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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    romshark Le 06/04/2020 à 15:08:08

    Pour moi la meilleure histoire du "batman rebirth". Le joker et le sphynx au top de leurs arts. Je recommande à tous les fans de ces deux personnages et à ceux qui voudraient les découvrir.

    sebastien01 Le 08/03/2020 à 09:38:48

    Dans ce dernier volet de la trilogie "Mon nom est...", c’est au tour de Bane de prendre d’assaut la ville de Gotham dans une histoire qui va recoller les morceaux entre les différentes sous-intrigues et protagonistes rencontrés depuis le premier épisode (Batman 2016, #16-20 et #23-24).

    Si, à première vue, il est étonnant de voir Bane faire son retour – celui-ci ayant été défait dans le tome précédent, on aurait bien aimé voir quelqu’un d’autre dans le rôle du boss final –, on comprend que sa présence est surtout destinée à faire de cet ultime combat une opposition simple, basique, épique mais surtout bourrine (avec le retour au dessin de David Finch qui imagine un Bane colossal mais disproportionné). Le schéma du tome précédent tend à se répéter : à nouveau, on retrace l’enfance comparée des deux personnages pour mieux marquer leur différence. Pendant que Bane vocifère et martèle son nom, Batman garde son calme et se remémore les conseils de ses parents, le tout sur fond de discours grandiloquent sur la peur, le courage et la mort. Des thèmes récurrents chez Batman mais qui collent plutôt bien avec la caractérisation faite du personnage depuis les débuts du run de Tom King.

    Ce discours de fond, c’est aussi un excellent moyen de raccrocher dans ce T3 avec Gotham Girl, enfin heureuse et que l’on avait un peu laissé de côté depuis quelques épisodes. Et avec Catwoman, en ce qui concerne l’aventure sentimentale : on avait débuté cette histoire en trois actes avec un Batman prêt à se sacrifier, on la termine avec un Batman prêt à s’engager. On peut évidemment ne pas aimer la direction prise mais il faut reconnaître une certaine cohérence dans la progression / construction de l’ensemble ; d’autant plus qu’il ne s’agit là que du premier tiers d’un run qui s’achèvera au numéro 85 avec donc encore une multitude de références et d’imbrications à venir.

    A noter, après avoir sauté le crossover "The Button" (DC Univers Rebirth : Le Badge, en VF), un épisode spécial mettant en scène Batman et Swamp Thing à l’occasion de la disparition de Bernie Wrightson. Les fans de la créature du marais, et de Tom King, pourront également lire Swamp Thing Winter Special #1 (2018), dernier comics scénarisé par Len Wein également disparu la même année.

    Seul – très léger – bémol : ce choix d’utiliser la couverture de l’épisode 11 pour illustrer un album qui ne contient pas l’épisode en question. Cela dit, elle est très réussie et loin d’être inappropriée.

    sebastien01 Le 05/03/2020 à 08:09:32

    Dans ce second volet de la trilogie "Mon nom est...", Batman compose son propre escadron suicide et se lance à l’assaut de l’île de Santa Prisca où Bane s’est retranché en compagnie du Psycho Pirate. S’il s’agit, au fond, d’un tome entièrement tourné vers l’action, c’est aussi, à l’inverse, un tome qui voit naître le récit de la relation au long cours entre Batman et Catwoman destinée à culminer au cinquantième numéro (Batman 2016, #9-15).

    Après avoir sauté le crossover "Night of the Monster Men" (Batman : La Nuit des Monstres, en VF), débute la composition de cet escadron suicide relativement anecdotique (il n’existe d’ailleurs que pour faire écho à la tentative de suicide évoquée plus tard dans l’album). Seule Catwoman a un réel intérêt dans cette histoire tandis que Poli et Chinelle sont agaçants au possible. Le plus intéressant dans ce T2 – pour peu que l’on lise des comics avec un regard d’adulte –, c’est en premier lieu l’enfance comparée de Batman et de Bane, le véritable antagoniste de cette première partie de run : tous deux se sont retrouvés brisés et enfermés, tous deux devront s’en sortir pour redécouvrir ce qu’ils sont aujourd’hui.

    Et puis, il y a cette relation naissante entre Batman et Catwoman remarquablement bien écrite dans les épisodes 10 et 12 (sous forme épistolaire) et dans les deux épisodes sur les toits de Gotham (illustrés par Mitch Gerads). Ils décrivent une introspection mélancolique et juste et une relation tout en finesse entre deux personnages qui se connaissent par cœur et qui n’ont pas besoin de beaucoup de mots pour se comprendre. Certains trouveront sans doute naïfs, voire exaspérants à la longue, ces échanges répétitifs entre "Bat" et "Cat". Je trouve au contraire que Tom King écrit là une relation amoureuse sensible, moderne et de long terme et qui, surtout, sert son schéma d’ensemble ; beaucoup plus réaliste en tout cas qu’un baiser anecdotique comme on le rencontre trop souvent dans les comics.

    Publication bimensuelle oblige, la partie graphique est désormais assurée par Mikel Janin qui prend le relais de David Finch. Le dessin est moins typé "comics super-héros" et plus nuancé dans ses couleurs et c’est tant mieux. Et l’astuce graphique consistant à dessiner plusieurs scènes successives en une même grande case est bien utilisée.

    sebastien01 Le 01/03/2020 à 11:07:05

    En 2016, cinq ans à peine après le dernier relaunch, DC Comics relançait de nouveau toutes ses séries au numéro 1. Et c’est Tom King, un ancien agent de la CIA récemment reconverti scénariste de comics, qui reprenait la plus lue d’entre toutes, Batman, à la suite de l’indéboulonnable duo formé par Scott Snyder et Greg Capullo. Le scénariste avait déjà œuvré sur The Omega Men et The Sheriff of Babylon mais c’est surtout la série régulière Grayson consacrée au personnage de Nightwing qui le propulsa vers le titre-phare (Batman Rebirth 2016, #1 et Batman 2016, #1-6).

    Comme toutes les séries relancées à cette occasion, Batman débute par un numéro "Rebirth" qui s’avère particulièrement réussi. Co-écrit par Snyder et King, il fait office de transition / passation entre les deux scénaristes et offre plusieurs niveaux de lecture notamment quant à l’éternel recommencement des comics (qui plus est, il est illustré par Mikel Janin, le dessinateur de la série Grayson mentionné plus haut).

    Passé ce numéro spécial, débute une première intrigue en trois volets dont le titre scande "Mon nom est..." et qui est probablement ce que King aura entrepris de plus cohérent sur l’ensemble de son run. Sa première partie voit débarquer en ville deux nouveaux super-héros, Gotham et Gotham Girl, dont le traumatisme originel fait écho à celui de Batman. Ils devront, au travers d’une collaboration malaisée, lutter contre un adversaire inédit dans les comics : le terrorisme. On devine cependant que l’intrigue dépassera le cadre de ces apprentis super-héros et que le Psycho Pirate et Hugo Strange, dont il est question dans ce T1, ne sont que les premiers pions mis en travers de la route de Batman. Si ce dernier demeure un véritable héros, King lui écrit une caractérisation mélancolique, presque sinistre. Batman est avare de ses mots, on découvre un héros malheureux, beaucoup plus sombre et à l’opposé de la figure à laquelle Snyder nous avait habitué.

    Ce premier volet est illustré par David Finch et c’est évidemment très très beau à voir. Il y a certes toujours un peu trop de muscles et des mâchoires un peu trop carrées mais le trait est fin, précis, dynamique, l’encrage superbe, on sent qu’il a tout compris du personnage et que c’est un plaisir pour lui de l’illustrer (voir Batman: The Dark Knight 2010 et 2011 pour les amateurs).

    Quant au travail d’édition d’Urban Comics, pour ne pas devoir le répéter à chaque nouvel album, il offre tout ce qu’un lecteur de comics peut espérer : une véritable introduction, un chapitrage, des crédits détaillés, des pages numérotées, des couvertures alternatives et divers autres bonus en fin d’album. Bref, un travail dont l’éditeur concurrent ferait bien de s’inspirer.

    Yellowpax Le 17/07/2019 à 14:55:10

    Plutot un bon album, surtout le passage consacre au mariage, qui a ete bien traite. Le seul regret est un petit gout d’inacheve malheureusement. Le reste de l’album offre egalement une histoire avec freeze qui est sympathique a lire.

    biggyjay Le 13/03/2019 à 22:57:43

    J’ai lu cet album car j’ai été attiré par le très joli dessin de Joëlle Jones. Elle livre un très travail joli travail sur le 1er récit.
    Celui-ci est plutôt original et assez bien traité par Tom King. C’est pas mal : l’ambiance, le dessin, la couleur et le clin d’œil au passé de Batman. J’ai été moins séduit par le second pourtant bien illustré par Clay Mann (malgré des couleurs très fades). La visite de Batou et Superman avec leur femmes respectives à la fête foraine est une des plus ennuyeuses histoires que j’ai jamais lu, hélas.
    Au final, ça se lit bien mais on s’ennuie et c’est bien ce qui mérite cette note. Tout ça est bien loin de la qualité d’un album comme La Cour des Hiboux et il faudra être fan absolu de Batman pour vraiment apprécier ces deux récits.