ne veut croire, pas même le commissaire Bouclard, les propos de Chloro et Minimum.
Macherot n'hésite pas faire cuire des personnages pour le plus grand plaisir des Croquillards et des lecteurs. Il sait être cruel mais pas gratuitement, ce qui fait que le jeune lectorat de l'époque suivait.
Depuis on a affadi de beuacoup la sauce.
Première aventure de Chlorophylle qui doit affronter Anthracite et ses rats noirs, chassés du vieux moulin qui doit être rasé.
On sent que le début de l'histoire a été conçue au début au fil de l'eau puis elle prend forme au fur et à mesure que l'on rencontre les personnages amis de Chloro. Nous aurons ainsi droit à Torpille, la loutre, Serpolet, le lapin, Bitume, le corbeau (préfiguration de Caquet) et Goupillon, le hérisson.
Pas de Minimum donc. Pour l'instant.
A noter qu'une histoire de 6 planches, Chlorophylle et le Gai Séjour (1970), signée Hubuc et Greg complète l'album
Des saucissons disparaissent dans l'épicerie de la petite ville voisine. Chloro et Minimum (qui s'impose désormais comme l'aleter ego du heros) enquêtent.
Charmant et plein de poésie.
Deux courts récits plus récents -l'un de 4 pages et l'autre de 2- accompagnent l'album. Les 2 sont dessinés par Macherot même si Greg signe l'un des scénarios.
Anthracite s'est évadé. Il se retrouve devant Pompon, le rat d'eau, Surmulot, le rat de cave et surtout Agent X8, le rat noir. C'est le même espion qu'il avait fait condamner à mort dans l'épisode précédent. Car c'est bien là où le bât blesse, cette série ne respecte pas l'ordre chronologique.
Oh, certes, ce n'est très compliqué à comprendre mais tout de même c'est se moquer du monde.
Sinon rien à dire sur l'histoire, c'est vraiment charmant. A noter, et la chose se doit d'être soulignée, qu'Anthracite meurt à la fin de l'histoire. Pour l'époque et dans un journal pour enfants, c'était assez gonflé. Mais les méchants meurent-ils vraiment ?