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Au menu de ce quatrième volume, pas de grande aventure pour la Ligue de Justice mais une courte histoire suivie de récits en un épisode sans grand relief (Justice League 2016, #20-25).
La première intrigue – "Interminable" –, par Bryan Hitch au scénario comme au dessin, met principalement en scène The Flash et Jessica Cruz. Si l’idée des brefs voyages dans le temps et du jeu avec le sentiment de déjà-vu est bien amenée, l’histoire est fort simpliste et trop rapidement résolue. Et puis, il faut supporter Bryan Hitch au dessin...
Les quatre histoires suivantes, en un épisode chacune, sont toutes l’œuvre de scénaristes et de dessinateurs différents. Dans l’espace, face à une nuée d’extraterrestres ou, au Moyen-Orient, face un super-héros nationaliste, Jessica Cruz et la Ligue combattent le Mal sous toutes ses formes. Rien de mémorable, mais au moins le personnage de Jessica Cruz s’épaissit. Puis vient un numéro où la Ligue fait la rencontre de Méra et de ses états d’âme entre l’Atlantide et la surface. Enfin, la Ligue fait face à un super-vilain tandis que Batman nous tease une future grande aventure pour l’équipe.
D’une manière générale, à coups de petites histoires beaucoup trop classiques et sans ambition, on ressort de la lecture de ce tome 4 sans rien avoir appris ni avoir constaté d’évolution sur la personnalité de la Ligue de Justice. Décevant. Et Urban Comics qui s’évertue à utiliser une couverture déconnectée du contenu, bref passons...
Après deux épisodes ties-in à l’event "Justice League vs. Suicide Squad", la Ligue de Justice repart pour de nouvelles aventures aux conséquences une nouvelle fois planétaires (Justice League 2016, #14-19).
Le premier épisode est une respiration. Après une énième catastrophe, la Ligue est prisonnière sous terre et ses membres s’interrogent sur la légitimité des deux nouveaux Green Lanterns, sur le rôle du nouveau Superman et sur le double-jeu de Batman. Un épisode à huis clos, plus calme et destiné à ajouter du fond à cette équipe de super-héros mais qui enchainent les platitudes et dont le final est trop vite expédié.
La grosse intrigue à suivre – "Intemporel" – tourne une fois de plus autour d’une machine cataclysmique (bonjour l’originalité...). La Ligue se retrouve dispersée dans le temps, chacun à son époque respective, combattant le super-vilain Tempus. Si le vilain, ses machines et ses soldats disposent d’un bon design, l’intrigue est par contre laborieuse. Entre la motivation incompréhensible du méchant, la résolution à coup de sauts temporels et le retournement de situation final, il y a trop d’éléments déroutant, et de cosmique, pour en faire une lecture plaisante. D’une manière générale, les aventures de la Ligue en font trop, beaucoup trop.
Enfin, à noter une nouvelle fois, ce drôle de choix d’Urban Comics de choisir une couverture variante de Justice League #1 par Gary Frank pour illustrer ce tome 3 ; une nouvelle fois, l’illustration a beau être très belle, elle n’en est pas moins incohérente avec le contenu.
Dans ce deuxième tome, deux nouvelles de la Ligue de Justice qui alterne entre le bon et le franchement mauvais (Justice League 2016, #6-11).
Dans la première courte histoire, "Etat de terreur", la Ligue se déchire et les peurs de ses membres les amènent à s’affronter, à douter de leurs compagnons ou du monde qui les entoure en général. Une histoire un poil plus psychologique qu’à l’accoutumée mais qui arrive sans construction préalable ; on ne comprend absolument pas pourquoi chacun a soudainement peur de l’autre et la résolution de leur(s) problème(s) est expéditive. Dommage.
La seconde histoire, "Virus", pêche à nouveau par son scénario : des enfants développent un virus informatique qui s’attaque à la Ligue en faisant apparaitre toute une tripotée de vilains de seconde zone. On repassera pour la vraisemblance de l’idée d’origine mais surtout elle s’avère n’avoir d’autre but que de faire joyeusement s’affronter la Ligue avec d’illustres inconnus dont on se fiche éperdument. Une overdose d’action brouillonne et inutile en somme.
Quant au dessin, sans être mauvais, il est malheureusement quelconque. Et on soulignera la drôle d’idée d’Urban Comics d’utiliser la couverture d’un épisode qui figure au menu du tome 1 (Justice League: Rebirth #1) pour illustrer ce tome 2. Tony S. Daniel dessine certes très bien mais pour la cohérence on repassera.
Le retour de la Ligue de Justice avec, dans ses rangs, un nouveau Superman et deux nouveaux Green Lanterns (Justice League: Rebirth 2016, #1 et Justice League 2016, #1-5).
Après une introduction où la Ligue de Justice s’attaque à un insecte géant – et où il est surtout question de présenter l’équipe aux nouveaux lecteurs – débute la première aventure de cette nouvelle mouture de la Ligue : "Les machines du chaos". Pour commencer sans la moindre finesse, celle-ci fait face à toutes sortes de catastrophes plus ou moins naturelles et à des humains zombifiées qui ne tardent pas à s’assembler pour former des géants, les Semblables. Le scénario de Bryan Hitch est pauvre, voire invraisemblable, et se limite à un étalage des pouvoirs des membres de la Ligue, qu’ils se retrouvent seuls ou à plusieurs, pourvu que chacun ait le même temps de présence au fil des pages... C’est une première aventure, on ne pouvait pas débuter de façon subtile mais le scénario force trop sur l’action.
Toutefois, le plus intéressant est ailleurs : dans la relation entre le cœur historique de la Ligue et ses nouveaux membres. Il y a en effet un nouveau Superman (Clark Kent) et deux nouveaux Green Lanterns (Simon Baz et Jessica Cruz) et, bien qu’on ne s’y attarde pas trop longtemps, leur intégration est plutôt réussie. Il reste toutefois nécessaire de connaitre leur aventure respective au cours de la période New52 pour comprendre la raison de leur présence.
Le dessin est essentiellement assuré par Tony S. Daniel et il est évidemment magnifique.