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Ce 27ème tome nous présente de nouveaux personnages et plus particulièrement l’orc Tête de Fer et sa bande. Ces derniers sont recrutés par un puissant seigneur pour exécuter une étrange mission qui pourrait leur rapporter gros !
Le scénario propose quelques rebondissements qui rendent la lecture agréable. Les dessins de Pierre-Denis Goux sont (comme toujours) extrêmement réussis. J’aurais aimé en apprendre davantage sur les personnages secondaires qui manquent peut-être un peu de profondeur.
À noter que ce tome sort environ 2 ans après avoir été terminé par l’auteur et cela se ressent au niveau de la chronologie. En pleines guerres d’Arran, les lecteurs veulent des récits faisant avancer le conflit et celui-là semble perdu au milieu des autres publications.
En résumé, ce tome était très agréable à lire et respecte ce qui fait le succès de la saga même s’il sort beaucoup trop tard à mon sens.
Une fois n'est pas coutume, j'ai envie de laisser mon avis sur le site. J'ai bien aimé cet album qui s'éloigne des stéréotypes des albums précédents avec des humains détestables et immoraux (même s'ils ne sont pas très loin. Comme si dans une guerre, nous avions les méchants d'un côté et les gentils de l'autre. A quand, Jean-Luc, une histoire avec des hommes qui essaient les anciennes races et qui finissent, forcément, mal). Le scénario intéressant (qui comporte des similitudes avec le roman que je viens de finir d'écrire ce qui est surprenant pour ne pas dire troublant pour moi) et qui relève le niveau de la série. Je ne suis pas fan des flashbacks qui, artificiellement, entretiennent le suspens ou alimentent l'histoire.
Le dessin de Sébastien Grenier est très bon. J'ai beaucoup aimé la scène quand Elunn apprend à dessiner au jeune orc Oukann.
En résumé, un album vivement conseillé.
Un album qui nous fait revenir en arrière et nous sort des Guerres d'Arran (et c'est pas si mal).
J'ai bien aimé l'intrigue, bon moment de lecture, même si les auteurs font références au tome 6 et à des personnages que j'ai rencontré il y a déjà 5 ans...
Ce 25ème tome d’Orcs & Gobelins nous présente le personnage de Kalderok, un traqueur aux allures de chasseur de primes. Ce dernier est vieillissant et cherche à honorer un dernier contrat avant de tirer sa révérence. Le récit se déroule pendant les guerres d’Arran ce qui nous permet d’apercevoir des personnages bien connus de l’univers du Monde d’Aquilon. L’histoire est prenante et agréable à suivre. Les dessins sont très beaux et accompagnent parfaitement le récit.
Ce 26ème tome est le premier de l’excellent dessinateur Gianluca Gugliotta au sein du Monde d’Aquilon et quelle première ! Son trait est extrêmement agréable et vient sublimer des personnages que j’ai pris plaisir à revoir. Le récit nous plonge au cœur d’une enquête liée au mystérieux passé de Plume. J’ai été très vite plongé dans l’histoire puis j’ai dévoré la BD. Je regrette seulement qu’elle ne soit pas sortie avant le crossover des Guerres d’Arran.
Une sorte de one-shot que les auteurs positionnent entre le tome 1 et 2 des Guerres d'Arran : cela donne un contexte et un background.
Globalement le scénario tient la route et comme toujours nous fait découvrir de nouveaux personnages très intéressants.
Un bon moment en immersion dans le Monde d'Aquilon.
Bon, allez. Un scénario d'Istin que j'ai aimé. C'est loin d'être parfait, bien sûr, mais l'histoire avait au moins l'avantage d'être assez originale! Un bon moment de lecture. Et que dire du dessin de Sébastien Grenier? Superbe!
Ce 24ème tome de la saga Orcs & Gobelins est surtout le 100ème album de la collection du monde d’Aquilon. Bravo et merci à tous ceux qui ont pris part à la création et à la réalisation de cet univers qui me donne tant de plaisir depuis toutes ces années.
Jean-Luc Istin et Sébastien Grenier donnent vie à Orouna, une magnifique orc au charisme redoutable. Un nouveau personnage féminin très bien écrit que je prendrai énormément de plaisir à retrouver dans de futurs tomes. L’histoire se dévore et on prend un grand plaisir à suivre les deux temporalités qui nous sont proposées. Les dessins de Sébastien Grenier sont absolument sublimes et font de ce numéro un des plus beaux de la saga.
En résumé, j’ai pris énormément de plaisir en lisant ce tome qui fait partie de mes indispensables.
Ce 23ème tome de la saga Orcs & Gobelins nous présente Akrith, un Gobelin de la guilde des jongleurs, arpentant les terres d’Arran pour divertir les foules. Les guerres d’Arran faisant rage, son quotidien va vite basculer dans l’horreur et le pousser à redevenir le Gobelin qu’il était autrefois.
J’ai parfois trouvé ce numéro d’une grande violence, ce qui accentue plutôt bien l’immersion dans cette période de guerre qu’est ce crossover. Les dessins et les couleurs servent parfaitement le récit.
Sans être mémorable dans son scénario ni dans son impact à grande échelle, ce numéro fut plaisant à lire.
2.5/5
Un moment de lecture sympa,
L'album est bien scénarisé avec une histoire originale,
Cependant, j'ai trouvé le scénario simpliste par moments et certains dialogues "ne volent pas haut".
Bref, un nouvel album de présentation d'un personnage pour les Guerres d'Arran.
Les albums de cette collection sont tous estampillés "Guerres d'Arran" et comme les autres albums, un personnage est mis en valeur avant de l'intégrer à la nouvelle série-mère des "Guerres d'Arran".
Cet album sans être exceptionnel, montre qu'un gobelin peut être une véritable machine de guerre.
Un album qui fait le parallèle avec la Shoa : les humains cantonnent les orcs et les gobelins dans un immense camp de concentration, qui devient camp d'extermination : travail forcé dans les mines, mauvais traitement, exécutions...
Les hommes veulent se débarrasser des Vielles Races et réservent ce "traitement spécial" aux peux vertes.
La révolte gronde et va se mettre en place grâce à l'appui de magie très ancienne.
Ce 22ème tome se déroule pendant les guerres d’Arran qui opposent les humaines aux anciennes races. Cette histoire nous présente Reka’a, une jeune Gobeline prise au piège dans un camp d’extermination dans lequel les orcs et les gobelins connaissent les pires sévices de la part de leurs bourreaux humains. Tout semble prédestiner Reka’a à la mort jusqu’au jour où elle va faire une étrange rencontre qui pourrait lui sauver la vie et celle de ses semblables.
J’ai apprécié le récit même s’il est parfois très cru dans la maltraitance que subissent les culs-verts. Reka’a est un personnage intéressant et attachant à l’image de sa relation avec le monstre. Son design, faisant fortement penser à « Aliens », ne plaira pas à tout le monde, néanmoins ça ne m’a pas dérangé. Les dessins sont très beaux et m’ont régalé du début à la fin du récit.
La conclusion donne inévitablement envie d’en voir davantage, et notamment de lire la suite des guerres d’Arran.
Titre agressif, bandeau guerres d’Arran, dessinateur réputé, que nous réserve la meilleure série des terres d’Arran ?
Un bon cru, tout n’est pas parfait, mais de très bons passages et une fin grandiose satisfont le lecteur.
Certes les hommes ne cessent de sombrer dans une vilénie crasse de plus en plus caricaturale, certes le destin du grand père de l’héroïne est beaucoup trop prévisible, certes les guerres d’Arran sont un peu loin, certes l’héroïne est un peu jeune et fragile (heureusement dopée par sa créature), certes le design de libre tergiverse entre Giger et une salamandre bélouga.
Mais la présence de Silence, celle de l’alchimiste humaniste et tourmentée, la dureté et la violence assumées, un scénario vicieux et précis, le réalisme des orcs et le mythe de Sombre gueule surpassent ces défauts Et emmènent l’histoire.
Un très bon titre
Le tome le plus faible de toute la série. Je n'ai vraiment pas accroché. Une histoire peu intéressante. Pas de personnage charismatique. Les dessins sans plus. 2 étoiles juste parce que je suis fan de la série.
Un récit efficace, mais très classique. Aucune surprise, tout est prévisible et attendu. Les graphismes sont corrects, mais un peu moins bons que sur d’autres opus, on est pour ma part dans la moyenne basse des productions de la série. Dommage car j’apprécie bien le dessin de Sentenac, qui m’a paru un peu rapide par moment…
Pour le moment c’est un peu le souci de ces one shot qui s’inscrivent dans les Guerres d’Arran : la grande histoire étant portée par les 6 tomes spécifiques de la guerre, tous les récits annexes ne servent qu’à apporter quelques éléments pour le fil rouge général (en général de nouveaux personnages ou de nouvelles armes).
Mais, du coup, les histoires en elles-mêmes ne sont pas très intéressantes, elles s’oublient vite.
Alors là on est entrés dans quelque chose de bordélique : tous les défauts et toutes les qualités des séries des terres d’Arran réunis dans un même titre !
Avant d’énumérer cette longue liste de paradoxes, je me permets de souligner la fascination que j’ai ressentie pour les dessins de Yerofieieva, notamment sur les planches de grande taille. Merci pour ce travail d’artiste, bien éloigné du dessin un peu enfantin de certains épisodes des errants ou des mages.
Commençons par les défauts … le scénario est à la fois cousu de fil blanc et dynamisé par des événements improbables : le parcours du héros est totalement prévisible malgré des rebondissements absurdes dont la triple trahison de Alyakin, la résurrection d’Elekiel, la découverte bien pratique du pouvoir des elfes rouges….
Les personnages sont globalement incohérents ou caricaturaux : qui a eu l’idée de croiser un orque avec un elfe rouge (oui ça pique un peu les yeux) ? Elekiel et Konrad (tout est dans le nom) ne sont que cruauté et folie, ressemblant en cela aux méchants ratés de elfes 30, mages 8, elfes 35, la relation entre Orak et le sanglier est embarrassante de mièvrerie…
Mais on apprécie l’atmosphère générale avec la famille d’Orak, sa narration hybride d’orc séculaire entre violence et sagesse, puis la psychologie d’Alyakin (avant sa deuxième trahison) et enfin la noirceur du dénouement.
Si les articulations sont discutables, chaque passage de l’histoire fonctionne bien avec de grands moments comme la visite compliquée d’Orak chez les humains, le final brutal ou la découverte du corps de Duna.
A la fin, un album touchant et grandiose, proche de la série « nains » dans son héros et sa compréhension du monde. Mais les errances scénaristiques en énerveront certains…
Le retour de Myth promis dans le tome éponyme arrive enfin et le gobelin est à la hauteur de sa réputation. Kobo, dont le nom n'est même pas cité dans le tome 12 où il apparaît, est peu loquace dans ces pages narrées par Myth. L' humour sardonique omniprésent de ce dernier emmène cette histoire dynamique sur son parcours sanglant. Pour autant, le duo fonctionne bien dans son antagonisme constant.
On retrouve ici tout le sel des terres d’Arran: une culture des peaux vertes respectée, à la fois dans des dessins précis sur les visages et des dialogues brutaux, des réminiscences sympathiques des albums précédents et l’ombre des goules et des mages.
Un bon album, direct et tranchant.
J'ai de manière générale apprécié cet album. Un bon scénario et d'excellents dessins. Par contre ce que je n'aime pas comme pratique : en fin d'album "si vous voulez connaître la suite, plongez vous dans notre prochaine série : les Guerres d'Arran"
J'aime les albums Orcs et Gobelins, je n'ai pas envie de faire les spin offs...
Un album prétexte pour présenter le background d'Orak qui sera un personnage (certainement clé) des prochains tomes des "Guerres d'Arran".
Le scénario est correct et les dessins sont bons.
Je n'ai pas compris les motivations profondes de l'Elfe Bleue ??
Et je n'aime pas trop quand la majeure partie de l'histoire est faite de flash-back et de réflexions intérieures du héros.
En résumé, une lecture plaisante mais sans plus...
Ce 21ème tome de la saga Orcs & Gobelins est le premier à être directement lié à la période des guerres d’Arran. J’avais donc hâte de voir dans quelle mesure le récit allait faire écho aux événements du crossover.
Nous faisons la connaissance d’Orak, un semi-orc à la peau rouge. Ce dernier mène une vie paisible jusqu'au jour où la guerre va venir bouleverser son quotidien et le replonger dans son passé qu’il aurait préféré oublier.
Cette lecture m’a transporté en terre d’Arran du début à la fin du récit. L’écriture des personnages tout comme le scénario sont de grande qualité. Les dessins d’Alina Yerafieieva m’ont scotché par leur beauté et le voyage qu’ils entraînent. Les grandeurs des paysages alimentent cette sensation de voyager dans un sublime univers de fantasy. J’espère vraiment revoir cette dessinatrice sur de futurs albums de la saga.
En résumé, j’ai refermé la BD en étant conquis par ma lecture. C’est un vrai coup de cœur !
Ce tome 20 nous propose une histoire sans grand intérêt si ce n’est de revoir le personnage de Myth que nous avions vu dans le tome 2. J’adore ce gobelin et sa fourberie qui semble sans limite.
Les dessins de Vukic sont toujours agréables et collent parfaitement aux orcs et aux gobelins.
En résumé, ce tome est agréable à suivre, mais manque cruellement d’enjeu. Dommage qu’il soit sorti en même temps que l’excellent tome 1 des Guerres d’Arran qui le rend davantage oubliable.
Ce 19ème tome d’Orcs & Gobelins est centré sur Nerrom, un personnage que nous connaissons bien puisqu’il faisait partie de l’équipe de Lanawyn dans les premiers tomes d’Elfes. C’est également l’occasion de nous replonger à l’époque de la guerre des goules puisque le récit se déroule juste avant l’invasion de Lah’saa sur les terres d’Arran. L’histoire nous montre comment Nerrom va préparer les tribus des terres du Mahalal face aux terribles événements à venir.
J’ai beaucoup aimé la finesse des dessins de Marco Itri. Certaines planches sont absolument magnifiques, en particulier celles avec les dragons. Le physique des orcs est tellement soigné qu’ils sont presque tous aussi beaux que Turuk (ce qui dénote légèrement des autres numéros). L’écriture du personnage d’Onkboor m’a beaucoup plu (notamment son origin story). Peut-être pourra-t-il bénéficier d’un tome dédié dans le futur.
Un numéro au rythme plutôt lent, mais le voyage et l’ambiance m’ont permis de voyager. La fin de l’histoire nous réserve un rebondissement qui nous promet de belles heures pour la suite et j’ai hâte de la découvrir.
Pour les enfants.
C'est ce qui ressort de plus en plus pour moi dans cette série. Bon, disons plutôt pour les jeunes adolescents. Quelques scènes de violence et une vulgarité interminable ne rendent pas une BD "adulte" pour autant. En fait, c'est l'inverse. On dirait qu'on essaye tellement d'être "co0L eT mAtuRe!1!" et que la seule chose qu'on trouve pour faire ça, c'est de mettre des obscénités dans la bouche des orcs.
Que voulez-vous, les auteurs ne sont pas capables de leur donner une personnalité autrement! Parce que outre les insultes et les métaphores vulgaires retrouvées à chaque deux cases, on se rend compte que l'histoire est en fait un petit conte de fée tout gentil tout propret qui se termine de manière bien heureuse.
Que se passe-t-il ici, au juste? Un vieil orc (insérez les insultes qui vous plaisent) cherche à rassembler d'autres orcs pour prévenir une catastrophe (insérez d'autres insultes à votre guise), mais tous ces orcs guerriers (insultes ici, svp!) sont bien trop stupides (rajoutez-en d'autres!) pour vouloir faire équipe. Ah!! Et c'est pas mal ça. Même la bataille finale est hyper simple, hyper rapide, hyper décevante.
Le texte de David Courtois est trop banal, trop convenu, trop standard, trop répétitif, trop adulescent. Mon intérêt pour cette série s'amenuise à chaque nouvel album. Est-ce vraiment si dur de faire de la bonne BD de fantaisie pour adultes? En tout cas, Orcs & Gobelins n'est certainement pas la réponse à cette quête.
Ce 18ème tome nous présente une compagnie d’orcs et de gobelins se faisant appeler « La Meute ». Cette dernière souhaite se créer un QG grâce à l’acquisition d’un château abandonné dans le Nodrënn. Malgré leurs efforts pour s’acclimater à cette nouvelle vie, un mystérieux mal ne semble pas vouloir d’eux sur ce territoire.
Ce tome alterne les moments d’humour et les moments d’émotion. Les « culs verts » ne sont pas uniquement des brutes, mais sont capables de travailler main dans la main avec des humains, et même de vivre en harmonie. J’ai vraiment aimé cette histoire avec des personnages attachants et biens développés.
Oliver Peru montre une nouvelle fois ses qualités de scénariste pour notre plus grand plaisir.
Un album réussit !
De l'humour, de la baston... et de l'amour... non je déconne...
Le dur monde des orcs et des gobelins : Myth sait marchander ses services...
Ce 17ème tome nous présente Azh’rr , un gobelin courageux souhaitant aider son village à se défaire de l’emprise des orcs. Après le rejet de sa tribu, il fera accidentellement une rencontre surnaturelle qui changera son destin.
Le concept du nain coincé dans le corps d’un gobelin est absolument génial. Tout oppose ces deux peuples et pourtant, ils seront contraints de collaborer pour s’aider l’un et l’autre à atteindre leurs objectifs. L’histoire est agréable à suivre et j’aime l’humour ainsi que l’ambiance se dégageant du récit. Les dessins de Simone Buonfantino sont très réussis donc j’espère qu’il sera sollicité pour de futurs albums.
Peut-être que nous reverrons Azh’rr et Tuldum et dans le futur est ça sera avec un grand plaisir.
Ce seizième tome d’Orcs & Gobelins nous propose un nouveau one-shot dans lequel nous faisons la connaissance de Morogg. Après avoir été capturé par des esclavagistes, ce dernier tentera de s’enfuir en traversant de dangereux marécages en compagnie d’autres prisonniers.
Le point gênant du récit c’est qu’il aurait pu être adapté sur des nains, des elfes et même des humains. Le fait que les personnages soient des orcs et trop anecdotique et on ne retrouve pas vraiment les traits de caractère qui leur sont propres et que nous aimons.
Les dessins de Créty n’ont jamais été mes préférés, mais c’est sans doute une question de goût personnel. La colorisation est très bonne et met bien en avant l’ambiance marécageuse.
Sans être mémorable, ce numéro n’est pas désagréable et le dénouement est plutôt réussi.
Ce 15ème tome d’Orcs & Gobelins nous présente Lardeur et sa bande de mercenaires. Après une rixe ayant mal tourné, le groupe prend la fuite dans un désert et sera recueilli par un mystérieux groupe d’ermites dans une ancienne cité naine. Ils sont accueillis comme des rois jusqu’à ce qu’ils se réveillent pris au piège dans un labyrinthe de la mort. Leurs espoirs de survie sont minces, mais ils ne reculeront devant rien pour retrouver leur liberté.
Ce numéro fut très plaisant à lire notamment grâce à des dessins et une colorisation de qualité. L’histoire est assez prenante et il est très difficile de faire une pause dans la lecture tant le suspense est présent. Les personnages sont bien écrits et suffisamment complémentaires pour les rendre attachants. Je recommande ce numéro qui me laissera un très bon souvenir et que je relirai certainement avec plaisir.
Ce 14ème numéro nous présente une mercenaire du nom de Shaaka. Une bande d’orcs réputés invincibles en a après la vie du Margrave de l’île d’Enghien et après celle de sa fille. Shaaka devra protéger la jeune Lynewe et lui permettre de quitter l’île en un seul morceau. Elles seront traquées par les orcs qui n’auront de cesse de vouloir les tuer pour assouvir leur vengeance.
J’ai été convaincu par les dessins de Jean-Charles Poupard qui débute sur les terres d’Arran. Sa façon de dessiner les visages est absolument remarquable.
Le scénario rythmé m’a permis de dévorer les pages les unes après les autres. J’espère que nous reverrons Shaaka dans les futurs affrontements qui s’annoncent.
Ce numéro nous raconte l’histoire de Kor’nyr, un orc ayant pour but d’unifier les tribus de sa race sous une seule et même bannière. Tels les plus célèbres dictateurs, ce dernier a su rassembler son peuple avant de tomber dans des dérives totalitaires et dans le règne par la peur.
Un numéro souvent brutal, mais qui sait laisser la place à l’émotion quand il le faut.
Pierre Denis Goux est l’un des meilleurs dessinateurs de la saga et il le montre encore une fois. Seul petit bémol : le nombre de personnages peut parfois nous perdre tant ils se ressemblent sur le plan graphique.
Un très bon numéro d’Orcs & Gobelins que je ne peux que recommander.
Ce tome 12 nous présente un groupe de 5 mercenaires (4 gobelins et une semi-orc) se faisant passer pour une troupe de saltimbanques. Voyageant de villages en villages pour commettre leurs méfaits, ces derniers vont atterrir dans une ville dans laquelle rien ne passera comme prévu.
Personnellement, j’aime beaucoup les dessins de Bojan Vukic et particulièrement sur la série Orcs & Gobelins. Les visages des Gobelins sont toujours très convaincants.
Sans rien proposer d’innovant, ce numéro est rythmé et demeure très agréable à la lecture.
Onzième tome pour la saga Orcs & Gobelins et nous faisons la connaissance de Kronan, le capitaine de la garde d’une souveraine au cœur de l’Empire Assanide. Un beau jour, cette dernière prend la décision de dissoudre son armée et de le faire exécuter. Étant persuadé que cette décision ne peut pas venir d’elle, ce dernier fera tout pour se venger et découvrir la vérité.
Les dessins à l’huile de Sébastien Grenier sont magnifiques et viennent sublimer l’ambiance du récit. Inspirée des aventures de Conan le barbare, cette histoire s’intègre sans problème dans l’univers des terres d’Arran.
Il s’agit d’un très bon numéro d’Orcs et Gobelins et j’ai passé un excellent moment de lecture.
Qui a dit qu'il n'y avait pas de série sur les hommes dans les Terres d'Arran? Cet excellent tome explore les relations entre les hommes et les Gobelins. Et il nous permet de comprendre bien des choses...
L'atmosphère pesante est bien rendue par les dessins et les décors. On est immergé dans le scénario qu'on suit aisément de bout en bout.
J'ai vraiment apprécié lire cet album mais je ne peux me résoudre à lui octroyer 5 étoiles pour une raison : la fin. Sans (trop) spoiler, tout au long de l'album, l'on reçoit des indices troublants qui m'ont plusieurs fois interpellés lors de ma première lecture et qui coupent l'effet de surprise prévu par le scénario. D'autre part, l'on s'attache aux personnages principaux ce qui m'a procuré un peu de déception et d'amertume.
Par contre, j'aime beaucoup ce système de vrai one-shot dans cette série. L'histoire est parfaitement rythmée, on ne s'ennuie pas. Ni trop longue, ni trop courte et les événements s'enchaînent bien.
La série est de retour sur le sentier de la guerre et la vraie nature des orcs avec elle.
Après trois albums intéressants mais bien éloignés de ce qu'orcs et Gobelins nous avait apporté, à savoir des histoires épiques, sombres et d’un humour décapant, on retrouve avec plaisir cette ambiance unique.
Les dessins sont heureusement sublimés par des couleurs parfaitement accordées à l’atmosphère, car la richesse de leur composition nuit un peu à la compréhension des scènes.
Le retour de Nerrom (tome 6 des elfes !) est une idée brillante et le suivi chronologique permet de se replonger avec délice dans la guerre des goules. Tous les personnages, et comme dans le tome précédent ils sont nombreux, fonctionnent et parviennent (et c’est fascinant) a renouveler tous les archétypes que 18 albums ont déjà mis en avant.
On retrouve ici la fureur de nains, l’étrangeté de mages, l’implication des elfes bleus, le sacrifice des blancs, sans jamais trahir les peaux vertes: bravo !
100 % d'accord avec les deux avis précédents sur cet album.
Histoire correcte, sans plus. Les dialogues se ressemblent d'album en album, mais comme ce sont toujours les mêmes auteurs qui reviennent, il faut s'y attendre. Dessins plutôt mauvais, difficile de différencier les personnages. Mais déjà à l'époque pour Nains, je disais que je n'aimais pas le dessin de Créty, alors voilà, ça n'a pas changé.
D'ailleurs, il y a une phrase bien étrange ici, à la page 44.
"Alshe'ran n'était pas un déviandé. Il devait peser bien plus de 150 livres."
150 livres??? Mais c'est rien, ça! C'est quoi les gars, vous avez mal fait votre conversion depuis les kilogrammes? Je pèse plus que ça et je ne suis pas du tout gros! 150 livres = 68 kg. Alors pour un orc gigantesque, uh, il était tout mini? J'ai mal compris ou les orcs sur les terres d'Arran sont plus menus que les humains? Haha...
Un album qui fait un "flash-back" sur les goules de Lah'saa qui font un détour du côté des îles orcs, patrie de naissance de Nerrom.
Intéressant de revoir une figure connue de la série Elfes avec la mise en avant des shamans à la peau verte.
Très moyen! Scénario facile, humour classique & cliché, dialogues improbables, histoire prévisible... Pas fameux, pas fameux.
J'ai trouvé cet album très bon : drôle, touchant, intelligent.
La Bourse, élevé comme esclave pas des humains, est un gobelin hors-norme de par son analyse des situations, il peut devenir un des personnages phares de cette série.
Rentre facilement dans le Top 5 de la saga Orcs et Gobelins. .
Déjà le 10ème tome de la saga Orcs & Gobelins ! Jean-Luc Istin nous présente Dunnrak, un orc singulier qui va faire la rencontre d’un bijou magique qui changera le court de sa vie. Son voyage sera ponctué de rencontres qui raviveront les connaisseurs de la saga des terres d’Arran. On sent clairement l’inspiration du Seigneur des Anneaux sur certains éléments de scénario ainsi que sur quelques dessins et ce n’est pas pour me déplaire. Il s’agit du premier tome dessiné par Alex Sierra et c’est une franche réussite. J’ai beaucoup aimé les retournements de situation propre à la fourberie des orcs et des gobelins.
Un excellent moment de lecture pour ma part avec des personnages que nous serons certainement amenés à retrouver dans le futur.
Ce neuvième tome nous présente Silence, un ancien grand guerrier orc en quête de son ultime combat. La force de ce récit réside dans les différents flash-back lorsque son ami Gobelin Freill raconte ses exploits passés à la troupe. Grâce à cela, le lecteur appréhende progressivement les motivations qui le poussent à achever sa bataille commencée il y a de nombreuses années. L’histoire est très bien écrite et les personnages sont tous très réussis ce qui propulse cette BD parmi les plus réussies de la saga.
En résume j’ai encore passé un très bon moment de lecture devant cette histoire que je vous recommande vivement si vous aimez cet univers.
Ce numéro est centré sur un Gobelin nommé Renifleur. Ce dernier a été témoin du massacre de sa famille lorsqu’il était enfant puis a été fait prisonnier. L’objectif étant de faire de lui un véritable chien de chasse grâce à des talents de pistage sans pareil. Les années vont passer et sa rage va parfois se transformer en affection pour ses ravisseurs qui deviendront, avec le temps sa seule famille. Le scénario est très bon, tout comme les dessins de Giovanni Lorusso qui collent parfaitement à l’ambiance du récit.
Je n’ai franchement pas vu venir le retournement final même si c’est vrai que je m’attendais clairement à ce qu’une vengeance intervienne à un moment ou à un autre. Nous sommes sur du Orcs & Gobelins après tout !
Ce 7ème tome met en avant un ancien guerrier orc à la retraite. Contrairement à beaucoup de ses semblables, Braagam n’a pas trouvé la mort sur le champ de bataille. Il vit désormais paisiblement dans sa tribut en attendant la fin, néanmoins, il lui reste une dernière promesse à honorer.
J’ai très rapidement adhéré au concept scénaristique. Le scénario est très plaisant et on ne devine pas facilement ce qu’il adviendra de chacun des personnages. Le récit sait se montrer profond et touchant tout en étant drôle grâce au phrasé employé par les orcs. Les dessins de qualité, surtout concernant les décors qui se démarquent avec des paysages absolument magnifiques et très immersifs.
J’ai passé un excellent moment de lecture devant cet album qui selon moi, fait partie des meilleurs de la série.
Ce sixième tome nous propose de suivre une équipe de mercenaires orcs de la compagnie du « Croc de fer ». Cette dernière va être engagée dans une « mission sauvetage » pour récupérer un otage Gobelin en plein territoire elfe. J’ai aimé le parallèle pouvant être dressé entre cette compagnie et la « Légion de fer » chez les Nains.
L’album est très agréable à suivre, avec un bon rythme et des personnages suffisamment développés pour être attachants. Le dénouement est fidèle à la psyché orc ce qui est très appréciable.
J’ai passé un très bon de moment de lecture devant ce tome 6 que je vous recommande.
Déjà le 5ème tome de la saga Orcs & Gobelins. Ce dernier nous présente La Poisse, un Orkelin maudit, se réveillant aux abords d’une cité dans laquelle des forces obscures semblent à l’œuvre.
La magie noire est au cœur du récit donc si vous êtes amateurs de fantômes et de monstres en tout genre, vous aimerez sans doute cet album. Pour ma part, je préfère les histoires moins fantasques avec des ambiances plus réalistes (comme sur le tome précédent par exemple).
Ce numéro n’est pas mon préféré de la saga, néanmoins, le personnage de La Poisse a beaucoup de potentiel et il fera son retour prochainement sur la série Elfes pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Dans ce 4ème album, Nicolas Jarry nous présente Sa’ar, un gobelin à la destinée hors du commun. Parti du plus bas de l’échelle sociale, ce dernier bravera tous les obstacles lui barrant la route vers le pouvoir.
Tout au long du récit, nous sommes spectateurs de son ascension fulgurante vers le contrôle de la pègre de la citée des sang-mêlés. Malgré ses agissements, je me suis attaché à ce personnage.
Cet album est extrêmement agréable à suivre. Le scénario bien ficelé et les retournements de situation sont très bien amenés (je n’ai presque rien vu venir). Les dessins sont très fins et particulièrement détaillés.
Il s’agit sans nul doute de mon album préféré depuis le début de cette série Orcs & Gobelins.
Ce troisième album nous présente Gri’im, un orc étant parvenu à s’évader après des années de captivité et de torture. Ce dernier ne rêve que d’une chose, se venger de son ancien maître qui l’a trahi. Sa quête de vengeance mettra sur son chemin un groupe d’humain souhaitant tirer profit des vestiges de la guerre. Les dialogues et la relation entre l’orc et une jeune humaine du groupe sont particulièrement touchants. Le regard innocent de cette enfant, qui ne voit pas Gri’im comme un monstre, rend leurs interactions différentes et très agréables à suivre.
Par ailleurs, j’ai apprécié le parallèle avec les événements survenus dans la série Elfes. L’arc narratif autour de la guerre des goules a laissé des traces, notamment dans le Nord avec cette cité d’Aspen complètement ravagée.
Ce troisième tome m’a légèrement moins plus au niveau des dessins même si j’ai passé un bon moment de lecture grâce à un récit de qualité.
Le premier tome centré sur un semi-orc était très agréable à lire bien qu’il soit similaire aux autres albums des Terres d’Arran. J’attendais donc que l’écriture de ce nouveau personnage diffère de ce que nous pourrions avoir avec un elfe ou un nain. Nous découvrons les aventures de My’th, un voleur qui va se voir embarqué dans une mission à haut risque au cœur de la citadelle de Slurce.
J’ai beaucoup apprécié ce personnage qui nous en apprend davantage sur le caractère des Gobelins et sur leur manière de voir la vie. Ils sont fourbes et dénués de tout sens de la moralité. En résumé, faire confiance à un Gobelin équivaut à signer son arrêt de mort.
Ce titre a répondu à mes attentes. La qualité d’écriture habituelle est toujours là, tout en ajoutant un vent de fraîcheur grâce à ce nouveau peuple.
Après les sagas Elfes puis Nains, c’est au tour d’Orcs et Gobelins de voir le jour. Cette nouvelle série s’ouvre avec le personnage de Turuk. Le semi-orc se réveille amnésique au milieu d’une cité désertée. Comment est-il arrivé là ? Comment va-t-il pouvoir s’enfuir ? À qui va t’il pouvoir se fier ? Autant de questions qui annoncent un scénario rythmé et très agréable à suivre. Les dessins de Diogo Saito sont absolument magnifiques et j’espère le revoir sur de prochains numéros. Malgré une lecture très agréable, j’ai la sensation que cette histoire aurait pu être centrée sur un elfe ou un nain. J’attends des prochains numéros qu’ils se démarquent davantage avec une identité propre aux Orcs ou aux Gobelins.
En résumé, cet album s’inscrit dans la lignée des autres séries du même univers et j’ai hâte de voir ce que ses créateurs vont nous proposer d’innovant.