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J'avoue que je n'ai jamais été vraiment intéressé par Paul, je n'y voyais pas d'intérêt. Mais j'ai été agréablement surpris par ma lecture de ce premier album. C'est léger, c'est drôle, c'est même parfois un peu triste... Un genre de BD qui fait du bien à lire, un beau matin ensoleillé avec un café à la main...
Bien sûr que je suis en retard dans mes lectures. Pour expliquer cela, il y a le flot astronomique des nouveautés, la (ou le?) COVID, l'argent disponible qui n'est pas toujours au rendez-vous...Etc ...Etc..Etc. Toujours est-il que ma collection des Paul par Michel Rabagliati est un peu trouée. Je m'affaire donc à colmater ces brèches avec le rythme tranquille de celui qui sait qu'il n'y aura pas de pénurie. Après tout, nous avons affaire ici au chouchou de la BD fait au Québec (Avec Jean-Paul Eid qui a lui aussi un trou dont il a fait un album).
L'album "Paul à Québec" ne fera pas d'entorse à la qualité de la collection. Ce sixième album de la série qui a été adapté en film, constitue un nouveau sommet dans la chaine himalayenne des succès concocté par ce graphiste de formation. Les silences parlent, la sensibilité se sent, et le récit coule de la source douce et tranquille d'un cours d'eau. ...même si le fond de la rivière bouillonne d'émotion. La série des "Paul" est un monument aussi solide et immuable que celle de "Tintin". Le personnage de "Paul" est un reporter du quotidien qui décrit une vie qui nous ressemble avec finesse, justesse et tendresse. Les relectures suivront comme autant de madeleines de Proust dégusté avec plaisir.
Je n’avais jamais lu un livre de la série Paul. Je ne sais pas si j’ai bien fait de commencer par celui-ci… surtout après avoir relu « Les couloirs aériens » (voir chronique précédente).
Toujours est- il qu’il est facile de s’identifier à Paul quand on est proche de la 50aine … Les problématiques évoquées sont connues : la séparation, le deuil, la solitude, le départ de l’enfant devenu grand, le retour du sport, les problèmes de santé…. Ici elles sont touchées avec finesse et poésie. On suit Paul et on est rapidement en empathie avec lui : ses manies (les typo !), ses doutes, sa confrontation à un nouveau monde : les réseaux sociaux, les sites de rencontres, l’omniprésence du smartphone… Les tableaux en noir et blanc sont brossés avec talent et humour, symbolisme et tendresse. Le tout donne un album sombre mais émouvant et touchant (même en québécois !)
Il se pourrait bien que je lise les autres volumes….
Je suis pourtant un fan de cette série mais là, j'y vois une surexploitation commerciale pour faire un guide touristique et historique de la ville de Montréal. Dieu sait pourtant que j'ai aimé cette ville lors de mon voyage de noces au Canada.
J'avoue avoir appris des choses comme ce maire de la ville qui voulait faire démonter notre bonne vieille Tour Eiffel pour la présenter lors de l'exposition universelle en 1967. Nul ne sait si la ville de Paris était partante mais le projet fut abandonné.
Bref, il y aura des anecdotes assez savoureuses mais qui ne justifie pas un achat malgré le format à l'italienne et la mise en page assez audacieuse.
On retrouve avec plaisir les aventures de Paul à la pêche. C'est mêlé de souvenirs d'enfance qui se conjuguent avec bonheur dans cette petite saga familiale québécoise. Pour Paul et sa campagne Lucie, c'est également l'heure d'affronter des épreuves de la vie comme deux fausses couches. La fin de ce récit sera d'ailleurs vécu comme une libération.
Il y a toujours des moments d'émotion et d'humanité qu'on apprécie en passant du rire aux larmes. On n'atteint certes pas l'intensité du dernier "Paul au Parc' mais cela donne une nouvelle tonalité à ces aventures qui étaient jusqu'ici plutôt légères. J'ai bien aimé également quelques critiques sur les sociétés qui n'hésitent pas à virer du monde. Les anecdotes, les observations et les jugements lucides se multiplient comme pour nous rappeler que le monde ne tourne pas toujours rond.
Cette lecture a toujours quelque chose de rafraîchissant. Plus qu'une partie de pêche, c'est plutôt une histoire sur la maternité/paternité du couple vedette.
Paul dans le métro est sans doute le moins bon de la série. Il est vrai que le dernier titre de l’auteur à savoir Paul au parc m’avait littéralement scotché. Ce titre en comparaison fait très pâle figure. Il s’agit en fait d’une succession de courts récits. Seul le premier mérite notre attention car le reste ne sera que remplissage pour terminer une commande afin de prolonger le plaisir.
En effet, il n’y a pas de ligne directrice car les histoires se situent chronologiquement à des époques différentes. On ne retrouve pas ce qui fait le charme de la série des Paul avec ces petites anecdotes historiques sur le Québec. La série des Paul mérite d’être lu mais on pourra aisément faire l’impasse sur ce titre.
Visiblement, j'en arrive au constat que les auteurs canadiens ne brillent pas dans la catégorie beaux graphismes et beaux dessins. C'est le moins que je puisse dire après en avoir parcouru quelques-uns qui restent cantonnés dans le minimalisme de service. Bon, on dira que ce n'est pas leurs points forts sans faire de généralités. Peut-être qu'un jour, je tomberai par miracle sur un dessinateur canadien hors-pair : je ne desespère pas !
Par contre, leurs scénarios sont plutôt sympas dans l'ensemble à l'image de ce que fait un certain Guy Delisle. C'est la première fois que je lis un Paul dans cette série purement déclinative : Paul à la pêche, Paul à la campagne, Paul dans le métro, Paul a un travail d'été, Paul fait l'amour pour la première fois etc...
Là encore, excusez-moi d'être mauvaise langue, ce ne sont guère des titres très imaginatifs. D'ailleurs, par où faut-il réellement commencer ? Ai-je pris le bon bout puisqu'il ne s'agit pas d'une série unique mais de différents recueils séparés décrivant certainement une tranche de vie de fameux Paul. Le lecteur pourra être un peu désorienté. J'ai conscience que chaque histoire doit être différente mais il y a certainement des liens.
Pour autant, comme dit, j'ai trouvé cette lecture assez sympa à l'image de ce jeune couple qui emménage après leurs études dans un appartement. Cela renvoie incontestablement à des souvenirs personnels quand on emménage pour la première fois avec sa bien-aimée. Le plaisir de lecture étant au rendez-vous, j'ai décidé de continuer à l'occasion d'explorer cette saga des Paul ! Je n'aime cependant pas assez pour recommander l'achat car il n'y a rien de véritablement révolutionnaire dans ce roman graphique.
C'était le dernier de la série des Paul que je n'avais pas encore lu. Voilà, c'est fait. Chronologiquement, c'est le numéro 2. C'est un bon titre qui avait réussi à faire connaître ce personnage attachant avec des histoires simples et réalistes.
Il est question de la période de ses 18 ans où il va trouver un job d'été en qualité de formateur dans un centre de vacances. Il va connaître également son premier amour bien que cela avait mal commencé. Il y aura également une rencontre touchante avec une gamine atteinte de cécité.
Par rapport aux deux derniers titres, on pourra mesurer une certaine évolution (surtout si on tient compte du tout premier volume). On peut affirmer que Paul est une série qui va en se bonifiant davantage.
On ne se plaindra pas des expressions canadiennes. Il faut avoir lu Magasin général pour comprendre de quoi je parle. Bref, j'ai réellement l'impression d'être transporté au Québec. C'est tout le charme de cette oeuvre humaine et authentique. Comme la Belle province...
Je voulais lire depuis longtemps le premier tome de la série des Paul écrit en 1999 par Michel Rabagliati. En fait, il s'agit de deux histoires différentes qui racontent la vie de Paul.
La première nouvelle le voit retourner sur les lieux de son enfance dans un vieux chalet familial. Dès lors, il se souvient de sa jeunesse avec des flash-backs assez nombreux. Le thème sera celui de la mort à travers celle d'un oiseau ou du père de son meilleur ami.
La seconde est une visite toujours durant son enfance sur le lieu de travail de son père à savoir une imprimerie. Le jeune Paul apprend par le biais du travail de son père ce qu'est la typographie, toujours à la fin des années soixante.
On retrouve dans ce premier titre l'essence même ce qui va faire le charme de cette série. En effet, sa marque de fabrique est la sensibilité avec des moments drôles et parfois touchants. C'est une série qui ne fait pas dans le spectaculaire mais qui raconte une vie dans le Québec d'hier et d'aujourd'hui.
Il y a maintenant 2 ans et demi que j'avais commencé la série des Paul par le titre Paul en appartement. Je m'étais promis de revenir sur cette série sympathique qui traite des faits quotidiens. Par contre, j'ignorais l'ordre par lequel il fallait commencer car chaque volume traite une tranche de vie de ce personnage de l'enfance à l'âge adulte. J'ai donc laissé faire le hasard qui fait parfois bien les choses.
Paul à Québec m'a d'abord rappelé mon voyage au Québec et les bons souvenirs que j'ai vécu dans ce pays merveilleux. La seconde partie me renvoie à un souvenir plus sombre et plus actuel qu'est celui de perdre un être cher par le cancer. C'est sans doute ce mélange entre le ton léger et des situations plus difficiles qui donnent à cette série cette force hors du commun.
J'ai apprécié l'approche dans son ensemble qui a été traité avec finesse et sincérité. La maladie qui se déclare sournoisement par petites touches. La psychologie du personnage du beau-père qui nous laisse également découvrir une enfance pas très heureuse. Cependant, il y a toujours une touche d'humour et de tendresse qui fait que la pire des situations devient moins douloureuse.
Avis dédié à Patrick. R.I.P
J'ai avisé toute la série des Paul. Il ne me manquait que ce 8ème et dernier volume paru récemment. Je vais laisser 4 étoiles au lieu des 3.5 que j'aurais données allègrement. En effet, il y a deux titres pour moi qui surpassent celui-ci à savoir Paul à Québec et surtout Paul au parc qui avait été particulièrement touchant. Ce titre est plus léger et sans prise de tête.
En effet, on va s'attacher à l'adolescence de notre héros avec les copains, la mob et le premier amour sans oublier la crise avec les parents sur le dos. L'été 1976 réserve bien des surprises. Et puis, ce fut également les fameux jeux olympiques de Montréal.
C'est toujours aussi plaisant de lire un Paul. On passe de bons moments de lecture dans la belle province. Le gros bémol concernera le fait que certaines expressions ou bien certaines références culturelles sont bien trop locales pour les comprendre en notre qualité d'européen. Ceci dit, on pardonnera tout à l'auteur pour nous faire éprouver la nostalgie d'une époque révolue car nous avons été également des adolescents.
Plus encore, on sera émerveillé par la qualité du dessin et de l'écriture. On aura droit à une planche en couleur totalement hallucinante. Bref, des surprises nous attendent !
Cela m'a fait un peu mal au cœur de retrouver un Paul vieilli qui est devenu un peu réactionnaire et hostile au changement. En même temps, il est vrai que sa fille part faire sa vie à Londres, sa femme l'a quitté et sa mère est mourante d'un cancer. Il se retrouve tout seul dans une grande maison qu'il a bien du mal à entretenir. A noter également la présence d'un voisin pas très commode.
J'avoue quand même ne pas bien comprendre son aversion pour le téléphone portable. Certes, le chanteur Soprano évoquait ses excès dans un de ses titres intitulé mon précieux. Cependant, on peut également le considérer comme un moyen de communication et de rapprochement entre les gens.
Je ne suis pas certain que Paul aurait fait long feu dans une entreprise où il faut constamment se remettre en cause et s'adapter au changement. Heureusement qu'il est auteur de bd coincé dans sa bulle sans vouloir être méchamment péjoratif. Idem pour les panneaux de signalisation sur autoroute ou beaucoup d'autres choses qui changent pour s'adapter mieux au public.
Oui, on a du mal à reconnaître le Paul jeune qui nous faisait rêver grâce à sa gentillesse et sa bienveillance. L'épisode avec les touristes français ou sa séance de dédicace en disent long sur son changement de comportement au fil des années. Oui, c'est triste d'être aigri par la vie.
Pour autant, je vais donner 4 étoiles car l'auteur a fait preuve d'une grande sincérité dans son propos en ne cachant pas les problèmes, car la vie n'est pas toujours un long fleuve tranquille. On arrive même à percevoir pourquoi il ne souhaite pas couper un pommier alors que le professionnel lui indique expressément qu'il faut le faire. La scène finale avec sa maman est absolument poignante surtout pour ceux qui ont perdu celle-ci.
J'ai eu plaisir à retrouver cette ambiance si particulière à la série des Paul. Tous ces moments de vie nous avaient un peu manqué. Et pour info, cette bd m'a donné envie d'acheter la fameuse écharpe de Gryffondor.
Tâchez de quitter cette terre en l'ayant rendue meilleure que vous l'avez trouvée, et quand votre tour viendra de mourir, vous mourrez heureux en pensant que, en chaque occasion, vous n'avez pas perdu votre temps, mais que vous avez fait de votre mieux. C'est par cette citation de Robert Stephenson Baden-Powell que commencent innocemment les aventures de Paul au parc.
C'est le septième tome de la série des Paul et nous faisons un retour sur son enfance. Nous avons là le meilleur car l'auteur qui livre un récit autobiographique semble être à son apogée quant à la maturité de l'écriture avec cette recherche constante de la simplicité. Il réussit à nous faire vivre tout ces petits rien qui rappelle l'enfance sur fond de crise du fameux Octobre noir québécois avec une grande Histoire qui rejoint la petite. Nous plongerons également dans le monde du scoutisme avec la découverte de valeurs telles que l'amitié, le partage ou encore la solidarité. Sous des couverts très légers, l'auteur aborde des thématiques politiques très sérieuses. On sera fort loin des clichés habituels.
Et puis, et surtout, il y aura cette fin plus que tragique alors qu'on ne s'y attendait pas. La phrase introductive livrera tout son sens. On sort totalement atterré par une telle lecture qui reste authentique en dépit de tout. Une œuvre qui séduit et qui nous prend par les tripes. Une explosion inattendue qui touchera en plein cœur les lecteurs. C'est l'album à lire de toute urgence !
Regroupement de diverses histoires plus ou moins courtes, publiées à plus ou moins diverses occasions, ce qui fait que c’est plus ou moins variés et/ou intéressant.
La visite de Montréal est rapide mais sympa quand on y es déjà allé ; les recettes de cuisines sont bien amenées, la vision des choses différente selon que c’est Paul ou sa femme qui regarde, l’apparence, c’est amusant mais très anecdotique…
On passe un moment léger mais pas toujours palpitant.
J’avais préféré le second tome au premier… Mon emballement est un peu redescendu.
C’est pas mal en soi mais ce sont vraiment des souvenirs persos et, pour la plupart, aucun rapport avec les miens. C’est donc comme si un type que je ne connais pas me racontait sa vie, sans qu’il n’y ait rien de palpitant, d’original ou d’universel – voir, parfois, du blabla…
Donc ça se parcourt, mais c’est tout.
Et puis je me suis fait avoir avec le titre et le début : j’ai cru que Paul serait en appartement. A l’instar des Bidochon en H.L.M., je m’étais imaginé voir Paul avoir des déboires avec son appartement.
Sauf que c’est plutôt « Paul fait des études de graphisme », « Comment Paul est sorti avec sa copine », « Paul découvre les joies de garder des enfants »… Et l’appartement passe en coup de vent de temps en temps.
Moyennement convaincu.
On est bien au-delà du premier tome pour ce qui est de la qualité !
C’est peut-être bien des souvenirs d’enfance de l’auteur mais ça n’est plus totalement présenté comme tel : on suit un personnage qui vit une histoire. Vrai ou pas, c’est construit pour raconter quelque chose, au-delà de l’intime, qui peut toucher tout le monde.
Paul confronté à un boulot déplaisant, une injustice, puis un nouveau travail, des tas de premières fois…
C’est narré avec justesse et humour et malgré le nombre de pages, on ne s’ennuie pas.
Le dessin reste le même, simpliste, mais ça marche très bien avec le ton du livre.
Très agréable.
Il faut être honnête : ce n’est pas particulièrement palpitant.
Paul nous raconte ses souvenirs d’enfance. A la campagne. Dans l’atelier de typographie de son père. Voilà…
Le dessin est simple, presque enfantin, mais il porte assez bien ces souvenirs de jeunesse.
Cela étant, tout le monde en a et quand on ne connaît pas intiment la personne qui les raconte, il faut que ça soit fichtrement intéressant !
Ici, ça n’est pas le cas.
J’ai donc survolé l’opus en m’amusant plus à ne pas comprendre certaines bulles, en bon français qui ne parle pas le canadien…
ça ne raconte rien et ça raconte tout de nos vie. Qui ne se reconnait pas dans Paul me jette la première pierre. Bien entendu que c'est à lire!
Première lecture dans le monde de Michel Rabagliati.
J'ai certes eu un peu de mal à entrer dans l'histoire mais passé le bref épisode lycée, famille, imprimerie, je me suis plongé dans l'histoire de Paul, moniteur de colo avec délice. Sans doute à cause des années passées comme mono également, j'ai été séduit par les aventures de Paul, à la fois timide, gaffeur, cool ou dépassé par les évènements
L'ambiance des camps de vacances, même si cela se passe au Québec, est bien rendue.
La fin, même si Rabagliati tire un peu trop sur la corde sensible, est finalement prévisible.
Au vu de l'excellente impression que m'a laissée cette lecture, je vais de ce pas me plonger dans les autres aventures de Paul.
J’ai découvert que ce roman graphique, emprunté par hasard à la bibliothèque, faisait en fait partie d’une série. Celle-ci, démarrée il y a une dizaine d’années, relate les aventures de Paul à différents moments de sa vie.
Paul dans le Nord est le dernier paru et il n’y a pas besoin d’avoir lu les autres pour découvrir ce recit autobiograpique plein d’humour.
Dès le début de cette BD, on plonge directement au Québec pour suivre les aventures de Paul. Et quelles aventures!
L’adolescence et ses premiers émois, les premières virées avec les potes, les relations conflictuelles avec les parents, la première mob…
Chacun, peut à travers cette lecture, se reconnaître et retrouver avec nostalgie cette période qu’on a tous traversée.
Michel Rabagliati parsème agréablement notre lecture avec quelques anecdotes historiques notamment sur les Jeux Olympiques qui se déroulaient en 1976 à Montréal.
J’ai donc passé un bon moment avec cette lecture et par la même occasion appris quelques expressions québécoises. J’ai vraiment apprécié le style de l’auteur et j’espère avoir l’occasion de découvrir d’autres histoires de Paul.
Paul n'a pas encore atteint son graphisme final, et le texte n'a pas cette inimitable combinaison d'humour de la vie quotidienne et de coup de poing émotionnel qui va chercher des souvenirs familiaux enfouis en chacun de nous.
Garder cet album pour la fin, pour mesurer le chemin parcouru déjà pour le deuxième tome.
Une mention spéciale pour l'édition en couleurs, format géant : Il s'agit d'un album somptueux ! La coloration toute en subtilités de Catherine Drolet ajoute un cachet certain à cette édition. Cet album peut trôner avec fierté sur la table du salon. 4/5 pour cette édition.
On suit une période plus adulte de la vie de Paul avec sa famille, avec la maladie de l'un d'entre eux. Comme d'habitude, les faits aussi marquants d'une vie, que futiles en apparence, font la dynamique de la série Paul. Même non québecquois, on se retrouve dans l'histoire, à un moment ou à un autre.
Très touchant,.
Véritablement le meilleur de la série; le plus mature et le plus achevé. Une montagne russe entre le rire et les larmes. La série demeure quand même excellente mais celui-ci dépasse les attentes des fans de Paul. Du moins, pour ma part.
J'ai été très émue à certaines pages, ça fait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. À acheter d'urgence et pas seulement pour ceux qui aiment la pêche...
Pas le meilleur des trois mais dans la lignée. La différence? De petites nouvelles au lieu d'une histoire complète. Mais encore la même sensibilité, le même humour et surtout, la même intelligence. Ne ratez pas les dernières pages, une surprise de taille vous y attend!
On ne sera pas porté à prendre le livre si on ne nous a pas parlé. La couverture semble si simple et monotone. Cependant...lorsqu'on ouvre les premières pages et que l'on commence à lire, c'est l'explosion. Intelligent, drôle, les dessins simplistes nous font rire. À trouver la fois où Paul trouve une couleuvre dans son sac de couchage. J'ai photocopié cette scène et la garde sur mon bureau car elle me fait sourire à toutes les fois où me yeux se posent dessus.
Il est bien de les lire en ordre puisqu'ils sont chronologiques. Je considère le deuxième comme étant les meilleur. Mon copain boude tout le temps mes choix pour finir par me les subtiliser et les lire sans que je ne sois capable de les lui retirer. La série des Paul n'a pas fait exception. Un grand bonheur dans des pages noires et blanches à petit prix. Pourquoi s'en passer? À offrir en cadeau à un Montréalais puisque c'est à Montréal que se déroule l'aventure.