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Science-fiction
Série finie
Europe
25 albums
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Pour le cycle au complet :
C'est une relecture de la série depuis la sortie du tome 8, donc ca faisait presque 19 ou 20 ans que je ne l'avais pas relu.
J'avais un excellent souvenir des 4 premiers albums, et la re-lecture a confirmé le tout, il sont vraiment bons.
J'ai trouvé que le diptyque des aïeuls, Tête d'acier et Dona Vicenta, était moins intense que les 4 premiers volumes... et c'est revenu après pour Agora et Sans-Nom.... Dans mes souvenirs, il y avait un lien avec l'Incal dans le dernier volume, mais finalement non... un brin décevant...
Donc une lecture très sympathique quand même, et les dessins toujours aussi bon.
Je n'ai pas été convaincu par ce dernier album de cette saga. Côté dessin et mise en page, cela reste au top. Mais question scénario on commence à s'enliser et tourner en rond.
On sent des piste laissées en jachère, notamment celle de la relation de Sans-Nom avec son père-mère qui aurait mérité d'être creusée davantage... Bref cette fin de cycle m'a déçu.
C'est le premier album de cette série à m'avoir déçu. Côté dessin, rien à reprocher, il reste au top.
J'ai eu l'impression que l'imagination du scénariste, Jodorowski, n"'était pas à son maximum malgré les ingrédients scénaristiques exceptionnel dont il bénéficiait pour cela.
J'ai regretté que la double nature masculine/féminine d'Aghora ne soit pas davantage utilisée.
Même le combat traditionnel qui oppose père et fil(le)s a un air de déjà vu en se rapprochant, dans son issue, de celui de tête d'Acier et d'Aghnar.
Dommage..
Je suis de ceux qui ont adoré cette lecture si controversée car cette série entraîne des réactions aux antipodes. Bref, soit on adore, soit on déteste éperdument.
J'ai réellement aimé cette saga extraordinaire des méta-barons, l'un des personnages pourtant secondaire de l'Incal. Le Métabaron incarne le plus puissant guerrier de la galaxie. Il y a des combats de vaisseaux dignes des grands space-opéra mais également des combats plus rapprochés au sabre qui font penser à Kill Bill.
On entre dans un véritable univers futuriste ayant ses propres règles. L'imagination de l'auteur est débordante. Il y a des trouvailles qu'on ne trouve nulle part ailleurs. C'est un concept ultra-réfléchi qui ne peut que ravir les fans de Jodorowsky. La quête initiatique va plus loin que celle de Les Technopères autre série-proche. Le dessin de Gimenez est à l'apogée de son art... à la fois réaliste et sensuel.
Le scénario est l'un des plus élaboré jamais réalisé avec une audace proche du politiquement incorrect (je pense au passage de la mère qui se substitue à la femme de son fils pour s'accoupler). On a droit à une grande saga familiale portée par la tragédie dans la plus grande tradition skakespearienne.
Cette saga est un mélange d'idées géniales et de platitudes, voire de niaiseries.
L'histoire racontée par le dialogue entre les deux robots, pourquoi pas. Dans la deuxième moitié, ils font partie intégrante de l'histoire et ça devient intéressant, voire très intéressant. Mais dans la première moitié... De toute ma vie je n'ai jamais rien lu d'aussi lourdingue, répétitif et stupide que les échanges entre ces deux robots. Il m'a fallu à chaque fois faire le vide deux ou trois minutes pour me replonger dans le récit.
Heureusement, on finit par s'intéresser à cette saga tragique. Les auteurs excellent tout particulièrement dans la violence, qui n'apparaît (presque) jamais comme un simple artifice, mais au contraire comme un véritable ressort narratif.
La qualité de l'histoire s'améliore au fil des tomes. Les deux derniers sont vraiment bons, même si j'ai du mal à raccrocher les wagons par rapport à l'Incal.
Les dessins en pleine page, déjà beaux mais un peu brouillons parfois dans les premiers tomes, deviennent franchement superbes.
Après m'être attaqué a la série complète de L'Incal d'Alexandro Jodorowsky, c'était maintenant au tour d'une autre de ses sagas dans laquelle me lancer, soit "La caste des Méta-Barons". Les dessins, magistraux, sont l'oeuvre de Juan Gimenez.
Que dire ? Pour tout amateurs de science-fiction, je pense que c'est un indispensable. C'est tout simplement épique et que dire des dessins ? Ils sont majestueux, originaux, détaillés, merveilleux et sublimes ! C'est tout !
J'ai vraiment adoré cette série, beaucoup plus que l'Incal. Probablement a cause du personnage, pas nécessairement sympathique, mais lorsque l'on assiste a la souffrance qu'il doit endurer, autant physique que psychologique, pour acquérir sa puissance phénoménale, on comprend mieux pourquoi il ne peut se permettre du moindre sentiment.
Bref, je recommande sans hésiter ! 9/10
Vous aimez la SF ? Vous voulez lire un chef d'oeuvre ? Vous êtes tombé(e) sur la bonne série. C'est aujourd'hui un classique, parfois imité, jamais (jamais !) égalé. Juste IN-DIS-PEN-SA-BLE.
Le dessin est toujours aussi sublime mais on a parfois du mal à voir le lien d’une case à une autre, la mise en scène n’est pas toujours si explicite.
L’histoire de cette famille racontée par le petit robot est intéressante, très atypique mais assez violente. Il est très clair que c’est une famille de guerriers voir de psychopathes. J’ai du mal à m’attacher aux personnages.
C’est un univers de sf très futuriste mais dans une idéologie très barbare.
C’est une bd que l’on suit souvent dans la narration. Pas mal.
La nouvelle édition que j’ai acheté (2015) est différente de celle de 1992, notamment la page 9, je peux observer des dessins en moins (voir l’image visible du site, en dessous de l’album tome 1. On y voit un homme dire: J’en ai assez de ces tueries… C’est devenu trop facile! Et bien ces images là, je ne les ai pas.
Bref, Sinon l’histoire est sympa mais sans plus pour l’instant. On y découvre une famille qui détient un secret qui une fois découvert, va malheureusement engendrer des problèmes.
Il y a de l’action, de la narration, du drame.
Les dessins eux sont sublimes, sauf que parfois on confond certains personnages, c’est vers la fin qu’on comprend mieux qui est qui.
Dernier album et fin de cette magnifique saga, qui à n'en point douter, fait partie des indispensables à posséder dans sa bedetheque...
Scénario très bien maitrisé du début à la fin avec la complicité de dessins somptueux. A lire absolument !!
Avant dernier tome de cette série culte :) on s'en va de rebondissements en rebondissements et de surprises en surprises, les dessins restent superbes et on a toujours cette envie de connaître la suite.
Vivement le dernier tome, je recommande vraiment cette magnifique série !!
Toujours le même plaisir à lire la suite de l'histoire de cette caste unique, Doña Vicenta fait un sacrifice afin da raviver la mémoire de son père, on assiste à la guerre sur sa planète natale filodenra et la vengeance du meta-baron.. Jusqu'à la fin de l'album où une surprise de taille nous attend :)
Vivement la suite !!!
Dans ce cinquième volet, on nous présente Tête-d'Acier comme étant un personnage haut en couleur, sans sentiments ni émotion, le guerrier parfait, terrible et craint partout dans l'univers… mais lorsque confronté à une belle femme qui le hait et le méprise pour sa cruauté et sa malveillance, décidera de changer du tout au tout en essayant de trouver quelqu'un qui puisse lui enseigner l'amour.
Excellent tome, Jodorowsky maitrise très bien l'histoire de cette fameuse caste et on en redemande !!!
Dans ce quatrième volet, Aghnar, qui croyait pourvoir vivre en paix et amour auprès d'Oda, après avoir vaincu les sorcières de Shabda-Oud, a vu ses rêves se briser et pire encore, après la révélation accidentelle du robot Tonto...
Un très bon album, aucun temps mort jusqu'à la fin où se déroule la confrontation entre Aghnar et son fils dont on ignore le résultat ... Bref, que du bon !!!
Dans ce troisième opus, on poursuit l'histoire de la caste avec le fils d'Othon et d'Honorata, Aghnar, prophétisé à être l'élu hermaphrodite par la secte Shabdda -Oud.
Excellent tome, on assiste à l'initiation d'Aghnar et des choix difficiles qu'il a à faire dans le but de venger sa mère. Les dessins de Gimenez sont toujours superbes et l'histoire demeure très prenante et on a toujours hâte à découvrir la suite à l'instar de Lothar le robot domestique :) j'ai les diodes qui grillent ;)
On continue de retracer l'histoire de la caste des méta-barons à travers les sympathiques et drôles robots domestiques, dans ce second opus, où on nous introduit Honorata, une prêteresse qui est amenée à devenir l'épouse d'Othon et qui lui offrira un présent inestimable... À moins que ?
Excellent tome, j'apprécie le scénario et dont la partie de l'entraînement ressemble fort à celle des spartiates lors de la sélection des guerriers et leurs initiation... J'ai beaucoup aimé pour ma part et j'ai hâte à la suite !
À travers Tonto, le robot serviteur de l'actuel méta-baron, on découvre l'histoire de la lignée des meta-barons, les guerriers les plus puissants de l'univers. Dans ce premier tome, on retrace la vie d'Othon le trisaïeul, le premier meta-baron et l'histoire derrière leur tradition de guerrier.
Le scénario est très bien maitrisé par jodorowsky et rien à redire sur les dessins de Gimenez, malgré que sur certaines planches, on n'arrive pas à distinguer les différents personnages.
Bref, un très bon moment de lecture et une histoire passionnante à n'en point douter.
Toujours aussi captivant, dessins superbes, le scénario est bien mené même si on a l'impression qu'il s'agit là d'un album de transition. D'ailleurs dès la dernière case lue, on a hâte de commencer le suivant pour connaître le destin d'aghnar ...
Sans être un chef-d'oeuvre, "La Caste des métas-barons" est une BD qui se lit agréablement. C'est une sorte de tragédie antique et mythologique transposée dans le futur : les métas-barons, malgré leur surpuissance et leur quasi-invincibilité qui les font ressembler à des demi-dieux, sont confrontés à des choix cornéliens, à des événements tragiques qui les transforment et bouleversent leur destinée (à commencer par l'obligation qui leur est faite de tuer leur père en duel pour devenir réellement méta-baron). Ce qui les rend finalement très humains et, dans une certaine mesure, attachants. Par ailleurs, les magnifiques dessins servent à merveille la narration.
Dernier album de cette série qui sera désormais à jamais dans la légende...J'ai toujours aimé l'audace dans les scénarios et les graphismes...Merci et bravo.
Septième album de cette série de légende qui nous captive dans avec un scénario des plus surprenant.
Les graphismes sont toujours autant somptueux...J'adore.
Chaque album de la série étant surprenant, ce dernier opus ne déroge pas à la règle et nous entraine à la découverte d'un guerrier follement amoureux.
Mais le scénario est si bien fait que nous allons de surprise en surprise...J'adore.
Que dire d'une série qui en plus de méler des gaphismes merveilleux et un scénario surprenant, nous montre ce que l'Homme est capable de faire pour sauver sa vie.
Quatrième volet d'une série légendaire où se retrouvent un scénario très bien fait avec des graphismes somptueux qui nous font voyager à l'autre bout de l'univers.
Troisième volet d'une série fantastique, où se retrouvent des graphismes magnifiques et un scénario toujours aussi surprenant.
Deuxième opus de la série, nous gardons la même trame, les mêmes graphismes qui nous font voyager ainsi qu'un scénario toujours aussi surprenant.
Voici le début d'une aventure légendaire dans un monde futuriste avec des graphismes et un exellent scénario.
De l'honneur, du sang et deux robots farfelus pour raconter l'histoire.
La Caste des Méta-Barons est pour moi une fresque mythique, intemporelle, poétique et psychédélique.
Scénario et dessins se mêlent fabuleusement bien et ce qui, au départ, n'aurait pu être qu'un dérivé inutile de l'Incal, devient une oeuvre à par entière qui n'a pas pris une ride.
Du très grand !...
On prend plaisir à lire et relire ces BD, qui racontent l'histoire de une lignée de Guerriers tout puissants.
La Caste de Méta-barons reprend quelques idées de Dune (à mon avis) : L'épiphite renvoie à l'épice, et les Shabda-Oud, à l'ordre du Bene Gesserit. Mais là s'arrête la comparaison.
Cette BD d'action et à prendre comme un compte néo Viking, où l'on ne peut que vaincre ou mourir, et où seule une femme saura nous adoucir. Coeur sensibles, féministes ou croyants-pratiquants : s'abstenir.
L'avis est valable pour toute la série...
Le scénario est plat, ennuyeux à mourir. On y décrit un humanoïde sorte de super-héros galactique capable tour à tour de repousser une armée de vaisseaux ennemis ou un milliard d'êtres dans un combat au corps à corps. Aucun humour n'est présent dans cette BD.
Les dessins sont à vomir. On se rapproche plus du gribouillage que de l'illustration.
De plus tout est prétexte à dessiner des auto-mutilation, des scènes de gore, de l'hémoglobine à plein flacon.
Le plus triste de l'histoire consiste en la platitude des dialogues. Les auteurs s'amusent à nous abreuver de néologisme qu'il mélange à des jurons actuels; je ne compte plus les méta-conneries et les bio-inepties que compte chaque tome de l'oeuvre. Et encore j'ai choisi ces termes pour éviter les grossièretés ce qui ne semble pas être le cas des auteurs.
En bref même d'occasion passez votre chemin tellement cette BD est mauvaise.
Si Baudelaire a pétri de la boue et en a fait de l'or, le tandem Jodorowki-Gimenez a eu une idée de merde et en fait de la merde.............
Déplorable.
Puisqu'il est interdit de donner une note négative 0/10.
Un avis sur l'intégrale pour toute la série.
Voici l'histoire d'une famille dont les membres, emprisonnés dans la logique implacable de leur caste, s'affranchissent de leur condition d'êtres humains pour se transformer en dieux guerriers. Absorbés par leur passion de la destruction. les maîtres laissent les robots, gardiens de la mémoire, évoquer la tragédie grecque qui point sous l'opéra de l'ultra-violence.
Chaque épisode évoque la perte progressive de l'humanité des héros, mutant en monstres froids, un peu plus mécaniques à chaque génération ; chaque album franchit un cran supérieur dans la démesure jusqu'au boutiste de cette dynastie dégénérée, qui réussit à se perpétuer dans des environnements toujours plus apocalyptiques.
Le trait dantesque de Gimenez sublime l'imaginaire débridé de Jodorowsky et porte la saga vers les sommets.
Profane, avant de t'aventurer en ces pages, assures-toi d'avoir procédé à ton introspection, s'annonce à toi un périple dont tu ne sortiras pas indemne !
Là la série décline dangereusement par-contre. Relater un passé qui ne présente pas forcément d'intérêt à part que tout celà me semble un peu trop gonflé et exagéré et une sorte d'addition à l'univers de l'Incal...
Vraiment ennuyeux, pas mauvais car les dessins restent superbes, m'enfin tout celà manque cruellement de relief
Cette série est comment dire... incontournable dans le genre. Avec recul, je trouve que cet épisode n'a absolument pas vieilli, tout y est et la beauté des planches rappelle que si les effets spéciaux vieillissent, le talent passe l'usure du temps. Cet épisode est plein d'action, mais aussi d'humour, le conteur et son auditeur sont des robots et nous offrent des réparties savoureuses. Pour les amoureux de la grande S-F comme des belles BD, à lire ou relire évidemment !!!
En fait l'avis porte sur la serie entiere....... et on peut effectivement parler de chef d'oeuvre, evidemment il faudra etre amateur du style Jodo, amateur exclusif de Tintin, Gaston ou Asterix passez votre chemin, ce style trop different en rebute plus d'un. Par contre pour les amateurs du genre acheter sans meme feuilleter, c'est juste génial!!
C'est la première série que je lisait de Jodorowski à ma bibliothéque.
Les dessins sont assez corrects mais pas génials, par contre point de vu du scénario c'est pas du tout se que j'aime.
Déjà des androides qui racontent les aventures de la caste c'est assez ennuyeux, mais en plus je trouve que Jodorowski y ne vas par quatres chemins, en faisant à une des filles de s'arracher les yeux, et j'en passse, et puis l'ambiance ne me plait pas.
J'ai essayé. Je me suis contraint à lire toute la série. Indigeste et d'une absolue nullité. Sans quelqu'un de qualité, comme Jean Giraud, capable de penser valablement pour deux, Jodorowski ne va pas loin. Nulle part, en fait.
Le mieux serait qu'il y reste. A lire son torrent de propos creux dans "La maison des ancêtres", j'ai bien peur que ce ne soit que vain espoir.
J'ai la chance de posseder cette intégrale.
Les dessins sont magnifiques et l'histoire prenante.
Petit bemol concernant les "pardon" à répétition... ça, c'est saoulant.
Mais il est neanmoins necessaire d'avoir cet ouvrage dans sa collection,
ou au moins l'avoir lu.
Bon, je fais faire simple : du début à la fin... J'ADORE.
Dommage que ce soit fini... sur quoi vais-je me rabattre ?
Allez... il n'aurait pas un enfant caché le dernier Méta-Baron ?
Ou dans la lignée, n'y aurait-il pas un batard ou un roturier ?
Je sais qu'il y a des grands fans de cette série...
Personnellement, j'ai craqué !
Après trois tomes au scénarii quasi similaires, j'ai décroché... et c'est très rare j'ai même réussi l'exploit de tenir jusqu'à la fin des Technopères !
Reste le dessin qui, il faut le reconnaitre est vraiment sympa.
C'est définitif plus de Jodo pour moi.
Le must du must en space opera, un grand classique que nous font decouvrir les grands jodorowski et gimenez, au travers de cette famille de métabarons. Incontournable!!!
Une série magnifique, malheureusement terminée, tant on attendait avec impatience la sortie de l'album suivant. Reste une des plus belles sagas de science fiction que l'on ait lu, dans l'univers fécond de Jodoroswky. On se prend parfois à rêver d'une adaptation cinématographique qui donnerait le plus grand des space operas.
Cette série est vraiment d'une grande qualité. Tant au niveau graphique formidable, qu'au niveau du scénario qui par moment laisse le souffle coupé... Amateur de science fiction, cette série doit être votre!
Un petit bémol quand même pour les derniers tomes qui sont légèrement en retrait par rapport aux premiers. Cela dit, la lecture de la série complète vous assurera un moment d'évasion intense. N'hésitez pas!
Très bonne qualité des BD
Un univers SF cyberpunk surprenant, le scénario crée une excelente dépendance et donne envie de lire la suite à chaque tome. L'histoire s'arrete avant qu'elle ne parte dans tous les sens comme d'autres series trop longues et "sans fin" ;-)
Le dessin est très beau, quoique parfois lourd mais l'ambiance est toujours très bien rendue.
La puissance des "héros" est grisante.
Je ne sais pas si les non fan de SF-cyber peuvent apprécier sinon à acheter les yeux fermés mais par contre a lire les yeux bien ouverts!
ouais c'est sympa mais bon le scénario c'est un arbre généalogique ... une famille ki erre dans l'univers sans autre but que celui d'etre guerrier, franchement je trouve pas ça super.
Les dessins sont bien enfin ça dépend lesquels. les univers & les aliens sont bien
mais c'est pas tres prenant comme bds
Excellente serie de Jodo et Gimenez.
Une série culte de la SF. L'univers graphique est magnifique et renouvelé tout au long des 6 épisodes. Le scénario est béton.
Seul un petite longeur sur les albums 4 et 5 se fait sentir.
A lire tout de suite.....
Tres bonne serie de Jodo et Gimenez.
J'adore le dessin de Gimenez depuis pas mal de temps et en particulier la beauté des couvertures.Pour le scenar,c'est different.La biographie de la caste est tres agreable à lire ;seul bémol les dialogues entre les deux robots que je trouve gonflant (peut-etre le coté vulgaire qui devient lourd à la longue).Sur les derniers tomes à part le dernier bien évidement,je survole les bulles des robots.
Cela dit pour les amateurs de SF, ne pas lire cette serie serait une erreur!!!
La plus grande qualitée de cet album est qu'il s'agit du dernier de la série. En effet il était temps car la qualitée commencée à décroitre avec le temps. Autant les trois ou quatre premiers albums étaient bon autant les suivant étaient de plus en plus mauvais. Le scénario est devenue lourd, ennuyant et aussi palpitant que de regarder Derick à la télé.
L'univers était pourtant intéressant et graphiquement Gimenez n'a pas démérité. Tout au long de la série il nous a fourni un dessin superbe avec par ci par là des petits bijoux graphique. Seul le scénario est trop parti à la dérive dans du pseudo-intellectuo-mystyque pour donner au final une soupe difficilement compréhensible qu'on a même plus envie de lire.
En m'apportant avec générosité ce superbe album le papa noel m'a fait un superbe cadeau. Moi qui ne connaissait pas cette série j'attend avec impatience le prochain cycle: "Les aventures de Sans-Nom". Je recommande à tous les amateurs de SF qui ne connaisse pas de se jeter sur cette BD les yeux fermés. Les dessins sont superbes et le scénario ne fléchit jamais tout au long de cette intégrale de 530 pages. Un must à posséder impérativement