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On m'a offert le volume 1 (dans les deux version Eagle et Adler).
Je n'ai pour le moment lu que Eagle.
Je ne suis pas du tout emballé, le scénario pour ce premier volume est une suite d'événnements sans véritables relations.
J'ai l'impressions que depuis quelques années il faille un albun de 46 planches avec un scénario pauvre pour introduire une histoire et des personnages, là où moins de 10 planches et du talent suffisaient.
Au niveau historique je n'ai aucun avis, puisque aucune compétence.
Concernant le dessin, c'est plus personnel j'en convient, je ne suis vraiment pas fan du numérique visible.
La mise en page n'est pas très jolie avec des vignettes on ne peut plus rectangulaires, c'est d'une tristesse pour un album résolument moderne.
J'ai trouvé excellent l'idée du fond des planches noires lorsque l'action se déroule la nuit.
Les dessins des avions très réussis (toujours sans compétence pour juger), j'ai aussi apprécié les changements de décors et les différents plans.
Le dessin sur toute une planche d'un vol au dessus de l'Espagne est superbe.
Je ne pense pas continuer l'aventure, excepté la lecture de Adler t1, la seconde tête de l'aigle.
Septembre 1943. Prison d’Alcatraz.
O’Brady, le père, as de l’aviation américaine de la Grande Guerre, devenu traître à son pays en faisant ami-ami avec les fascistes et les nazis, Goering en particulier, a été capturé par les Alliés. Il était activement recherché par les autorités des USA. Enfermé à Alcatraz, il risque la peine de mort mais nie les évidences, renvoie son avocat et prétend être capable de mieux se défendre tout seul. Il reçoit la visite d’un officier de la police militaire qui s’intéresse bien moins à lui qu’à son fils, James, qu’il veut à tout prix faire tomber pour trahison, meurtre, espionnage, et peut-être même songe-t-il à l’accuser d’avoir volé la culotte de Blanche-Neige ! C’est son obsession à ce petit gars-là. (Pas la culotte de Blanche- Neige, encore que, mais bien de faire condamner à une peine maximale James O’Brady.)
A Nouméa, James, dont l’esprit a retrouvé son corps d’origine, vit de petits trafics avec l’aide de Black Kite, trafiquant local notoire. Pas facile de se reconstruire quand des visions de son « autre » vie viennent le pourchasser dans son sommeil. Esther… Esther la jeune juive qu’il aime entre les pattes de Raeder ! Il est si loin et est incapable de l’aider…
Critique :
Album intéressant qui voit James accepter un châtiment dont le lecteur sait qu’il ne l’a pas mérité. Enfin… Pas vraiment…
En 48 planches, on visite presque tous les continents.
Les dessins des personnages sont en net progrès et les avions sont fabuleux.
Bien entendu, lire cet album sans s’être immergé dans les précédents n’a guère de sens. De même, il est bien plus intéressant de lire son pendant en même temps : Adler Tome 4 – Le choix du retour.
Les cinquièmes et derniers albums sont promis pour 2022.
Afrique du Nord. Printemps 1943.
Oh, comme il n’est pas content le petit nazillon, Hans Raeder d’être encore et toujours dans la peau de cet horrible Amerloque, James O’Brady.
Il n’a plus qu’une obsession : s’échapper de ce piège pour retrouver ce maudit Sailosi, ancien compagnon de son père durant la Grande Guerre, et qui est responsable de ce mauvais sort qui l’oblige à vivre au milieu de ses ennemis et de bombarder au profit des Alliés. De plus, il a toujours sur le dos son fichu « cousin », Joe. Il faut absolument qu’il trouve un moyen de filer dans le Pacifique…
Critique :
Un peu trop de magie à mon goût, mais qui plaira à d’autres moins terre-à-terre que moi. Hans Raeder, dans la peau d’O’Brady, continue à être toujours aussi désagréable avec « ses » compagnons qui ignorent qu’un pur produit nazi s’est glissé dans la peau de leur estimé compagnon… De moins en moins estimé car il est visiblement de plus en plus agressif et méconnaissable. Avions et décors sont de qualité, les personnages beaucoup moins..
3 octobre 1942. Dispensaire de Trulo.
Hans Rader, pilote de Focke Wulf, est un nazi pur et dur. Petit problème pour lui, par une nuit d’orage, il se retrouve dans le corps du lieutenant de l’US AIR FORCE, James O’Brady. A l’hôpital où il passe des tests, il intrigue le médecin qui le suit, d’autant qu’il fait des cauchemars en allemand. Son cousin, a une explication très simple. James a vécu en Allemagne et y a même participé aux Jeux olympiques. Il avait une liaison avec une jeune allemande, une pure nazie, et cela s’est terminé par une douloureuse rupture. De retour à sa base, « ses camarades » le trouvent fort changé, irascible, solitaire, très loin du charmant garçon qu’ils connaissaient avant l’accident.
Pendant ce temps, le père de James est en Espagne occupé à trouver des ressources naturelles pour aider les nazis. Il a trahi son pays, plongeant sa famille dans le déshonneur et la ruine…
Critique :
Mais que voilà une étrange série puisque deux équipes travaillent en parallèle. D’un côté, nous avons Wallace et Julien Camp pour Eagle, et de l’autre, Patrice Buendia et Damien Andrieu pour Adler.
JG Wallace (ou simplement Wallace), de son vrai nom Stéphane Carpentier, transforme le charmant James en une belle crapule depuis que son corps est habité par un nazi pur jus qui tente de comprendre ce qu’il fait là. Les rebondissements sont multiples et donnent envie de savoir comment tout cela va se terminer…
Au dessin, Julien Camp s’en sort très bien, en particulier dès qu’il s’agit de dessiner des avions.
Il est vivement recommandé de lire les deux séries en parallèle, encore que rien n’empêche de lire Adler d’un côté et Eagle de l’autre.
Seamus O' Brady fait partie de l'escadrille Lafayette en 1917. Suite à des ennuis mécaniques, il se plante avec son avion. Un pilote allemand en profite pour le mitrailler alors qu'il est sans défense. Touché par de nombreuses balles, il survit miraculeusement, mais ses deux jambes brisées vont non seulement l'empêcher de voler, mais aussi, probablement l'empêcher de marcher normalement un jour. Il rentre à Boston le 23 décembre 1917 où l'attendent sa femme et son fils, James. C'est un homme aigri qui ne va faire de cadeau à personne. Seule compte son ascension sociale et l'accroissement de la richesse familiale. La crise de 1929 va sérieusement contribuer à l'engraisser car il se montre sans pitié envers les faibles. Petit à petit, il se met à admirer les nazis…
Contrairement à son cousin, Joe, qui ne pense qu'à s'amuser, James, le fils de Seamus, est le garçon sérieux de la famille. Il brille dans les études et dans les sports. Il passe deux années à Berlin où il se lie à Erika, la fille d'un professeur, fière nazie. Choqué par la lâche agression de deux policiers sur un enfant juif, James intervient et flanque une belle ratatouille aux deux cerbères. C'est le début des ennuis…
Critique :
Cette série repose sur l'idée d'un bouleversement dans la vie de deux hommes, deux pilotes, qui au cours d'un orage se retrouvent intervertis dans le corps l'un de l'autre.
Autre particularité, chacun des pilotes bénéficie d'un scénariste et d'un dessinateur différent. Etrange pour des histoires complémentaires ! J'aime beaucoup les dessins et les couleurs de Julien Camp. Ses avions sont particulièrement réussis. le scénario de Wallace, qui fait démarrer l'histoire en 1917 est un petit rappel des grands événements entre 1917 et 1942.
Je regrette le changement de dessinateur vu que le style Damien Andrieu n'a rien de similaire.
J'ai lu beaucoup d'âneries à propos de cette BD. Non, le dessinateur ne s'est pas trompé dans les couleurs des uniformes des fantassins français qui tirent vers le kaki au lieu du bleu horizon… Ce sont des troupes coloniales françaises, probablement des Marocains ! Jetez un oeil à https://www.guerre1914-1918.fr/category/uniformes-1914-1918/page/5/
Autre critique, le svastika sur un avion de l'escadrille Lafayette ! Normal ! Rien à voir avec les nazis ! http://fandavion.free.fr/lafayette.htm
Raoul Lufbery, as américano-français ou franco-américain, comme vous préférez, l'a affichée en grand sur l'un de ses avions : http://www.as14-18.net/Lufbery
Bref ! C'est pour moi de l'excellent boulot !
bon dessins, concept de serie parrallele (eagle/adler) interressant. Helas le secenario (surtout cote eagle) peche. On a ici un bon nazi bien mechant qui le reste
En réponse @ l'avis de feldmur
1 - les uniformes sont ceux des régiments d'Afrique du Nord (marocains en particulier) et ils étaient bien kaki.
2 - le Spad aux couleurs françaises de l'aviateur américain Raoul Lufbery arborait bien une swastika, symbole d'éternité fréquemment utilisé en 14-18 bien avant que le régime nazi en fasse son emblème.
3 - La phrase en Allemand a été traduite par quelqu'un qui parle la langue.
Je vous laisse, bien entendu, vérifier tout ça.
L'album commence par des poilus en uniforme kaki (et non bleu horizon), se poursuit par un avion de l'escadron Lafayette avec une svastika sur le flanc et se termine par la seule phrase en allemand de la BD, mal formulée. Lorsque l'on prétend vouloir faire une série historique, on se renseigne quelque peu. Surpris et déçu.